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C'est le nom d'un groupe Facebook alimenté, notamment, par plusieurs journalistes parisiens (Vincent Glad, Stephen des Aulnois, David Doucet, Alexandre Hervaud, Olivier Tesquet...). Et qui est depuis plusieurs années accusé régulièrement de cyber-harcèlement. Voir aussi
Quelle confiance accorder aux titres de presse sur internet? Depuis près de dix ans, le secteur a vu les triomphes et les déroutes se succéder au gré des caprices des algorithmes, comme celui hiérarchisant les contenus sur le flux d'actualité de Facebook. Des algorithmes qui, en tendance, valorisent le clinquant d'un titre aux dépens de la réputation d'une publication, ce qui a contribué à alimenter les machines à sensationnalisme et à fake news. Sauf que le conflit entre le Mail et NewsGuard pourrait augurer d'une nouvelle phase: l'intégration, par les plateformes, de mesures de crédibilité des sites, avec quelques entreprises et associations œuvrant comme arbitres.
Brutalement touché par la dégradation du marché publicitaire sur Internet, le site d'informations américain mêlant buzz et enquêtes s'est lancé dans une entreprise de diversification et de restructuration. Après le licenciement de 100 personnes en 2017 et l'arrêt de sa version française , Buzzfeed annoncerait désormais la suppression de 15% de son effectif. Voir aussi "Condé Nast passe au «paywall» pour tous ses titres" (les Echos)
Le 15 janvier 2009, un internaute publiait sur Twitter la photo d’un avion amerrissant en urgence sur la rivière qui longe Manhattan. Le début d’une révolution.
Par Benoit Raphaël Voici ce que j’ai recueilli après deux mois de tri et d’exploration d’Internet sur le mouvement des gilets jaunes. Des analyses clés, des données brutes, des références à l’histoire. J’essaie juste de comprendre, à partir de mon expérience des médias communautaires et d’une société transformée par les algorithmes, et d’en tirer un enseignement positif. voir aussi Plongée au cœur du Facebook des «gilets jaunes» (Les Décodeurs-lemonde.fr)
Le jeune gilet jaune a lancé Vécu, un média sur Facebook, pour faire témoigner les victimes de violences lors des manifestations. Voir aussi
Snapchat, Instagram, Facebook, LinkedIn: la «Story» est à la mode. Davantage qu’un format repris par toutes les plateformes sociales et de plus en plus privilégié par les médias d’information et de divertissement, il faut y voir un nouveau moment du journalisme.
Si les Américains s’abreuvent encore en grande majorité à la source de la télévision pour s’informer, ils sont désormais davantage à se nourrir d’actualités sur les médias sociaux que dans les journaux imprimés, montre un sondage du Pew Research Center.
After amassing a 2.8 million following on Instagram, the historic Magnum Photos collective aims to change the world of photography by launching a $99 online education programme hosted by Magnum professionals, including Martin Parr and Susan Meiselas.
The profile of the agency, which was founded in 1947 by Robert Capa, Henri Cartier-Bresson and other photographic giants, has been transformed by social media and it is now targeting Chinese platforms, including Weibo and WeChat, to add to a digital audience that totals 5.2 million.
L’historien des médias Alexis Lévrier revient sur la défiance des Gilets jaunes envers la presse et la télévision et nous dit pourquoi les journalistes ont tant de mal à se saisir de ce mouvement, ne serait-ce que pour le qualifier ou lui donner la parole. Voir aussi
Alors que Facebook a cessé de donner la priorité aux informations, Apple News s'est imposé comme une source majeure de renvoi de trafic pour les sites d'information français. Voir aussi
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Particulièrement actif sur Twitter, Vincent Glad (80ème promo ESJ Lille) a notamment travaillé pour 20minutes.fr et Le Grand Journal. Journaliste à Libération, son approche du mouvement des gilets jaunes fait de lui une personne atypique dans un champ journalistique qui ne lui a rien épargné. Nous sommes revenus sur son parcours et sa perception de l’éthique journalistique.
Le dialogue entre les médias et leur public semble de plus en plus difficile. Jérémie Mani est le président de Netino by Webhelp, une société qui modère les pages Facebook de grands médias. On compte parmi ses clients Le Monde, Canal +, le Figaro, BFM TV, France Télévision ou Ouest France. Comment ces espaces d’expression sont-ils modérés? Voir aussi Les Français sont de plus en plus préoccupés par les «fake news» (lefigaro.fr)
Dans le 32e Baromètre de la confiance des Français dans les médias réalisé par Kantar pour La Croix, la crédibilité accordée aux différents supports et la perception de l’indépendance des journalistes sont au plus bas. Cependant, l’intérêt pour l’actualité remonte après trois années de baisse. Voir aussi
(Edition abonnés) Les moins de 35 ans qui vivent sur leur portable adoptent naturellement les applications vocales, WhatsApp en tête. Mais l’efficacité des interactions basées sur la voix humaine devrait assurer leur diffusion auprès de toutes les générations. Voir aussi
Sourcer un sujet, interagir avec le public, ouvrir des événements en direct, promouvoir ses travaux... L'ère numérique a fourni aux journalistes de nouveaux outils et canaux de travail. Cependant, à mesure que de plus en plus d'activités se font en ligne - en passant par les médias sociaux -, il devient de plus en plus difficile d'établir des limites entre le personnel et le professionnel en public. Ce n’est pas seulement la crédibilité et la réputation qui sont en jeu, mais aussi la protection de la vie privée et la sécurité. Voir aussi "Here are 12 principles journalists should follow to make sure they’re protecting their sources" (niemanlab)
La Chine est entrée dans la course à l’intelligence artificielle. Le niveau de ses investissements, la qualité de son écosystème d’innovation et le volontarisme de ses dirigeants rendent crédibles les ambitions du pays à prendre, tôt ou tard, le leadership dans ce domaine. Quelques grandes entreprises privées connues sous le nom de «BATX» (Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi), équivalents chinois de Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft (GAFAM), se démarquent dans ce domaine. Voir aussi
Méfiance envers les journalistes et haine des médias, fausses informations sur les réseaux sociaux, premiers effets de la loi sur le secrets des affaires... "Secrets d'info" ouvre le débat sur l'avenir et le rôle du journalisme d'investigation.
Avec Fabrice Arfi (Mediapart), Luc Bronner (Le Monde), Jacques Monin (Cellule investigation de Radio France), Élise Lucet (France Télévisions) et Jacques Trentesaux (Mediacités).
Dans l’Yonne, certains protestataires doutent de l’attentat de Strasbourg, tout en se méfiant des fausses informations. (Edition abonnés) Voir aussi
Par Nicolas Sadki, COO et co-fondateur de BeOp. La publicité sur internet est aujourd'hui à un carrefour. D’un côté, le brand safety, c’est-à-dire l’assurance pour une marque que son message sera diffusé dans un environnement en accord avec ses valeurs, est devenue un enjeu prioritaire des annonceurs en ligne. De l’autre, les marques doivent convaincre un consommateur moins réceptif à la publicité classique. Une équation complexe que la publicité conversationnelle parvient à résoudre. Voir aussi
Sur les sites d’information en ligne, les illustrations sont omniprésentes – y compris quand ces «images prétextes» n’ont aucun rapport avec l’article. Cette pratique destinée à capter l’attention du lecteur fait perdre à l’image son sens initial: son rôle est de délivrer une information, pas d’«illustrer» un événement.
À l’heure de la multiplication des formats, des plateformes, des publics, quelle stratégie numérique doit adopter un média comme CNN? Éléments de réponses avec Brandon Keenen, Senior Digital Director de CNN.
Facebook vient d’annoncer l'extension de ses fils d'actualité locaux à plus de 400 villes américaines, un des moyens pour inciter ses utilisateurs à mieux s'informer, mais surtout à passer plus de temps sur la plateforme. Lancé initialement en janvier, le fil «Today In», c’est son nom, regroupe des informations publiées par les sites d'information locaux, mais aussi par des acteurs institutionnels de l'agglomération concernée, comme les pompiers, la mairie ou la police.
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«C’était du trolling, on trouvait ça cool. Aujourd'hui, on considérerait ça comme du harcèlement»