Quand les nouvelles technologies remettent les “soft skills” au cœur de l’entreprise

Découvrez les différences entre soft skills et hard skills, et pourquoi leur combinaison est essentielle pour réussir sa carrière professionnelle.

Dans un monde du travail en constante évolution, les soft skills, ou compétences comportementales, prennent une importance croissante et se révèlent aussi vitales que les compétences techniques. Ces habilités interpersonnelles, telles que la communication, l’adaptabilité et le travail en équipe, sont désormais essentielles pour naviguer dans des environnements professionnels de plus en plus complexes. Alors que la transformation numérique et les changements économiques modifient les exigences du marché, la capacité à interagir efficacement et à collaborer devient un atout clé pour les employeurs. Ainsi, les soft skills ne sont plus perçues comme un simple complément, mais comme un pilier fondamental de la performance et de l’épanouissement professionnel.

Dans le monde du travail, il n’a jamais été autant question de l’avènement des soft-skills que depuis l’ère post-pandémique. Un postulat qui se renforce à mesure que l’intelligence artificielle gagne du terrain. En effet, selon l’OCDE, au sein d’environnements hyper connectés, les soft skills ont un rôle structurant pour la coordination entre équipes, la prise de décision, l’analyse ou encore la résolution de problèmes. Des qualités éminemment humaines, bien loin des champs de compétences de la machine. L’adoption des nouvelles technologies offrirait-elle paradoxalement l’opportunité de renforcer la dimension humaine de l’ensemble de nos métiers ?

A good educator knows that listening is important, but too few people know how to listen well. Even common techniques like active listening can be counterproductive. After all, merely sharing the amount of speaking time, or parroting back what a speaker said, does not achieve understanding. And inadvertently hijacking conversations to advise, inject humor, empathize, prioritize efficiency, or insert ourselves into a speaker’s narrative is often done with good intentions, but may instead disrupt the human connection we think we’re forging.

The trouble is, when we don’t properly listen to our students and adjust our response accordingly, they may feel that their thoughts and perspectives don’t matter to us—and disengage.

The good news is that, with practice, we can all be more effective listeners. To ensure you don’t miss out on crucial opportunities to connect with your students—or anyone else in your life, for that matter—here are the six most important things you can do to improve your listening skills.

Sommaire
1. Determine Your Default Listening Style,
2. Establish Why You’re Listening,
3. Recognize When Your Default Listening Style Is Disruptive,
4. Ask, Am I Missing Something?
5. Keep the Focus on the Student,
6. Adapt Your Listening Style to Achieve Conversational Goals.

La pandémie a mis en lumière la nécessité de développer de nouvelles qualités, notamment d’adaptation. Alors que la France est à la traîne en Europe* en matière de développement des compétences socio-comportementales des élèves, l’utilité des soft skills est soulevée par de nombreux spécialistes. Nos conseils pour leur faire une place dans les pratiques d’enseignement.