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Débouté lundi en justice, le groupe Saria Industries a entériné la perte d'une partie de son activité d'équarrissage en France. Le numéro 1 français du secteur laisse la place en Mayenne, dans la Sarthe et dans la Manche (et dans six autres départements français), à son principal concurrent Atemax (groupe Akiolis). Ce n'est pas sans conséquences sur l'emploi. 
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“Que faire des animaux morts en élevage ? Engrais, graisse, combustibles et même biocarburants, les débouchés sont nombreux et les équarrisseurs se disputent un marché devenu désormais juteux.” Via Paul-Jean Ricolfi
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L'usine Valdis a été inaugurée lundi, à Issé (Loire-Atlantique). Dans ses cuves géantes, elle transformera chaque année 58 000 tonnes de déchets biodégradables en énergie renouvelable.
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Le Tribunal de grande instance de Paris a débouté l'entreprise d'équarrissage Saria de sa demande d'annulation de contrats de collecte d'animaux morts dans les fermes, qui ont été attribués par les éleveurs à un de ses concurrents. Une décision qui menace 120 emplois selon elle.
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« La perte de ces marchés nous conduirait à fermer l'usine de traitement de Guer (Morbihan) et trois centres de collecte à Bazougers (Mayenne), Chalagnac (Dordogne) et Curgy (Saône-et-Loire). On parle de 120 emplois.
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L'ampli / Le tribunal de commerce de Quimper a rendu son délibéré après l'audience La société Saria Industrie (Concarneau) reprend pour 22 millions d'euros l'entreprise Stanven basée à...
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