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La France avait voté l'interdiction des vols intérieurs courts sur son territoire en 2021, mais la loi entre en vigueur ce mardi sur trois liaisons aériennes seulement. Une plainte avait été déposée par une partie du secteur aérien, qui a retardé son entrée en application. Dans les faits, les trois liaisons concernées, reliant l'aéroport de Paris-Orly à Lyon, Nantes et Bordeaux, ne sont déjà plus desservies par l'avion depuis quelque temps.
Donner aux élus des collectivités territoriales la parole pour identifier et résoudre les difficultés d’application concrètes de l’objectif de "zéro artificialisation nette" de la loi Climat-Résilience : c’est le but de la consultation en ligne des élus locaux lancée par le Sénat.
Le 27 avril a été publié, au Journal officiel, le décret relatif à la compensation des émissions de gaz à effet de serre des vols intérieurs, introduit par l’article 147 de la loi climat et résilience.
La loi Climat et Résilience n’a pas gravé directement dans le marbre les objectifs de verdissement des véhicules utilisés par les plateformes de livraison de marchandises (par exemple pour la livraison de repas) mais renvoyé au décret le soin de définir, notamment, un seuil minimal de travailleurs à partir duquel l’obligation s’applique et les taux de cycles, y compris à pédalage assisté, et de véhicules motorisés à deux ou trois roues à très faibles émissions à respecter. C’est précisément l’objet d'un décret paru ce 5 avril, qui retient le seuil de 50 travailleurs exerçant une activité de livraison de marchandises par l’intermédiaire de plateformes pour déclencher le dispositif prévu par l'article 114 de la loi Climat et Résilience et construit sur le modèle de celui existant pour les plateformes de mise en relation des taxis et VTC.
Les terrasses des cafés, bars ou restaurants en France ne peuvent désormais plus être chauffées ni climatisées, en application d'une loi visant à lutter contre le dérèglement climatique. GEO avec AFP Publié le 01/04/2022 à 17h40
L’interdiction des terrasses chauffées ou climatisées devient effective ce 31 mars avec la publication d’un décret attendu de la loi Climat et Résilience. Y échappent toutefois les activités foraines et circassiennes, les évènements locaux ponctuels sportifs, culturels, festifs, cultuels ou politiques et à certaines conditions les terrasses couvertes et entièrement étanches des cafés et restaurants
Avec un taux proche de 60% de textes réglementaires pris, la loi Énergie-Climat ne peut pas encore prétendre à sa pleine applicabilité. Les retards induits par le contexte de crise sont cependant en passe d’être rattrapés grâce à un échéancier de publication qui devrait s’accélérer au premier trimestre 2021.
Le Gouvernement a décidé de rendre public l'avis rendu par le Conseil d’État sur un projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et ses effets
La loi traduisant les propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC) a été présentée ce 10 février en Conseil des ministres. A côté des dispositions visant à lutter contre les passoires thermiques et l’artificialisation des sols, le texte comporte des mesures en droit pénal de l’environnement, susceptibles de s’appliquer aux entreprises du BTP.
C'est un texte "quasiment identique" à l'avant-projet de loi qui a été présenté, le 10 février, en Conseil des ministres. Le projet de loi, qui reprend une partie des propositions de la Convention citoyenne, porte des modifications importantes du droit concernant les logements énergivores, et l'artificialisation des sols. Tour d'horizon des mesures qui concernent le BTP
Adopté ce 10 février en conseil des ministres, le très attendu projet de loi "portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets" entend rendre "crédible" l'atteinte de l'objectif de réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 1990. Avec ses 69 articles répartis en six titres - consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger, se nourrir et renforcer la protection judiciaire de l'environnement -, le texte issu des propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC) compte selon le gouvernement "ancrer l'écologie dans la société française" et faire "le dernier kilomètre de la transition écologique". Mais il reste la cible de nombreuses critiques pour son "manque d'ambition".
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Vous avez également souligné la difficulté des communes tiraillées entre la nécessité de construire des logements sociaux et celle de réduire les espaces de construction. Rappelons que les écarts de densité sont très importants en France selon les territoires. Et je n’oppose pas uniquement les habitations collectives aux maisons individuelles et aux pavillons. Certains programmes de construction de maisons individuelles aboutissent à des densités comparables à celles de petits immeubles collectifs. À l’inverse, certains immeubles collectifs entourés de vastes espaces peuvent afficher des densités comparables à celles de zones pavillonnaires. La façon de construire est déterminante. À cet égard, le soutien en matière d’ingénierie du Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) et de l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) permet d’accompagner chaque commune.
Les deux décrets d’application du 29 avril 2022 permettent, en complément de la loi Climat et résilience, d’y voir plus clair en termes de traduction de l’objectif ZAN dans les documents de planification spatiale. Intercommunalités de France propose une présentation des principales dispositions, disponible en téléchargement.
Le 5 avril 2022 a été publié au Journal officiel le décret d’application modifiant le code de l’environnement quant au verdissement des véhicules utilisés dans la mise en relation par les plateformes de livraison de marchandises.
La plateforme d’échange des données environnementales de l’Ademe simplifie la transmission des "Informations GES" par les transporteurs routiers. Cette obligation a été renforcée par la loi Climat et résilience.
Il est interdit de chauffer ou climatiser les terrasses des cafés, bars et restaurants, ou de tout espace public extérieur, depuis le 31 mars 2022. Un décret met en œuvre cette disposition de la loi portant lutte contre le dérèglement climatique, issue d'une proposition de la Convention citoyenne pour le climat visant à réduire la consommation d'énergie.
Prise en application de la loi Énergie-Climat de 2019, l'ordonnance définissant un cadre de soutien et de traçabilité de l'hydrogène renouvelable et bas-carbone a été publiée au Journal officiel ce 18 février.
Après la rénovation énergique des bâtiments, deuxième volet de notre série thématique sur le projet de loi Climat et Résilience, avec les dispositions concernant les mobilités. Dans le prolongement de la loi d'orientation des mobilités (LOM), le texte présenté en conseil des ministres ce 10 février entend amplifier la mutation des déplacements du quotidien en promouvant les alternatives à la voiture individuelle et la transition vers un parc de véhicules moins carbonés, tout en modifiant les modes d’organisation du transport en ville, avec notamment la création de zones à faibles émissions pour les agglomérations de plus de 150.000 habitants. Il encourage aussi le recours au train plutôt qu’à l’avion en interdisant les vols domestiques quand une alternative ferroviaire existe en moins de 2h30.
Issu des travaux de la Convention citoyenne pour le climat, le projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience face à ses effets a été présenté en Conseil des ministres mercredi 10 février 2021. Cette loi ancre l’écologie dans notre société : dans nos services publics, dans l’éducation de nos enfants, dans notre urbanisme, dans nos déplacements, dans nos modes de consommation, dans notre justice. Elle modifie en profondeur nos modes de vie.
Les organisations professionnelles du transport routier et de la logistique ont estimé que le projet de loi "Climat et Résilience," présenté le 10 février en conseil des ministres, était "un non-sens (...), inefficace sur le plan environnemental et dangereux au plan économique
La mission d’information sur la rénovation thermique des bâtiments, constituée en juin 2020, a remis son rapport à l’Assemblée nationale ce 10 février. Une cinquantaine de propositions y sont formulées, pour passer d’une rénovation par petits gestes à une rénovation globale et performante, renforcer les outils techniques et financiers existants et les inscrire dans une stratégie pluriannuelle
« C'est une loi ambitieuse et riche dont le Gouvernement n'a pas à rougir », vante Matignon. Cette loi, c'est celle issue des propositions de la Convention citoyenne pour le climat que la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, présente ce mercredi 10 février en Conseil des ministres.
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