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Protection contre les intempéries ou les fortes chaleurs, les haies et les arbres isolés sur les parcelles d’élevage contribuent fortement au bien être animal. Leur entretien et ou leur implantation permettent d’améliorer également les performances du cheptel qu’il s’agisse notamment de production de lait ou de viande. Certains regroupements parcellaires quand il se produisent posent par ailleurs parfois des problématiques spécifiques pour les maintenir. Les conseillers agroforestiers des Chambres d’agriculture sont à disposition pour accompagner les agriculteurs dans leurs réflexions et leurs pratiques dans ce domaine. Témoignage de Jean-Charles Vicet consultant Agroforesterie au service Arbre et biodiversité de la Chambre d’agriculture Pays de la Loire.
Maxence Belle (Afac agroforesteries) présente différentes formes de valorisation, Pierric Cordouen (Collectif Bois Bocage 35) son retour d’expérience de structuration d’une filière bois et Louisanne Garros, agricultrice, son témoignage. Visionnez le replay !
Des haies l’on connaît souvent les nombreux bienfaits pour la biodiversité comme pour une agriculture durable. On sait aussi qu’elles peuvent être l’objet de tensions entre propriétaires voisins, entre agriculteurs et décideurs publics. Le sociologue Léo Magnin nous propose désormais de découvrir « La vie sociale des haies ». Il démontre au passage comment cet objet d’étude est propice à l’examen d’un processus balbutiant et semé de contradictions : l’écologisation des mœurs.
Dans cet extrait, il analyse l’évolution des haies au prisme de leurs fonctions économiques.
Pour comprendre les débats actuels sur les haies, il est d’abord nécessaire de revenir à leur raison d’être initiale. Car les haies d’aujourd’hui sont issues de plantations plus ou moins anciennes, répondant à des objectifs précis : délimiter des parcelles, empêcher la divagation des troupeaux, protéger les chemins et les cultures du vent ou encore limiter l’érosion des terres arables.
Le « Bonus Haies » représente une opportunité significative pour augmenter les revenus agricoles tout en contribuant à la préservation de l’environnement.
Le grain bocager est un indicateur créé pour évaluer la biodiversité d’un réseau de haies ou d’un paysage bocager. Déjà mis en œuvre sur certains territoires, cet outil apporte de nombreuses clés pour accompagner les projets en faveur de la biodiversité. C’est le cas de la Fédération Départementale des chasseurs du Gers et du Syndicat des Eaux du Bas Léon.
Face aux aléas climatiques de plus en plus intenses et fréquents, les haies et les arbres représentent une vraie solution grâce aux nombreux services qu’ils rendent à l’agriculture et au territoire.
Le linéaire de haies agricoles poursuit sa régression en dépit des mesures de protection instaurées par la PAC et le droit de l'environnement. Le rapport du CGAAER fait des recommandations pour renforcer leur gestion durable et mieux les inscrire dans les stratégies de développement rural.
Dans une exploitation céréalière de la Beauce, La Poste et la fondation Goodplanet soutiennent un projet d'agroforesterie. Plus de 200 arbres vont être plantés sur deux hectares.
Le collectif "Aux arbres, etc." s'est donné pour mission de reboiser les campagnes en Touraine, avec des opérations régulières de plantations qui mobilisent des bénévoles.
La rencontre, dédiée au professionnels du Génie écologique, de Natura 2000, de la Trame verte et bleue et de la profession agricole, se déroulera en deux temps
...le concept est donc de créer des fermes productives en se basant sur ce que les pratiques agroécologiques nous apportent. Les haies bocagères, par exemple, apportent énormément en matière des gestion de l’eau, de lutte contre l’érosion des sols, ou de préservation de la biodiversité...
Grâce au soutien des agences de l'Eau Rhône-Méditerrannée-Corse et Loire-Bretagne, la CCSB a pu lancer un programme ambitieux de restauration des continuités écologiques : le Marathon de la Biodiversité ! Le défi ? Ce marathon consiste à créer et à restaurer 42km de haies et 42 mares sur les 35 communes qui composent la CCSB.
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Les haies champêtres focalisent de nouveau l’attention. On déplore leur disparition. On met en avant leurs services. On encourage leur plantation. On dénigre leur coût. Mais les acteurs ruraux soulignent, en sus, le cadre juridique kafkaïen qui les étouffe. Justement, le droit est-il un facteur d’érosion de cette biodiversité ou le levier d’une meilleure protection des haies de nos campagnes ?
Maxence Belle (Afac agroforesteries) et David Rolland (FD des chasseurs 22) présentent les intérêts de la haie, sa bonne gestion durable et les outils d’accompagnement existants. Christophe Mellier, agriculteur, nous partage son expérience. Regardez le replay.
Cette mesure inédite du Pacte en faveur de la haie se veut complémentaire avec l’appel à projets « Animation – volet Gestion » précédemment lancé par les D(R)AAFs.
Le 5 avril dernier l’ADEME et le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ont présenté la mesure “Structuration de la filière de valorisation durable de la haie” du Pacte en faveur de la haie.
[...] l’occasion de présenter la mesure “Structuration de la filière de valorisation durable de la haie” du Pacte haie et plus largement de la planification écologique, et ses deux actions...
Chambre d’agriculture France mise sur une valorisation s’appuyant sur une labellisation appropriée aux caractéristiques des exploitations et le « développement et l’évolution de nouveaux labels portant sur la gestion durable (biodiversité, carbone…) notamment au travers de la reconnaissance du plan de gestion durable qu’elle a mis au point ».
Elles sont un réservoir de biodiversité en fournissant un habitat à de nombreuses espèces (merle, tourterelle, lapin, etc.), elles protègent les cultures et animaux domestiques du vent, elles permettent de stocker le carbone et donc d'atténuer le réchauffement climatique, elles régulent les crues et filtrent l'eau.
Dans le cadre du projet RESP’HAIES avec le soutien de l’ADEME vous présenteront les résultats du travail de conception et de tests de méthodes simplifiées de calcul des stocks de biomasse et de carbone
L'INRAE va tester un démonstrateur agrivoltaïque associant le pâturage de bovins dans une parcelle où seront installées plusieurs rangées de panneaux solaires bifaciaux verticaux. Cette expérimentation, réalisée en partenariat avec ENGIE Green, doit débuter au printemps.
À l’échelle nationale, 50 millions d’euros sont consacrés à la plantation de haies bocagères et d’alignements d’arbres intraparcellaires.
Les plantations de haies plus orientées sur des buissons à fleurs qui peuvent servir pour « avoir une couverture florale toute l'année : les prunelliers, qui sont le plus précoces, les cornouillers, sureaux, troènes... [...]
L'objectif de ce programme est d'aider les agriculteurs qui souhaitent favoriser la biodiversité autour de leurs cultures en reconstituant les haies bocagères qui les entourent.
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