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karine
November 19, 2014 11:14 AM
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Un rapport présenté à Los Angeles montre que la trajectoire de l'épidémie a infléchi et que des efforts renforcés pourraient permettre d'entrevoir la fin de la maladie.
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karine
November 19, 2014 11:09 AM
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Actualités scientifiques à l'occasion du congrès VIH de Glasgow Sommaire : • Les médicaments génériques pourraient réduire de moitié le coût des médicaments antirétroviraux au Royaume-Uni • La doravirine, un nouvel INNTI, marche aussi bien que l’efavirenz mais avec moins d’effets secondaires • Données supplémentaires sur le dolutégravir • L’Australie obtient les meilleurs résultats au niveau de la cascade des soins • L’efavirenz compromet les implants contraceptifs hormonaux • Des taux élevés de tuberculose multirésistante et de soins de standard sous-optimal en Europe de l’est • La monothérapie avec un inhibiteur de protéase, le darunavir/ritonavir • Comparaison entre l’emtricitabine et la lamivudine • La grande majorité des français séropositifs ont un taux de cellules CD4 restitué • Augmentation des prescriptions de PrEP chez les hommes aux Etats-Unis • Enquête: Dialogue sur le VIH
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karine
November 17, 2014 8:57 AM
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Mal-aimé de la libération sexuelle, le pénis doit désormais être redéfini une bonne fois pour toute pour ce qu'il est: une source de plaisir, mais parmi d'autres.
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karine
November 17, 2014 8:48 AM
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karine
November 17, 2014 8:23 AM
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Dans «Le baiser de Marseille» la réalisatrice Valérie Mitteaux enquête sur la façon dont les Français perçoivent l’homosexualité. Le constat est noir : c’est bien beau d’avoir obtenu l’égalité des droits, mais à quoi ça sert si le résultat est une hausse des agressions homophobes ?
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karine
November 17, 2014 7:27 AM
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Parmi d'autres organismes, l'INED (Institut national des études démographiques) a réalisé une fiche d'actualité sur la situation du VIH/sida en 2013, une façon de faire le point sur l'épidémie.
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karine
November 14, 2014 9:29 AM
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En 2014, deux chapitres (« traitement antirétroviral » et « co-infections par les virus des hépatites virales ») du rapport d'experts 2013 sur la prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH (sous la direction du Pr Philippe Morlat et...
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karine
November 14, 2014 5:53 AM
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karine
November 14, 2014 3:31 AM
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karine
November 14, 2014 3:05 AM
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Les pilules de 3ème génération ont été déremboursées début 2013 en raison d'un surrisque thromboembolique soulevé par la Haute Autorité de Santé en 2012. Ce surrisque a été largement médiatisé, notamment en raison de plaintes déposées par des utilisatrices de ce type de pilules. Les mois qui ont suivi ont permis de constater une baisse importante de la prescription de ces contraceptifs, remplacés par des pilules de 1ère et 2è génération ou par un changement de méthode (dispositif intra-utérin, implant, préservatif, voire méthodes "naturelles"). Selon les données recueillies par l'ANSM, cette baisse est associée à une diminution encourageante des embolies pulmonaires chez les femmes : 341 hospitalisations pour embolie pulmonaire auraient ainsi été évitées en 2013.
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karine
November 13, 2014 8:26 AM
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Une Montpelliéraine, Nadine Laguette, 32 ans, chercheuse du CNRS, vient d'être distinguée dans la catégorie “junior” pour ses travaux sur une protéine qui pourrait permettre de bloquer...
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karine
November 13, 2014 7:25 AM
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Développés à l’origine pour protéger les femmes en Afrique sub-saharienne parfois dans l’impossibilité de négocier des rapports sexuels protégés, les gels microbicides de première génération s’avèrent en réalité inefficaces voire dangereux, certains favorisant même une augmentation de la transmission du VIH. C’est ce que révèle cette étude, publi&ea
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karine
November 12, 2014 12:24 PM
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Il peut sembler naïf de rêver sur des histoires de prostituée au grand coeur, surtout à notre époque, en plein boom du tourisme sexuel. Et pourtant… Suzy Wong continue d'alimenter les fantasmes.
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karine
from NTIC et Santé
November 19, 2014 11:10 AM
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«Aujourd’hui, on se mesure et on se documente sur sa santé. Cela permet une prise de pouvoir du citoyen sur cette dernière», explique le professeur Christian Lovis, médecin-chef du service de Sciences de l’information médicale des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Baptisée «quantified self» (ndlr: le soi quantifié, à savoir tous les outils qui permettent de mesurer ses données personnelles et de les partager), cette tendance est en train de changer le rapport entre le corps médical et les patients et sera l’objet d’une conférence donnée vendredi par Christian Lovis au Salon suisse de la santé. Car depuis quelques années, les applications dévolues à la santé poussent comme des champignons. Pas étonnant qu’Apple, lors de la dernière mise à jour de son système iOS, impose d’office aux utilisateurs un outil pour répertorier vos pas, vos calories dépensées, votre indice de masse corporel, vos battements cardiaques, etc. Sans oublier la récente Apple Watch de la marque californienne et la ribambelle de bracelets intelligents et autres dispositifs à porter sur soi veillant sur votre sommeil et votre activité physique. Mieux comprendre son corps «Grâce à internet, nous avons libéré la connaissance. Chaque personne a potentiellement accès aux mêmes sources que les experts, poursuit Christian Lovis. Les applications mobiles nous permettent désormais de nous mesurer et d’avoir accès à nos données. En regroupant les deux, nous pouvons mieux comprendre comment fonctionne notre corps, et prendre des mesures appropriées.» Le spécialiste y voit énormément d’aspects positifs. «Bon nombre de personnes savent qu’elles mangent mal, qu’elles ne bougent pas assez mais elles ne s’en préoccupent pas. Ces outils permettent de rendre visible l’impact de notre style de vie sur notre corps. Voir ces évolutions aide à réagir et procure de la satisfaction lorsqu’on voit les choses s’améliorer.» Un avis que partage Jocelyn Corniche, médecin anesthésiste au CHUV et développeur d’applications médicales: «La possibilité de mettre en ligne les résultats de perte de poids ou de distance parcourue, entre autres, et de les comparer avec ceux d’amis encourage à bouger.» Cette abondance de signes vitaux enregistrés ne risque-t-elle pas de rendre la population hypocondriaque? «Il y aura toujours de gens qui seront stressés par leurs résultats, admet Régis Le Coultre, professeur à la Haute Ecole de Santé Vaud (HESAV) et membre de la plate-forme ingénierie-santé, mais pas plus qu’avec internet. Il faut rester critiques vis-à-vis d’applications hasardeuses, comme on peut l’être vis-à-vis de certains livres sur les régimes miracle!» «Ces outils mobiles et connectés permettent au patient de mieux comprendre sa pathologie et de mieux se soigner» Mais sur le marché des téléphones portables et tablettes, il n’y a pas que des applications ludiques pour savoir si l'on dort bien ou si on mange assez de verdure. Il existe aussi tout un éventail d’appareils médicaux connectés qui ont une réelle influence sur la santé. «Avec un glucomètre (ndlr: appareil utilisé par les diabétiques pour mesurer le taux de glucose sanguin) ou un tensiomètre connectés, le patient a un meilleur contrôle sur son état, explique Jocelyn Corniche. Par le passé, un homme hypertendu voyait peut-être son médecin tous les mois avec sa petite feuille où il avait annoté ses tensions, aujourd’hui il peut lui envoyer ses données quotidiennement, permettant au médecin d’être plus réactif.» Une véritable coopération soignant-soigné se met en place grâce à la technologie. «Ces outils mobiles et connectés permettent également au patient de mieux comprendre sa pathologie et de mieux se soigner, précise Christian Lovis. Aujourd’hui, seul un tiers des malades suit les consignes médicales et médicamenteuses données faute d’en comprendre les buts. Comment expliquer ce qu’est une hypertension pulmonaire à un enfant de six ans suffisamment pour qu’il suive son traitement? Cela passe forcément par des applications dynamiques et interactives.» Préserver son capital santé Si aujourd’hui, il paraît peu probable de demander à une grand-maman de 90 ans d’utiliser son portable pour mesurer son pouls et le transmettre à son docteur, cela ne sera plus de la science-fiction dans vingt ans. «Il va y avoir une explosion des besoins en soins, poursuit le professeur. On ne pourra pas soigner tout le monde. Chacun devra s’appliquer à préserver son capital santé et les outils mobiles seront alors indispensables. Ces technologies permettent une meilleure autonomie des patients. Comme dans les pays en voie de développement, il ne s’agit pas de donner à manger aux populations mais de leur apprendre à cultiver. C’est cet état d’esprit que devra avoir le corps médical!» Un futur qui passera par le dossier médical informatisé disponible sur les smartphones de chacun. «De plus en plus de personnes vont vouloir s’approprier leurs données médicales et les gérer», affirme Jocelyn Corniche. Un projet pilote a été lancé à Genève l’an dernier mais peine à trouver son public. Paradoxalement, les patients craignent pour la sécurité de leurs données sur le site suisse, mais se préoccupent peu de ce que les firmes comme Apple et Google en font! «Attention à ne pas tomber dans l’addiction» Bertrand Kiefer, directeur du Salon suisse de la santé confirme que le quantified self va transformer la manière dont les médecins vont suivre leurs patients. Mais attention aux dérives et à la perte de contrôle sur les données enregistrées. Interview – Quel est l’intérêt du quantified self pour tout un chacun? – C’est une utopie de penser que le QS va repousser la maladie. En revanche, cela permet de lutter contre l’angoisse de celle-ci et d’améliorer sa surveillance. Mesurer ses performances sportives, par exemple, permet d’adopter un meilleur comportement. En ce sens, le QS est un bon outil de prévention. Attention à ne pas tomber dans l’addiction. Le plus important, c’est tout de même de vivre et de ne pas passer son temps à s’autosurveiller. – Et quel intérêt pour les médecins? – Savoir ce qui s’est passé chez un patient sur une longue période est un atout pour le traitement. Mais il y a tout un tas de maladies pour lesquelles constater une perte de poids ou une augmentation de la pression n’apportera pas grand-chose. Au mieux, les pathologies peuvent être détectées un peu plus tôt… – Quelles dérives peut-on craindre? – Le principal problème, ce sont les entreprises qui se cachent derrière! Elles ont accès à une quantité d’informations qu’elles peuvent utiliser à des fins commerciales. Il faudrait que toute cette masse de données soit en main de la santé publique et pas de Big Data! – Que pensez-vous du dossier médical informatisé? – C’est la suite logique, mais il faut impérativement qu’il soit centré sur le patient et que ce dernier puisse y inscrire également des données. Et non pas, comme c’est le cas qu’aujourd’hui, que seul le médecin le compile. Par ailleurs, le système doit être simplifié afin d’être utilisable par tous. (24 heures)
Via dbtmobile
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karine
November 19, 2014 11:06 AM
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#HepatiteC : l’initiation d’un traitement de #méthadone par les médecins généralistes s’avère efficace http://t.co/crGLMd21bT
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karine
November 17, 2014 8:53 AM
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S’il y a une conséquence positive à la polémique médicale et judiciaire autour des pilules de 3e et 4e génération et à la médiatisation des débats sur la contraception qui l’entoure, ce sera peut-être de remettre enfin en cause le dogme du «tout...
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karine
November 17, 2014 8:37 AM
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Vers 1900, les préservatifs de luxe portent presque tous des chapeaux : képi, casquette, canotier, béret, chapeau pointu de clown ou mortier de juge. C’est une des révélations de l’ouvrage «Plaisirs et Débauches» consacré aux pratiques interdites qui vient de sortir en édition limitée. Rare et bizarre.
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karine
November 17, 2014 7:53 AM
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karine
November 17, 2014 7:21 AM
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karine
November 14, 2014 6:38 AM
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A new study shows Truvada is linked to a reduction in herpes infections, yet it may be impractical to use the drug for this particular infection.
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karine
November 14, 2014 3:33 AM
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karine
November 14, 2014 3:28 AM
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karine
from NTIC et Santé
November 13, 2014 10:17 AM
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WEBZINE n°2 Élément fondamental du pilotage du système de santé, l’utilisation des données de santé soulève une contradiction. S’il importe de développer l’accès à ces données pour produire de la connaissance et informer le public, il faut protéger leur confidentialité et garantir le secret protégeant les données médicales.
Via Philippe Bédère, dbtmobile
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November 13, 2014 7:30 AM
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Un traitement d'un médecin américain consiste à soigner la leucémie grâce au virus responsable du sida. Neuf patients sur douze ont été guéris et d'autres cancers pourraient l'être aussi.
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karine
November 13, 2014 7:25 AM
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22.000 britanniques ont été appelés par les autorités sanitaires britanniques pour passer des tests de dépistage du VIH et des hépatites. Leur dentiste stockait son matériel dans les toilettes...
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