Regards croisés sur la transition écologique

Le ministère des Transports va relever le plafond d’exonération de plusieurs primes versées par les entreprises à leurs salariés pour leurs déplacements domicile-travail.

Pilotée par la Métropole TPM, selon une méthodologie certifiée par le CEREMA (Centre d’Études et d’expertise sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement), cette étude réalisée auprès de 15 500 personnes avait pour objectif de mieux connaître les pratiques de déplacements en semaine et le week-end pour mieux organiser la mobilité de demain.

He specifically introduced EMC2 method defined by Cerema to know the daily movements at the territory level, which have been carried out in France for fifty years and whose results are comparable across time and space. EMC2 surveys provide different types of information: fashion movement, models movement, profile people (age, gender, socio-professional category, etc.), energy consumption And pollution issued.

Les capteurs installés permettent d’identifier les types de véhicules (voitures, camions, bus) circulant sur le campus, de repérer les voies les plus fréquentées et les trajets les plus empruntés. Ce à quoi s’ajoutent des données vidéo, des données du Cerema, etc.

Métropole Savoie lance une enquête d’envergure pour connaître les déplacements quotidiens des habitants. Elle concerne tant les trajets professionnels que de loisirs.

Cela faisait près de quinze ans qu’une enquête sur les habitudes en termes de mobilités n’avait pas été menée à l’échelle de Métropole Savoie. Une mise à jour s’imposait ! La structure, qui couvre les territoires des trois intercommunalités de Grand Lac, Grand Chambéry et Cœur de Savoie, a lancé le 1er mars, et jusqu’au 7 mai, une grande enquête « mobilités ». Elle étend son périmètre à l’Avant-Pays savoyard, couvrant ainsi 62 % de la population de la Savoie.

Avec le Covid et les différents confinements successifs est né un besoin quasi vital de redonner un visage humain aux villes, et spécialement aux grandes villes. Le concept de la "ville des minutes" répond à de nombreux critères désormais mis en avant en pleine crise sanitaire. Qu'il s'agisse de la ville du quart d'heure de dix minutes ou même d'une minute, l'objectif est de faciliter le quotidien des habitants urbains, de réduire leur temps de trajets, leur impact carbone, tout en créant du lien social. Voici l'épisode 12 du Calendrier de l'Après, notre cahier de tendances 2022.

La mobilité reste un sujet épineux pour les habitants des quartiers prioritaires qui, en moyenne, « effectuent moins de déplacements que les autres, et sur de plus courtes distances », relève Nicolas Juste, doctorant au Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) et auteur d’une étude sur le sujet en 2019. Y compris dans une ville moyenne comme Angoulême. « Pour beaucoup de jeunes, sortir de la cité reste compliqué », confirme Céline Vénérant, responsable de la Maison des habitants de Basseau, le quartier qui a accueilli le premier des trois ateliers en août

Au Vigan (3 800 habitant·es), commune nichée au cœur des Cévennes gardoises, le seuil de qualification de 30 réponses a été vite atteint, et il y en a actuellement plus de 50. La commune, qui est peu desservie par les transports en commun, a un vrai problème de mobilité, comme beaucoup de zones rurales. Elle est en train d’étudier un plan de circulation favorable aux modes actifs de manière concertée et co-construite à l’échelle intercommunale, une première en France. Cette étude est pilotée par le Cerema (Bureau d’études des Collectivités) en collaboration avec le Collectif Vélo Occitanie et l’association locale Cyclopédie en pays viganais. L’étude est subventionnée par l’Ademe (Agence de la Transition Énergétique) et la Communauté de Communes du Pays Viganais.

En 2019, un tiers des personnes en emploi vivent dans une commune rurale. Parmi elles, plus de la moitié travaillent dans une zone urbaine. Souvent éloignées des réseaux de transport et des pôles d’emploi, elles réalisent le plus souvent les trajets en voiture

Si l’apport bénéfique de la végétalisation en milieu urbain fait consensus, chaque échelle de verdissement compte, notamment au niveau des déplacements quotidiens : domicile-travail, domicile-école, domicile-simple promenade vers des services de proximité (pour les plus âgés notamment), etc. Rappelons que la voiture est utilisée dans 52,9 % des trajets, y compris pour ceux inférieurs à 2 kilomètres (soit moins de vingt minutes de marche ou moins de cinq minutes à vélo).

Pilotée et rédigée par le Cerema, cette nouvelle série de fiches techniques – intitulée « Données de mobilité pour la modélisation des déplacements » – fournit un panorama des données disponibles pour la modélisation. Elles donnent des critères d’analyse de la pertinence d’une source de données en illustrant son mode de collecte, les informations sur la source de données et comment sont traitées ces données (biais connu, intégration dans un modèle…). Issues des objets connectés comme les GPS ou les smartphones, ces nouvelles données permettent de tracer les déplacements de manière moins contraignante pour les usagers que les dispositifs classiques d’enquête en renseignant le détail des itinéraires.

Présentée ce 4 novembre, une étude réalisée par l'association Qualité Mobilité pour le compte de la Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut) analyse les facteurs déterminant l'usage des différents modes de transport dans 47 grandes villes françaises. Elle montre que si l'urbanisme conditionne largement la manière dont les habitants se déplacent, de nombreux autres facteurs complémentaires entrent en ligne de compte, d’où la nécessité de travailler sur tous les tableaux et dans la durée.

Les premiers résultats du baromètre de la mobilité post-Covid réalisé par l’Ifop pour le Cerema et l’Ademe viennent de tomber : les Français ont pris le pli du télétravail, se déplacent davantage mais autrement. Un quart a abandonné l’abonnement aux transports collectifs. Et l’institut Paris Région révèle que le télétravail n’a pas apporté les bénéfices escomptés sur les conditions de transport des salariés en Ile-de-France.

L’autorité organisatrice a confié ce travail à la société Alyce qui bénéficiera de l’appui technique du Cerema

Cette enquête, certifiée par le Cerema (Centre d’Etudes et d’Expertise sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement), garant d’une méthodologie nationale, sera menée auprès de 15 000 habitants tirés au sort dans les 453 communes qui composent l’aire urbaine toulousaine.

Cette mesure concerne les personnes qui déclarent leurs dépenses en déplacements au frais réel et qui payent l'impôt sur le revenu, soit 2,5 millions de foyers.