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Le spectateur de Belleville
July 11, 2015 4:54 AM
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Publié sur le site de France-Culture : Le Théâtre du Peuple à Bussang est une institution singulière bien connue des amateurs de théâtre. Une histoire de ce lieu permet de relancer le débat classique sur le théâtre populaire, sur les politiques culturelles en général, sur la pérennité aussi d'une institution valorisée depuis cent vingt ans par les territoires concernés. Pour ce 8ème numéro, l'équipe de "Chercheurs en ville" reçoit Bénédicte Boisson et Marion Denizot, enseignants-chercheurs en études théâtrales à l'université Rennes 2, à l'occasion de la parution de leur livre " Le Théâtre du peuple de Bussang. Cent vingt ans d'histoire" chez Actes Sud.
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Le spectateur de Belleville
July 8, 2015 5:13 PM
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Publié dans La Voix du Nord : Lundi, les élus du conseil départemental réunis en commission permanente ont notamment débattu de la baisse des financements pour la culture. Trois acteurs culturels du Valenciennois sont concernées par la réduction de voilure: le Phénix, le Boulon et l’espace Pasolini. Depuis qu’il a pris la présidence du conseil départemental, Jean-René Lecerf ne cesse de dire qu’il va falloir faire des économies sous peine d’une menace d’une mise sous tutelle par l’État. Lundi, lors de la commission permanente, ces économies ont porté sur la culture. La majorité départementale (Union pour le Nord) a voté pour la baisse de ces financements. « Nous sommes obligés de tailler dans le budget et la culture n’est pas dans les compétences régaliennes du Département, commente le président de l’assemblée. Si on ne fait pas ça, c’est la mise sous tutelle et il n’y aura alors plus de subventions pour la culture. » Les socialistes et les communistes ont voté contre. Éric Renaud, groupe des apparentés, a préféré s’abstenir.
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Le spectateur de Belleville
July 6, 2015 2:21 AM
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Publié par Fabienne Pascaud dans Télérama : Jonglant avec maestria entre séduction et épouvante, le metteur en scène allemand ose tout. Et donne à la pièce de Shakespeare une puissance étourdissante. C'est une pièce de jeunesse. Elle en a la fougue, l'énergie, le goût du jeu et la rosserie. Shakespeare s'amuse. Comme un sale gosse qui jouit des héros démoniaques qu'il s'invente et qui le vengent de tout. Quand, en 1592, il raconte les méfaits et les ruses de cet authentique souverain anglais (historiquement plutôt meilleur roi que ce qu'il en dit), il a 28 ans. A 46, le metteur en scène allemand Thomas Ostermeier, patron depuis 1999 de la Schaubühne de Berlin — vénéré bastion du théâtre européen contemporain —, s'amuse lui aussi. Symphonie du mal
Après Le Songe d'une nuit d'été, Hamlet, Othello, Mesure pour mesure, admirés à Paris ou Avignon, c'est la cinquième fois qu'il s'attaque à Shakespeare. Avec dans le rôle-titre son acteur fétiche, qui fut déjà un inconcevable Hamlet : le très étonnant Lars Eidinger, bouffon et effrayant à la fois, drôle et mélancolique, d'une solitude tragique. Pour nous régaler au plus près de cette caracolante symphonie du mal sur fond de course au trône, Ostermeier a d'abord imaginé de reconstituer sur scène un superbe espace métallique en demi-cercle et plusieurs niveaux, qui évoque le théâtre originel où Shakespeare fit représenter la plupart de ses pièces : le Globe de Londres, créé en 1599, accidentellement brûlé en 1613 et aujourd'hui reconstruit à l'identique. La grande proximité de la scène et de la salle y favorisait alors une relation exceptionnelle avec un public tout contre les acteurs, tout contre leur frénésie, leur folie.
Lire l'article entier sur le site de Télérama : http://www.telerama.fr/festivals-ete/2015/richard-iii,128599.php#xtor=EPR-126-newsletter_tra-20150706 A voir : Du 6 au 18 juillet, Richard III de William Shakespeare, mis en scène par Thomas Ostermeier, à l'Opéra Grand Avignon (diffusé le 13 juillet sur Arte), 2h30, surtitré en français, 04 90 14 14 14, festival-avignon.com (10-28€). A lire : Ostermeier backstage, entretiens avec Gerhard Jörder, traduit de l'allemand par Laurent Muhleisen et Frank Weigand, L'Arche Editeur, 144 pages, 22€.
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Le spectateur de Belleville
July 5, 2015 9:37 AM
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Des huées, des applaudissements nourris, la Cour s’est divisée hier soir pour la première du Roi Lear de Shakespeare. La mise en scène remuante d’Olivier Py n’a laissé indifférent le public.
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Le spectateur de Belleville
March 7, 2015 10:36 AM
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Publié par Clarisse Fabre dans Le Monde : On est cuits comme des poissons… », soupire Tcha Baliardo, poète et chanteur. Enveloppé dans son manteau, ce jour de mistral, le vieil homme est l’un des nombreux enfants de Manitas de Plata, le guitariste flamenco mort le 5 novembre 2014, à 93 ans. Dans le quartier gitan de Montpellier, au pied des immeubles de la cité Gély, il s’approche, tout triste. Car l’aventure de la « Chapelle » est terminée. La salle de spectacle a fait ses adieux au public le 27 février. Tcha fixe le bâtiment, une église moderne tout en bois et béton, reconvertie en lieu de fabrique artistique, et se désole : « C’est pas nous qui pouvons reprendre la Chapelle, il faut une vraie équipe. »
Fini les concerts électro, les performances, les soirées tziganes. Fondateur en 2000 de ce lieu où cohabitent musiciens et danseurs, Etienne Schwarcz explique qu’il n’a plus d’argent. Principale tutelle, et propriétaire du bâtiment, la ville versait une subvention annuelle de 120 000 euros. Mais cette année, le nouveau maire et président de la Métropole, le divers gauche Philippe Saurel, 57 ans, n’a versé que 20 000 euros. « Le reste est à disposition », indique-t-il, mais ce sera pour fin mars – le budget sera voté après les élections départementales des 22 et 29 mars. Ce sera trop tard, répond Etienne Schwarcz, car la Chapelle n’a plus les moyens.
C’est déjà trop tard : depuis le début de la semaine, des techniciens démontent les 50 m⊃3; de matériel. Rodrigo Garcia, le nouveau patron du Centre national dramatique (CDN) de Montpellier, rebaptisé Humain Trop Humain (hTh), est venu y jouer sa performance Flame, le 12 décembre 2014. Le metteur en scène argentin en garde des « souvenirs fantastiques », affirme-t-il dans une vidéo en soutien à l’équipe.
Sonnette d’alarme
Si la fermeture de la Chapelle fait du bruit, c’est aussi parce que le maire jette volontiers de l’huile sur le feu. Ce proche de Manuel Valls se vante de « parler vrai », et cela détonne dans le milieu culturel. En pleine conférence de presse sur la culture, à Montpellier, le 10 février, il n’hésitait pas à lancer : « Ils ont fait n’importe quoi à la Chapelle, ils sont dans le rouge ! » Sous-entendu : la gestion laisse à désirer. Un peu plus tard, il revenait à la charge devant la presse locale : le sous-sol de la Chapelle est devenu un lieu de stockage de moteurs, de pièces détachées, de quads. C’est notoire, les jeunes du quartier avaient la clé… « Et personne n’a rien vu, personne ne dit rien ? », s’interroge le maire. Lui sait tout… « Je connais les Gitans, jusqu’au prénom des chiens. Sinon je ne serais pas là où je suis », nous dit-il, en forme de pirouette, dans un café. Etienne Schwarcz a contre-attaqué dans un document de deux pages. (...) Le Théâtre de Villeneuve-lès-Maguelone sur la sellette Le village de Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault) est en émoi. Elu depuis 2008, le maire sans étiquette Noël Ségura a sommé l’association qui gère la scène conventionnée « jeune public » (ville, département, région, Etat) de libérer les bureaux « avant le 9 mars », dans un courrier daté du 17 février. L’élu se plaint, entre autres, d’un « dépassement de 30 000 euros » des dépenses de l’association. Celle-ci dénonce « l’absence de dialogue » et une série de restrictions en personnel, matériel, etc. L’Etat se dit « très attentif » – le travail de la directrice du lieu, Martine Combréas, est unanimement salué. Saisi en référé, le tribunal administratif va trancher lundi 9 mars. Noël Segura assure que les enfants continueront de voir du théâtre. Avec cette phrase qui inquiète le milieu culturel : « Je n’ai besoin de personne. Je prends une compagnie, je la paie, et il y aura des spectacles. » (...) Pour lire l'article entier dans son site d'origine --->
http://www.lemonde.fr/culture/article/2015/03/07/a-montpellier-la-culture-au-court-bouillon_4589349_3246.html#hfcezmWTfUluJpWG.99
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Le spectateur de Belleville
July 9, 2015 2:33 AM
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Le spectateur de Belleville
July 6, 2015 6:16 AM
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Publié par Marc Roudier dans Inferno magazine : 69e Festival d'Avignon : Dominique Boivin & Claire Diterzi : "Connais-toi toi même", dans le cadre des Sujets à vif / Jardins de la Vierge du Lycée Saint Joseph / dimanche 5 juillet à 11h. Les « Sujets à vif » sont l’un des programmes les plus performants et les plus intéressants du festival. Cela a toujours été le cas. Ce sont généralement des formes courtes, qui révèlent très souvent de jeunes -ou moins jeunes- artistes au public festivalier, un programme d’émergence, ou bien des oeuvres d’artistes plus connus mais qui se livrent là à une expérience singulière, une forme un peu décalée au regard du reste de leur production. C’est le cas avec le duo Boivin & Diterzi. Dominique Boivin est un chorégraphe reconnu, Claire Diterzi une musicienne repérée sur la scène française. L’un et l’autre proposent une drôle de forme hybride, ce « Connais-toi toi-même » loufoque, à la croisée de la danse, de la performance et de la musique. Sur le plateau des Jardins de la vierge du Lycée Saint Joseph, un lieu intimiste et aéré, deux sirènes bleues et blondes prennent possession de leurs guitares électriques. La suite est une subtile performance qui se joue des codes de la danse contemporaine, comme de ceux de la musique et du théâtre, avec une superbe force plastique et un grand sens du sens, fort justement. Une pièce courte aux accents tatiens, qui donne à entendre et à voir au-delà de l’absurde de situation dont elle épouse les codes. En réalité, une oeuvre belle et intelligente, très engagée, dont la bande-son réellement percutante, qui nous emmène d’un discours ampoulé de Malraux à des extraits radiophoniques, délivre autant de clins d’oeil appuyés à la déplorable et ridicule « politique culturelle » que nous subissons aujourd’hui. La subtilité du geste et la distanciation à l’oeuvre dans ce ballet loufoque de sirènes bleues vont bien au-delà de la simple performance à connotation art contemporain. C’est d’un véritable travail sur la danse et la performance qu’il s’agit, un beau questionnement sur la représentation, et bien sûr, en fin de compte, une remarquable interrogation sur ce que l’on connait ou pas de soi… Un ovni poétique qui laisse trace. Marc Roudier
Syrian artist Tammam Azzam and his personal Gustav Klimt’s “The Kiss” on war-torn building in Syria
Via Desarts Sonnants
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Le spectateur de Belleville
July 5, 2015 9:55 AM
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Publié dans Télérama.fr : Après l'annonce par la ministre de la Culture d'une série de mesures en soutien aux jeunes artiste à l’issue des Assises de la jeune...
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Le spectateur de Belleville
June 27, 2015 9:44 PM
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Le magazine des professionnels du spectacle Le 2 juin, le Syndicat national des entrepreneurs de spectacles (SNES) réunissait ses adhérents à Paris, pour présenter la cinquième édition de l’opération collective à Avignon qui comptera 130 spectacles. La table ronde sur la diffusion a pris un relief particulier compte tenu de la chute des tournées privées l’année dernière (-25%, lire la Lettre du Spectacle du 17 avril). Au moment où les producteurs et tourneurs souffrent des réductions de programmations dans les théâtres de villes, des espoirs avaient été soulevés à l’annonce d’un rapport de Jackie Marchand, directeur de La Coursive scène nationale de La Rochelle, sur les coopérations entre théâtres publics et producteurs privés. Mais le rapport reste sur un bureau au ministère et Jackie Marchand prévenait les producteurs qui espéraient le voir préconiser une forme d’obligation d’ouverture des théâtres aux tournées : «Le problème des relations entre privé et public ne peut pas se résoudre seulement par des contrats de vente. Il n’y a pas de réponse simpliste. Il faudra du temps.» Pas de quoi apaiser l’exaspération des producteurs privés qui, à l’image de Thibaud Houdinière (Atelier Théâtre Actuel), dénonçait l’attitude fermée des centres dramatiques nationaux. En l’absence de Michel Orier, directeur général de la création artistique (DGCA), son chef du département des publics et de la diffusion, Alain Brunswick, retraçait l’histoire des politiques à l’égard de la diffusion et évoquait la possibilité de se remettre autour de la table. Ce sont les diffuseurs qui montraient le mieux le déséquilibre du marché du spectacle résultant des baisses budgétaires. «Nous avons commencé par perdre le soutien de la DRAC, maintenant ce sont les collectivités qui réduisent, alors que nous avons 94% de taux de remplissage avec 26 représentations», (...) Yves Pérennou (En partenariat avec La Lettre du Spectacle) Légende : Le président Jean-Claude Lande au micro. ///Photo : D. R. Suivant >
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Le spectateur de Belleville
March 7, 2015 6:49 AM
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Igor hagard dans le cadre du Train Bleu20 au 22 mars 2015 Dans le cadre de l'événement Train Bleu, itinéraire artistique côtier proposé par plusieurs structures culturelles le long de la ligne ferroviaire de la Côte Bleue, Igor hagard, un sacre ferroviaire, de Pierre Sauvageot, sera exceptionnellement transposée et adaptée dans le train. Proposé par Les Salins - Martigues / La Criée - Marseille / Le Sémaphore - Port-de-Bouc / Le Théâtre de l'Olivier - Istres, Le Théâtre de Fos et Scènes et Cinés Ouest Provence, LE TRAIN BLEU emmène le public d'une ville à l'autre : de Martigues à Port-de-Bouc, d'Istres à Martigues et de Niolon à Marseille. du 20 au 22 mars 2015
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