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1,5 million d'animaux tués par le plastique chaque année, 89 milliards de bouteilles plastiques d'eau vendues tous les ans, un milliard de pailles non recyclables jetées chaque jour... Les chiffres donnent le tournis. Face au danger mortel qu’est le plastique pour l’environnement et la biodiversité, Novethic vous propose chaque semaine de découvrir une nouvelle facette de ce matériau omniprésent.
En baie de Somme (Picardie), la densité des poissons a chuté de 80% en 30 ans, selon une étude de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) publiée dans la revue Global Change Biology.
Le climat, les pluies évoluent... et la ville aussi ! Comment mieux gérer ces eaux de pluie et éviter les risques d'inondations ? La réponse avec la ville de Crépy-en-Valois (60) pilote en gestion durable des eaux pluviales. Vous allez voir que les solutions "vertes" sont souvent plus efficaces et moins coûteuses que l'asphalte et le béton !
Le 10 juillet, 65 entreprises se sont engagées dans l’initiative Act4Nature. Lancée par "Entreprises pour l’environnement" (EpE) et soutenue par 20 partenaires parmi lesquels des réseaux d’entreprises, des ONG, des institutions scientifique et l’Agence française pour la biodiversité, cette initiative est destinée à protéger, valoriser et restaurer la biodiversité.
Un mammifère sur trois est menacé de disparition dans le Nord Pas-de-Calais. Comme un symbole, le hérisson a par exemple perdu 30 % de ses effectifs en moins de vingt ans. C’est dans ce contexte pas anodin que se tiennent à partir de ce mercredi et pour trois jours les 8e assises nationales de la biodiversité à Valenciennes, organisées par les Eco-maires et l’Agence française de la biodiversité.
Le maire EE-LV a changé l’image de cette ville industrielle, construite entre une centrale nucléaire et ArcelorMittal. Elle sert désormais de modèle à des élus belges venus s’inspirer de l’enclave verte du Nord.
L’IPBES, le « Giec de la biodiversité », vient de rendre publics ses cinq rapports lors de sa 6e session plénière qui s’est achevée le 24 mars à Medellín, en Colombie. À travers cette synthèse des connaissances scientifiques actuelles sur la biodiversité, les experts dressent un panorama alarmant de l’état du vivant et de la détérioration des sols, tout en proposant des pistes de solutions politiques.
Ce mardi 20 mars, le CNRS et le Musée national d’histoire naturelle publient deux études qui alertent sur la disparition massive des oiseaux des campagnes. Un déclin observé depuis plus de vingt ans et qui s’est notamment accentué depuis 2016.
C'est officiel : le décret qui crée l'Agence française pour la biodiversité a été signé par la ministre de l'Environnement le 23 décembre. Reste à savoir si, trois jours après l'adoption du projet de loi Finances 2017, les moyens seront à la hauteur des ambitions affichées par le gouvernement. "... L’Agence pour la biodiversité (AFB) verra donc bel et bien le jour, et ce dès le 1er janvier 2017. Créée par la loi pour la reconquête de la biodiversité, celle-ci regroupera quatre organismes : l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (Onema), l’Agence des aires marines protégées, l’Etablissement des parcs nationaux de France et l’Atelier technique des espaces naturels."
Via Bernadette Cassel, DocBiodiv, Centre de Doc de la MRES
Le « zéro phyto », c’est pour demain ! Au 1er janvier 2017, les collectivités n’auront plus le droit d’utiliser des pesticides, si ravageurs pour l’environnement. Sains-en-Gohelle a ouvert le débat, mais toutes les villes devront s’y mettre… si ce n’est pas déjà fait. Et en 2020, les particuliers aussi devront se convertir.
C’est désormais un rendez-vous régulier. Chaque année, les chercheurs participant à la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) rencontrent leurs collègues du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec). L’occasion de lancer des passerelles entre les mondes de la biodiversité et du climat. A l’agenda de ces troisièmes rencontres, qui se sont tenues à Paris le 13 octobre: la prise de décision. Ou comment faire comprendre aux politiques l’urgence du problème
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Les préfets peuvent désormais prendre des arrêtés de protection des habitats naturels n'abritant pas d'espèces protégées. Mais aussi prendre des arrêtés de protection de biotopes pour des milieux artificiels comme les carrières.
Les alertes n’en finissent plus de se succéder. Après le secrétaire général de l’ONU et les experts du Giec, le WWF révèle mardi 30 octobre son rapport Planète vivante, panorama de la biodiversité mondiale. Et encore une fois, l’ONG s’inquiète de la disparition de millions d’espèces en raison de la pression toujours plus forte des activités humaines sur la nature.
Les comités de bassin invitent les collectivités, entreprises, agriculteurs, associations ou encore personnalités publiques, à signer une charte d’engagement pour la préservation des ressources en eau et la protection de la biodiversité.
A l’issue de l’annonce de Nicolas Hulot ce jour, le Comité français de l’UICN se réjouit de l’accueil officiel du Congrès mondial de la nature de l’UICN en France, à Marseille en 2020.
Dans les Hauts-de-France, Philippe Frutier a deux décennies d'expérience dans le ciel, en tant que pilote et photographe. Aujourd'hui, il alerte sur l'état des champs.
Victoire pour les abeilles ! La Commission européenne vote enfin l'interdiction définitive de trois néonicotinoïdes, type de pesticides responsables de la mort des insectes pollinisateurs.
Ce déclin « catastrophique », d’un tiers en quinze ans, est largement dû aux pratiques agricoles, selon les études du CNRS et du Muséum d’histoire naturelle
Michel Lalande, préfet de la région Hauts-de-France, préfet du Nord, a présidé la séance du conseil d’administration de l’Agence de l’Eau Artois-Picardie ce vendredi 16 mars 2018, aux côtés de Bertrand Galtier, directeur général de l’Agence.
Réponse de Dominique Hays qui préside le Réseau Cocagne.
La biodiversité mondiale ne semble jamais avoir été si mal en point. La population des espèces vertébrées mesurées par l'IPV a diminué de moitié sur les 40 dernières années.
L’Indice Planète Vivante (IPV), qui mesure l’évolution de milliers de populations d’espèces vertébrées, a enregistré un déclin de 52 % entre 1970 et 2010.En d’autres termes, le nombre de mammifères, d’oiseaux, de reptiles, d’amphibiens, et de poissons sur le globe a, en moyenne, diminué de moitié en 40 ans. Ce recul, beaucoup plus marqué qu’annoncé précédemment, s’explique par l’ajustement des pondérations utilisées dans la méthodologie. Cet ajustement est motivé par le souci d’une meilleure représentativité de la biodiversité planétaire.
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