Ecodéveloppement territorial

"La Province du Hainaut est la plus agricole du pays, elle est aussi parmi les plus à la pointe en la matière. Elle offre une série de services, de conseils, de tests, d’expertises qui permettent d’optimiser le travail de la terre, d’éviter les maladies dans les cultures, de choisir les bonnes variétés, mais aussi, de se tenir à jour au niveau administratif ou encore de se lancer dans la production de fromage. Un service public de la Province de Hainaut dont l’expertise rayonne jusqu’en Afrique ou encore en Chine. Au cœur de la campagne athoise se tient un endroit un peu particulier, mais que tous les agriculteurs connaissent : il s’agit de la ferme pilote du Carah, le centre provincial dédié à la recherche agronomique. Sa vocation est d’expérimenter et de former. La ferme pilote permet par exemple aux étudiants de la Haute École provinciale de Condorcet de s’initier aux différentes facettes des métiers agricoles. Ainsi, les petites chèvres naines sont soignées par les élèves qui suivent l’option de soins animaliers, tandis que les vaches laitières permettent à d’autres étudiants de se former à la traite automatisée. "Cela nous permet de pouvoir offrir aux élèves, qui viennent en travaux pratiques sur le site de la ferme, d’avoir quelque chose qui est la réalité, la nouvelle technologie", précise Bérengère Delbecq, directrice du Carah. "Nous sommes en collaboration tous les jours avec l’enseignement". Le lait ainsi récolté sert en partie à la fabrication de fromages artisanaux directement transformés sur place. Un lieu d’apprentissage et d’innovation. La particularité de la ferme du Carah réside dans sa double vocation : produire, certes, mais aussi expérimenter et former. Les agriculteurs, les professionnels ou les particuliers peuvent y suivre des stages pour s’initier par exemple à la fromagerie. Céline Naveaux, technicienne fromagère et formatrice, accompagne ces apprentis : "Ce sont essentiellement des agriculteurs, mais de plus en plus de particuliers viennent se former pour le plaisir, pour pouvoir faire ça chez eux tout simplement", constate-t-elle. À travers ces formations, le Carah transmet des savoir-faire techniques, mais aussi une vision complète de l’activité agricole, de la traite à la vente des produits finis via un petit magasin à la ferme qui écoule les fromages, glaces et autres yaourts. Le Carah et les autres asbl provinciales qui collaborent (comme Hainaut Analyses) proposent ainsi des analyses de la qualité de la terre, du lait, mais aussi des conseils pour toute la partie administrative des exploitations, des calculs de rendements, des conseils aux futurs agriculteurs, à ceux qui voudraient passer au bio, ou encore les aident à rédiger les documents officiels comme la déclaration de superficie. Un centre d’expérimentation scientifique. Au-delà de l’élevage et de la transformation, le site fonctionne comme un véritable laboratoire à ciel ouvert. L’ensemble des productions y est mesuré, analysé, comparé ; qu’il s’agisse de la qualité du lait, de la fertilité des sols, des rendements ou de la résistance des nouvelles semences qui arrivent sur le marché ou encore de l’efficacité des produits phytosanitaires. L’ingénieur agronome Olivier Mahieu précise : "On est là comme une espèce de Test-Achat. On nous propose des nouveautés, des biostimulants, des choses à tester pour voir si ça fonctionne". Dans les parcelles de blé, des traitements antifongiques sont comparés : certaines zones n’ont pas reçu de fongicide, d’autres oui, permettant de constater une nette différence d’atteinte des feuilles par la rouille. De même, 58 variétés de semences de céréales sont évaluées pour déterminer les plus performantes en fonction de la qualité du sol, de la météo, de leur résistance au vent ou aux maladies. Une expertise qui dépasse les frontières. L’activité du Carah ne se limite pas aux besoins locaux. Le centre échange ses données avec d’autres partenaires, comme son homologue liégeois ou l’université de Gembloux. Il alerte et conseille les agriculteurs wallons sur l’arrivée du mildiou, par exemple. Mais les expérimentations menées à Ath intéressent bien au-delà des frontières belges. De l’Afrique à la Chine, les résultats obtenus sur les cultures trouvent un écho auprès d’agriculteurs et de chercheurs étrangers".

La nouvelle avait réjoui les habitants proches du rieu d'Amour à Tournai en 2023 : près de 800.000 euros ont été débloqués par la Région wallonne et l'Union européenne pour aménager des digues et lutter contre les inondations dont étaient régulièrement victimes les riverains. Les travaux, menés par la Province de Hainaut, avancent à grands pas.

"Ce week-end, la chèvrerie de Luna a accueilli une représentation théâtrale portée par des agriculteurs, qui y racontent leurs réalités. Pour Marie-Ève Balcaen et Pascal Vlieghe, septembre 2014 marque un tournant radical dans leur vie agricole. Alors qu’ils élèvent des vaches laitières, la laiterie cesse tout simplement de venir chercher le lait. Après le choc, le couple explore plusieurs pistes pour ne pas laisser leur hangar vide. Au final, Marie-Èva a été chercher quatre chèvres pour commencer. Aujourd’hui, elles sont près de 90, dont 28 sont traites quotidiennement. Une vraie petite entreprise familiale. Cette histoire singulière, Marie-Ève l’a racontée sur scène, au cœur même de la chèvrerie. Aux côtés de dix autres agriculteurs, elle a participé à la création d’un spectacle porté par Hainaut Développement, pour fêter les cinq ans des Rendez-vous en terre agricole. Parmi les spectateurs : Anne-Catherine Dalcq, ministre et Aurore Goossens, députée provinciale. La suite sur www.sudinfo.be 

"Agriculteurs et agricultrices, réunis au sein de la Cie des Champs, montent sur scène pour évoquer leur métier et ses enjeux, leurs difficultés quotidiennes et leurs aspirations pour les générations futures. Des représentations sont annoncées à Oeudeghien et à Estaimbourg. Par leur création « Notre (sur)vie en terre agricole », les comédiens-agriculteurs de la Cie des Champs invitent à découvrir leur réalité et à échanger sur l’avenir de leur métier. 
"Et si on faisait du théâtre pour passer un message porteur de sens sur le monde agricole ?" C'est l'invitation adressée, au printemps 2024, par Hainaut Développement, aux agriculteurs et agricultrices de la province.
Par leur création "Notre (sur)vie en terre agricole", les comédiens-agriculteurs de la Cie des Champs invitent à découvrir leur réalité et à échanger sur l'avenir de leur métier. ©Hainaut Développement
Sur scène à Oeudeghien et Estaimbourg
La Compagnie des Champs présentera sa création collective ce vendredi 2 mai à Oeudeghien (complet) ainsi que le dimanche 18 mai à 16h30 et 19h30 à la Chèvrerie de Luna à Estaimbourg (Inscriptions sur www.rdvta.hainaut-developpement.be).
Suite de l'article sur : www.lavenir.net

"Selon les instances provinciales, c’est la première province belge en termes de superficie agricole avec quelque 210.000 hectares. L’objectif : mettre en avant les métiers et les produits issus de ses campagnes. Le projet lancé en 2019 par la Province de Hainaut via son institution « Hainaut Développement » entend donner la parole aux agriculteurs via 32 sites d’activités, soit 54 animations, dans plusieurs fermes et chez différents producteurs. « Le but est de faire découvrir le monde champêtre et le métier d’agriculteur a rappelé la députée provinciale Aurore Goossens. Nouveauté en 2025 : un collectif d’agriculteurs s’est rassemblé pour interpréter une création théâtrale originale. https://rdvta.hainaut-developpement.be/. La suite à lire sur www.sudinfo.be 

"Hainaut Développement et l'Observatoire de la Santé du Hainaut ont réalisé une brochure "Le Hainaut en cartes et en chiffres" pour mettre en lumière les enjeux de notre province sur la base de données récentes. L'objectif de ce document d'une soixantaine de pages est notamment de dresser un état des lieux des principaux défis structurels auxquels le Hainaut fait face en matière de démographie, d'emplois, de niveau de vie, d'économie, d'aménagement du territoire et de santé. "L'enjeu pour le territoire hainuyer est de renforcer son attractivité résidentielle pour retenir et attirer des actifs qui contribueront à la fois positivement à la fiscalité ainsi qu'à la consommation locale. Le Hainaut se distingue par une situation moins favorable en termes de qualité des emplois et parmi les leviers existants pour améliorer l'employabilité des Hainuyers et élever leur niveau de vie, la mobilité transfrontalière demeure une opportunité importante. "Intégrer la santé dans toutes les politiques n'est pas seulement une option, c'est une nécessité". La brochure est disponible gratuitement sur le site suivant : http://www.hainaut-developpement.be. La suite à lire sur www.dhnet.be 

"La Communauté d’Agglomération Maubeuge-Val de Sambre s’est engagée dans une Assemblée transfrontalière sur les territoires des arrondissements de plusieurs communes Wallonnes. L’objectif : mettre en œuvre une stratégie co-construite entre les deux pays. L’Assemblée Transfrontalière Sambre-Avesnois Sud-Hainaut réunit 16 collectivités territoriales et organismes publics locaux. L’objectif est clair : favoriser le développement et l’attractivité du bassin de vie transfrontalier. 
Pour la Belgique on retrouve:  
• La Région wallonne
• La Province de Hainaut
• La Ville de Charleroi

. Mons
• La Ville de La Louvière 
• La Ville de Thuin
• IGRETEC
• Et L’ Intercommunale de Développement économique et d’Aménagement du Cœur du Hainaut (IDÉA)

L’installation officielle de cette Assemblée transfrontalière s’est déroulée au sein de l’Hôtel de Ville de Maubeuge, une occasion de sceller cette entente franco-belge. "C’est la mise en place d’un long travail de trois ans, indique Bernard Baudoux, président de l’Agglomération Maubeuge-Val- de Sambre. On a essayé de fixer un certain nombre de stratégies, de projets afin de pouvoir fonctionner tous ensemble. Cet outil va servir et sera pertinent pour que nous puissions chacun avancer plus rapidement dans certains dossiers, certains projets."
Des projets concrets déjà en cours . La construction de cette coopération passe par différents ateliers consacrés aux enjeux communs des deux territoires, qui partagent des similitudes sociétales et historiques. Plusieurs projets sont déjà lancés.
Au niveau de la mobilité, un projet est déjà sur les rails, la relance des trains Paris-Bruxelles via Aulnoye-Aymeries et Mons.
Tout comme le projet d’envergure de la RN54, son prolongement est sur la table et ce depuis plusieurs années. 
"L’Assemblée transfrontalière a été un partenaire important pour le dossier de la RN54, confie David Lavaux, Député provincial (Les Engagés). Les participants ont convaincu le Gouvernement wallon de reprendre le dossier, car ce n’est pas normal qu’une route à 2X2 bandes s’arrêtent au bord de la frontière! Les décisions ont été prises au niveau du Gouvernement Salon, désormais il y a tout un processus qui doit se mettre en place. Mais les plans sont terminés et donc une fois que les opérations immobilières sont faites, le Gouvernement wallon va pouvoir mettre le budget nécessaire pour enfin terminer cette route."  
En santé aussi, un atelier sur la création d’une zone d’accès transfrontalière aux soins est en discussion. Côté culture, le projet Interreg Henriette vise à développer des randonnées et promenades communes entre les deux régions. Pour Charleroi, c’est l’occasion de relancer l’événement Destination Terrils II, pour valoriser l’arc minier franco-wallon. C’est l’intercommunale IGRETEC qui est en charge du projet.  À la suite de cet accord, d’autres réunions franco-belges sont prévues pour aborder les thématiques de l’emploi, de la formation et de l’environnement".

"La cinquième édition de "Rendez-vous en Terre agricole" se tiendra dans le Hainaut du 1er au 31 mai. La première province belge en termes de superficie agricole avec, selon les instances provinciales, quelque 210.000 hectares, mettra ainsi en avant les métiers et les produits issus de ses campagnes. Le projet lancé en 2019 par la Province de Hainaut via son institution "Hainaut Développement" entend donner la parole aux agriculteurs via 32 sites d'activités, soit 54 animations, dans plusieurs fermes et chez différents producteurs. "Le but est de faire découvrir le monde champêtre et le métier d'agriculteur. En 2024, les 35 activités ont attiré quelque 8.000 participants", a rappelé la députée provinciale Aurore Goossens". Suite de l'article sur www.lalibre.be

"C'est un exercice auquel se plie Hainaut Développement chaque année : fournir un tas d'indicateurs sur la situation sociale, économique et sanitaire de la province. "Comme un navigateur ayant besoin de sa carte ou de sa boussole, les responsables ont besoin de données objectives pour orienter leurs décisions", compare Aurore Goosens, députée provinciale en charge du développement territorial. Avec 1 360 074 habitants au 1er janvier 2024, le Hainaut affiche une croissance démographique positive, mais modérée. En 2024, le taux d'emploi des 20-64 ans a poursuivi sur sa hausse constante depuis plusieurs années pour atteindre 64,3 %. Adopter la santé dans toutes les politiques permet de limiter les problèmes de santé évitables, de réduire les inégalités sociales de santé et d'améliorer durablement la qualité de vie", souligne Marie Merckling de l'Observatoire de la Santé du Hainaut. Toutes ces informations et bien d'autres encore seront à retrouver dans la brochure "Le Hainaut en cartes et en chiffres" sur le site Hainaut Développement. La suite à lire sur www.dhnet.be 

"Les Rendez-vous en terre agricole reviendront pour une 5e édition au mois de mai, partout dans le Hainaut. Cette année, c’est via une pièce de théâtre jouée directement par des agriculteurs qu’Hainaut Développement a souhaité valoriser leur image et savoir-faire. Nous avons rencontré la compagnie en pleine répétition. Ce genre de remarques, ils en entendent au quotidien. Pourtant, être agriculteur n’est pas tous les jours facile. Avec humour et émotion, ils ont donc voulu raconter la réalité de leur métier et de leur vie dans la pièce "Notre (sur)vie en terre agricole". Motivés par cette envie de faire changer le regard des citoyens sur le métier, 10 agricultrices et 1 agriculteur hennuyers se sont réunis pour former la Compagnie des Champs. Aucun d’entre eux n’est comédien à l’origine. Participer à ce projet est donc un beau défi ! Pour mettre sur pied ce spectacle, les agriculteurs se sont réunis toutes les semaines depuis le mois de septembre. Accompagnés par Théâtre des Rues, tout au long du processus : des premières idées aux répétitions, en passant par l’écriture et la mise en scène.  
Cette pièce de théâtre a été créée dans le cadre de la 5e édition des « Rendez-vous en terre agricole ». Une initiative de la Province de Hainaut via Hainaut Développement, dans le cadre de sa mission de sensibilisation des citoyens aux enjeux agricoles. Cette nouvelle édition de Rendez-vous en terre agricole sera officiellement lancée le 27 avril, avec la première représentation de la pièce "Notre (sur)vie en terre agricole", qui aura lieu à Colfontaine. Si vous souhaitez assister à la pièce le 27 avril à Colfontaine, ne trainez pas. L’événement est gratuit mais sur réservation. Il ne reste que quelques places" !

"L'échevin Emmanuel Vandecaveye fait le point sur les chantiers en cours et à venir dans le cadre de la lutte contre les inondations. Il relève des avancées mais aussi des projets en souffrance (dont la ZIT d'Esplechin). La patience est de mise : "La Province de Hainaut ne peut pas tout mener de front et doit composer avec certaines contraintes budgétaires" La Province mène actuellement un chantier d’envergure au lieu-dit des Prés d’Amour. Pour les ZIT de Froidmont et d'Orcq, il est prévu dans les prochaines semaines de valider les projets d'aménagement proposés par les Services provinciaux d'HIT. Inscrit dans l'étude hydrologique de 2006 de la Province, le projet de création d'un bassin de rétention à Ere devra attendre. Par contre, pour le Hameau de Barges, il y a eu des propositions concrètes faites par les riverains il y a quelques mois suite aux inondations du 31 juillet dernier. "Je remettrais ce projet à l'ordre du jour lors de nos prochaines réunions de travail avec HIT". Emmanuel Vandecaveye rappelle que la Province mène actuellement un chantier d'envergure au lieu-dit des Prés d'Amour, où les rieux de Warchin, du Follet et d'Amour se rejoignent et où la construction de digues de plus de 950 m de long sont en cours de finalisation. "Celles-ci auront pour but de retenir les eaux au sein d'une zone déterminée et protéger ainsi un quartier des inondations récurrentes, tout en renforçant la biodiversité sur ce site". La Province est également à l'œuvre sur la partie nord du Mont Saint-Aubert, avec le projet de ZIT qui a pour but de protéger le village de l'entité voisine (Celles), celui de Molenbaix en l'occurrence". La suite à lire sur www.lavenir.net 

"La première échevine, Axelle Chantry, a annoncé qu’un accord avec la Province était en bonne voie pour la création d’une zone d’immersion temporaire au Rieu du Grand Clairieux.  Le nouveau collège communal ne perd pas de temps. Moins d'un mois après son installation, ses membres ont reçu une annonce attendue de longue date, à savoir la concrétisation imminente d'une première zone d'immersion temporaire (ZIT) destinée à lutter contre les inondations. Axelle Chantry (LB/OC), désignée échevine de la lutte contre les inondations, a confirmé que le projet du Rieu du Grand Clairieux (Molenbaix) était sur le point d'aboutir. "Tous les accords sont présents", a-t-elle déclaré ce jeudi soir lors du conseil communal, ajoutant qu'un accord a été trouvé avec les agriculteurs concernant les procédures d'expropriation et que cet accord sera prochainement entériné. Un deuxième projet sur les rails. Un second projet, situé au Rieu Billemont (Molenbaix), rencontre encore quelques obstacles, mais la commune se veut intransigeante. Une date butoir a été fixée et les accords devraient être trouvés d'ici septembre 2025. Ce dossier faisait figure d'engagement fort de la part des quatre partis politiques lors de la campagne électorale. Le groupe LB/OC, qui a remporté la majorité, avait promis d'accélérer les démarches. Le premier signal est donc envoyé aux habitants : la lutte contre les inondations est bel et bien une priorité."

"Au total, ce sont 30 kilomètres de cours d'eau qui auront été traités sur le territoire frasnois, avec l'aide également d'une entreprise de travail adapté. Les représentants de la Province et de la wateringue ne sont jamais bien loin des travaux. C'est notamment pour veiller à cet entretien que les wateringues ont été instituées. La wateringue d'Anvaing date de 1966 et couvre un terrain de plus de 1200 hectares. En étroite collaboration avec la Province, elle veille en ce moment aux travaux d'entretien des cours d'eau de l'entité de Frasnes-lez-Anvaing. "Hainaut Ingénierie Technique (HIT) est le maître d'ouvrage pour aider les wateringues dans la réalisation, le suivi et l'état d'avancement", explique Stéphane Van Quickelberghe, membre de la cellule cours d'eau du HIT. Autour des ruisseaux, la végétation susceptible de poser problème pour l'écoulement est ainsi élaguée, les branches broyées et les sédiments retirés lorsque cela s'avère nécessaire". Suite de l'article sur : www.lavenir.net 

"L'artificialisation des sols est un enjeu majeur dans notre province. Hainaut Développement pointe deux pistes pour répondre aux objectifs wallons et européens. L'avancée du béton au détriment de mère Nature n'est pas sans poser problème pour la biodiversité, le climat ou même les risques d'inondation. Alors, ne plus rien construire pour laisser la verdure reprendre ses droits ? Comme le pointe Hainaut Développement dans sa dernière brochure "Le Hainaut en cartes et en chiffres", ce n'est pas si simple. 2 pistes: rénover le parc immobilier existant. En effet, 55,2 % des bâtiments de notre province ont été construits avant 1945 ! " L'autre piste, c'est la réhabilitation des anciennes friches industrielles. "Ces sites, déjà artificialisés, offrent un potentiel de reconversion. Ils permettent de réutiliser des terrains qui ne sont plus dédiés à une activité productive". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"L'événement se tiendra le dimanche 25 mai de 10h à 18h. pour la deuxième édition de "Vivant", une fête gratuite dédiée à la nature, au patrimoine et aux richesses locales. Cette année, c'est le Belvédère de Dour, site emblématique niché en bordure de terril et abritant la plus grande piscine naturelle de Belgique, qui accueille l'événement. Au programme : un marché de producteurs et d'artisans locaux, des animations pour petits et grands, des concerts en plein air, des balades guidées, des conférences et ateliers, ainsi qu'un espace bar et restauration mettant en avant des produits locaux et de saison. L'événement est organisé en collaboration avec Hainaut Développement, la commune de Dour, l'ASBL du Belvédère de Dour, la Brasserie du Belvédère, la Province de Hainaut et avec le soutien de la Wallonie. La suite à lire sur www.dhnet.be 

"Hainaut Développement propose une foule d'activités durant le mois de mai avec ses rendez-vous en terre agricole. Ils sont là, souvent discrets, courbés sur leur labeur. Ils nourrissent la terre, et la terre nous nourrit. Et pourtant, combien d'entre nous savent encore vraiment ce que cela signifie, être agriculteur aujourd'hui ? Dans le Hainaut, on a décidé de remettre les pendules à l'heure. Du 1er au 31 mai, les Rendez-vous en terre agricole (RDVTA) reviennent pour une cinquième édition. Et ce n'est pas un simple retour : c'est une invitation à regarder nos campagnes autrement." La suite à lire sur www.dhnet.be 

"Le Hainaut est la province la plus peuplée de Wallonie. Mais pour combien de temps encore ? Hainaut Développement a brossé les dernières statistiques socio-économiques de la région. Une tendance inquiétante se dégage. En effet, même si elle est moins soutenue qu'en Wallonie et en Belgique, la croissance démographique est positive dans notre province depuis de nombreuses années. Si la population augmente malgré tout, c'est grâce à un solde migratoire positif dont le taux est aujourd'hui égal à celui de la Wallonie depuis la crise covid. "Cela démontre que le Hainaut reste attractif". Le solde naturel devrait continuer à baisser, notamment avec l'arrivée à un âge avancé des baby-boomers nés entre 1945 et 1960. Si le taux de fécondité s'est stabilisé, il ne sera pas suffisant pour compenser le phénomène. Parallèlement, si le solde migratoire devait rester stable lui aussi, la population du Hainaut pourrait commencer à décroître dès 2047". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"Le projet lancé en 2019 par la Province de Hainaut via son institution "Hainaut Développement" entend donner la parole aux agriculteurs via 32 sites d'activités, soit 54 animations, dans plusieurs fermes et chez différents producteurs. Le programme comprend des portes ouvertes à la ferme ou chez des producteurs, des balades gourmandes, des marchés fermiers...  Nouveauté en 2025 : un collectif d'agriculteurs s'est rassemblé pour interpréter une création théâtrale originale, "Notre (sur)vie en terre agricole", qui sera proposée le 27 avril à Colfontaine, le 2 mai à Oeudeghien et le 18 mai à Estaimbourg.

"La cinquième édition de « Rendez-vous en Terre agricole » se tiendra dans le Hainaut du 1er au 31 mai. La première province belge en termes de superficie agricole avec, selon les instances provinciales, quelque 210.000 ha, mettra ainsi en avant les métiers et les produits issus de ses campagnes. Parmi les activités, une création théâtrale originale interprétée par un collectif d’agriculteurs. Le projet lancé en 2019 par la Province de Hainaut via son institution « Hainaut Développement » entend donner la parole aux agriculteurs via 32 sites d’activités, soit 54 animations, dans plusieurs fermes et chez différents producteurs. « Le but est de faire découvrir le monde champêtre et le métier d’agriculteur. En 2024, les 35 activités ont attiré quelque 8.000 participants », a rappelé la députée provinciale Aurore Goossens. Le programme, qui se répartit sur toute la province, comprend des portes ouvertes à la ferme ou chez des producteurs, des balades gourmandes, des marchés fermiers, des dégustations, des circuits à la découverte des paysages agricoles du Hainaut, une animation « Vis ma vie d’agriculteur » ou encore des ateliers pour petits et grands. Nouveauté en 2025 : un collectif d’agriculteurs s’est rassemblé pour interpréter une création théâtrale originale, « Notre (sur)vie en terre agricole », qui sera proposée le 27 avril à Colfontaine, le 2 mai à Oeudeghien et le 18 mai à Estaimbourg. Retrouvez le programme complet de toutes les activités et les informations pratiques qui y sont liées sur le site des « Rendez-vous en terre agricole » : https://rdvta.hainaut-developpement.be/

"Ce vendredi, dans le cadre de la publication de la brochure annuelle " Le Hainaut en cartes et en chiffres ", Hainaut Développement et l'Observatoire de la Santé du Hainaut ont présenté les chiffres clés de notre province. Des chiffres qui servent aux services publics pour mener des politiques dans différentes matières comme la santé, l'économie, l'aménagement du territoire, etc. " Il y a cinq grands enjeux pour notre province ", explique ainsi Aurore Goosens, présidente des deux structures et députée provinciale : " la démographie et l'attractivité résidentielle ; l'emploi et le niveau de vie ; l'économie ; l'aménagement du territoire et la santé. "Démographie en berne et vieillissement de la population . Au 1er janvier 2024, le Hainaut compte 1.360.000 habitants. " La croissance est moins soutenue qu'ailleurs. Depuis 2012, il y a davantage de décès que de naissances en Hainaut ", explique Arnaud Fleurquin, responsable du service d'information stratégique. " On estime que la population pourrait décroître en Hainaut à partir de 2047. C'est dû au vieillissement de la population, qui va s'accentuer en Hainaut. "
Emploi et inactivité : un écart qui persiste
Sur le marché du travail, on compte 64 % de personnes actives entre 20 et 64 ans. Le taux de chômage s'élève à 6 %, tandis que la population inactive qui n'est ni en situation de travail ni en recherche d'emploi (les malades de longue durée, les travailleurs au noir ou encore les pères/mères au foyer) représente 30 %.
" On observe que le taux d'emploi augmente, mais l'écart avec la Belgique et la Wallonie demeure tout de même. Entre 25 et 55 ans, le taux d'emploi reste homogène. Par contre, chez les 20-24 ans, la différence est plus importante à cause du niveau d'instruction plus faible en Hainaut. Et chez les 55-59 ans, l'écart est encore plus marqué. Cela s'explique par des emplois plus précaires dans le secteur non marchand et les services. La carrière y est plus pénible, et donc il y a davantage de maladies chroniques ou d'arrêts avant l'âge de la pension. "
Le taux d'inactivité diminue donc en Hainaut, mais l'écart grandit avec la moyenne wallonne et belge. Et malgré cette diminution, la précarité continue de croître en Hainaut. On compte ainsi 5,1 % de bénéficiaires du RIS (Revenu d'Intégration Sociale) chez les 18-64 ans, tandis que la moyenne wallonne s'élève à 4,4 %.
Et, donnée inquiétante, 30 % de ces RIS en Hainaut sont octroyés à des jeunes entre 18 et 25 ans.
Parmi les solutions pour améliorer le taux d'emploi : la mobilité transfrontalière. Beaucoup de Français viennent travailler chez nous. C'est par exemple le cas à Mouscron et Comines, où plus d'un travailleur sur deux est français. Par contre, les Hainuyers vont peu en France ; ils se tournent plutôt vers la Flandre. " À Enghien par exemple, 50 % des travailleurs vont en Flandre. "
Économie : une croissance fragile
Au niveau du tissu économique, le Hainaut compte un peu moins de 90.000 entreprises enregistrées à la Banque-Carrefour des Entreprises. La croissance est moins soutenue qu'en Wallonie et en Belgique. On a connu une bonne croissance après le Covid, grâce aux différentes mesures prises. Mais on assiste à une diminution du taux de création en 2023. Pour les faillites : augmentation par rapport à 2023, mais il faut relativiser ", tempère Arnaud Fleurquin. Parmi les communes les plus productives, on retrouve Mouscron et Comines, qui ont un tissu industriel important, notamment dans le secteur agroalimentaire. Mais en Wallonie picarde, c'est dans l'arrondissement d'Ath que le niveau de revenus par habitant est le plus élevé. La zone est moins productive, mais bénéficie des navetteurs qui viennent y habiter.
Un secteur en particulier est en croissance en Hainaut, plus qu'ailleurs en Wallonie : le non-marchand, avec 4 travailleurs sur 10 dans la province. L'alimentation est le premier secteur en termes d'emploi dans l'industrie en Hainaut, la métallurgie est le deuxième, et la chimie est le troisième. Par contre, les secteurs de l'information et de la communication ainsi que celui des finances et assurances sont en déclin. Le Hainaut est également en retard dans la recherche et le développement (avant-dernière province au niveau wallon). Attirer des entreprises tout en conciliant l'attractivité résidentielle et en préservant la superficie agricole et les espaces naturels sera l'un des enjeux des prochaines années en Hainaut. " C'est un équilibre précaire qu'il faut trouver. "
Le rythme de l'artificialisation des sols diminuait depuis quelques années, mais il y a eu une hausse depuis le Covid. " On part des centres urbains vers les zones rurales. Une solution pour trouver l'équilibre passe par la réhabilitation des chancres économiques, la lutte contre la sous-utilisation du bâti, la division d'anciens logements. La rénovation sera aussi très importante. "
Santé : espérance de vie, maladies chroniques et santé mentale
Au niveau de la santé, Marie Merclinck, chargée de diagnostics socio-sanitaires, a également présenté les tendances de ces dernières années. " Le vieillissement de la population est similaire à l'évolution en Wallonie, il augmente. Mais les réalités sont très différentes dans les communes. " À Tournai ou Ath, par exemple, on compte plus de personnes âgées que de jeunes. Cette situation est due à l'allongement de la durée de vie, mais aussi à la diminution de la natalité. Bonne nouvelle : " L'allongement de l'espérance de vie ne cesse d'augmenter depuis 10 ans, même si on assiste à un ralentissement. Il y a aussi un rapprochement entre l'espérance de vie des hommes et celle des femmes. C'est lié à un rapprochement des modes de vie depuis plusieurs décennies. En Hainaut, les hommes ont ainsi une espérance de vie de 76 ans et les femmes de 81,7 ans. Si cela augmente, cela reste tout de même inférieur à la moyenne belge (-2,1 ans pour les femmes et -3 ans pour les hommes). Et l'un des facteurs qui joue sur l'espérance de vie, c'est le revenu : " La tendance montre que quand le revenu annuel médian est 1.000 euros/an plus élevé, on a 5 mois d'espérance de vie en plus. " En Hainaut, on constate une surmortalité par rapport à la Wallonie : +4,3 % chez les femmes et +10 % chez les hommes. Avant 75 ans, cela monte même à +7,6 % chez les femmes et +13 % chez les hommes. Les trois premières causes de décès sont ainsi les cancers, les maladies de l'appareil circulatoire et les maladies de l'appareil circulatoire . Plus de la moitié des décès sont causés par des maladies chroniques, donc en partie évitables en adoptant des comportements favorables à la santé. Au niveau des cancers, les plus fréquents sont celui de la prostate chez l'homme et celui du sein chez la femme. Suivent, pour les deux sexes, ceux des bronches et des poumons, et celui du côlon et du rectum.  Donnée inquiétante : le dépistage du cancer du sein a fortement diminué depuis la période Covid.
Si les chiffres remontent dans les autres régions, ce n'est pas encore le cas en Hainaut. Il n'y a même pas une femme sur deux qui se fait dépister en Hainaut entre 50 et 69 ans. Par rapport à la santé mentale, les chiffres ne sont pas encore très développés, mais le rapport indique qu'en tenant compte à la fois des années de vie perdues (mortalité) et des années vécues avec un problème de santé (morbidité), les troubles liés à la santé mentale représentent le fardeau le plus conséquent parmi l'ensemble des maladies. Au niveau de la consommation des médicaments, on constate que 16,1 % des Hainuyers consomment des antidépresseurs et 3,7 % des antipsychotiques. Dans le rapport, on peut également lire que 17,2 % de la population de la province a un statut d'affection chronique ; 5,4 % sont en situation de dépendance pour maladie chronique. Quant au diabète, on observe une augmentation de la maladie : 6,8 % de la population en souffrait en 2013, le chiffre est passé à 8,9 % en 2023. " C'est lié à l'augmentation du dépistage, au vieillissement de la population, mais aussi à une augmentation de la prévalence de la maladie, qui démarre chez des personnes de plus en plus jeunes. " Concernant la santé maternelle et infantile, en Hainaut, le taux de grossesse chez les adolescentes est de 2,4 pour mille chez les 13-17 ans, alors qu'il est de 1,7 en Wallonie et 1,1 en Belgique. Les proportions de bébés de petit poids de naissance et de bébés prématurés sont aussi des indicateurs importants, à la fois en lien avec des facteurs de risque pendant la grossesse comme le tabagisme ou l'état de santé de la mère, mais aussi en tant que prédicteurs de potentiels problèmes de santé au cours du développement de l'enfant. On observe que ces proportions sont légèrement plus élevées en Hainaut qu'en Wallonie ou en Belgique.
Le taux de couverture d'accueil de la petite enfance est de 31,7 %, ce qui est inférieur au seuil minimal européen de 33 % et au taux de couverture wallon de 37,3 %. La disponibilité des médecins généralistes est très disparate sur le territoire hainuyer. En rapportant à la population, on a 1.013 habitants par médecin généraliste en Hainaut, ce qui est moins favorable que l'offre moyenne wallonne. Autre donnée importante liée à la santé : la pratique du sport. On observe une diminution de la part des jeunes qui atteignent les recommandations en termes d'activité physique.
Cette diminution n'est pas significative chez les adolescents wallons (on est passé de 21 à 19 %), mais cela signifie qu'environ 8 ados sur 10 n'atteignent pas le minimum d'activité physique".

"Au conseil communal du 27 mars, Axelle Chantry s'est félicitée d'une avancée significative pour les futures zones d'immersion temporaire censées préserver Molenbaix des inondations. La Province confirme, mais tempère. "La Province de Hainaut avance réellement dans les deux projets de zones d'immersion temporaire. Directeur chez Hainaut Ingénierie Technique, Benjamin Lenglez confirme que ces projets sont en bonne voie, mais reste prudent. "Ces deux zones d'immersion vont bénéficier à Celles, mais se situent en partie sur le territoire de Tournai. Le projet le plus avancé est celui situé au Haut-Pont, sur les pentes du Mont-Saint-Aubert. Nous reprenons les négociations à l'amiable pour l'acquisition des terrains. Tout doit encore être approuvé par le conseil provincial, une fois les négociations terminées". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"À l'initiative du président du CPAS, des représentants de l'Observatoire de la Santé du Hainaut (OSH) ont présenté le profil sociosanitaire de la population écaussinnoise lors du dernier conseil communal. Une opération inédite pour l'OSH. Et qu'en est-il pour la Cité de l'Amour? Elle se porte plutôt bien, sans grande surprise. En effet, il y a une corrélation manifeste entre les indicateurs sanitaires et socio-économiques. Or, Écaussinnes est une commune plutôt bien lotie dans le Hainaut, et la région du Centre plus particulièrement. Le revenu médian (26.579€), le taux d'emploi (66,1%) ou encore la proportion de diplômés de l'enseignement supérieur (30,9%) y sont supérieurs aux moyennes hainuyère et wallonne, et proches de la moyenne belge". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"C'est un nouveau cocorico pour deux fermes de Wallonie picarde : la Cense des Hirondelles de Silly et la ferme de la Warde de Thieulain se sont distinguées dans un concours hennuyer (Hainaut Développement) de la meilleure glace. Une médaille d'argent en catégorie chocolat pour l'une, une médaille de bronze en catégorie vanille pour l'autre".

"Les deux médailles d’or des glaces fermières ont été décernées à la Ferme des 14 Bonniers à Braine-le-Comte (catégorie vanille) et à la Ferme du Terniau à Froidchapelle (catégorie chocolat). Une reconnaissance du travail des agriculteurs qui vendent leurs produits artisanaux directement à la ferme.
Au total, 17 fermes de la Province de Hainaut ont présenté leurs produits à ce concours destiné à élire la meilleure crème glacée fermière. Le jury a donc rendu son verdict sur base de critères très précis : aspect/couleur, texture visuelle, parfum, consistance, texture en bouche et goût. Médaillée d’or dans la catégorie "chocolat", Cindy Baudson (Les Glaces du Terniau à Froidchapelle) met en avant l’importance de la matière première, c’est-à-dire le lait, et donc les vaches qui le produisent : "Chaque race a son type de lait, nous la race c’est la blanc bleu mixte qui donne une production de matière grasse pas très élevée et qui donne un lait avec des oméga 3 qui est tout à fait favorable à l’alimentation. Ici c’est de l’agriculture biologique, donc il y a une très grande sélection au niveau de l’alimentation de la vache. Et également, ce sont des vaches qui vont en extérieur, qui broutent et ça, ça fait beaucoup."
A la Ferme des 14 Bonniers à Braine-le Comte, les paquets de glaces vanille arborent déjà aussi les médailles d’or décernées. Et pour Pierre Debrichy, agriculteur, la fabrication et la vente de glaces à la ferme, c’est un créneau indispensable pour rentabiliser la production de lait : "Le prix qu’on nous paye actuellement dans les laiteries est déjà beaucoup plus haut qu’avant, mais n’est pas encore suffisant vis-à-vis de tous les coûts qui ont augmenté. Pour notre exploitation qui compte 45 vaches, sans la glace ce n’est pas viable." La Province de Hainaut a également décerné des médailles d’argent et de bronze, les lauréats se retrouvent au palmarès complet de ce concours de la meilleure glace fermière."