Rareté des ressources, hausse des coûts, incertitude sur la demande… les chaînes d’approvisionnement sont soumises à une pression constante. Pour les directions supply chain, il faut gérer des données complexes, respecter des délais serrés et prendre des décisions qui ont un impact direct sur la rentabilité.Malgré cela, beaucoup d’entreprises s’appuient encore sur des tableurs isolés, des outils dispersés, des systèmes non connectés. Résultat : une planification rigide, peu fiable et difficile à actualiser. Les erreurs s’accumulent, les arbitrages prennent du temps et la performance s’érode.C’est ici que l’EPM (Enterprise Performance Management) fait la différence. Longtemps cantonné à la sphère financière, il s’impose désormais comme un levier de pilotage transverse, capable de renforcer l’agilité et la précision des processus industriels.