Your new post is loading...
Your new post is loading...
Le compromis porté par le gouvernement au sujet de la rénovation de ces logements mal isolés a été adopté ce vendredi à la quasi unanimité, dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi énergie et climat à l'Assemblée nationale. Des députés et des ONG critiquent un dispositif encore trop timide. (...)
Via Build Green
La lutte contre les discours haineux sur Internet est « d’abord une question politique, juge Olivier Ertzscheid. Pendant longtemps, les politiques ont oublié que la loi sur le territoire s’applique aussi en ligne.
Via Daniel Morgenstern
Edouard Philippe a reçu lundi 12 mars le tandem exécutif corse : Jean-Guy Talamoni et Gilles Simeoni. Le Premier ministre a présenté les éléments qui feront de la Corse un territoire spécifique et décrit
Le coût des niches fiscales atteindra près de 100 milliards d’euros l’an prochain. En cause, notamment, la montée en puissance du CICE, le fameux crédit d’impôt accordé aux entreprises., S’attaquer aux
Alors que les retraités sont appelés à manifester contre la hausse de la CSG, quatre femmes à la retraite ont accepté de témoigner pour décrire leur quotidien.
Si Charlotte Marchandise n'a pas pu obtenir le nombre de signatures nécessaires à sa candidature "citoyenne" pour les Présidentielles 2017, elle a tout de même
Via LYFtv
Yvette Lévy, 91 ans, et Eveline Szpirglas, 89 ans, rescapées des camps de la mort, témoignent dimanche sur franceinfo de la nécessité d'entretenir la mémoire collective et livrent leur inquiétude à une semaine du second tour de la présidentielle.
L'intelligence collective des êtres humains permet d'agréger de nombreuses données et de donner sens au Big Data afin de résoudre les problèmes du siècle.
Via Valérie Benmeziane, Commeon
Atteinte d'une maladie incurable, Anne Bert, 59 ans, va bientôt partir en Belgique pour recevoir une injection létale. Elle interpelle les candidats à la présidentielle.
Si les services actuels de la Blockchain concernent surtout le secteu
Un facteur majeur pèse sur la définition de l’offre politique de la prochaine élection présidentielle: le vote des retraités. Ses implications idéologiques et politiques touchent la droite comme la gauche. Sa part relative ne cesse de croître sous le double effet du vieillissement démographique et de la surparticipation électorale croissante des seniors. En effet, si le taux de participation des électeurs de plus de 60 ans, s’est établi, selon l’institut Ipsos, à plus de 87% au second tour de l’élection présidentielle de 2012 (contre 80% sur l’ensemble de l’électorat), cette tendance s’est accrue lors des élections intermédiaires. Ces dernières ont été marquées par une abstention plus élevée et le poids relatif des seniors y atteint des surproportions remarquables, toujours selon le même institut: 76% de participation aux dernières municipales(contre 61% pour la moyenne des électeurs), 60% aux européennes (contre 43%), 64% aux départementales (contre 50%), 67% aux régionales (contre 50%). Les premiers sondages relatifs au corps électoral des futurs votants à la primaire de la droite confirment que celle-ci sera avant tout l’expression des électeurs les plus âgés. Alors que les plus de 65 ans représentent 23% de la population française, ils pourraient représenter 43% des électeurs à la primaire; les retraités, qui comptent pour 33% de la population française, pourraient composer 50% des électeurs mobilisés. Les moins de 50 ans, qui constituent 51% de la population française, ne représenteraient que 30% des ses électeurs. En d’autres termes, la primaire de la droite, présentée comme une opération de modernisation politique, est en fait structurellement tournée vers le passé par sa démographie. Vieillissement, surparticipation et primaires Quels sont les grands facteurs à l’œuvre? Premier point, la population française vieillit, et le poids des électeurs âgés parmi les électeurs augmente. Jusqu’ici, tout est très logique. Deuxième point, la surparticipation électorale des électeurs âgés s’accroît. En l’absence d’études très poussées sur ce sujet, on peut émettre la double hypothèse que l’offre politique répond d’une manière plus satisfaisante aux préoccupations des électeurs âgés et que la politique effectivement menée par les gouvernements successifs fait de même. Sans compter que le phénomène majeur de la «mal inscription» électorale est concentré sur les jeunes et les actifs, alors que les électeurs âgés sont à la fois bien inscrits et utilisent massivement la procuration pour maintenir leur taux de participation. Troisième point, les élections intermédiaires sont des élections où s’abstiennent prioritairement les actifs et où dominent les retraités, d’où probablement d’ailleurs une montée des thématiques identitaires (ce que le politiste Gaël Brustier appelle les «paniques morales», et qui ne se confondent pas avec le vote Front national et le dépassent très largement) et une orientation économique sinon conservatrice, du moins teintée d’un réflexe anti-inflationniste prononcé (en résumé: la dette plutôt que la croissance). Dernier point, la seule élection où les actifs «rentrent dans le jeu» est l’élection présidentielle, mais par un effet de persistance rétinienne, leur rôle dans l’élection en tant que tel est minorée car la logique médiatique est structurée par les mouvements des élections intermédiaires, qui surreprésentent les intérêts des électeurs âgés et font émerger des thématiques qui y répondent. À la primaire de 2011, les seniors avaient accordé leur confiance à Hollande, candidat le plus prudent Le jeu des primaires aggrave encore cette situation car le corps électoral qui s’y déplace n’est pas homothétique du corps électoral global: les électeurs âgés y sont surreprésentés. La primaire socialiste de 2011 avait déjà été dominée par les seniors qui avaient accordé leur confiance à François Hollande, le candidat le plus prudent et en définitive le plus conservateur sur le plan économique. La primaire de la droite n’échappe pas à cette réalité démographique. D’où l’écart abyssal entre un électorat majoritairement inactif et un programme politique supposément préoccupé de la «France qui se lève tôt» mais qui est dans les faits favorable aux inactifs retraités et défavorables aux actifs. C’est ainsi qu’il faut comprendre la priorité à un programme de réduction des déficits publics, la préférence pour une faible inflation, les réformes des retraites concentrées sur les futurs retraités, c’est-à-dire les actifs d’aujourd’hui, et les discours culpabilisateurs visant les «assistés», c’est-à-dire les actifs les plus pauvres. Notons que les initiateurs d’une primaire à gauche pour 2017 semblent totalement se désintéresser de la structure démographique et sociologique de l’électorat qu’ils pourraient mobiliser, et des implications politiques et idéologiques qui vont avec… A mesure que l’électorat vieillit et que son rapport avec l’activité économique concrète devient un souvenir ou une abstraction, l’offre politique se structure autour d’un nouvel économicisme abstrait et moralisateur. Son objet est de faire se déplacer les arbitrages rendus nécessaires par les contraintes budgétaires en faveur des inactifs âgés contre les actifs (employés ou chômeurs), d’où la concentration des ajustements sur les actifs et le marché du travail plutôt que sur le niveau des pensions ou le système de santé. Le sarkozysme, auquel tous les candidats à la primaire de droite adhèrent en définitive, pourrait ainsi être résumé à une réponse «de droite» à la crise de l’Etat social. Comment renverser la table? Comment, dans ces conditions, renverser la table? L’équation est compliquée car la pression est forte, quand l’exercice du pouvoir est à portée de mains, pour s’aligner sur un programme économique orthodoxe. C’est l’enjeu de l’évolution de la ligne économique du Front national, qui est soumis à l’injonction de «normalisation» non seulement de sa sensibilité interne «identitaire» mais aussi d’une partie troublante de la presse: les premiers estiment que le thème de la sortie de l’euro leur aliènerait les électeurs âgés; les seconds identifient la sortie de l’euro comme une menace alors qu’ils s’accommodent sans difficulté d’une ligne «identitaire», par ailleurs métastasée à droite mais aussi dans certains secteurs de la gauche, et recommandent au FN d’abandonner la sortie de l’euro pour accéder aux responsabilités. La gauche est un canard sans tête qui court après la droitisation de l'électorat âgé Et la gauche? Canard sans tête, elle court après la droitisation de l’électorat âgé et se révèle incapable de porter un discours audible auprès des actifs. Une simple comparaison entre les discours des candidats Clinton et Sanders, voire d’Obama, et du champ lexical de la gauche française (qui ne se réduit pas au Parti socialiste) soulignerait par l’absurde son incapacité à s’extraire d’un discours technocratique pour s’adresser aux salariés et aux entrepreneurs. On n’entend guère parler deshard-working families de ce côté-ci de l’Atlantique… Le ralliement de la gauche à l’orthodoxie économique (qui ne date pas d’hier: trente-trois ans nous séparent du tournant de la rigueur de 1983) l’a coupée dans la longue durée de l’électorat ouvrier et employé, qui forme encore la grande majorité des actifs. L’élection présidentielle est de fait la seule élection où ceux-ci ont encore droit de cité, même si leur poids relatif a baissé dans la structure de l’électorat. C’est à partir d’une vision dynamique et néanmoins réaliste des contraintes et des forces à l’œuvre dans celui-ci qu’une offre politique tournée vers le futur pourrait émerger. Cette offre devrait répondre à des problématiques économiques et sociales concrètes: la relance de l’activité économique et de l’emploi, la question du logement (et celle de la transmission du capital entre les générations), le soutien aux familles, la question des transports et de leurs prix, l’accès à des solutions de transition écologique, etc. Et elle devrait desserrer l’étau démocratique en réduisant les contraintes électorales pesant sur les jeunes et les actifs pour élever leur taux de participation (simplification de l’inscription sur les listes électorales, en particulier). En bref, un programme raisonnable et d’avenir. D’une certaine manière, lutter vraiment contre le «populisme», c’est faire ce choix-là. Ce n’est pas le chemin que l’on prend. Julien Landfried
Via Jacques Le Bris
|
Etat, collectivités territoriales, associations, acteurs de la médiation numérique et du travail social, administrations et entreprises, tous se sont mobilisés pour faire de cette rentrée 2018 celle de la mobilisation générale contre l’illectronisme. Mounir Mahjoubi Secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé du numérique
Via DocBiodiv
Alors que se tient une élection présidentielle sans grand suspense ce dimanche, focus sur une économie affaiblie, mais qui retrouve quelques couleurs.
Le dialogue entre les nationalistes corses et le gouvernement français a débuté. La ministre Jacqueline Gourault a rencontré les élus de la nouvelle collectivité, vendredi 5 janvier 2018. Un premie
VIDÉO. Le référendum sur l'indépendance de la région a vu le "oui" s'imposer à plus de 92 %. Les sanctions de certains pays ne se sont pas fait attendre.
Les dirigeants des pays de l’OTAN sont réunis ce jeudi à Bruxelles. L’Alliance Atlantique est-elle "dépassée" comme le jugeait il y a peu encore le président américain D. Trump ?
D'après une information du "Canard enchaîné", la candidate à l'Élysée voudrait "changer la loi électorale par un référendum" puis dissoudre l'Assemblée nationale.
INTERVIEW - L'économiste américain était à Paris le 29 mars dernier à l'occasion d'une conférence organisée par le géant des technologies Oracle, lors de laquelle il s'est entretenu avec Le Figaro de revenu universel à l'heure de l'intelligence artificielle et de l'économie de plateformes.
Via Christophe Chambet-Falquet
Economists traditionally dominate policy making in Washington, but they don’t have all the answers. Sociologists have a lot to teach us.
Que propose le candidat d’En Marche ! dans les domaines couverts par Contexte : énergie, numérique, transports, territoires, Europe et institutions ? La rédaction a analysé les mesures en les confrontant à la législation existante en France et en Europe. Sur les 100 dispositions décryptées, 44 % sont perçues comme réalistes.
Jeremy Corbyn lance son Manifeste pour la démocratie numérique
Publié le 6 septembre 2016 par Ewen Chardronnet Jeremy Corbyn, le leader britannique du parti travailliste en campagne pour sa réélection, vient d’annoncer son programme pour le numérique. Le grand favori des sondages publie un «Digital Democracy Manifesto» qui fait sensation.
Le Manifeste pour la démocratie numérique de Jeremy Corbyn, leader du parti travailliste britannique, qu’il a rendu public le 30 août, promeut une série de propositions inspirées des cultures open source et de défense des libertés numériques. Il a été rédigé en collaboration avec Richard Barbrook, du think-tank autonome sur la société de l’information Cybersalon. Enseignant en sciences politiques à l’université de Westminster, Richard Barbrook est notamment l’auteur du classique Cyber-Communism (1999) ou du plus récent Imaginary Futures (2007), et anime Class Wargames, un collectif ludico-subversif inspiré du Jeu de la guerre de Guy Debord.
Décidément iconoclaste, Corbyn a vu son manifeste susciter de nombreuses railleries et critiques chez ses opposants, jusqu’au sein de son parti. Il contient pourtant de nombreuses idées originales que l’on aimerait retrouver en cette année électorale chez nos politiques français…
Via Aurélien BADET, JP Fourcade
Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, a affirmé que tout ce qui aurait dû être fait "depuis dix-huit mois" et l'attentat de Charlie Hebdo "ne l'a pas été", dimanche soir sur TF1, trois jours après l'attentat de Nice. "Je sais parfaitement que le risque zéro n'existe pas", a-t-il ajouté, mais "nous avons une obligation de moyens pour assurer la sécurité des Français".
|
Un compromis qui aurait pu être pertinent si on y intégrait la présence de matériaux biosourcés ...