PAU PORTE DES PYRÉNÉES
Tapie au pied des Pyrénées et éclipsée dans le grand Sud-Ouest par Bordeaux et Toulouse, Pau a décidé de se doter d’une marque pour exister entre ces deux géantes, pour fédérer les talents et les atouts locaux et pour mettre en valeur son énorme potentiel économique et humain.
PPP (Pau Porte des Pyrénées) est désormais l’appellation donnée au Grand Pau, qui fédère 123 communes et quelque 225.000 habitants. Au-delà de l'affirmation d'une réalité géographique, « Pau Porte des Pyrénées » veut incarner la démarche de modernisation et de développement territorial lancée par la ville de Pau, l'agglomération Pau-Pyrénées et plus largement le Syndicat mixte du Grand Pau depuis mars 2008. Cinq axes forts sous-tendent cette démarche : la coopération, l’éducation et la formation, la culture, les transports, la cohésion urbaine et la solidarité.
La marque Pau Porte des Pyrénées a pour objectif d'affirmer l'identité et le dynamisme de ce territoire situé au cœur du triangle Bordeaux-Toulouse-Saragosse et de lui donner la place qu'il mérite à l’heure où l’Europe est gagnée par un phénomène de métropolisation.
Par cette démarche, Pau souhaite dépasser sa réputation de ville agréable à vivre (son slogan est d’ailleurs « la vie rêvée des villes ») pour se donner un nouveau cap et faire exister le piedmont pyrénéen au plan national et international. Les trois P articulant le projet sont chacun ornés d’un symbole fort : la Vache dorée, emblème de Pau et du Béarn, qui représente la Paix, un cœur, synonyme de Partage, et le mont d’Ossau, reflet de la Passion du territoire pour les sommets et l’ambition de les vaincre.
Lourdes OFFICIELLEMENT 67 MIRACLES
Le 67e et dernier miracle de Lourdes a été reconnu comme tel fin 2005 par Mgr Gerardo Pierro, archevêque de Salerne, qui a proclamé la « guérison miraculeuse » d’Anna Santaniello à Lourdes, un demi-siècle plus tôt. La malade, aujourd’hui âgée de 94 ans, souffrait depuis l’enfance d’une malformation cardiaque déclarée incurable par les médecins, qui lui laissaient peu d’espoir.
À quarante ans, son état de santé s’aggravant, elle décida de se rendre à Lourdes malgré les avis contraires des médecins et de son entourage. Avec une respiration très difficile, elle arriva sur un brancard et fut emmenée aux piscines où elle fut plongée dans l’eau de la source. « L’eau était glacée, a rapporté Anna Santaniello, mais j’ai aussitôt senti quelque chose qui brûlait dans ma poitrine, comme si on me rendait la vie. Quelques secondes après, alors que je ne pouvais plus jusque-là faire un seul pas, je me suis levée toute seule et je me suis mise à marcher, en refusant l’aide des brancardiers, qui me regardaient avec incrédulité ». De retour chez elle, elle alla consulter un cardiologue réputé. « Il m’a dit, précisa-t-elle, que je n’avais rien. Que j’étais en très bonne santé et qu’il ne s’expliquait pas tous les certificats et les examens faits auparavant ».
Après de multiples examens, la commission médicale a établi que cette transformation n’avait aucune explication scientifique et l’Eglise a reconnu la guérison miraculeuse.
De très nombreuses personnes affirment avoir été guéries à Lourdes. C’est pourquoi, en 1884, l'Église catholique a mis en place un « Bureau des constatations médicales », pour examiner les déclarations. Le processus d'authentification passe par trois grandes étapes : examen par le Bureau médical de Lourdes ; transfert au Bureau médical international ; investigation par le diocèse d'origine de la personne guérie.