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Bernadette Cassel
June 11, 2014 4:41 PM
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Tout semble différencier une mouche d'un homme. Et pourtant, aussi étonnant que cela puisse paraitre, des chercheurs de l'Inserm dirigés par Christophe Bernard et Viktor Jirsa au sein de l’Institut de Neurosciences des Systèmes (INS) – Inserm U1106 à Marseille viennent de montrer que les crises d'épilepsie suivent des règles mathématiques simples et conservées à travers les espèces. La crise d’épilepsie est une forme d’activité neuronale qui est encodée dans tout cerveau sain, mais qui ne s’exprime que dans situations pathologiques. Grâce à l'identification de ces principes de base, les chercheurs ont pu classer rigoureusement les crises en 16 types distincts ; une classification qui sera très utile aux cliniciens pour envisager des traitements de plus en plus personnalisés et rechercher de nouveaux médicaments. Ces travaux sont publiés dans la revue Brain Continue reading →
→ On the nature of seizure dynamics http://brain.oxfordjournals.org/content/early/2014/06/10/brain.awu133.short?rss=1http://
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Bernadette Cassel
October 23, 2013 7:11 PM
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La production fruitière d’Afrique de l’Ouest est victime d’un groupe de diptères téphritides rassemblés sous le nom de mouches des fruits. Ces insectes pondent à l’intérieur des fruits et leurs larves, qui s’en nourrissent, les détruisent.
Une espèce invasive originaire du Sri Lanka, Bactrocera invadens, est une des plus redoutables. Elle a été détectée en 2004 au Bénin, comme au Sénégal et au Togo. Elle s’est répandue depuis dans toute l’Afrique de l’Ouest, et les planteurs de manguiers, sans moyens de contrôle efficaces au début de l’invasion, se sont découragés.
Le Cirad et l’IITA ont lancé en 2008 un projet régional de lutte contre les mouches des fruits, le Waffi (West African Fruit Fly Initiative). Centré sur la mangue, ce projet avait pour objectif de mettre à la disposition des producteurs des techniques de lutte intégrée leur permettant de produire des fruits sains. C’est dans le cadre de ce projet, que les chercheurs se sont intéressés aux fourmis tisserandes, un agent de contrôle biologique des mouches des fruits et d’autres ravageurs des forêts d’Afrique de l’Ouest.
Les fourmis tisserandes africaines, Œcophylla longinoda, se rencontrent dans les forêts tropicales, où elles constituent des colonies complexes. Elles colonisent fréquemment les vergers de manguiers, d’agrumes et d’anacardiers, moins souvent les plantations de cacaoyers et de palmiers à huile. Elles ont la particularité de construire des nids arboricoles en « tissant » entre elles les feuilles des arbres avec les fils de soie produits par leurs larves. Ce sont aussi de féroces défenseurs de leur territoire, prêts à combattre tout intrus.
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[Bactrocera invadens, Diptera, Tephritidae / Œcophylla longinoda, Hymenoptera, Formicidae]
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Bernadette Cassel
September 17, 2013 2:20 PM
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L’idée que les mouches voient le temps passer plus lentement, en percevant nos brusques mouvement de la main, visant à les attraper, comme aussi rapide que le redressement du Costa Concordia, n’était pas étrangère à votre Guru. [...] L’étude publiée sur Animal Behaviour : Metabolic rate and body size are linked with perception of temporal information. http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0003347213003060
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Bernadette Cassel
January 23, 2013 6:46 PM
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Actualités du BTP Les feuilles de verre les plus utilisées actuellement sur le marché reflètent environ 4 à 8% de la lumière ; cela est dû à la nette transition entre des matières disposant d’index de réfraction très différents, à savoir le verre et l’air. Il en résulte un reflet indésirable qui interfère avec la vue de l’homme et obstrue la visibilité. Le verre anti-reflet avancé développé par Rolith et AGC s’inspire de la nature et plus particulièrement des yeux des mouches : le verre est composé d’un réseau de nanostructures imitant les yeux de l’insecte. (...)
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Bernadette Cassel
January 8, 2013 5:25 PM
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(...) On savait les plantes capables de percevoir l’odeur de plantes voisines attaquées par des herbivores, on connaissait des épiphytes repérant ainsi leur plante-hôte. C’est la première fois que l’odorat des plantes est impliqué dans une relation avec un animal (consommateur) ; son mécanisme reste à découvrir.
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Bernadette Cassel
January 1, 2013 1:50 PM
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L’élévation des températures conduit les animaux à sang froid, dont les insectes, à dépenser plus d’énergie pour survivre. Ainsi, des chercheurs de l’université de Mercyhurst, en Pennsylvanie, ont découvert que chaque hausse d’un degré Celsius des températures durant l’hiver conduisait la mouche dorée d'écorchure (Eurosta solidaginis) à consommer 12 % d’énergie en plus, rapporte le site Science Daily. Avec moins d’énergie à la fin de l’hiver, ces diptères ont une descendance moins importante. « A partir des données historiques de température hivernales (de novembre à mars), nous avons estimé la consommation d’énergie des mouches dorées d’écorchure. Et à partir de données métaboliques et de températures, nous avons constaté que l’utilisation d’énergie par les mouches a augmenté de plus de 30 % ces 50 dernières années », explique l’entomologiste Elnitsky, l’un des auteurs de l’étude. Ainsi, une hausse des températures peut menacer la survie des espèces à sang froid.
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Bernadette Cassel
February 11, 2012 5:52 PM
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Publiant leur étude dans Systematic Parasitology et dans Parasites and Vectors, des chercheurs américains décrivent un fossile unique en son genre, découvert dans de l’ambre en République dominicaine : celui d’un insecte ‘vampire’ qui parasitait les chauves-souris il y a 20 millions d’années.
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Bernadette Cassel
June 11, 2014 4:37 PM
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Bernadette Cassel
March 5, 2014 1:37 PM
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Une équipe de chercheurs a réussi induire un comportement d'accouplement chez la mouche... à l'aide d'un laser.
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Bernadette Cassel
October 23, 2013 6:53 PM
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Les mouches des fruits occasionnent des pertes considérables dans les vergers d'Afrique de l’Ouest. Mangues, agrumes et anacardes deviennent impropres à la consommation à cause de leurs piqûres.
Mais ces mouches semblent avoir trouvé leur maître : la fourmi tisserande, l’un de leurs prédateurs, non seulement dévore leurs larves, mais émet aussi des signaux chimiques qui exercent un effet répulsif vis-à-vis de leurs femelles.
Une arme fatale que les chercheurs du Cirad et de l’International Institute of Tropical Agriculture (IITA), au Bénin, ont mise en évidence dans le cadre d’un projet régional de lutte contre les mouches des fruits, le Waffi (West African Fruit Fly Initiative).
Résultat : des fruits nettement moins attaqués et de qualité grandement améliorée.
Lire l’article dans l’espace « Résultats de recherche »
[Bactrocera invadens, Diptera, Tephritidae]
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Bernadette Cassel
January 28, 2013 6:43 AM
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[...] Des tests conduits par l’Institut de Malariologie, de Parasitologie et d’Entomologie de Qui Nhon n’ont pas réussi à les identifier. Le Ngoc Linh, son directeur-adjoint, a déclaré qu’il n’avait jamais vu de telles créatures auparavant, et qu’elles n’appartenaient pas aux familles d’insectes et parasites connues. Des échantillons ont été envoyés à l’Institut d’écologie et de ressources biologiques de Hanoï. Pour Lê Dinh Dung, de la faculté d’entomologie du Centre de santé préventive de Hô Chi Minh-ville, il pourrait s’agir d’une mutation génétique ou d’une nouvelle espèce d’insecte. « Bien que j’aie des années d’expérience dans l’étude des insectes, je n’ai jamais vu cela », a-t-il indiqué, rejetant l’hypothèse que ce soit une sorte de ver, ou une puce de chien ou de chat.
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Bernadette Cassel
January 14, 2013 2:30 PM
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BE Etats-Unis. « Les insectes ravageurs sont des insectes nuisibles tant pour les champs de culture que pour les élevages de bétail. David Taylor, entomologiste à l'Unité de Recherche sur la Gestion des Agroécosystèmes (AMRU) affilié au Service de Recherche Agricole (ARS) sous tutelle du Département américain de l'agriculture (USDA), a réalisé récemment une étude sur les insectes ravageurs les plus préoccupants à l'échelle des Etats-Unis. »
« Parmi eux, la mouche des étables (Stomoxys calcitrans) est celle qui aurait l'impact financier le plus important, pour l'industrie américaine du bétail, à hauteur de 2,4 milliards de dollars chaque année. Etablie à l'origine dans les étables et les basses-cours, elle a désormais migré vers les pâturages suite à l'utilisation de bottes de foins dans les entrepôts où sont hébergés les animaux durant l'hiver. En effet, les conditions optimales pour la reproduction et le développement de ces mouches sont liées à la présence de foin, de fumier et d'urine. Ces mouches piqueuses se nourrissent du sang des animaux qui se retrouvent alors dans un état de stress (piqûres douloureuses) avec pour principales conséquences une réduction de la production de lait et une diminution de la prise de poids chez les bovins. »
[...]
[Photo Edith Konik - www.galerie-insecte.org « Diptera > Muscidae > Stomoxys calcitrans »]
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Bernadette Cassel
January 7, 2013 1:01 PM
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Près d'un quart des espèces de mammifères sont aujourd'hui menacées et, dans de nombreux cas, principalement pour les animaux vivant dans les forêts tropicales denses, les données sur la biodiversité sont insuffisantes, voire inexistantes. Or il n'est pas d'action de conservation pertinente sans une mesure précise de la diversité et de la répartition des espèces et, dans ce domaine, la tâche est proprement complexe et herculéenne, sans parler de son coût souvent rédhibitoire... Les écologues se prennent sans doute parfois à rêver d'auxiliaires zélés autant qu'ailés, capables d'explorer sans se fatiguer les espaces naturels et d'y faire, gratuitement ou presque, l'état des lieux du vivant. Si l'on en croit une étude allemande parue ce lundi 7 janvier dans la revue Molecular Ecology, ces auxiliaires existent pour évaluer la diversité des mammifères : ce sont les mouches vertes ou bleues, grandes amatrices d'excréments animaux et de charognes, dont elles dépendent pour une bonne part de leur cycle de vie. Comme me l'a expliqué Sébastien Calvignac-Spencer, chercheur français en post-doctorat à l'Institut Robert Koch de Berlin (sorte d'équivalent allemand de l'Inserm) et premier auteur de cette étude, "le principe est tout bête : on capture des mouches, on les réduit en poudre, on les met en solution et on en extrait l'ADN. Certes il y aura beaucoup d'ADN de mouches, mais il y aura aussi de l'ADN de mammifères, que ces insectes auront ingéré, soit sur des carcasses, soit dans des fèces." Il faut ensuite comparer les séquences génétiques ainsi obtenues à celles des bases de données pour savoir quelles espèces de mammifères vivent dans les parages. (...)
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Bernadette Cassel
July 24, 2012 6:00 PM
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Les sons qu'émettent les mouches lorsqu'elles copulent augmentent grandement leur risque de servir de repas aux chauves-souris, ont découvert des chercheurs allemands de l'Institut Max Planck d'ornithologie. La biologiste Stefan Greif et ses collègues en viennent à cette conclusion après avoir étudié une petite communauté de mouches et de chauves-souris du genre murin de Natterer dans une étable près de Marbourg, en Allemagne. Leurs données montrent que les insectes qui s'accouplent ont six fois plus de risque d'être mangés que les mouches posées seules.
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