[Etude] La désinformation en ligne fait partie intégrante de la stratégie des droites radicales, tandis que les formations de gauche, qu’elles soient radicales, écologistes ou sociales-démocrates, ont moins recours à cette pratique. [lecture complète de l'article sur abonnement ; étude disponible ici]
L'étude, néerlandaise, examine quels partis sont les plus susceptibles de diffuser de fausses informations en s’appuyant sur une base de données de 32 millions de tweets de parlementaires de 26 pays, couvrant six années et plusieurs périodes électorales.