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Protection contre les intempéries ou les fortes chaleurs, les haies et les arbres isolés sur les parcelles d’élevage contribuent fortement au bien être animal. Leur entretien et ou leur implantation permettent d’améliorer également les performances du cheptel qu’il s’agisse notamment de production de lait ou de viande. Certains regroupements parcellaires quand il se produisent posent par ailleurs parfois des problématiques spécifiques pour les maintenir. Les conseillers agroforestiers des Chambres d’agriculture sont à disposition pour accompagner les agriculteurs dans leurs réflexions et leurs pratiques dans ce domaine. Témoignage de Jean-Charles Vicet consultant Agroforesterie au service Arbre et biodiversité de la Chambre d’agriculture Pays de la Loire.
Maxence Belle (Afac agroforesteries) et David Rolland (FD des chasseurs 22) présentent les intérêts de la haie, sa bonne gestion durable et les outils d’accompagnement existants. Christophe Mellier, agriculteur, nous partage son expérience. Regardez le replay.
Être économiquement rentable et agir en même temps pour le climat est un nouveau défi que relèvent déjà certains paysans. Mais il faut en convaincre beaucoup plus. Pour cela, les chambres d’agriculture organisent les rallyes de l’agroforesterie.
Cette mesure inédite du Pacte en faveur de la haie se veut complémentaire avec l’appel à projets « Animation – volet Gestion » précédemment lancé par les D(R)AAFs.
Ce livret a pour but de vous faire découvrir une partie de la pluralité des systèmes avicoles agroforestiers existants en région de Nouvelle-Aquitaine. Il a été réalisé dans le cadre du projet DEVANCE, piloté par l’Association Française d’Agroforesterie, et financé par l’Union Européenne (UE) (FEADER) et la Région Nouvelle-Aquitaine. Un projet mené en partenariat avec la Chambre d’Agriculture de Lot-et-Garonne.
Dans le contexte du changement climatique qui progresse, la fréquence des évènements météorologiques extrêmes comme les sécheresses et les vagues de chaleur augmente. Ces changements climatiques influencent la phénologie de la vigne. La vitiforesterie est considérée comme une solution possible.
Dans ce neuvième épisode de Cambium, écoutez Adrien Messéan, éleveur agroforestier à la Ferme de Montchevillon dans l’Aisne (02) et intervenant dans le cadre de formations dédiées au fourrage ligneux.
Il y a quatre ans, les quatre associés du Gaec de l’île d’Arz (Morbihan) ont lancé un projet d’agroforesterie pour faire face aux enjeux écologiques et locaux. Une vraie réussite qui mériterait d’essaimer. Explicatio
Le Fonds pour l’Arbre lance son nouvel appel à projet 2023-2024 pour soutenir les actions en faveur de l’arbre et la haie dans les territoires. Pour cette édition 2023-24, six aides sont déployées afin de soutenir tous les enjeux de la haie : la gestion durable des haies, la plantation, le développement de filières amont et aval, le renforcement de l’échelon régional.
De plus en plus de voix s'élèvent au sein du monde agricole pour réclamer un changement radical des méthodes de production. L'agriculture bio revendique être une solution inéluctable pour combattre le réchauffement climatique. Des fermes collectives, où l'agroforesterie est la règle, font la preuve de l'efficacité d'un autre modèle agricole.
Cet appel à projets, lancé en mars 2022, est doté de 400 000 euros. Deux projets ont été retenus à Mayotte et cinq à La Réunion. Ils seront soutenus principalement sur les filières de l'agroécologie, de l'agroforesterie, de l'écotourisme et avec du matériel végétal d'origine locale.
Pour concilier respect de l'environnement et production économiquement soutenable, une ferme pilote expérimente depuis plusieurs années, aux portes d'Avignon, des modes de production Bio en agroforesterie.
Dans une exploitation céréalière de la Beauce, La Poste et la fondation Goodplanet soutiennent un projet d'agroforesterie. Plus de 200 arbres vont être plantés sur deux hectares.
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L’agroforesterie fait beaucoup parler d’elle depuis une dizaine d’année car elle se propose à l’agriculture moderne comme une pratique permettant de répondre à certains enjeux agro-environnementaux (eau, climat, conservation du sol…). Même si certains systèmes culturels, comme le bocage, font partie de l’arc des modèles agroforestiers, nous parlerons ici d’agroforesterie intra-parcellaire, pratique assez novatrice qui tente de s’adapter aux différentes productions et itinéraires techniques agricoles de notre région. Elle se réfléchit en pensant à la fois mécanisation mais aussi assolements, besoins en éléments fertilisants et gestion de l’eau sur une parcelle donnée.
Vous êtes agriculteur.trice en système grandes cultures dans la moitié Nord de la France ? Participez à un programme d’expérimentation sur la culture du peuplier en parcelles agricoles !
La future politique agricole vise à développer des systèmes de production innovants et durables. L’agroforesterie a été prise comme exemple pour tester une méthode d’évaluation confrontant une enquête auprès d’experts aux données de la littérature. Les résultats montrent que l’agroforesterie peut contribuer à la transition vers une agriculture plus durable.
Dans le cadre du projet DEVANCE, nous avons interviewé Vincent, un agriculteur pionnier dans la mise en œuvre de parcours volailles agroforestiers. Dans ces vidéos, Vincent, éleveur de poules pondeuses BIO et poulets Label Rouge depuis plus de 15 ans, explore les bienfaits du parcours volailles agroforestier et livre ses conseils pour aménager un parcours. Le projet DEVANCE, porté par l’Association Française d’Agroforesterie, vise à développer une filière avicole agroforestière en région Nouvelle-Aquitaine.
[...] l’occasion de présenter la mesure “Structuration de la filière de valorisation durable de la haie” du Pacte haie et plus largement de la planification écologique, et ses deux actions...
Le festival a pour objectif de couvrir le plus largement possible les thématiques en lien avec l’agriculture de conservation
L’agroforesterie, c’est l’association d’arbres et de cultures ou de prairies sur une même parcelle. Cette pratique ancestrale permet une meilleure utilisation des ressources, une plus grande diversité biologique et la création d’un micro-climat favorable à l’augmentation des rendements.
En Vendée à Thouarsais-Bouildroux, nous sommes allés à la rencontre de Germain Naud, un jeune éleveur qui, sur son exploitation de 72 hectares, a planté des arbres et mis en place un système herbager bio autonome et économe. Membre du « groupe viande économe en intrants » 4 ans après son installation, il revient avec nous sur son expérience, les avantages et les perspectives apportées par un Groupe 30 000 qui aide et accompagne des chefs d'entreprise dans la mise en place d'un système économiquement viable.
Couverts végétaux, cultures associées, rotations longues et récemment introduction d’un atelier ovin pour améliorer la fertilité de ses sols, il faut dire qu’il a l’habitude de tester différents leviers sur son exploitation pour améliorer la résilience de son système.
Il permet de "partir à la rencontre des agriculteurs et agricultrices qui, partout en France, font de l’arbre l’allié de leurs pratiques agricoles".
Planter des arbres au milieu ou autour des parcelles, cultiver en strates, planter une forêt comestible ou développer la régénération naturelle assistée.... Toutes ces techniques agricoles appartiennent à la grande famille de l'agroforesterie. Une solution en plein essor dans le monde entier qui régénère les sols, préserve l’eau, sauvegarde la biodiversité et atténue le changement climatique.
Cette technique vise à copier les processus naturels plutôt que d’opposer nature et agriculture.
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