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actualités VIH, hépatites, IST, santé sexuelle
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L’homme pénétré : repenser notre intimité, c’est la BD incontournable qui, à travers une pratique sexuelle très tabou, offre une réflexion sociétal
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75.000 décès par an en France sont dus au tabac (12 millions de Français fument régulièrement), via 16 cancers différents, poumon, vessie, sein, col de l’utérus…) ; 41.000 décès par an pour consommation excessive d'alcool.
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"Le plaisir, c’est la clé pour comprendre l’addiction. » Qu’on se le dise : si les gens prennent des produits, c’est avant tout pour kiffer
KEPS, le média qui parle vrai, a donc posé ses valises dans ce festival arty et futuriste pour taper là où ça fait mal : les frontières entre plaisir et addiction, la réduction des risques et le chemsex.
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Ce médicament, injecté seulement deux fois par an, est moins contraignant et présente de meilleurs résultats que les autres traitements aujourd'hui utilisés dans la prévention de la transmission du VIH. Mais son prix très élevé risque de le rendre inaccessible pour de nombreuses personnes à risques.
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À la demande du ministère chargé de la santé, le Conseil National du Sida et des hépatites virales (CNS) et l'Agence nationale de recherches sur le sida | Maladies infectieuses émergentes (ANRS | MIE) ont sollicité la Haute Autorité de santé (HAS) pour l’élaboration d’une actualisation des recommandations françaises de prise en charge des personnes ayant une syphilis. L’accompagnement de la HAS s’est inscrit dans le cadre de la labellisation par la HAS d’une recommandation élaborée par un organisme professionnel.
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Une juge fédérale ordonne la reprise des passeports avec genre « X », suspendant le décret anti-trans de Trump aux États-Unis.
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Des familles françaises ayant eu recours à la GPA au Mexique sont bloquées. L’APGL dénonce une atteinte grave au droit au respect de la vie familiale.
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L’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA) vient d’approuver le lenacapavir, un traitement administré par voie injectable sous-cutanée deux fois par an, dans la prophylaxie pré-exposition (PrEP) contre le VIH. Ce médicament, produit par le laboratoire américain Gilead Sciences, représente une avancée majeure dans la lutte contre le VIH et promet de réduire significativement le risque d’acquisition du VIH chez les adultes et les adolescents. Le lénacapavir représente une innovation médicale en prévention du fait de son mode d’administration, ce qui représente un espoir pour des millions de personnes qui ont des difficultés à prendre un traitement oral quotidien en prévention.
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Dans le cadre des Semaines nationales de la Santé Sexuelle en Occitanie 2025
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Découvrez les recommandations de prise en charge des IST réalisées en collaboration par l'ANRS MIE et le CNS et labellisées par la HAS
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L'avancée en âge inquiète parfois les quinquagénaires. Et si tout n'était qu'une question d'adaptation?
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Le Planning familial a alerté, mi-juin, sur les difficultés financières qu'il rencontre partout en France. Dans l'Ouest, plusieurs de ses antennes départementales ont été contraintes de renoncer à des animations dans les lycées.
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[VIDÉO] ▶️ Les piqûres sauvages signalées lors de la Fête de la musique ne peuvent pas transmettre le VIH, rassure ce mercredi Sida Info Service. De nombreuses victimes s'en inquiètent et cherchent à recevoir un traitement contre ce virus. Le produit contenu dans ces seringues n'a pas été identifié depuis le début du phénomène, il y a près de 4 ans. - Piqûres sauvages lors de la Fête de la musique : existe-t-il un risque de transmission du VIH ? (Santé et bien être).
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vih
Depuis quelques années, la répétition des catastrophes naturelles a produit des études qui décrivent la chaîne de causalité liant les événements météorologiques extrêmes et la santé des populations. C’est l’objet de la revue de littérature réalisée par Collins Iwuji, centrée sur les interruptions des services VIH.
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Sida Info Service est sollicité concernant les “piqûres sauvages”, notamment lors de festivals. Ces actes suscitent une inquiétude sur la transmission du VIH.
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Dans la nuit de samedi à dimanche, 145 personnes ont dénoncé des piqûres de rue aux forces de l’ordre et 12 suspects ont été interpellés. Félix Lemaître, auteur du livre «la Nuit des hommes», analyse ce phénomène. Au milieu de la nuit, les piqûres. Sur les réseaux sociaux, avant la Fête de la musique, ce samedi 21 juin, des appels à «piquer les femmes» ont circulé, suscitant de vives inquiétudes et entretenant une forme de psychose née au sortir du confinement. Au total en France, 145 personnes ont dénoncé ce type d’événement aux forces de l’ordre au cours de la soirée et 12 suspects ont été interpellés.
A Paris, trois enquêtes ont été ouvertes après qu’une mineure de 15 ans et deux majeures ont signalé avoir été victimes d’actes de ce type et prises de malaises dans trois lieux différents, a annoncé le parquet. «Certaines victimes ont été prises en charge dans des hôpitaux afin de subir des analyses toxicologiques», a précisé le ministère de l’Intérieur, sans que l’on sache, pour l’heure, si des drogues ont été administrées. Félix Lemaître est journaliste et auteur du livre la Nuit des hommes : une enquête sur la soumission chimique (ed. JC Lattès, 2024). Il revient pour Libération sur les causes de l’expansion des «piqûres de rue». L’édition 2025 de la Fête de la musique a été marquée par cette inquiétude autour des piqûres de rue. Comment distinguer la psychose de la réalité ?
Dans le contexte post-Covid, il y a eu plus de 2 100 plaintes et personne n’a été arrêté. On pourrait dire que c’est un délire total, mais c’est plus complexe que ça. La rumeur disait qu’on injectait des produits, or c’est très peu vraisemblable de percer la peau et d’injecter en aussi peu de temps. Ce qui est privilégié par l’Agence nationale de santé et du médicament (ANSM), c’est la piste des violences volontaires : on pique sans produit, mais le but est de semer la peur. Il y a donc quelque chose de réel : quand on vous pique, vous vous demandez si vous ne tombez pas malade, vous devez attendre les résultats de ces tests, ça a de vraies séquelles psychologiques.
Pourtant, des témoignages décrivent des symptômes, des malaises, des évanouissements… Dans ce qu’on a vu dans les cas de 2022, il n’y a pas eu de substance retrouvée et la plupart des symptômes venaient des produits consommés par les personnes elles-mêmes, que ce soit drogue ou alcool. Ces piqûres vont vous déstabiliser, créer de l’angoisse, parfois des bad trips quand vous avez pris de la drogue. Mais il faut être prudent avec ces affirmations, car le GHB reste par exemple très peu de temps dans le sang. Le phénomène est-il récent ? Ça peut vous surprendre, mais c’est en 1819 que l’on trouve trace, pour la première fois, de piqûres dans la rue. Ça a commencé en Angleterre, c’est arrivé en France un petit peu plus tard. La différence, c’est que ce n’était pas avec des seringues, mais avec des cannes au bout piquant, que les hommes s’amusaient à piquer des femmes dans les rues de Paris. Ça a duré jusqu’en 1823. On sortait alors d’une période, pendant la Révolution, lors de laquelle les femmes ont réussi à s’imposer dans l’espace public, à mener des débats. Elles en ont assez vite été chassées ensuite et elles n’ont plus eu le droit de vote, ni de se réunir. Il y a eu un retour réactionnaire après leur émancipation. J’ai la sensation que c’est la même chose aujourd’hui.
Ce serait donc l’expression d’un masculinisme ? Avec les messages qui circulent sur les réseaux sociaux, on constate que ça devient de plus en plus planifié. Dans mon livre, je parle de la soumission chimique avec des phénomènes de solidarité masculine et des tutoriels pour apprendre à violer des femmes. En Allemagne, il y avait eu un groupe Telegram avec plus de 70 000 hommes qui s’échangeaient des trucs et astuces. Ce qu’on a vu ce week-end rentre dans ce cadre-là. C’est l’idée de faire comprendre aux femmes que l’espace public n’est pas un lieu où elles peuvent être insouciantes. Je pense que ça rentre dans ce contexte, d’autant que par les réseaux sociaux, il y a de plus en plus d’hommes qui sont exposés aux thèses masculinistes.
Existe-t-il des solutions ? L’application Safer permet de déclarer si une piqûre potentielle a été localisée. Des bénévoles essayent de venir le plus vite possible, avec parfois une prise en charge psychologique.
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Des nombreuses internautes affirment que l'OMS vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérogènes et alertent leur communauté sur les réseaux sociaux. Mais faut-il vraiment avoir peur de la pilule ?
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The human interaction with mpox has changed across its entire endemic range, revealing the endemic and pandemic risk of monkeypox virus and the current knowledge gaps on its biology that hamper virus control.
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youtu
Le lundi 3 juin 2025, l’ENIPSE a organisé son premier webinaire dédié à la thématique du chemsex, à destination de ses partenaires commerciaux. Cet événement visait à proposer une compréhension claire et structurée de ce phénomène, en constante évolution. Quatre personnes expertes sont intervenues afin d’éclairer les enjeux liés au chemsex, de permettre une meilleure identification des situations à risque et de fournir des clés d’action adaptées, dans une approche fondée sur la bienveillance, la sécurité et le respect des personnes concernées. Des temps d’échange ont permis d’approfondir les sujets abordés et de répondre aux interrogations des participant·es. Le replay de ce webinaire est désormais disponible, afin de permettre aux personnes n’ayant pu y assister de bénéficier de ces apports essentiels. Les équipes de l’ENIPSE restent mobilisées et à l’écoute pour accompagner leurs partenaires sur ces questions de santé publique.
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