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Lors du Salon du Management 2025, une douzaine d'experts et de professionnels ont dévoilé quels pourraient être les plus grands défis du monde du travail de 2030 pour les managers. Leurs réponses sont aussi variées que les challenges à relever nombreux. Découvrez-les dans la vidéo ci-dessus, en 5 minutes chrono
L’autonomie au travail n’est pas toujours désirable. Son attrait dépend notamment de l’environnement de l’organisation. Devenir autonome, cela s’apprend et cela requiert du soutien, une condition nécessaire mais pas suffisante. Car les salariés le savent : dans certaines situations, l’autonomie peut être un piège.
L'appareillage, qui se porte comme un gilet, est conçu pour réduire la charge sur l'épaule de 60 % et la tension musculaire deltoïde jusqu'à 30 %.
Cette nouvelle mouture promet des capacités de communication vocale grâce à un partenariat avec OpenAI.
Nombreux sont les métiers à pouvoir être automatisés ou partiellement remplacés par l’intelligence artificielle (IA) en fonction de leurs tâches spécifiques et de la disponibilité des technologies. Voici quelques exemples de professions qui pourraient être impactées dans le futur.
Terra Nova et l’Apec ont mené conjointement une étude auprès de 5000 actifs dont 3000 jeunes de moins de 30 ans. Loin des stéréotypes, il ressort de cette enquête que les jeunes actifs sont engagés et motivés par leur évolution professionnelle. Tout autant investis dans leur travail que leurs aînés, ils formulent les mêmes attentes envers le travail que les plus âgés : la rémunération, l’intérêt des missions, et l’équilibre de vie. Au-delà de ces constats, le rapport des jeunes actifs au travail se caractérise par une forte hétérogénéité, liée aux positions sociales et aux emplois occupés.
Fondé en 2017 par Anaïs Georgelin, somanyWays accompagne les organisations dans leur transformation humaine pour construire un monde du travail plus agile, vertueux et engagé. Un monde où l’on aimerait à nouveau travailler.
Infographie reprenant le contenu de la conférence de Jérémie Pelletier, directeur de la Fondation Jean Jaurès sur la relation des jeunes au travail
Le chiffre est tombé comme un couperet : le taux d’engagement au travail des Français s’élève à 6 % en 2021 selon le rapport "State of the Global Workplace" de Gallup. Les moins investis d'Europe. Pire, 54 % des personnes interrogées pour l’enquête réalisée par Les Makers-IFOP sur la relation des Français au travail, perçoivent leur travail comme une contrainte.
Flexibilité de bail, qualité de service, rétention des talents… Ces promesses séduisent de nombreuses startups, qui domicilient désormais leur siège social dans des espaces de coworking. Une tendance accentuée depuis la crise du Covid-19.
Les partenaires Co-AGIL ont lancé ce site internet pour mettre à disposition des ressources pour optimiser l'organisation du travail et la gouvernance des collectifs, en mobilisant notamment les outils numériques, pour répondre aux enjeux du renouvellement des générations.
Alors que la vague de la Grande démission déferle sur les États-Unis, le rapport au travail des Français a été transformé par le Covid-19. La centralité du travail a été remise en cause au profit d'un meilleur équilibre vie privée - vie professionnelle qui passe notamment par du télétravail. Pour concilier les attentes des salariés sans perdre du lien social, certaines entreprises misent désormais sur le métaverse.
Comment mieux s’organiser ? Comment préserver sa santé ? Comment se libérer du temps ? Comment être plus efficace ? La plateforme Déclic travail permet aux éleveurs de prendre du recul sur leur manière de travailler et de trouver des solutions pour améliorer les conditions d'exercice de leur travail.
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L'intelligence artificielle est sans conteste la technologie qui redéfinit notre époque. D'ici 2030, son impact sur les métiers sera profond, modifiant non seulement les tâches que nous effectuons.
Alors que s’ouvre, le 10 février, le Sommet mondial pour l’action sur l’IA à Paris, on dresse l’état des lieux de l’utilisation de cette technologie au travail, en France.
Quelles sont les perspectives pour le travail de demain ? Quels aménagements seront mis en place pour s’adapter au développement de l'intelligence artificielle et à la transition écologique ? C’est ce que donnent à voir 3 scénarios imaginés dans la cadre du concours Positive Future.
Imaginez un bureau qui vous aide réellement à être plus productif. Grâce à des technologies avancées, cette table de travail vous permet de régler la luminosité via une application.
L’intelligence artificielle est partout. Mais comment celle-ci peut-elle aider les ingénieurs et chercheurs dans leur métier ? Nous avons posé la question à nos invités Frédéric Pascal, Professeur des Universités (Université Paris-Saclay) et directeur de l’institut DATAIA, et Marie-Aude Aufaure, directrice de la société de conseil et de formation Datarvest. Voici leurs réponses.
L’étude montre que pour 80% de ces tâches, les humains sans IA étaient plus efficaces. Utiliser l’IA pour les tâches les plus complexes est donc pour l’instant, a priori, un non-sens en entreprise.
La question du travail est au cœur de questions brûlantes d'actualité telles que la réforme des retraites, l'utilisation industrielle de l'intelligence artificielle ou bien encore la remise en cause du modèle productiviste. Paradoxalement ces multiples interrogations sur les évolutions concrètes du travail ont lieu au moment même où le travail continue à être présenté comme une valeur morale indiscutable et cela de la gauche à la droite de l'échiquier politique. Tout se passe comme si les débats nécessaires sur les transformations de la place du travail dans notre quotidien étaient limités voire empêchés par un consensus non interrogé, une doxa, sur la centralité indépassable du travail pour avoir un revenu, pour s'émanciper, pour créer de la solidarité, etc. Et pourtant accepter de débattre sur la place du travail dans la société de demain est sans doute un préalable à toute bifurcation nous permettant de remédier à la triple crise économique, démocratique et écologique que nous vivons.
Sous l’effet de la crise sanitaire, le rapport au travail a radicalement changé, en particulier chez les jeunes. Quelles sont leurs attentes vis-à-vis du travail ? Quelles sont leurs envies, leurs ambitions ? Lors d’une visioconférence le 10 février, Jérémie Peltier, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, analysera les nouvelles aspirations des jeunes.
Nous présentons une synthèse des discussions tenues lors du 2e Symposium international sur le travail en agriculture (29 mars–1er avril 2021). L’objectif est de rendre compte des thématiques et des idées échangées, dans un cadre pluridisciplinaire, et de construire une vision commune du futur du travail agricole à l’échelle mondiale.
Pour se sentir heureux et efficace au travail, il faut savoir s'arrêter. Une synthèse de 22 études internationales, publiée dans la revue PLos One, confirme que des pauses express, allant de 40 secondes à 10 minutes, permettent d'améliorer l'humeur et réduire la sensation de fatigue.
Après les États-Unis, la France enregistre un taux record de démissions. Si ce phénomène n'est pas aussi important que la Great Resignation américaine, il exprime une tendance de fond, un nouveau rapport au travail qui a émergé pendant la pandémie et qui s'amplifie aujourd'hui à l'ère de la permacrise. Certains optent même pour le "détravail", un courant qui vise à travailler moins dans une perspective de décroissance économique pour "sauver la planète".
Les espaces de coworking se multiplient, y compris hors des métropoles. Avec un potentiel de bénéfices environnementaux sur les mobilités à long terme, à certaines conditions.
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