Communiquer sur la relation agriculture et société, déconstruire les clichés et idées reçues. Parler du monde agricole, de ses métiers, de ses techniques. Relayer la parole des agriculteurs et de ceux qui font l'agriculture.
Face à «l'agribashing ambiant», «de plus en plus virulent», des agriculteurs de Bourgogne-Franche-Comté ont lancé une campagne pour promouvoir son exact opposé, baptisé «agriloving», ont-ils annoncé mardi dans un communiqué.
Chaque année, les JA 85 organisent le Prix à l’installation, en partenariat avec Groupama, un concours destiné aux jeunes installés avec les aides qui a pour but de les mettre en avant via leur parcours, leurs motivations et les spécificités de leur projet.
Créer un service national universel agricole figure parmi les actions concrètes les plus originales proposées suite à la consultation nationale #AgirPourMieuxManger, organisée de mars à mai derniers sur la plateforme Make.org. C'est aussi une « idée qu'aime particulièrement » son PDG Axel Dauchez comme il l'a expliqué aux Assises de l'agriculture et de l'alimentation la semaine passée. Parce qu'elle permettrait « de réconcilier les Français avec les agriculteurs » mais aussi peut-être de susciter des vocations.
Depuis un peu plus d'un an, le site internet Stage-agricole.com, lancé en 2016 par Jeunes Agriculteurs de Gironde, se déploie dans les autres départements français.
Les producteurs, comme les transformateurs, n’ont de cesse de s’adapter aux attentes des consommateurs. Même s’il est parfois un peu difficile de s’y retrouver entre exigences pour lesquelles les Français sont prêts à payer et surmédiatisation de tendances marginales.
A Nort sur Erdre, Bruno et Magaly Bioret, de la SCEA de Landebroc, vont prochainement installer un rucher collectif sur une de leurs parcelles. Ils invitent une dizaine de « gardiens des abeilles » à venir s’en occuper.
Alain Perrin, directeur général du groupe d'aucy, et Bernard Rouxel, vice-président du groupe coopératif porcin, intervenaient aux Assises de l'agriculture et de l'alimentation, mardi 15 octobre 2019, à Rennes.
La plateforme interactive Ok Eleveur permet de trouver facilement des informations et des outils, mais aussi d’échanger. Un moyen de progresser, selon ses priorités.
D'octobre à décembre, le réseau Gab-Frab de Bretagne organise quatre rendez-vous "Bio et Climat" sur des fermes bio de la région. L'occasion de faire le point sur les solutions mises en place par les exploitants pour adapter leur ferme aux changements climatiques.
LE CERCLE - La polémique actuelle concernant les pesticides et les riverains pointe les difficultés de cohabitation entre le monde agricole et les urbains. Dans ce contexte tendu, le phénomène émergent de l’agriculture urbaine constitue une réponse durable pour apaiser ces relations, estime Pierre Guez, président de Vitagora.
Mission accomplie au Sommet de l'élevage pour le film "Même pas peur d'être éleveur", sorti à l'automne 2018 ! Avec, pour objectif, de communiquer sur ce métier de manière positive via des projections-débats dans toute la France, le film a démontré aux spectateurs qu'il est encore possible d'être éleveur et même d'être un éleveur heureux !
Durant le Sommet de l'élevage à Clermont-Ferrand, Stéphane Dislaire, administrateur du Syrpa et Stéphane Aurousseau, vice-président d'Agridemain, ont débattu sur la communication en agriculture dans le cadre de l'émission Agribuzz.
Après la diffusion par l'association L214 d'une vidéo de maltraitance sur des veaux, Nathalie Morice, éleveuse à Saint-Molf, défend son travail et sa profession.
Le financement participatif est un mode de financement via internet. Cela permet de récolter des fonds auprès d’un grand nombre de personnes qui contribue pour de faibles montants à la réalisation d’un projet. C’est cet outil qu’ont choisi les agriculteurs du sud Vendée pour rassembler la somm
La démarche a fait parler d'elle, lors de son lancement, courant septembre 2019. Ici la Terre est un numéro vert ouvert à tous les consommateurs souhaitant discuter avec un agriculteur, pour mieux connaître ce métier. Premier point d'étape avec l'un des trois initiateurs du projet, le céréalier Jérôme Regnault.
Autour d’une table, les agricultrices et agriculteurs membres d’#agridemain se mettront à table et répondront à toutes les questions, sans aucun tabou, sur la production agricole.
Les consommateurs sont de plus en plus exigeants quant aux produits alimentaires qu’ils achètent. Ils ont des attentes sur leurs qualités mais aussi sur les modes de production. Pour y répondre, les agriculteurs adaptent leur façon de faire et attendent une juste rémunération en face.
"Je filme le métier qui me plaît", Graines d'agriculteurs et Make it agri, le premier visant à promouvoir en vidéo, auprès du grand public et en particulier des lycéens et étudiants, la diversité d'emplois dans le secteur agricole, le second celle des projets et profils des jeunes agriculteurs et le troisième l'utilisation des nouvelles technologies en agriculture, avec la volonté d'aider les participants à monter des start-up.
Le ministre de l'Agriculture, Didier Guillaume, veut lancer « dans tout le pays » un « observatoire de l'agribashing » pour recenser les actes de malveillance envers les agriculteurs tout en prévoyant la mise en place de zones où des traitements phytosanitaires seront interdits.
Un nouveau film sur l'agriculture, américain cette fois, vient de sortir au cinéma mercredi 9 octobre, deux semaines seulement après Au nom de la terre avec Guillaume Canet sur le suicide des agriculteurs. Plus léger, ce documentaire raconte le changement de vie de son réalisateur John Chester et de sa femme, qui ont quitté Los Angeles pour créer une ferme durable et éco-responsable. Certes, ils rencontrent des obstacles mais parviennent toujours à s'en sortir. Un peu idéaliste peut-être, voire "écolo bobo". On y voit cependant qu'être agriculteur et gérer une exploitation n'est pas si simple.
Face à l’« agribashing », ce dénigrement systématique dont il s’estime victime, le monde agricole est partagé entre désespoir, colère et volonté de renouer un contact direct avec les citoyens.
Ils ont décidé de ne pas se cacher et de réagir à l’Agribashing en communicant sur les réseaux sociaux. Certains choisissent YouTube, d’autres Facebook, d'autres Twitter… Les exemples ne manquent pas. Et les idées non plus dans la tête de ces agrinautes. Retour sur quelques expériences.
Cette série de BD propose de mettre en lumière 12 sujets de recherches universitaires conduites par des doctorants au cours de leurs thèses. Elle a choisi de représenter la démarche scientifique à travers une diversité de disciplines scientifiques sous une forme originale, accessible et distrayante : la bande dessinée.
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