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Networking in Toulouse - Réseautage de la Ville Rose
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November 16, 2022 5:09 AM
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Toulouse classée deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude

Toulouse classée deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude | Toulouse networks | Scoop.it

Toulouse se classe comme la deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude. En Europe, la Ville rose est classée au 41ème rang.

 

Toulouse se classe comme la deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude dévoilée par HelloSafe, une plateforme qui se définit comme « leader de la comparaison de produits financiers (assurances, crédits, placements) en France ».

 

Paris intouchable 

« Quelles sont les villes françaises les plus propices au développement des startups en 2022 ? En nous plongeant dans l’immense base de données de Startup Blink*, nous avons pu dresser un panorama des meilleures endroits en France où développer une startup », explique l’équipe de HelloSafe. 

Et sans surprise Paris (avec un score de 52 877 points) est en 2022 – et de loin – la meilleure ville française pour les startups. La capitale française intègre cette année le cercle très fermé du top 10 mondial (10e, 1 place de gagnée par rapport à 2021) et le podium européen (2e, seulement devancée par Londres). Paris est par ailleurs le seul représentant français parmi le top 40 européen. 

 

Toulouse devant Lyon et Marseille 

Derrière l’intouchable Paris, on retrouve donc Toulouse (4974 points), qui obtient une jolie  deuxième place au classement national. En revanche, au niveau européen, la Ville rose recule de six places par rapport à 2021 et se classe ainsi au 41e rang. 

 

Derrière Toulouse (2e), on retrouve Lyon (3e), Marseille (4e), Nantes (5e), Lille (6e) et Bordeaux (7e). 

Voici le top 20 des meilleures villes françaises pour les startups en 2022 : 

 

"https://static.actu.fr/uploads/2022/11/classementstartups-960x640.jpg"

 

Le classement des meilleures startups en France. (©HelloSafe)

  • Le classement annuel de Startup Blink des meilleurs pays et villes pour les startups est basé sur 3 grandes familles de critères (Quantité, qualité, environnement des affaires), mis à jour chaque année et qui permettent à cet organisme d’établir un top 100 des meilleurs pays et un top 1 000 des meilleures villes pour les startups dans le monde.

 

 

Par Gabriel Kenedi

Publié le 14 Nov 22

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January 18, 2022 9:22 AM
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Ces licornes potentielles qui ne sortent pas du bois

Ces licornes potentielles qui ne sortent pas du bois | Toulouse networks | Scoop.it
Si on a officiellement atteint ce lundi le cap des 25 licornes avec trois ans d'avance sur l'objectif fixé, en 2019, par Emmanuel Macron, le nombre de startups tricolores valorisées plus d'un milliard d'euros pourrait être encore supérieur. Explications
 

Espèce rare mais qui prolifère à un rythme effréné, la licorne française, du nom de ces startups non cotées en Bourse et valorisées plus d’un milliard (de dollars ou d’euros), est au cœur de l’actualité économique de ce début d’année 2022.

En seulement deux semaines, Payfit (logiciel RH et de paie) et Ankorstore (marketplace connectant les marques avec les commerce indépendants) ont rejoint ce cercle fermé. Ce lundi, c'est Exotec (systèmes logistiques robotisés appliqués à la logistique) qui est devenu officiellement la 25e licorne française.

 

Ce chiffre n’est pas anodin puisqu’il correspond à l’objectif fixé, en septembre 2019, par Emmanuel Macron… à horizon 2025 – avant d’assurer en juin dernier que ce cap serait "largement dépassé". Entre-temps, Qonto (néobanque) et BackMarket (marketplace spécialisée en objets informatiques reconditionnés) ont établi deux nouveaux records de valorisation pour des licornes françaises en une seule journée, mardi dernier, respectivement à 4,4 et 5,1 milliards d’euros. À elles cinq, BackMarket, Qonto, Payfit, Ankorstore et Exotec ont ainsi levé 1,795 milliard d’euros (1,44 avant Exotec) depuis le 1er janvier.

Certaines startups préfèrent ne pas communiquer après de grosses levées de fonds

Bref, une certaine frénésie règne sur le marché français du capital-investissement. Pour des motivations qui leur sont propres, certaines sociétés préfèrent toutefois ne pas communiquer sur leur valorisation à l’issue de grosses levées de fonds.

C’est notamment le cas de DNA Script, pionnier de l'impression d'ADN à la demande, qui a annoncé l’extension de son tour de table de série C, dont le montant total a été porté à 200 millions de dollars (172 millions d’euros). S’il n’y a pas de règle absolue en la matière, une levée de fonds de série C (souvent la dernière) implique généralement la cession d’une part comprise entre 10 et 15% du capital. À titre d’exemple, Ankorstore a échangé 14,3% du sien contre du cash lors de son tour de table de série C bouclé le 10 janvier dernier. Si l’on s’en tient à cette fourchette de 10 à 15%, la valorisation de DNA Script serait comprise entre 1,15 et 1,72 milliard d’euros, ce qui ferait d’elle une licorne – et la société biotechnologique française la mieux valorisée. Il faudrait ainsi qu’elle ait vendu plus de 17,2% de son capital pour que sa valorisation ne dépasse pas un milliard d’euros.

BackMarket, Payfit et Qonto ont respectivement cédé 11%, 8,8% et 14% du leur lors de leur récent tour de table, qui étaient des levées de fonds de série D pour le premier cité et E pour les deux autres. Outre DNA Script, d’autres licornes potentielles se cachent donc peut-être parmi le vaste écosystème de la French Tech.

Une liste (non-exhaustive) de ces entreprises potentiellement déjà valorisées plus d’un milliard d’euros

Ornikar: Membre du Nex40 comme Back Market, Qonto ou Payfit, Ornikar est une auto-école en ligne, permettant de réviser le code de la route ainsi que de réserver des cours de conduite. Le groupe, fondé en 2013 et qui compte notamment Xavier Niel parmi ses actionnaires, revendique près de 2,5 millions d’utilisateurs depuis sa création, et prépare plus de 35% des conducteurs à l’examen du code de la route en France. Il a levé 100 millions d’euros en série C lors d’un tour de table mené par le fonds KKR (avec le soutien de Bpifrance notamment) en avril 2021 afin, entre autres, de "poursuivre son développement en France et à l’international" (sous la marque Onroad) et "d’élargir sa gamme de services aux conducteurs". Ornikar s’est notamment lancé sur le marché de l’assurance automobile en 2020

"Nous ne sommes pas encore une licorne, mais nous n'en avons jamais été aussi proches", se réjouissait son patron et fondateur à l’issue de la dernière levée de fonds.

S’il n’y en a pas eu de nouvelle depuis, cela ne veut pas pour autant dire que la valeur théorique de l’entreprise n’a pas augmenté au cours des 9 derniers mois.

Younited Credit: Anciennement Prêt d'Union, Younited Credit est une "fintech" spécialisée dans le crédit à la consommation qui a levé 170 millions de dollars (144 millions d’euros) le 8 juillet 2021, lors d’une opération qui a notamment vu entrer Goldman Sachs à son capital et porté à 400 millions de dollars le montant des fonds récoltés depuis son lancement en 2012. Si la startup ne communique pas sur sa valorisation, l’Agefi croit savoir que celle-ci flirtait déjà avec le seuil du milliard de dollars de valorisation en décembre 2020. Les fonds récoltés en juin dernier devaient lui servir à consolider sa présence en Europe, notamment en Italie, Espagne, Allemagne et au Portugal, 4 pays représentant 40 % des revenus (produit net bancaire), et lui permettre de déployer son offre B2B pour conquérir de nouveaux marchés et étoffer son réseau de partenaires avec le lancement d’un moyen de paiements dédié aux e-commerçants (Younited Pay). À l’issue de son dernier tour de table, Younited Credit indiquait avoir déjà octroyé plus de 2,6 milliards d’euros de crédits depuis sa création.

Spendesk: Autre candidat potentiel au statut de licorne, Spendesk a développé une plateforme de gestion des dépenses (notes de frais, factures, etc.) à destination des entreprises, et a levé 100 millions en série C en juillet 2021 "pour accélérer le déploiement à l'ensemble des entreprises en Europe". Fondée en 2016, la société compte plus de 3.000 clients (parmi lesquels d’autres membres de la French Tech comme ManoMano et BackMarket), et se félicitait d’avoir doublé ses revenus et son nombre de collaborateurs (passé de 150 à 300) en 2020. Déjà implanté à Paris, Londres, Berlin et San Francisco, le groupe a encore l’intention de doubler ses effectifs d’ici fin 2022.

Ynsect: Assurément l’une des startups les plus attendues au tournant, le spécialiste de l’élevage d’insectes puis de leur transformation en ingrédients à destination de l’alimentation animale a annoncé avoir porté son financement de Série C à 372 millions de dollars en octobre 2020, "soit la levée de fonds la plus importante jamais réalisée par une entreprise non américaine dans le secteur agricole", se targuait-il alors, sans dévoiler sa valorisation. Cette manne a permis au groupe de finaliser la construction de la plus grande ferme (verticale) d’insectes au monde à Amiens, dont la production est estimée à 100.000 tonnes par an, ainsi que de se développer en Amérique du Nord. S’il a réalisé un chiffre d’affaires de 10,5 millions d’euros en 2020, Ynsect indique avoir déjà signé des contrats d’une valeur globale de 105 millions de dollars avec des clients tels que Torres, Skretting ou Compo Group.

Parmi les autres licornes potentielles, ou qui pourraient le devenir bientôt, on peut également citer le néoassureur Leocare, qui a levé 100 millions d’euros (série B) en novembre dernier avec l’Espagne en relais de croissance dans le viseur, ou encore l’ovni Sunday (solution de paiement par QR Code), lancé par le fondateur du groupe de restauration Big Mamma, parvenu à récolter 100 millions d’euros lors de la plus grosse série A jamais réalisée en France, en septembre dernier, soit 6 mois seulement après sa création. Ce dernier revendique déjà plus d'un million d'utilisateurs et plus de 1.500 partenariats avec des restaurants.

Dans la catégorie des startups qui ne perdent pas de temps, Verkor (société grenobloise de batteries électriques) a levé 100 millions d’euros en juillet dernier, soit moins d’un an après sa création. Le groupe compte notamment Schneider Electric, Renault ou Capgemini parmi ses partenaires et actionnaires.

Certaines licornes resteront cachées

Mais parmi toutes ces candidates au statut de licorne, certaines pourraient choisir de ne pas le revendiquer. En effet, certaines sociétés préfèrent ne pas communiquer sur leur valorisation à l’issue de grosses levées de fonds. D’abord pour des questions de confidentialité. Certains investisseurs préfèrent rester dans l’ombre, pour protéger leurs intérêts personnels.

Parmi les biotechs, certaines startups préfèrent aussi attendre le feu vert des autorités sanitaires avant de communiquer sur leurs levées de fonds. D’autres préfèrent pérenniser leur modèle économique avant d’annonce le milliard de capitalisation. C’est bien d’être une licorne, encore faut-il ne pas s’effondrer quelques mois après l’annonce.

Enfin, d’autres encore préfèrent passer sous les radars, on pense aux entreprises de cybersécurité. Car dans les faits, la licorne est un animal convoité mais qui n’apporte pas d’avantages financiers ou économiques. C’est avant tout de la communication, qui peut au final s’avérer pénalisante pour certaines entreprises.

 

 

Quentin Soubranne avec Nathan Cocquempot
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January 10, 2020 7:42 AM
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Avec Gogowego, entreprises et collectivités créent elles-mêmes leurs chatbots

Avec Gogowego, entreprises et collectivités créent elles-mêmes leurs chatbots | Toulouse networks | Scoop.it

La plateforme guide les entreprises et collectivités dans la fabrication de leurs chatbots.

 

La startup toulousaine Gogowego propose une plateforme qui permet de fabriquer son propre robot conversationnel, vocal ou textuel. Sa solution, du nom de Proximity, est déjà utilisée par des collectivités, des banques, et des entreprises telles qu'Orange ou EDF. Gogowego prépare une levée de fonds et travaille sur plusieurs projets dont la transformation des moteurs de recherche en chatbots.

 

La startup toulousaine Gogowego propose une plateforme qui permet de fabriquer son propre robot conversationnel, vocal ou textuel. Sa solution, du nom de Proximity, est déjà utilisée par des collectivités, des banques, et des entreprises telles qu'Orange ou EDF. Gogowego prépare une levée de fonds et travaille sur plusieurs projets dont la transformation des moteurs de recherche en chatbots.

Faire gagner du temps, c'est le credo de Gogowego. "Le défi du siècle c'est le temps. Les gens n'ont plus de temps à perdre, ils veulent le passer avec leurs proches et non à chercher des informations sur le web. J'estime que tout le monde a le droit à une réponse immédiate. Ainsi, l'accès à l'information doit être rapide, universel et naturel. Et cela passe par la parole", affirme Antoine Aamarcha, cofondateur de Gogowego avec Emilie Giraudo.

Cette startup toulousaine, éditrice de logiciel, a donc développé une plateforme qui permet de créer des agents conversationnels dotés d'intelligence artificielle. Nommée Proximity, la solution guide les entreprises et collectivités dans la fabrication de leurs chatbots, voicebots ou callbots.

"Nous donnons au client un accès à la plateforme, nous proposons des formations personnalisées de 3 à 5 jours pour lui apprendre à l'utiliser, nous l'aidons à mettre en place son chatbot sur différents canaux (applications mobiles, site web...) et ensuite à le déployer. Pas besoin d'être ingénieur pour le faire", détaille Antoine Aamarcha.

Et si les chatbots sont si simples à créer c'est parce qu'ils disposent de plusieurs cerveaux prédéfinis [...].

 

Par Héloïse Thepaut  

 
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December 1, 2019 4:39 PM
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Occitanie. EDF et Airbus Développement partenaires pour repérer et aider des start-up

Occitanie. EDF et Airbus Développement partenaires pour repérer et aider des start-up | Toulouse networks | Scoop.it

Gilles Capy, délégué régional EDF en Occitanie et Michel Sesques, président d’Airbus Développement.

 

EDF et Airbus Développement ont annoncé la semaine dernière la mise en place d’un partenariat pour sourcer et aider au développement des start-up innovantes sur le territoire d’Occitanie.

Déjà impliqués chacun de leur coté dans l’aide aux start-up, EDF et Airbus Développement (filiale à 100 % d’Airbus dédiée à l’accompagnement de projets) ont signé devant la presse une convention de partenariat pour repérer conjointement des start-up « à haut potentiel » en Occitanie, dans des secteurs communs aux deux groupes. « La maintenance prédictive par exemple, ou l’avion électrique, sont des domaines qui intéressent tout autant EDF qu’Airbus », explique Gilles Capy, délégué régional EDF en Occitanie.

Ce partenariat permettra de « mettre en place des tests ou l’intégration de services et technologies innovantes au sein d’Airbus Développement et d’EDF, en mettant en place des études de possibilité de financement internes et externes aux deux groupes, via notamment les dispositifs existants d’ Airbus Développement et EDF Pulse Croissance », poursuit Gilles Capy.

Tournée des incubateurs prévue début 2020

Les deux entreprises souhaitent également mettre en place une co-labellisation, sorte de super recommandation pour les start-up qui en bénéficieront, mais dont les critères d’obtention ne sont pas précisés, hormis le « caractère innovant » du produit ou service proposé.

Pour sourcer les start-up, EDF et Airbus Développement font faire le tour de plusieurs incubateurs et pépinières d’entreprise dès le premier semestre 2020, avec des visites prévues à la French Tech Perpignan en février, au Bic Crescendo de Tarbes et au CleanTech Booster (Nîmes) en mars, et en avril à Montauban. Aucun objectif chiffré n’est communiqué concernant le nombre de projets qui seront accompagnés ou financés par ce nouveau partenariat, mais sur les 20 entreprises rencontrées et conventionnées par Airbus Développement en 2019, une dizaine étaient également accompagnées par EDF. « On peut imaginer qu’Airbus Développement va monter à 30 startups accompagnées en 2020, dont une quinzaine avec EDF », estime Michel Sesques, président d’Airbus Développement.


Sophie Arutunian

 

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February 7, 2019 9:47 AM
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À quoi ressemblera la future Cité des startups à Toulouse ?

À quoi ressemblera la future Cité des startups à Toulouse ? | Toulouse networks | Scoop.it
La Région Occitanie a dévoilé le projet architectural de sa Cité des startups qui verra le jour à Toulouse en 2020, dans les anciennes halles de Latécoère. Ce site de 12 000 m2, dédié à l'innovation, sera un véritable pôle économique rassemblant plusieurs acteurs notoires de l'Occitanie. Présentation d'un projet à près de 33 millions d'euros.

"Avoir de la continuité dans l'histoire de l'innovation". C'est ainsi que Carole Delga, la présidente de la Région Occitanie, a justifié son choix d'implanter "sa" future Cité des startups au sein des anciennes halles de Latécoère, à Toulouse. Classée comme un patrimoine historique depuis 1997, cette friche industrielle de 12 000 m2 a par le passé hébergé diverses activités. C'est notamment là que Latécoère a construit les premiers avions Salmson en 1917. Mais d'ici deux mois, cet espace va entamer une transformation.

"Il est important d'avoir dans nos deux métropoles (Toulouse et Montpellier) des lieux accélérateurs de projets, dotés d'un fort esprit entrepreneurial. Pour Montpellier, cela sera la Cité des métiers de demain et Toulouse accueillera la Cité des startups", explique la présidente du Conseil régional Carole Delga.

Au delà d'un lieu consacré à l'innovation, cette Cité des startups sera un véritable pôle économique regroupant plusieurs acteurs de l'écosystème régional.

"Elle comportera un tiers-lieu doté d'un espace de coworking de 280 postes de travail, un FabLab de 600 m2, un espace événementiel et un coin restauration. Viendront aussi s'y installer les équipes de l'incubateur régional Nubbo et les équipes de notre agence de développement économique, Ad'Occ. Plus tard, elles seront rejointes par la direction des affaires économiques" a fait savoir Carole Delga.

La future façade de la Cité des startups et ses intérieurs ont été dévoilés (Crédits : Rémi Benoit).

Illustration de la future façade./ (Crédits : Taillandier Architectes Associées)

Livraison en deux parties

Si les travaux doivent débuter dans les huit semaines à venir au plus tard, seulement une partie du bâtiment ne sera livrée qu'en janvier 2020, à savoir le tiers-lieu et du FabLab, ce qui permettra l'arrivée des équipes de Nubbo et des premières startups. Mais dès la rentrée 2020, les équipes de l'agence Ad'Occ s'installeront en même temps que l'ouverture de l'espace restauration et conférences.

"La principale contrainte architecturale consiste à préserver le bâtiment comme il est classé, tout en glissant les nouvelles fonctions de la Cité des startups propres à l'économie du 21ème siècle. Ainsi, les espaces seront par exemple avec des grandes boîtes abritant des espaces de travail, en structure bois, afin de pouvoir évoluer dans le temps en lien avec le développement des startups qui seront hébergées ici", explique l'architecte du projet, Pierre-Louis Taillandier.

Par conséquent, en plus de l'investissement de 5,5 millions d'euros pour l'achat des bâtiments, la Région Occitanie a prévu une enveloppe de 27 millions pour les travaux, afin de mettre sur pied cette Cité des startups.

Les anciennes halles de Latécoère vont être transformées (Crédits : Rémi Benoit).

Projection du futur intérieur des halles de Latécoères./ (Crédits : Taillandier Architectes Associées)

Un nouveau nom prévu

Par ailleurs, cette dernière ne devrait garder cette appellation que pour quelques mois encore, le temps de lui trouver un nouveau nom, comme l'a confié Carole Delga, lors de la présentation du projet mercredi 6 février.

"Ce nom sera travaillé et décidé avec l'ensemble des acteurs de cet espace, quand ils seront sélectionnés".

En effet, la Région a récemment lancé un appel à candidatures pour déterminer les gérants et animateurs pour le tiers-lieu, mais aussi le FabLab. Pour ce dernier, après une pré-sélection, sont encore en lice le groupe spécialisé dans le tourisme industriel Manatour, et le FabLab Artilect. Pour ce qui est du tiers-lieu, la place se jouera entre Interfaces, At Home et le groupement d'entreprises Newton. Verdict dans les prochains mois.

 

@PierrickMerle

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September 18, 2018 3:27 PM
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Le Crédit Agricole 31 réinvestit 10 millions d'euros pour des prêts aux startups

Le Crédit Agricole 31 réinvestit 10 millions d'euros pour des prêts aux startups | Toulouse networks | Scoop.it

Première banque de Haute-Garonne, le Crédit Agricole 31 a mis en place depuis un an "une banque de l'innovation" composée de trois personnes chargées de conseiller des financements aux entreprises innovantes. Une cinquantaine de projets a déjà pu bénéficier de 8 millions d'euros de prêts et le Crédit Agricole prévoit une rallonge de 10 millions supplémentaires.

 

C'est une première en France au sein du réseau Crédit Agricole. Depuis un an, une banque de l'innovation est installée au sein de la pépinière de startups Village by CA sur les allées Jules Guesde à Toulouse. Concrètement, trois personnes dont deux chargées d'affaires sont spécialisées dans le conseil aux entreprises innovantes. "Pour les startups, c'est parfois compliqué de décrocher un prêt dans une banque traditionnelle. Ce sont des entreprises qui n'ont pas de bilan, peu ou pas de chiffre d'affaires. L'intérêt d'avoir des conseillers spécialisés est de mieux connaître leurs besoins", avance Nicolas Langevin, directeur général du Crédit Agricole 31.

Des prêts dédiés aux entreprises innovantes

Les conseillers dédiés peuvent aussi accompagner les jeunes entreprises dans l'obtention de prêts "innovation".

"Il s'agit de prêts sur une durée maximale de 84 mois (soit 7 ans) que les entreprises doivent commencer à rembourser au bout de trois ans. Ils s'adressent à des entreprises dont le stade de développement est suffisamment avancé pour permettre à terme le remboursement du crédit. Notre objectif n'est pas de surendetter les sociétés", ajoute le dirigeant.

"Trouver de nouveaux relais de croissance, hors aéronautique"

À l'origine, le conseil d'administration du Crédit Agricole 31 avait alloué une enveloppe de 10 millions d'euros sur deux ans pour ce type de financement. Mais en une seule année, 8 millions d'euros de prêts ont été accordés à une cinquantaine de projets parmi lesquels figurent Catspad (startup de 15 salariés qui vend un distributeur de croquettes pour chats) ou la plateforme de e-commerce Bricoprivé (PME de 170 salariés, 100 millions d'euros de chiffre d'affaires). La banque devrait voter lors d'un prochain conseil d'administration une rallonge de 10 millions d'euros supplémentaires à ce dispositif.

"L'aéronautique ne va pas rester l'éternel moteur de développement de Toulouse. Nous devons trouver de nouveaux relais de croissance. Toulouse étant l'une des villes avec le plus de créations de startups, il y a une carte à jouer pour nous", estime Nicolas Langevin.

Avec plus de 440 000 clients, le Crédit Agricole 31 reste la première banque de Haute-Garonne.

 

Par Florine Galéron                       

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September 1, 2018 8:41 AM
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Kyanos espère lever 3 à 5 millions d'euros en 2019 pour son usine de microalgues

Kyanos espère lever 3 à 5 millions d'euros en 2019 pour son usine de microalgues | Toulouse networks | Scoop.it

Vinh Ly a fondé en 2016 la biotech Kyanos.

 

La biotech toulousaine Kyanos a mis au point une technique pour cultiver une microalgue bleue, riche en protéines, qui peut servir à la fabrication de compléments alimentaires et équilibrer un régime vegan. Après avoir levé 200 000 euros en mai dernier, elle prépare un nouveau tour de table pour financer la construction d'une unité de production d'un hectare.

 

L'Occitanie pourrait bientôt devenir une région pionnière dans la production... d'une microalgue bleue. Moins connue que la spiruline, l'Afa est dotée de nombreuses vertus nutritionnelles qui peuvent pallier un régime végétarien ou vegan : "Elle contient de la vitamine B12 (que l'on retrouve principalement dans les viandes), des protéines mais aussi de la phycocyanine, au pouvoir antioxydant qui est un colorant bleu naturel", détaille Vinh Ly.

Une microalgue transformée en complément alimentaire

Cet entrepreneur toulousain, qui a passé 9 années à vendre des jets privés pour Airbus, s'est ensuite tourné vers la vente de compléments alimentaires. C'est par ce biais qu'il a fait la découverte des propriétés de la microalgue bleue. En 2016, Vinh Ly a fondé la biotech Kyanos qui développe une technique pour cultiver une microalgue bleue en intérieur. Il teste d'abord le procédé dans un conteneur maritime isotherme et stérilisé installé dans le hangar du Fablab de Toulouse.

Depuis, la startup de 3 personnes a déménagé au sein de la pépinière biotech de Toulouse Métropole sur le site de l'Oncopole. "Nous avons à notre disposition 80 m2. Nous produisons quelques kilos d'algues par an pour éprouver le procédé et fournir des échantillons aux clients que nous démarchons", précise Vinh Ly.

Kyanos cible en priorité les fabricants de compléments alimentaires qui pourront transformer la microalgues en poudre ou en gélules, ainsi que les réseaux de distribution en alimentation bio.

Une unité de production d'un hectare en projet

La startup a réalisé une première levée de fonds de 200 000 euros en mai dernier auprès de business angels toulousains en vue du dépôt de brevet et d'une extension de ses laboratoires de fabrication. Kyanos devrait commencer à commercialiser ses premiers produits d'ici la fin 2018 auprès de clients français.

"Nous prévoyons également un nouveau tour de table de 3 à 5 millions d'euros début 2019 pour financer le lancement d'une unité de production d'un hectare capable de fabriquer jusqu'à 10 tonnes par an d'algues bleues. Plusieurs sites sont à l'étude. Nous aimerions l'implanter de préférence en région Occitanie dans un lieu axé sur l'économie circulaire avec par exemple des systèmes de création de chaleur par la méthanisation", détaille l'entrepreneur.

"Ce sera la première usine au mon

de de production de cette algue bleue !" s'enthousiasme Vinh Ly.

 

Par Florine Galéron

 
 
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January 25, 2018 11:01 AM
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Un territoire digital : de l'expérience au réel

Présentation de l’écosystème numérique sur le territoire du Sicoval
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January 9, 2018 8:55 AM
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Série : les startups de la Région Occitanie débarquent au CES de Las Vegas

Série : les startups de la Région Occitanie débarquent au CES de Las Vegas | Toulouse networks | Scoop.it
60 startups participeront sous le pavillon de la Région Occitanie au CES de Las Vegas, le plus grand salon des technologies du 9 au 12 janvier 2018. À cette occasion, La Tribune Toulouse propose à ses abonnés tous les jours de la semaine prochaine une série de reportages consacrée à cet événement et à ces entreprises qui feront le déplacement dans le temple international de l’innovation.

60 startups occitanes s'apprêtent à s'envoler vers Las Vegas pour rejoindre le plus grand salon technologique au monde devenu le rendez-vous incontournable des petites et des grandes innovations. Toutes tenteront d'attirer l'attention des quelque 7500 journalistes et influenceurs du monde entier attendus sur place. Trois d'entre elles ont confié à nos journalistes leurs motivations et leur fierté de participer à un tel événement. Leur portrait est à découvrir dans les colonnes de La Tribune Toulouse à partir du 8 janvier et tout au long de la semaine.

Quel impact pour les startups ?

La délégation de La Région Occitanie sera emmenée par Nadia Pellefigue, vice présidente du conseil régional en charge du développement économique qui dans un entretien qu'elle a accordé à La Tribune Toulouse revient sur les nouveaux dispositifs spécialement dédiés à l'accompagnement des startups sur l'ensemble de leur phase de développement.

 

Lire aussi : Nadia Pellefigue dévoile les nouvelles aides régionales pour les startups

 

 

Une série qui reviendra également sur l'expérience CES : qu'en retiennent les startups régionales qui y ont participé l'année dernière et quels bénéfices en retirent-elles ?

 

Au CES de Las Vegas

Une chose est sûre, pour cette nouvelle édition dans la capitale mondiale du divertissement, le CES devrait offrir un spectacle à la hauteur de la démesure américaine : plus de 185 000 visiteurs devraient fouler les 225 000 mètres carrés de stands, d'espaces de networking et de salles de conférences. 4 000 entreprises de plus de 150 pays y tiendront pavillon avec l'espoir de se faire remarquer.

Quantitativement la French Tech est le troisième contingent mondial derrière les Etats-Unis et la Chine. La France sera représentée par 365 entreprises (startups, PME, ETI, grands groupes) et organisations (chambres de commerce, Régions, pôles de compétitivité...). A noter que parmi les 60 entreprises de la délégation régionale Occitanie présentes au CES, 20 ont été retenues par le comité d'organisation américain pour exposer sur l'Eureka Park du CES, l'espace consacré aux jeunes pousses les plus innovantes, poumon du salon et véritable aimant à médias.

 

 

À retrouver aussi l'hebdomadaire de La Tribune consacré au CES de Las Vegas.

 

 

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December 4, 2017 6:28 AM
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[Appel à candidatures] 10 000 startups pour changer le monde

[Appel à candidatures] 10 000 startups pour changer le monde | Toulouse networks | Scoop.it

Sous le haut patronage de
Monsieur Emmanuel MACRON
Président de la République
 

 

10 000 STARTUPS POUR CHANGER LE MONDE 

 

La Tribune, avec les 13 régions métropolitaines et les DOM-TOM, veut relever le défi, le Prix La Tribune BNP Paribas Jeune Entrepreneur devient « 10 000 startups pour changer le monde ».

 

Pendant 8 mois, La Tribune réunit par catégories des entrepreneurs d’avenir au sein d’un concours local, les lauréats étant mis en compétition dans une grande finale nationale avec une remise de trophées à Paris. Cette ambition nouvelle de faire de la France une Startup nation aux territoires riches sera enrichie par la création d’un Prix Afrique dans le palmarès.


La France regorge de jeunes talents qui animent un dynamisme entrepreneurial exceptionnel sur tout le territoire. Leur moteur de réussite ? La passion avant tout. C’est elle qui les pousse à innover, à mettre au point de nouvelles technologies et des services nouveaux. Tous rêvent de changer le monde! C’est sous cet angle que La Tribune, premier média économique des métropoles, les encourage avec le Prix Jeune Entrepreneur.

 

Déposez votre candidature ici :

https://evenement.latribune.fr/10-000-startups-pour-changer-le-monde/

 

 

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November 1, 2017 9:45 AM
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Une start-up propose aux automobilistes de gagner de l'argent… en circulant dans Toulouse

Une start-up propose aux automobilistes de gagner de l'argent… en circulant dans Toulouse | Toulouse networks | Scoop.it

En échange, le conducteur s’engage à coller lui-même des stickers sur les portières avant.

 

Une start-up recherche une cinquantaine d'automobilistes à Toulouse, qui accepteront de coller des stickers publicitaires à leurs portières. En échange d'une gratification…

 

« Gagne de l’argent avec ta voiture », tel est le slogan de la start-up It’s my car. Après Paris, Lyon et Bordeaux, l’entreprise débarque à Toulouse. Elle propose aux automobilistes de gagner de l’argent en collant des stickers publicitaires sur leurs portières pendant trois semaines.

L’entreprise recherche actuellement une cinquantaine d’automobilistes dans la Ville rose pour porter du lundi 6 au lundi 27 novembre 2017 les couleurs de l’entreprise Zenpark – qui compte 14 parkings partagés à Toulouse – en échange d’une gratification : 30 € de bons carburant (station Total) et 20 € de crédit Zenpark.

 

Comment participer ?

Pour participer, rien de plus simple. L’automobiliste s’inscrit sur le site itsmycar.fr, rempli son profil et candidate à la campagne. Il reçoit ensuite les stickers directement chez lui et les colle lui-même sur les portières avant. « Il roule comme à son habitude, en partageant photos et expériences sur les réseaux sociaux, et reçoit la gratification à la fin de la campagne », précise l’entreprise à l’origine du concept. 

 

Contactée par Actu Toulouse, la start-up précise être actuellement en train de finaliser des accords avec d’autres entreprises à Toulouse pour des campagnes début 2018. À suivre…

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June 30, 2017 4:42 AM
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Station F : ce qu'il faut savoir du campus de start-up géant de Xavier Niel

Station F : ce qu'il faut savoir du campus de start-up géant de Xavier Niel | Toulouse networks | Scoop.it

C'est un projet majeur pour l'écosystème start-up en France. Station F, le plus gros campus de start-up au monde ouvrira ses portes le 1er juillet prochain, après 3 ans de travaux. A l'origine du projet, Xavier Niel y aura investi 250 millions d'euros, sur ses deniers personnels. 

Tour d'horizon de ce qu'il faut savoir sur ce projet, inauguré ce soir en présence du Président Emmanuel Macron et de la Maire de Paris, Anne Hidalgo. 

Un espace pensé pour faciliter l'échange et les rencontres

Avec des coûts de fonctionnement estimés entre 7 et 8 millions d'euros par an, l'ambition finale de Station F n'est pas la rentabilité à tout prix. L'objectif du projet est donc avant tout de soutenir l'écosystème start-up français, et de lui permettre de s'ouvrir à l'international. 

Au total, plus de 3 000 postes de travail seront mis à disposition des start-up, de même qu'une soixantaine de salles de réunion, un auditorium, un fablab, un pop-up store, etc. Avec 8 espaces dédiés à l'événementiel, les résidents de Station F se trouveront au coeur de l'écosystème innovant. Le bâtiment est divisé en trois grands espaces: la zone Share, pour travailler, la zone Create, pour échanger, et enfin la zone Chill, pour se détendre et se restaurer. Cette dernière sera ouverte au public. 

A noter, Station F est la première brique d'un projet de plus grande ampleur, qui comptera également un co-living space dédié aux entrepreneurs. Ces derniers pourront être hébergés à une dizaine de minutes de Station F. Une centaine d'appartements partagés seront mis à leur disposition, de même qu'une salle de fitness et des espaces détente. 

 

Crédit photo : Patrick Tourneboeuf pour Station F

Lire aussi : 10 chiffres à connaître sur Station F, le plus gros campus de start-up au monde

Plus de 20 programmes d'accélération sur site

Au coeur de Station F se trouve le Founders Program, programme d'accélération mis au point par Roxanne Varza et son équipe. Pour 195 euros par mois et par espace de travail, les entrepreneurs du monde entier souhaitant travailler à Paris auront accès à des ressources pour se développer. Ils auront notamment accès à l'expertise d'un réseau d'entrepreneurs sélectionnés, à des événements exclusifs, ainsi qu'à des avantages sur certains logiciels et services reconnus par leurs pairs. A noter, la philosophie du programme est basée sur l'indépendance des entrepreneurs: «Pas de mentors ou de meetings obligatoires, uniquement une sélection unique de ressources et d'experts disponibles (…), à la carte», peut-on lire sur son site.

Au-delà du Founders Program, un certain nombre d'entreprises ont décidé d'implanter un programme d'accélération de projets sur place. Au total, 21 programmes s'y côtoieront au quotidien. On retiendra notamment le Start-up Garage de Facebook, qui accompagnera 12 start-up à la rentrée, Impulse, l'incubateur de Vente-privee, ou encore le programme dédié à l'intelligence artificielle développé par Microsoft, en partenariat avec l'INRIA. 

 

Crédit photo : Patrick Tourneboeuf pour Station F

Lire aussi : Quels programmes d’accélération seront hébergés à Station F ?

1 000 start-up hébergées 

Au total, 1 000 start-up devraient être hébergées dans cet espace de 34 000 mètres carrés. Si toutes les start-up présentes à la rentrée ne sont pas encore connues, un certain nombre d'accélérateurs ont déjà annoncé les noms des heureux élus qui inaugureront leur programme. 

Facebook a ainsi présenté les 12 start-up qui feront partie de son Start-up Garage à partir de septembre.  JamAlan, Mapstr, Chekk, The Fabulous, Onecub, Karos, Bruno, The School Project, Welcome To The Jungle, Glose et Riminder composeront ainsi la première promotion de ce programme. 

De même, Vente-privee a dévoilé en mars les noms des 5 start-up qui feront partie de la première session d'Impulse. On y retrouve Fitle, Shipup, ShorTouch, Wishibam et EasySize. D'autres start-up seront également présentes, à l'image de RMOpportunities, de SoBus et de BonjourIngrid. 

 

Crédit photo : Patrick Tourneboeuf pour Station F
Jacques Le Bris's insight:

En savoir plus

 

https://stationf.co/fr/campus/

 

 

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April 12, 2017 3:23 AM
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«QuiDitMiam !» reçoit le trophée innovation à Restau'co 2017, Paris

«QuiDitMiam !» reçoit le trophée innovation à Restau'co 2017, Paris | Toulouse networks | Scoop.it

Aurélien Clauzel montrant son trophée lors de la cérémonie de remise des 4 prix à Restau'co 2017.

 

«QuiDitMiam !», start-up de Lacroix-Falgarde, vient de franchir une étape supplémentaire dans son développement. À l'occasion du salon Restau'co (160 exposants, 202 stands et 3 465 visiteurs) qui se déroulait le 29 mars à Paris, «QuiDitMiam !» lançait officiellement son application mobile nationale à destination de la restauration collective. Ce spécialiste de «l'Open Data», a développé un logiciel capable d'extraire les données pertinentes du «Big Data» que l'administration met au service du public.

 

Aurélien Clauzel, son cofondateur, indique : «Cette application gratuite pour le convive, permet de consulter en un clin d'œil les menus servis à la cantine. Elle intègre gratuitement et automatiquement tous les restaurants qui publient leurs menus dans l'OpenData (Rennes, Saint-Malo, Nantes, Orvault) et bien d'autres à venir en France. L'application comporte trois axes majeurs : le «bien manger», «l'anti-gaspi» et «l'open democracy» afin de permettre aux convives et aux acteurs de la restauration collective de créer du lien».

«QuiDitMiam !» a remporté le trophée Restau'Co Exposants dans la catégorie Produits & Solutions.

La cuisine centrale de Toulouse (33 000 repas/jour) propose depuis un an à ses convives l'application mobile «QuiDitMiam ! Toulouse» qui fonctionne sur smartphone et tablette ; elle a été téléchargée plus de 6000 fois. Plébiscitée par les parents et les enfants pour sa simplicité et son ergonomie, elle gère également l'affichage des allergènes, des ingrédients et des fiches techniques des denrées alimentaires.

 

Couplée à une interface d'administration personnalisée et sécurisée pour la cuisine, l'application se révèle être un formidable outil de communication. Le gestionnaire peut informer en direct parents et enfants sur des modifications de menus, les grèves, etc.

Tout est également facilité pour mettre en valeur les plats bio, locaux ou labellisés.

Le partenariat passé avec Interfel (fruits et légumes frais) donnera prochainement à l'application un caractère plus éducatif.

 

La Dépêche du Midi
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September 1, 2022 8:33 AM
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La startup toulousaine SGEvT entend lutter contre les dépôts sauvages, avec les satellites

La startup toulousaine SGEvT entend lutter contre les dépôts sauvages, avec les satellites | Toulouse networks | Scoop.it

La société SGEvT, installée à Toulouse, s'appuie sur le CNES pour lutter contre les dépôts sauvages.

 

Associée au CNES (Centre national d’Etudes Spatiales), la startup détecte les dépôts sauvages en s’appuyant sur l’analyse d’images satellites et sur l’intelligence artificielle. Plus largement spécialisée dans la production de tout type d’informations pour les politiques d’aménagement des collectivités territoriales, SGEvT entend utiliser sa solution dans une optique de développement durable des territoires.

 

Les décharges illégales qui fleurissent icI et là sont devenues au fil des ans un problème majeur pour les collectivités. Selon une étude de l'Ademe*, les dépôts sauvages seraient une préoccupation pour 90 % des élus locaux.

Le sujet est d'autant plus une source de crispations pour les autorités locales qu'il a un impact considérable et direct sur la qualité de vie des habitants. Outre la dégradation des paysages, les dépôts sauvages constituent un danger en termes de santé publique et d'environnement à cause de la pollution des sols et des nappes phréatiques qu'ils engendrent.

C'est notamment pour contrer ce fléau que la startup toulousaine SGEvT (Société Générale d'Evaluation des Territoires) a mis au point une solution de télédétection de ces sites illégaux. Crée en 2018 par Nancy Oliveto Erviti, une juriste spécialisée en urbanisme, et par Arnaud André, ingénieur des Ponts et Chaussés, SGEvT produit des informations pour aider les communes à prendre des décisions en matières d'aménagement et ce dans une optique de développement durable. Pour cela, la startup s'appuie sur l'intelligence artificielle et les images satellitaires.

« Dès le départ, nous avons collaboré avec le Cnes pour utiliser les satellites de Pléiades. Les images satellitaires couplées aux algorithmes permettent à notre solution d'être fiable à 90%, mais aussi d'aller plus loin que la détection des dépôts sauvages. Nos services détectent les dépôts sauvages et notent aussi les décharges selon des critères de vulnérabilité, ce qui permet de prioriser les sites. Ces dépôts sauvages sont bien souvent positionnés dans des endroits peu visibles du fait de leur illégalité, notre solution permet également d'accompagner les agents qui travaillent sur le terrain pour qu'ils trouvent le trajet le plus efficace pour arriver à ces fameuses décharges. Nous pouvons également voir à quelle vitesse ces décharges apparaissent. Cette prédiction augmente les chances d'identifier les responsables », explique Arnaud André.

Une plateforme dédiée à diverses solutions

Au-delà de l'épineuse question des dépôts sauvages, SGEvT gère des données geolocalisables dans tous les domaines liés à l'aménagement du territoire ou à l'image de la mobilité. Sur ce thème, la société travaille pour la communauté d'agglomération du Sicoval (36 communes du sud-est toulousain) sur la question des mobilités douces.

« La communauté d'agglomération réfléchit aux enjeux de la mobilité douce. L'idée ici est de mieux comprendre les habitudes et trajets des habitants qui se déplacent à vélo. Pour cela, nous avons équipé les portables de 130 volontaires afin de collecter des informations sur leurs itinéraires », note Arnaud André.

L'entreprise toulousaine intervient également dans l'Aude où une collaboration a été mise en place avec la Direction Départementale des Territoires de la Mer de l'Aude (DDTM). Le but de cette collaboration ? Analyser les impacts des inondations sur le territoire afin de le rendre moins vulnérable face à ce type de phénomène, là aussi en s'appuyant sur des images satellitaires et l'analyse de toute une batterie de données. Ce projet en cours de réalisation bénéficie d'un co-financement du CNES et du programme européen Copernicus Climate Change Service, il devrait par la suite être répliqué dans d'autres territoires.

« Nous développons un outil puis nous répliquons le process. Aujourd'hui plus d'une centaine d'outils de nos services sont reproductibles, nous savons les développer et les industrialiser », avance le co-fondateur de SGEvT.

Des outils que la société met à disposition des collectivités au sein d'une plate-forme dédiée nommée TEREvAL. Basé sous un modèle SaaS, TEREvAL permet aux communes abonnées au site de bénéficier d'une analyse assez fine de données territoriales.

À l'avenir, cette société, qui compte une équipe de 15 personnes composée de développeurs, data scientist et juristes souhaite faire de TEREvAL une plateforme ouverte pour héberger les données d'autres entreprises qui travaillent elles aussi sur les questions de développement durable.

*Rapport sur la caractérisation de la problématique des déchets sauvages, paru en février 2019

 

 

 

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March 9, 2020 4:35 AM
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La Cité (des startups) ouvre ses portes à Toulouse

La Cité (des startups) ouvre ses portes à Toulouse | Toulouse networks | Scoop.it

Au sein de l'allée centrale, la Région Occitanie compte organiser divers événements, comme des expositions culturelles.

 

Dès le 2 mars, l'hébergeur d'entreprises toulousain At Home et une vingtaine de startups se sont installés dans la Cité des Startups. Ce lieu dédié à l'économie et à l'innovation, pour lequel le Conseil régional a investi 37 millions d'euros, sera pleinement opérationnel à la fin de l'été 2020. Mais les anciennes halles de Latécoère vont également accueillir des TPE-PME et un grand groupe industriel. Par conséquent, cet espace de 13 000m2 se nommera "La Cité". Toutes les informations sur ce nouveau cœur économique de Toulouse et de l'Occitanie.

 

 

À présent, il ne faudra plus parler de "Cité des Startups". Les anciennes halles de Latécoère, rachetées par la Région Occitanie afin d'en faire un lieu dédié à l'économie et à l'accompagnement aux entreprises contre 37,2 millions d'euros, se nommeront désormais "La Cité".

"La Cité des Startups était un nom trop restrictif. Les startups sont des entreprises comme les autres, mais elles ont simplement un mode de financement différent. De plus, ce lieu va accueillir des TPE et PME qui veulent innover, mais aussi un grand groupe d'envergure internationale qui va y installer sa plateforme d'innovation dont je ne peux encore dévoiler le nom", avance Arnaud Thersiquel, le CEO de l'hébergeur d'entreprises At Home.

Cet acteur toulousain, fondé en 2015 et qui dispose déjà d'un campus d'entreprises dans le quartier Compans-Caffarelli, a été sélectionné par le Conseil régional pour animer le Tiers Lieu, soit 40% de l'espace de La Cité qui fait 13 600 m2. Si cette partie accueillera les équipes de l'incubateur Nubbo et de l'agence de développement économique régional Ad'Occ, At Home aura surtout pour mission de trouver des occupants pour les 300 postes de travail répartis dans les lieux, dont 200 sont réservés rien qu'aux startups.

"Aujourd'hui, (lundi 2 mars, ndlr), nous prenons officiellement possession des lieux et nous accueillons nos premières startups, soit une vingtaine pour un total de 60 personnes environ. Certaines sont nouvellement hébergées, d'autres viennent de nos locaux à Toulouse, ou bien du Village by Ca et de l'IoT Valley", commente le dirigeant qui pense avoir loué la totalité des emplacements dès 2021.

 

 

Une Cité ouverte aux entreprises extérieures

Pour exploiter de la sorte La Cité, At Home a passé une convention de 12 ans avec la Région Occitanie, tout comme Manatour qui va gérer le FabLab. Si At Home ne touchera aucune subvention de la part de la collectivité locale, en revanche il devra verser tous les mois un loyer représentant un certain pourcentage du résultat net réalisé. Et l'hébergement des entreprises représentera une partie de ses revenus.

"Les entreprises devront s'acquitter d'un loyer mensuel, par poste, de 150 euros charges comprises et hors taxes. C'est un prix volontairement très agressif. À titre de comparaison, le coût mensuel dans nos locaux dans le centre-ville de Toulouse est à 180 euros. Cela fonctionne car de plus en plus d'entreprises ne veulent pas se préoccuper des problématiques liées aux locaux et préfèrent sous-traiter", explique Arnaud Thersiquel, qui précise par ailleurs qu'aucune limite de durée n'a été fixée pour l'accueil au sein de La Cité.

 

 

L'hébergement et l'accompagnement d'entreprises n'est pas la seule source de revenus pour l'acteur toulousain. Afin d'amortir son investissement de 1,6 millions d'euros effectué pour aménager les 4 800 m2 dont il a la charge, At Home compte louer à des entreprises extérieures une douzaine de salles de réunions, mais aussi un amphithéâtre de 200 places pour y accueillir de l'événementiel et des événements d'entreprises. Grâce à ces équipements, l'hébergeur d'entreprises toulousain espère réaliser 1,5 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel en rythme de croisière rien qu'avec la gestion de La Cité, contre "seulement" 1,2 millions d'euros actuellement.

"Nous allons doubler notre chiffre d'affaires et doubler nos équipes composées d'une dizaine de personnes pour le moment", fait savoir le CEO d'At Home qui gère également un espace dans le quartier du Canal Saint-Martin à Paris.

En faire un lieu de vie ouvert au public

Néanmoins, la Région Occitanie restera propriétaire, et gestionnaire, de la grande allée centrale pour y accueillir des événements comme des expositions ou des petites conférences, étant donnée que cette allée est équipée d'un amphithéâtre en bois d'une soixantaine de places.

Car l'ambition de la Région est d'en faire un lieu dédié à l'économie, mais aussi un lieu de vie ouvert au public. Ainsi, La Cité sera ouverture de 7 heures à 2 heures du matin, du lundi au samedi, et de 10 heures à 22 heures le dimanche, et le public pourra profiter du mobilier (tables, chaises, tabourets, gradins) installé dans l'allée centrale.

 

 

Si l'inauguration officielle de La Cité est prévue au cours du printemps, le lieu ne sera pleinement opérationnel qu'à la fin de l'été 2020. À cette date, un restaurant ouvert au public ouvrira ses portes. Géré par Thomas Fantini, le restaurant aura une capacité d'environ 110 couverts et sera doté d'une terrasse. Mais le concept de ce nouveau lieu de la gastronomie n'a pas encore été dévoilé.

 

Par Pierrick Merlet  

 

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December 17, 2019 10:05 AM
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Smart City : "il faut concevoir une IA avec ses utilisateurs et non pas pour eux"

Smart City : "il faut concevoir une IA avec ses utilisateurs et non pas pour eux" | Toulouse networks | Scoop.it

Laurence Devillers veut une intelligence artificielle transparente à tous les niveaux.

 

Comment pouvons-nous faire accepter l'intelligence artificielle par tous et comment la réguler ? Ces problématiques ont été abordées lors de la 5ème édition du Forum Smart City organisé par La Tribune, vendredi 13 décembre, dans la salle des Illustres du Capitole à Toulouse. Voici un décryptage de ce que doit être l'IA selon des chercheurs qui privilégient la création d'un "GIEC" de l'IA.

 

Faut-il avoir peur de l'intelligence artificielle et des technologies qui l'utilisent ? Depuis plusieurs années, ce débat anime la place publique entre les potentiels emplois qu'elle peut faire disparaître, ou encore l'exploitation des données que cette intelligence récolte sur ses utilisateurs, sans parler des robots intelligents qui pourraient remplacer les hommes ? Face à ces inquiétudes, le Forum Smart City, organisé par La Tribune, a consacré une table ronde sur le sujet, vendredi 13 décembre, à l'occasion de sa 5ème édition.

"La donnée et son utilisation sont l'ADN de la métropole toulousaine avec le programme Smart City mis en place sur la période 2015-2020. Cela est observable avec le développement de la plateforme Open Data Toulouse Métropole, chargée de collecter et d'analyser les données publiques pour créer les usages de demain. C'est dans cette optique que nous travaillons avec Indigo, notamment pour tenter d'indiquer avant que vous entriez avec votre voiture dans le centre-ville si des places de parking sont disponibles. Mais Aniti va nous permettre d'aller plus loin encore", tente de rassurer Bertrand Serp adjoint au maire de Toulouse et vice-président de la Métropole en charge de l'innovation et du numérique.

L'IA sera au cœur de la ville intelligente de demain (Crédits : Rémi Benoit).

De plus, la Ville rose a obtenu il y a quelques mois un institut interdisciplinaire 3IA, initié par le rapport Villani, grâce à son projet Aniti basé sur l'intelligence artificielle appliquée sur les mobilités et la santé. Ce projet regroupe ainsi des dizaines de chercheurs du monde entier, des laboratoires, des collectivités, des grands groupes industriels et des startups.

Lire aussi : Toulouse attire une star américaine de l'intelligence artificielle

 

Il faut une IA explicable et transparente

"C'est une très bonne chose que Toulouse ait décroché cet institut. Aniti va permettre de développer l'intelligence artificielle. Mais il faudra développer une IA explicable et certifiable et non pas une boite noire indéchiffrable", insiste Rachid Alami, chercheur CNRS au LAAS et titulaire de la chaine Aniti "Human Robot Interactions".

Le chercheur Rachid Alami travaille sur le développement de robots autonomes et leurs interactions avec les hommes (Crédits : Rémi Benoit).

Certains tentent déjà de l'expliquer auprès du grand public comme le Toulousain Luc Julia. Cet ingénieur, passé par Apple et HP au sein de la Silicon Valley, dirige la division IoT de Samsung et a récemment sorti un livre nommé "L'intelligence artificielle n'existe pas" aux éditions First. Dans une interview accordée à La Tribune quelques semaines après, il dénonçait les discours alarmistes de certains sur l'IA tout en appelant à écouter ceux qui font vraiment de l'intelligence artificielle et qui la maîtrisent. Dans ce sens, des chercheurs appellent à mettre en avant la transparence de cette technologie pour la faire accepter de tous.

"La question que nous devons nous poser est la suivante : voulons-nous créer une intelligence artificielle et une smart city de confiance ? Si c'est le cas, l'économie de demain devra être éthique. Les machines doivent être plus transparentes et non pas aux mains de quelques-uns. Il va falloir arriver à un certain degré de démystification de ces objets. Pour y parvenir, il faut concevoir une IA avec ses utilisateurs et non pas pour ses utilisateurs", argumente Laurence Devillers, professeure en IA à la Sorbonne-Université, chercheuse au LIMSI-CNRS et auteur du livre "Des robots et des hommes".

En partenariat avec la startup Soben, Enedis a développé ce robot à base d'IA qui suit à la trace l'opérateur sur le terrain et qui se présente comme un sac à dos (Crédits : Rémi Benoit).

Lire aussi : À Toulouse, les opérateurs d'Enedis travaillent avec un robot intelligent

 

Un besoin de politiques régulatrices ?

Pour insuffler ce besoin d'éthique et de transparence sur qui doivent compter les citoyens ? Au-delà des industriels, un cadre politique sera nécessaire à l'image de la charte signée entre le moteur de recherche Qwant et les collectivités d'Occitanie pour promouvoir un numérique éthique et souverain.

"Les politiques sont au cœur du système car c'est à eux de fixer les règles. Alors aujourd'hui, il est dit que la France est trop normée mais grâce à ces gardes-fous nous savons où nous allons", justifie Bertrand Serp.

Pour l'élu, les collectivités doivent fixer les limites de ce que deviendra l'IA (Crédits : Rémi Benoit).

"On donne des règles à la machine que seul l'humain établit ! Ce n'est pas la machine qui va établir des règles de manière autonome", avait également précisé Luc Julia dans son entretien. Pour établir ces règles, Rachid Alami évoque la possible création "d'un équivalent du GIEC pour l'intelligence artificielle afin de réfléchir sur cette technologie de manière responsable". Sera-t-il entendu ? Les années à venir donneront la réponse.

 

 

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April 26, 2019 6:04 AM
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La startup de la semaine : MiddleVR ou la réalité virtuelle pragmatique

La startup de la semaine : MiddleVR ou la réalité virtuelle pragmatique | Toulouse networks | Scoop.it

L'application de MiddleVR permet à GRT Gaz d'économiser dans ses coûts de formation.

 

 

Toutes les semaines, La Tribune braque les projecteurs sur une pépite méconnue de la French Tech. Cette semaine, MiddleVR. Derrière les paillettes de la réalité virtuelle grand public, la startup propose des applications VR destinées à réduire les coûts des entreprises liés à la formation. A la clé, un marché de plus de 30 milliards d'euros. 

 

"Notre objectif, c'est d'améliorer la productivité et que les entreprises aient un retour sur investissement, pas de participer à l'effet waow du marketing", attaque d'entrée Sébastien Kuntz, président et fondateur de MiddleVR. Ce quadragénaire a commencé à travailler dans la réalité virtuelle chez la SNCF dès 2001, bien avant l'annonce du casque Oculus Rift en 2012, tournant de la VR grand public. Son objectif est de populariser l'usage de la réalité virtuelle dans les entreprises. La startup créée en 2012 veut s'imposer sur le marché de la formation professionnelle, mesuré en 2014 à plus de 32 milliards d'euros par la DARES (direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques), rien qu'en France. Sans faire appel aux levées de fonds, la jeune pousse a dépassé le million de chiffre d'affaire et anticipe une croissance annuelle de plus de 20%.

Des applications sur mesure

« Le boom de la réalité virtuelle, c'est dans les années 90, donc les cas d'usage sont déjà identifiés. L'arrivée des casques, et surtout du HTC Vive en 2016, n'a fait que rendre la VR plus accessible », expose Sébastien Kuntz. Avant les casques, la réalité virtuelle nécessitait la construction de dispositifs onéreux et immobiles. A sa création, MiddleVR prend donc un chemin moins coûteux et bâtit son modèle économique autour d'un outil à destination des développeurs. Mais dès 2014 et l'arrivée des casques, elle commence à créer des applications sur mesure pour ses clients. Son exemple étendard, développé pour GRTgaz, est destiné à former les agents sur un poste de "détente livraison". Immergés dans un environnement 3D, les futurs opérateurs de terrain doivent réaliser une opération routinière, qui consiste à abaisser la pression du gaz entre le réseau de transport de gaz et celui des clients. "GRTgaz n'a qu'un poste d'entraînement, situé à Nantes. En plus de devoir payer le déplacement des agents, l'instructeur ne peut y former qu'une personne à la fois, pendant que les autres attendent", relève Christophe Gouet, directeur de la startup. Avec les kits VR, GRTgaz a formé plus de 400 personnes à distance en 3 ans.

L'environnement en réalité virtuelle comprend toutes les contraintes du dispositif réel : il faut se déplacer en marchant, s'y prendre à plusieurs reprises pour ouvrir certains canaux, ou se pencher pour accéder à des commandes. Un bruit de gaz constant accompagne les manipulations, et se manifeste de façon de plus en plus inquiétante si l'on ne dépressurise pas convenablement. La réalité virtuelle permet d'ailleurs de tester les dispositifs d'urgence, et de montrer aux futurs agents les potentielles conséquences en cas d'erreur. Autant de "scénarios pédagogiques" supplémentaires. La jeune pousse vient de livrer la quatrième version du logiciel, qui offre désormais la possibilité d'afficher la mesure de pression dans chaque partie des tuyaux, une donnée évidemment invisible à l'œil nu.

Lire aussi : La réalité virtuelle s'équipe de nouveaux casques pour (enfin) exploiter son potentiel

 

Efficace et sans paillettes

« Notre objectif, ce n'est pas du faire du joli, nous nous concentrons sur les besoins des personnes qui sont sur le terrain. On peut proposer la couche de vernis, mais on précise le coût additionnel", affirme avec franchise Christophe Gouet. Par exemple, GRTgaz a payé pour que l'environnement autour du poste de travail, un paysage avec des arbres, soit plus joli. Mais MiddleVR préfère aller à l'essentiel, que ce soit dans les graphismes ou dans les interactions.

"Dans la mesure du possible, on configure nos applications pour que les utilisateurs n'aient à utiliser qu'un seul bouton", argue le dirigeant. L'objectif : que cette simple interaction suffise à réaliser l'ensemble des tâches du parcours de formation. Équipé d'un HTC Vive Pro, l'utilisateur n'a qu'à utiliser les gâchettes présentes sur les manettes pour ouvrir et fermer les mains de son avatar virtuel. On peut ainsi activer des leviers, tourner des molettes ou assembler des pièces. On monte alors un moteur d'avion en déplaçant des pièces disposées sur la gauche vers le projet final à droite. Le tout sans se déplacer, et en utilisant seulement les gâchettes. Et surtout, sans besoin de formation à la VR.

Populariser pour décoller

Confiant dans ses produits, Chritophe Gouet estime qu'il ne reste plus qu'un travail d'évangélisation de la réalité virtuelle à effectuer. "Nos clients imaginent le plus souvent des choses incroyables, on doit donc les recadrer. Parfois, la VR apporte trop de contraintes par rapport aux bénéfices qu'elle apporte. A l'inverse, ils n'identifient pas toujours les usages où l'intervention de la VR serait pertinente", constate-t-il. Pour convaincre les entreprises, la jeune pousse passe souvent par le développement d'un prototype, pour un prix oscillant entre 30.000 et 50.000 euros.

Afin de diversifier son activité, MiddleVR a développé en 2016 Improov, une sorte de Skype en 3D, à destination des ingénieurs. On y est projeté dans un environnement virtuel, dans lequel les concepteurs importent leur maquette 3D. On peut en faire le tour, prendre des mesures, déplacer des pièces, observer des plans de coupe, bref, tourner la maquette dans tous les sens. Les dysfonctionnement repérés, ou les améliorations importées dans le plan virtuel peuvent se traduire en centaines de milliers d'euros de coûts évités dans le réel. "En discutant avec leurs homologues japonais sur Improov, les ingénieurs du CNES (Centre national d'études spatiales, ndlr) ont observé un problème d'emboîtement de pièces sur un prototype de satellite", donne comme exemple Sébastien Kuntz. La NASA, L'Oréal ou encore Plastic Omnium font parti de la quarantaine d'utilisateurs prestigieux de Improov.

En plus du développement d'applications de réalité virtuelle, la startup pourrait bientôt accélérer du côté de la réalité augmentée (AR). Trop limitée par les performances des premiers casques, les usages de l'AR pourraient exploser avec la deuxième génération de matériel, et notamment le Hololens 2 de Microsoft. Cette technologie pourrait par exemple guider un ouvrier étape par étape dans le montage d'une pièce industrielle. Un nouveau pan de marché s'ouvrirait à MiddleVR. Si les dirigeants de la startup préfèrent aujourd'hui présenter leur entreprise comme une PME de 18 employés, elle a tout pour poursuivre sa croissance à deux chiffres.

 

François Manens

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October 12, 2018 2:10 PM
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Le Toulousain Hubware lève 1,4 million pour améliorer sa solution de service clientèle intelligent

Le Toulousain Hubware lève 1,4 million pour améliorer sa solution de service clientèle intelligent | Toulouse networks | Scoop.it

Les quatre fondateurs d'Hubware, de gauche à droite Pete Pierce, Gautier Chapuis, Alexis Laporte, et Simon Ternoir.

 

La startup toulousaine Hubware vient de conclure une levée de fonds de 1,4 million d'euros. Ce montant va lui permettre d'améliorer sa solution d'assistant professionnel intelligent qui automatisent les réponses des services clients d'entreprises. La société espère par la suite atteindre le cap d'une trentaine de clients.

 

Alors que les grandes entreprises font souvent appel à des sociétés basées à l'étranger pour gérer leurs services clientèle, la startup toulousaine Hubware développe depuis plus de deux ans un assistant professionnel intelligent pour aider les conseillers clientèles dans leurs réponses.

"Très souvent, le service client reçoit les mêmes questions. Hubware a développé un outil qui aide le conseiller à identifier plus rapidement le problème du client et à trouver plus rapidement les informations qui vont lui permettre de répondre. Il peut aussi répondre automatiquement dans certains cas, notamment sur les mails. L'entreprise choisit les réponses qu'elle veut automatiser" explique Alexis Laporte, co-fondateur d'Hubware.

Une première version a été mise en service en août 2016 et s'améliore depuis grâce au "machine learning", l'apprentissage automatique. "Le logiciel observe ce que répond le conseiller pour apprendre lui-même les réponses à prédire", précise le dirigeant.

30% de gain de temps pour les conseillers

Cette innovation est principalement adaptée pour les entreprises présentes sur le web. Ainsi, parmi les clients d'Hubware, il y a surtout des sites de e-commerce comme BeautéPrivée, Bricoprivé, PrivateSportShop, ou encore le Slip Français, mais aussi la banque Nickel. Pour cette dernière, 40% des mails répondant aux questions de clients sont générés automatiquement d'après la startup toulousaine.

Par conséquent, Alexis Laporte estime que cette solution fait gagner en moyenne 30% de temps aux conseillers qui utilisent le logiciel Hubware. Avec ce système, le dirigeant souligne également que les conseillers peuvent être formés plus rapidement.

"Ils arrivent à prendre en main le fonctionnement du service client en quelques jours seulement, au lieu de quelques semaines, puisqu'ils sont aidés par l'assistant professionnel".

Une première idée qui n'a pas convaincu

Mais ce produit est bien différent de celui sur lequel avait planché les quatre associés à la création d'Hubware en avril 2016. Ils avaient l'idée de placer un code sur les produits donnant un accès numérique direct à l'assistance clientèle. Mais ce projet n'a pas convaincu le premier client démarché, Bricoprivé, qui voulait surtout améliorer son service client.

"Ce qui intéressé vraiment l'entreprise c'était la possibilité de répondre automatiquement aux questions. Ils nous ont demandé de faire un prototype de robot pouvant répondre aux questions concernant le suivi de commande et le retour de commande. C'est ce qui nous a mis sur la voie", se souvient le co-fondateur .

L'idée de départ reste cependant "dans les cartons", sourit Alexis Laporte.

L'entreprise est passée par l'incubateur parisien la Station F

Néanmoins, afin de poursuivre le développement de sa solution autonome, la startup a annoncé au début du mois d'octobre une levée de fonds d'un montant de 1,4 million d'euros, notamment auprès du fonds d'investissement Side Capital. Hubware, qui ne communique pas son chiffre d'affaires, compte ainsi doubler son nombre de clients pour en atteindre une trentaine avec cet investissement.

Avant cette première levée de fonds, la startup de douze salariés (surtout des ingénieurs et des scientifiques de la data) a bénéficier de 30 000 euros de BPI France. Elle a aussi eu l'accompagnement de At Home à Toulouse, Oikos et Le village by CA où elle est installée dans la Ville rose. Du côté de la capitale, elle est passée notamment par la Station F, avant de rejoindre ce mois-ci l'antenne parisienne du village by CA également.

       

Bryan Faham           

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September 7, 2018 2:17 AM
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MicroMobile met en location trottinettes électriques et hoverboads à Labège

MicroMobile met en location trottinettes électriques et hoverboads à Labège | Toulouse networks | Scoop.it

Micromobile veut déployer une centaine de stations sur l'agglomération toulousaine d'ici fin 2019.

 

Trottinette électrique, micro-scooter, mono-roue électrique, segway et hoverboard… Dès le 18 septembre, ces engins électriques seront disponibles à la location à Labège. Imaginé par l’entreprise MicroMobile, ce service doit être prochainement déployé également au niveau du métro de Ramonville pour faire la liaison entre les deux points. Pour proposer son service au niveau national, MicroMobile est à la recherche d’un investisseur.

 

Depuis la fin du mois d'août, un bloc blanc a fait son apparition sur le parking de la maison de la mobilité à Labège. Mais dans ce qui s'apparente au loin à un conteneur, on trouve trottinettes électriques, micro-scooters, mono-roues électriques, segways, ou encore des hoverboards... Ces moyens de transports dernière génération seront mis à la location des Toulousains dès le 18 septembre par l'entreprise locale MicroMobile.

"Nous proposons un service de location à la demande, accessible via une application mobile ou le site internet de la société et pour ceux déjà détenteur d'un tel engin, nous proposons un service de consigne sécurisée avec recharge de l'appareil", explique Dominique Chiappa, fondateur de MicroMobile, associé à deux autres personnes dans l'aventure.

Les usagers pourront accéder au local grâce à un identifiant fourni par la société lors de l'inscription. Le service coûtera 2 € les 30 minutes ou 5 € la journée. Pour ce qui est de la fonction "garage", les tarifs seront de 2 € la journée sans engagement ou bien de 12 € par mois. Au regard du coût de ces appareils électriques, une caution sera néanmoins demandée au loueur le temps de son utilisation. Une pratique déjà à l'oeuvre sur les VélôToulouse actuellement.

 

48 engins rechargés à l'éolien et au solaire

Le bloc blanc recharge les 48 engins électriques (sa capacité maximale) grâce un système éolien, mais également via des panneaux solaires installés sur le toit. Néanmoins, MicroMobile assure que son système peut aussi être intégré à l'intérieur de bâtiments, ce qui permet à la société d'espérer toucher une large clientèle.

"Avec notre service, on s'adresse aux collectivités, mais également aux entreprises du privé. Notre offre peut très bien convenir à des transporteurs pour être installée dans des halls de gare, ou bien dans des résidences de logements", détaille Dominique Chiappa.

Pour le moment, seul un partenariat a été acté avec le Sicoval (la communauté d'agglomération du sud-est toulousain, nldr), avec un objectif bien précis : "L'idée est de faire la liaison entre Labège et le métro de Ramonville avec un à deux points intermédiaires comme l'université Paul-Sabatier par exemple", précise le fondateur. À court-terme, trois stations doivent être installées dans le territoire du Sicoval et cinq d'ici fin 2018. À noter que la RATP est également intéressée pour lancer une expérimentation, tout comme des acteurs privés importants de la région toulousaine et d'autres villes de France.

Un million d'euros pour un déploiement national

Cependant, le développement au niveau national est complexe pour la petite entreprise toulousaine. En cause ? Le manque de moyens financiers. Jusqu'à présent MicroMobile s'est développé grâce à ses fonds propres. Désormais, afin de proposer son offre au-delà du territoire toulousain, elle recherche un partenaire financier.

"J'ai envisagé l'entrée d'un investisseur pour faciliter le déploiement aussi bien au niveau local que national, mais nous n'avons pas de candidat intéressé pour le moment. Nous demandons un million d'euros pour un déploiement national en 12 mois", concède Dominique Chiappa.

Si la levée de fonds venait à se faire, Micromobile compte implanter une centaine de stations, aussi bien sur l'espace public que dans le privée, dans l'agglomération toulousaine d'ici fin 2019.

       

Par Pierrick Merlet

 

 

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February 7, 2018 10:10 AM
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La startup Coovia change d'équipe pour son virage vers le BtoB

La startup Coovia change d'équipe pour son virage vers le BtoB | Toulouse networks | Scoop.it

Murielle Renard, Laurène Dia et Pol Barrière (de gauche à droite) sont les nouveaux visages de la direction de Coovia.

 

Fondée en 2012 par David Larcher, la startup Coovia a depuis créé une application de covoiturage portant le même nom afin de répondre à la problématique des embouteillages toulousains. Suite à un changement de stratégie, son fondateur a récemment quitté la société pour un nouveau projet, tandis que Coovia a été repris par trois associés, salariés de la structure.

 

Après avoir créé une application mobile de covoiturage pour tenter de résoudre la problématique des embouteillages dont sont victimes Toulouse et son agglomération, l'entreprise Coovia a changé sa cible.

Depuis le 1er janvier 2018, les entreprises de plus de 100 salariés ont obligation de mettre un plan de déplacement en interne (télétravail, covoiturage, autopartage), pour réduire au maximum le trafic routier. La startup toulousaine a donc décidé d'accompagner ces entreprises dans la mise en place du PDE (Plan de déplacements entreprise). Ainsi, le CHU de Toulouse, le Conseil Départemental, Airbus, le Crédit Agricole 31 ou encore le Groupe IGS, pour ne citer qu'eux, bénéficient de l'accompagnement de Coovia dans cette nouvelle législation.

Mais ce changement de stratégie, le passage du B to C au B to B, ne correspondait plus aux attentes de toute l'équipe de Coovia, et a donc connu quelques changements.

 

David Larcher se consacre à un nouveau projet de covoiturage

"L'entreprise Coovia est historiquement tournée vers le covoiturage domicile-travail, avec une application mobile à développer et donc beaucoup de Recherche et Développement. Après cinq ans d'existence, nous sommes désormais plus dans une phase de commercialisation que de création, notamment auprès des entreprises. David Larcher, le fondateur de l'entreprise, préférant le côté innovation, a décidé de se consacrer à un nouveau projet", explique Murielle Renard, l'une des trois associés qui a repris l'entreprise.

Depuis le 29 décembre 2017 officiellement, Coovia a donc été repris par Laurène Dia, responsable commerciale, Murielle Renard, chef de projet mobilité et Pol Barrière, responsable marketing. Salariés de l'entreprise ces dernières années, ils sont désormais associés et détiennent 80 % du capital, les 20 % étant conservés par Actia.

 

 

 

David Larcher, le fondateur de Coovia./ Rémi Benoit

De son côté, David Larcher vient de créer une société entièrement dédiée à MyPeopleGo, un nouveau projet de covoiturage événementiel.

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January 10, 2018 6:47 AM
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Success story du toulousain Brico Privé, le leader français des ventes en ligne de bricolage

Success story du toulousain Brico Privé, le leader français des ventes en ligne de bricolage | Toulouse networks | Scoop.it

En 5 ans, la start-up toulousaine Brico Privé est devenue le premier site web français spécialisé dans les ventes privées dédiées au bricolage, jardinage et aménagement de la maison. Reportage sur cette success story.

 

Créé en 2012, Brico Privé est aujourd’hui le premier site français spécialisé dans les ventes privées dédiées au bricolage, jardinage et aménagement de la maison. Toute l’année, le site web propose des grandes marques et des promos jusqu’à – 80%.

 

Les fondateurs, Marc Leverger et Julien Boué affichent aujourd’hui 100 millions d’euros de chiffre d’affaire, 5 millions de clients, 150 collaborateurs et une croissance annuel de 40%. Plus de 8000 colis sortent en moyenne de leur entrepôt de l’Union, près de Toulouse. 

 

Le potentiel de progression de l’entreprise est considérable. Le marché du bricolage en France pèse 25 milliards d’euros et seulement 3% sur internet. Si bien que Brico Privé prévoit de recruter 60 personnes cette année et s’agrandir dans de nouveaux locaux.

Une de nos équipes (Denis Tanchereau et Olvier Denoun) a pu pousser les portes de cette success story toulousaine :

 

 

https://embedftv-a.akamaihd.net/b76f4f8dbed6246d394153de5c2f99ff

 

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January 4, 2018 9:48 AM
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Mounir Mahjoubi à la rencontre des startups toulousaines

Mounir Mahjoubi à la rencontre des startups toulousaines | Toulouse networks | Scoop.it

A cette occasion, Mounir Mahjoubi, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique a rencontré le Président de l’association La Mêlée, Edouard Forzy

Le Secrétaire d’Etat en charge du Numérique Mounir Mahjoubi, était présent à Toulouse ce jeudi 21 et ce vendredi 22 décembre 2017, afin de rencontrer des startups du territoire, notamment au sein de l’incubateur de Météo France.

 

Des annonces concernant un rapprochement entre la GreenTech verte et la French Tech ont été effectuées à Toulouse le 22 décembre 2017, après une matinée de rencontres avec les entrepreneurs installés dans l’incubateur GreenTech verte de Toulouse. 

Concrètement, il s’agit, d’une part, d’un rapprochement entre la GreenTech verte et la French Tech visant à renforcer et développer les liens entre les porteurs de projets innovants au service de la transition écologique et solidaire ; d’autre part, d’un paquet numérique économie circulaire : une démarche d’intelligence collective à l’occasion de la parution de la feuille de route sur l’économie circulaire en mars qui aura pour objectif de faciliter la mise à disposition des données, notamment des secteurs des déchets, et de favoriser le développement d’un nouveau modèle économique.

Implanté depuis mars 2017 dans les locaux de Météo France, le site accueille les lauréats « GreenTech verte » du ministère de la Transition écologique et solidaire basés en région Occitanie. Il est également ouvert aux agents de Météo-France et aux élèves de l’Ecole nationale de météorologie. Le déplacement à Toulouse venaient clore la consultation en ligne initiée par les pouvoirs publics en septembre 2017. Le « Tour des startups », démarche visant à échanger avec les porteurs de projets pour identifier tous les freins que les startups rencontrent encore dans leur secteur d’activité, se clôtura mi-février avec de nouvelles étapes en perspective. A cette occasion, Mounir Mahjoubi, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique a rencontré le Président de l’association La Mêlée, Edouard Forzy (en photo ci-dessus).

 

MID e-news

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November 16, 2017 9:47 AM
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Gilbert Gagnaire (EasyMile), manager de l’année Biznext 2017

Gilbert Gagnaire (EasyMile), manager de l’année Biznext 2017 | Toulouse networks | Scoop.it

Lauréats, parrains et membres du jury Biznext 2017

 

A l’occasion de la 3e édition de Biznext, organisée par La Tribune Toulouse, le fondateur et CEO d’EasyMile, a été désigné manager de l’année 2017 lors d’une soirée à Météo France lundi 13 novembre. A ses côtés, trois entreprises et un innovateur représentatifs de la transformation numérique en région toulousaine ont été mis à l’honneur. Revue de détail du palmarès.

 

Innovateur de l'année : Pierre Osswald, fondateur et président de Citizen Farm

Siège social : Miolles (Tarn)

Activité : Mini-ferme urbaine en aquaponie

Pierre Osswald a été désigné Innovateur de l'année par le jury de Biznext 2017. Citizen Farm, la startup créée par le jeune homme en 2014 alors qu'il était encore étudiant à TBS, propose des solutions pour l'alimentation de la population urbaine de demain. Pour cela, la startup a choisi de développer des solutions de production adaptées à l'environnement urbain, mais visant aussi à faire de la pédagogie. Pierre Osswald (30 ans) a tout d'abord passé un bac d'électro-technique à Albi, avant de travailler dans la restauration ou la charpente métallique... En 2011, il rejoint le programme Bachelor de TBS.

Citizen Farm a développé trois gammes de produits : Oz, un aquarium-potager pour faire pousser des plantes aromatiques en aquaponie, destiné aux particuliers, enfants et écoles. OïkoFarm, une mini-ferme urbaine mobile conçue à partir d'un container maritime recyclé qui permet de faire pousser des légumes sous serres sur deux étages sur 15m² au sol. Et enfin, des fermes urbaines sur-mesure (OïkoFarm²).

"L'aquaponie est un système qui est jusqu'à dix fois plus productif que la culture traditionnelle", explique Pierre Osswald, "tout en étant économe en eau et en n'utilisant aucun produit chimique". L'expérimentation grandeur nature menée à Toulouse dans le cadre de la Smart City de juin 2016 à septembre 2017 a permis de produire 400 kgs de légumes selon le fondateur de Citizen Farm. Une levée de fonds (800 K€) est envisagée pour 2018 afin d'accélérer le développement de Citizen Farm en Europe.

Autres nominés : Jean-Jacques Bois (Nanolike) et Matthieu Claybrough (Donecle).

 

Start up de l'année : Uwinloc

Siège social : Colomiers (Haute-Garonne)

Activité : Conception et commercialisation de solutions de traçabilité pour l'industrie du futur

Uwinloc a mis au point la première étiquette connectée fonctionnant sans batterie permettant de localiser de grandes quantités d'objets dans des espaces fermés de grand volume, de type entrepôts ou sites industriels. Son étiquette permet de localiser un produit avec une précision de 30 cm dans l'espace grâce aux capteurs installés dans l'entrepôt. L'étiquette "se nourrit" de l'énergie environnante pour restituer un signal aux balises. Cela permet aussi de tracer les déplacements des produits (par exemple pour des outils sur un site industriel afin d'analyser les flux de production).

En deux ans, la startup a conquis 25 clients dans cinq pays (Europe et Etats-Unis). Un premier contrat a été signé fin 2016 avec Satair, filiale d'Airbus, l'un des leaders mondiaux des pièces détachées d'avion, pour son entrepôt de Hambourg. L'accord prévoit l'équipement de l'entrepôt d'Hambourg, puis de l'ensemble des sites mondiaux de cette filiale d'Airbus qui gère 1,3 milliard d'euros de pièces détachées. Après la fabrication de pré-séries, Uwinloc vient de lancer l'industrialisation de ses étiquettes, confiée à Lacroix électronique et d'autres prestataires.

Uwinloc clôture fin 2017 une levée de fonds de 900 K€ auprès d'acteurs français et japonais. L'entrée de deux nouveaux fonds d'investissement est prévue pour mars 2018 pour un montant compris entre 2 et 3 M€. Ces deux levées de fonds successives doivent servir à accélérer l'internationalisation de l'entreprise et renforcer sa R&D.

Début 2018, la startup quitte le Biz Lab d'Airbus (dont elle fait partie depuis sa création) pour s'installer à Blagnac.

Autres nominés : Gamamabs Pharma (Toulouse) et Ze Watt (Toulouse).

 

Croissance internationale : Delair

Siège social : Labège (Haute-Garonne)

Activité : Drones et systèmes d'acquisition et de traitement de données pour la surveillance de sites industriels ou naturels

Créée en 2011 à Toulouse par quatre polytechniciens, Delair (ex Delair-Tech) conçoit, produit et exploite des mini-drones de longue endurance pour la surveillance de sites industriels ou naturels.

Delair est devenu en quelques années l'un des leaders mondiaux du drone professionnel et des applications industrielles.

Les drones Delair sont distribués dans 80 pays (couvrant tous les grands marchés) par 250 distributeurs. En 2016, grâce à une croissance organique rapide et des rachats d'entreprises stratégiques (filiale belge de Trimble), Delair a renforcé sa position comme l'un des acteurs incontournables de l'industrie du drone professionnel. Grâce à sa stratégie d'expansion mondiale, la société compte désormais dans son portefeuille clients un grand nombre de groupes industriels du monde entier. En 2016, 51 % du CA a été réalisé hors Europe dont 24 % en Asie et 22 % en Amérique (dont 13 % Amérique du Nord). Parmi ses prochains objectifs, la startup prévoit de déployer son offre sur les cinq continents, de se rapprocher des grands comptes à l'étranger et de créer une nouvelle filiale en Chine.

"Nous sommes sur toute la chaîne de valeur du drone : le hardware (l'engin volant), le software (les logiciels) et les services (analyses et recommandations)", résume Michaël de Lagarde, CEO de Delair. C'est là, selon lui, que réside la véritable valeur du marché des drones professionnels.

Delair vient de signer un partenariat avec Intel pour développer une plateforme d'analyse de données aériennes. En 2018, l'entreprise va s'attaquer au marché du géospatial avec l'arrivée du nouveau drone, l'UX11, destiné aux professionnels de la topographie et du BTP.

Le chiffre d'affaires de Delair a triplé en 2016 pour atteindre 7,1 millions de dollars. Il devrait atteindre 25 M$ fin 2017.

Autres nominés : Genoskin (Toulouse) et Naïo Technologies (Ramonville).

 

 

Manager de l'année : Gilbert Gagnaire, fondateur et président d'EasyMile

Siège social : Toulouse

Activité : Conception de véhicules autonomes pour le transport collectif et la logistique

Gilbert Gagnaire, 55 ans, est le fondateur et CEO d'EasyMile, spécialiste du transport de personnes ou de marchandises à partir de véhicules électriques et 100 % autonomes. La navette autonome EZ10, est conçue pour circuler en centre-ville à vitesse réduite (25-40 km/h) sur sites propres ou sur zone à trafic partagé (voitures, bus, vélos). Plus d'une centaine de tests en situation réelle ont été réalisés dans une vingtaine de pays sur tous les continents. Certaines expérimentations ont abouti à des premières exploitations commerciales. C'est le cas à Singapour, sur le site du jardin botanique Garden by the bay, mais aussi à Arlington, au Texas, pour assurer une liaison entre les parkings et le stade de baseball.
Gilbert Gagnaire est, sans conteste, un "serial entrepreneur". En 1996, il cofonde Fermat, entreprise qui conçoit des logiciels de gestion du risque bancaire (racheté par Moody en 2008). En 2012, il se lance dans la construction d'un complexe hôtelier à Bali puis, en 2014, il crée EasyMile à Toulouse avec le soutien du constructeur Ligier.

Début 2017, EasyMile a réalisé une levée de fonds de 14 M€ auprès d'Alstom et une autre auprès de Continental (montant non communiqué). L'objectif est d'accélérer le développement des technologies embarquées par les navettes autonomes et d'accompagner leur déploiement commercial à grande échelle. Outre ses bureaux à Singapour, en Australie (ouvert début 2017) et à Berlin (octobre 2017), EasyMile poursuit son internationalisation avec l'ouverture d'une représentation à Denver (prévue pour décembre 2017).

Début octobre, EasyMile a dévoilé un partenariat avec TLD, fabricant d'équipements de transport pour aéroports, afin de développer le premier tracteur de bagages 100 % autonome. Celui-ci, baptisé TractEasy, sera testé sur la base de Francazal dans la périphérie toulousaine d'ici à la mi-2018.

Autre nominés : Corinne d'Agrain, présidente du directoire d'Irdi Soridec Gestion (Toulouse) ; Anton Bielakoff, DG de Lyra Network (Labège)

 

Prix spécial du jury : Gamamabs Pharma

Siège social : Toulouse

Activité : Traitements innovants contre le cancer

Gamamabs Pharma était nominé dans la catégorie startup de l'année. L'entreprise créée en juin 2013 à Toulouse par Stéphane Degove et le docteur Jean-François Prost développe de nouvelles thérapies anticancéreuses. Elle travaille notamment sur un nouvel anticorps ciblant les cancers gynécologiques, dont le cancer de l'ovaire, qui a démarré en 2016 sa phase de tests cliniques. Gamamabs Pharma vient de signer avec MedImmune, filiale du groupe AstraZeneca, un accord de licence pour développer un traitement dit immunoconjugué contre le cancer. "Cet accord va renforcer notre pipeline innovant dans le domaine de l'oncologie et améliorer les options thérapeutiques pour les patients souffrant de cancer", indique Stéphane Degove, CEO de GamaMabs Pharma. "Nous poursuivons notre engagement soutenu pour élargir notre portefeuille en oncologie. Des partenariats stratégiques comme celui-ci nous permettent de continuer à élargir notre offre thérapeutique pour un grand nombre de patients".

Le produit le plus avancé de Gamamabs a démarré en 2016 sa phase de tests cliniques avant une éventuelle autorisation de mise sur le marché (phase qui dure en moyenne 8 ans pour les médicaments destinés aux humains). Les premiers revenus ne sont pas attendus avant 2019 à 2021.

 

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August 28, 2017 2:24 PM
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Aida, le robot à quatre pattes toulousain veut révolutionner la livraison en ville

Aida, le robot à quatre pattes toulousain veut révolutionner la livraison en ville | Toulouse networks | Scoop.it

 

 

Le robot autonome Aida développé par deux jeunes diplômés de l’Isae-Supaéro au sein de la startup Unsupervised.ai, devrait bientôt permettre de livrer en ville des colis au pas de la porte du destinataire.

"Livrer n'importe quoi, n'importe où, n'importe quand". C'est l'ambition d'Alexis Theallier et Clément Jambou, deux anciens membres du club de robotique de l'Isae-Supaero de Toulouse et fondateurs de la startup Unsupervised.ai. Avec leur robot quadrupède Aida, ils souhaitent révolutionner la livraison en milieu urbain en apportant des colis jusqu'à 15 kg 24h/24 et 7j/7, au pas de la porte de leur destinataire ou à n'importe quelle position géolocalisée.

"L'Américain Boston Dynamics a déjà conçu de tels robots, mais pour l'armée ou la recherche à des coûts très élevés - entre 300 000 et 400 000 euros - et en peu d'exemplaires, explique Alexis Theallier. À l'inverse, la fabrication d'Aida n'est pas plus onéreuse que celle d'un scooter électrique, ce qui nous permettra d'avoir une flotte beaucoup importante et de déployer notre service de livraison à l'échelle des grandes villes".

Actuellement, la livraison représente 60% du prix de la commande du client. La jeune pousse Unsupervised.ai espère avec son service de livraison faire chuter à long-terme les tarifs du marché et ramener à un euro seulement le coût de livraison.

Un robot capable de gravir les marches du perron

Sur le territoire américain, la société Starship Technologies teste déjà un service de livraison robotisé apte à transporter des charges jusqu'à 18 kg dans un rayon de 5 km. Mais son robot sur roues connaît quelques déconvenues. Il parvient difficilement à éviter les obstacles urbains comme un arbre ou une poubelle, et ne peut gravir les trottoirs ou se relever en cas de chute.

C'est pourquoi Unsupervised.ai a choisi de développer un robot autonome sur quatre pattes. Aida est spécialisé dans le "last 50 meters delivery", c'est-à-dire dans la livraison des colis jusqu'au pas de la porte. En effet, l'engin sera capable d'interagir avec l'environnement : gravir un trottoir, les marches d'un perron, se hisser sur ses deux pattes arrières pour appuyer sur une sonnette... Ainsi, l'objectif final est de transporter plusieurs Aida par camion - véhicule autonome dans le futur - et de les lâcher dans un périmètre de livraison dans lequel chaque robot apporte son colis à la bonne adresse.

Aida peut gravir un trottoir, les marches d'un perron ou se hisser sur ses deux pattes arrières pour appuyer sur une sonnette (Crédits : Unsupervised.ai).

Pour octroyer toutes ces fonctionnalités à Aida, Alexis Theallier et Clément Jambou utilisent la simulation et les dernières techniques de machine-learning appliqués à la robotique : le robot apprend des scénarios ou se forme par lui-même avec ses expériences sur le terrain.

D'abord viser une clientèle d'établissements privés

"Notre robot terrestre est également moins dangereux qu'un drone qui risquerait de tomber et dont la réglementation interdit d'ailleurs la circulation en ville, précise Alexis Theallier. Bien sûr, la loi européenne est aussi très stricte et les robots autonomes terrestres ne sont pas encore autorisés dans l'espace public. Nous allons donc d'abord lancer notre produit aux États-Unis, et en Europe à destination d'établissements privés".

Ainsi, dans sa stratégie à court terme, Unsupervised.ai vise une clientèle dans l'industrie 4.0 (usines, campus industriels), les chantiers ou les campus universitaires. Avec Aida, l'ouvrier n'aura plus besoin de traverser son site industriel pour se procurer une pièce ou un outil, l'étudiant ne parcourera plus des kilomètres pour se procurer un snack. Plusieurs grands groupes français et étrangers sont déjà intéressés par le concept. En outre, d'ici trois ans, la startup compte établir un réseau Aida dans une ou plusieurs villes américaines, et investir l'espace public européen une fois la réglementation assouplie.

Pour développer les fonctionnalités du robot quadrupède, Unsupervised.ai simule ses mouvements sur ordinateur (Crédits : Unsupervised.ai).

 

Un business angel de l'Isae-Supaéro

Fondée en décembre 2016, Unsupervised.ai a d'abord passé quatre mois au sein de l'incubateur et accélérateur HAX à Shenzhen (Chine), ville appelée la "Silicon Valley du hardware" où sont fabriqués Iphones, casques Bose et autres produits électroniques. La jeune pousse a pu y construire son premier prototype grâce à une aide de 100 000$ octroyée par l'incubateur.

Puis, en juin 2017, la startup a reçu la bourse French Tech emergence à la hauteur de 45 000 euros. À ce jour, la société poursuit son développement entre Shenzhen, Paris et San Francisco avec les fonds investis par son business angel, un ancien élève de l'Isae-Supaero.

Lire aussi : L'Isae-Supaero crée un laboratoire dédié aux "concepts spatiaux avancés"

Unsupervised.ai conserve d'ailleurs d'étroits liens avec l'école d'ingénieurs toulousaine puisqu'elle emploie actuellement un de ses élèves en stage pour la conception mécanique, et va proposer une série de projets autour d'Aida à sa filière "Systèmes autonomes" pour l'année 2017/2018. De plus, la startup prévoit de concrétiser sa première levée de fonds d'un million d'euros au mois de septembre.

"Clément va préparer la mise sur le marché d'Aida aux États-Unis depuis San Francisco, et pour ma part, je retourne à Shenzhen six mois pour pallier les défauts de conception de notre prototype et améliorer son design, planifie Alexis Theallier. L'objectif est de revenir en France début 2018 avec cinq robots prêts à débuter les tests en environnement".

Unsupervised.ai se lance aujourd'hui sur un marché de la livraison en pleine croissance, qui devrait représenter 80 milliards de dollars en 2020.

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April 12, 2017 2:23 PM
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Bientôt la 8e édition du Startup Weekend à Toulouse

Bientôt la 8e édition du Startup Weekend à Toulouse | Toulouse networks | Scoop.it

 

Du 28 au 30 avril, Toulouse accueillera la 8e édition du Startup Weekend, dans les locaux de Toulouse Business School.Au programme : 54 heures de travail pour monter une entreprise et proposer un produit novateur, devant un jury de professionnels.

Le rendez-vous est pris pour les startuppers en herbe : vendredi 28 avril à 18h, entre 90 et 120 candidats tenteront de relever le défi du Startup Weekend à Toulouse. Commerciaux, graphistes, ingénieurs mais aussi communicants, travailleront ensemble pendant trois jours pour faire éclore des projets d'entreprise, et s'assureront avant tout de leur faisabilité. Les candidats auront jusqu'au dimanche soir pour affiner leur présentation.

 

À la clé, l'aboutissement du projet

À l'occasion de cette dernière soirée, ils auront 8 minutes pour soumettre leurs propositions de startup, et répondre aux questions du jury. Ce dernier sera composé de 5 entrepreneurs et chefs d'entreprises, dont les noms n'ont pas encore été communiqués.

D'après Matthieu Caylet, coorganisateur de l'événement, les jurés évalueront les prestations et désigneront les lauréats selon trois critères : "La pertinence et l'utilité du produit pour les usagers, la solidité du modèle économique et la viabilité du projet sont essentiels et peuvent faire la différence entre deux startups."

Les trois porteurs de projets gagnants se verront offrir un accompagnement juridique et comptable. Ils auront également un accès gratuit à des espaces de coworking et bénéficieront d'une expertise en UX design.

 

Toulouse Business School accueille l'événement

En 2017, TBS revient dans l'aventure en mettant ses locaux à disposition du Startup Weekend. L'école - ex ESC - était partenaire de l'événement pour les trois premières éditions, en 2010, 2011 et 2012. Le retour de l'événement dans ses murs coïncide avec le lancement d'un nouveau mastère "Startup et Intrapreneuriat", qui débutera en octobre prochain.

"Idéalement située en centre-ville, la localisation de TBS est un atout majeur pendant le Startup Weekend, cela permettra aux commerciaux d'aller directement à la rencontre des Toulousains pour recueillir leur avis concernant tel ou tel produit", confie Matthieu Caylet.

Cette année les organisateurs mettront l'accent sur l'apprentissage. Des mini-conférences de 10 minutes auront lieu tout le week-end pour préparer les participants aux différentes étapes de l'expérience. En parallèle, un suivi permanent sera assuré par des coachs entrepreneurs, pour permettre d'établir des méthodes de travail efficaces. "L'encadrement, c'est la promesse du Startup Weekend", assure le coorganisateur.

 

Toulouse, ville de startups

Toulouse est classée deuxième ville de France en nombre de startups. L'édition 2017 du hors-série Le Startupper de La Tribune Toulouse en a recensé plus de 200. Parmi elles, plusieurs émanent du Startup Weekend, à l'image de MyFeelBack spécialisée dans la conception d'enquête marketing en ligne, de Jimmy Fairly et ses lunettes haut-de-gamme, ou encore de Cityméo et de sa solution d'affichage dynamique.

 

Par Samantha Sales

 

 

Jacques Le Bris's insight:

Modalités

Inscription payante
Tarif étudiant : 40€
Tarif normal : 60€
Nombre de places limité, clôture des ventes le 20 avril.


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