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Scooped by Jacques Le Bris
May 2, 2016 3:58 AM
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Le créateur du bitcoin est enfin connu

Le créateur du bitcoin est enfin connu | Toulouse networks | Scoop.it

Après des années de spéculation et de mystère, le véritable créateur de la monnaie numérique bitcoin a révélé lundi son identité à la BBC, The Economist et le magazine GQ: il s'agit de l'entrepreneur australien Craig Wright.

Craig Wright a fourni des pièces connues comme étant seulement détenues par le créateur de bitcoin pour prouver qu'il en était bien l'inventeur, précise la BBC.

Lors d'une rencontre avec la BBC, il a signé numériquement des messages en utilisant des clés cryptographiques créées pendant les premiers jours du développement de cette monnaie numérique.

Ces clés sont "inextricablement liées" à des lots de bitcoins connus pour avoir été créés par Satoshi Nakamoto, le pseudonyme utilisé par le créateur à l'époque.



Une véritable traque
Les médias traquent depuis plusieurs années le ou les mystérieux informaticiens qui, derrière ce pseudonyme, ont conçu en 2009 le logiciel à l'origine du bitcoin.

"Ce sont les lots utilisés pour envoyer 10 bitcoins à Hal Finney en janvier (2009) lors de la première transaction en bitcoin", a déclaré Craig Wright pendant sa démonstration devant ces trois médias.

Contrairement aux devises physiques telles que l'euro ou le dollar, les bitcoins ne sont régis par aucune banque centrale, mais générés par des milliers d'ordinateurs dans le monde (un processus baptisé "minage").

Désormais utilisés par des milliers de sites web et même certaines boutiques "réelles", ils peuvent être échangés contre des services (payer la course d'un taxi par exemple), des marchandises ou même d'autres devises, du moment que l'autre partie à la transaction en accepte le principe.



Dérives
Instrument selon ses détracteurs de tous les trafics illégaux du fait de l'anonymat des paiements, le bitcoin est par ailleurs, dans sa forme actuelle, vulnérable au vol ou toute autre opération frauduleuse, et de nombreux pays songent à en encadrer l'usage.

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December 2, 2014 12:23 AM
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La Cantine Toulouse accepte les bitcoins

La Cantine Toulouse accepte les bitcoins | Toulouse networks | Scoop.it

Depuis cette fin novembre 2014, la Cantine Toulouse accepte les paiements en bitcoins. Toulouse conforte ainsi un peu plus sa position de ville pionnière pour les bitcoins : le deuxième distributeur de bitcoin après Paris vient d'y ouvrir ses portes.

La Cantine de Toulouse rejoint la longue liste des organisations qui acceptent dorénavant les paiements en bitcoins. Depuis quelques jours, il possible de régler sa place de coworking en ligne, sans frais supplémentaires et les montants des différentes prestations sont indexés sur le cours du bitcoin. Ainsi, une journée de coworking est facturée (au 26 novembre 2014) environ 0,03364 BTC, soit l’équivalent de 10 euros (voir ici). La mise en place du système de paiement a été réalisée par un des adhérents de la Mêlée, la société toulousaine FdRConseil.

Cette initiative est une première expérimentation menée par l’association La Mêlée. Elle devrait permettre d’évaluer le potentiel de cette nouvelle monnaie au sein de l’écosystème toulousain du numérique. Une synthèse de l’expérimentation sera publiée après 6 mois d’utilisation.

Par ailleurs, c’est à Toulouse qu’a été ouvert le deuxième distributeur de bitcoins en France, après Paris : il est situé rue de Toul et est géré par la startup MineOnCloud. Une liste non exhaustive des entités qui acceptent les bitcoins en France est présentée ici.

Pour rappel, inventé en 2009, Bitcoin est un système de transfert et de vérification de propriété basé sur un réseau de pair à pair, sans aucune autorité centrale. L’application initiale du réseau Bitcoin est un système de paiement électronique décentralisé dont le bitcoin est l’unité de compte. Bitcoin fonctionne avec des logiciels et un protocole qui permet aux utilisateurs d’émettre et de transférer des bitcoins, en gérant les transactions de façon collective et automatique. En tant que protocole libre (code source ouvert), il offre une totale compatibilité entre les logiciels et services qui l’utilisent. En tant que monnaie, Bitcoin est à la fois un intermédiaire de paiement et une réserve de valeurs.
MID e-news

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September 2, 2014 1:08 AM
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Deux Toulousains créent MineOnCloud, le premier distributeur de bitcoins en province

Deux Toulousains créent MineOnCloud, le premier distributeur de bitcoins en province | Toulouse networks | Scoop.it

Mathieu Billaud et Christopher Villegas, les deux créateurs de MineOnCloud.


Qu'il suscite l'intérêt ou la méfiance, le bitcoin fait parler de lui. Deux jeunes Toulousains ont donc décidé de créer le premier lieu d'échange de bitcoins de province, le deuxième en France. Ils ont pour objectif de démocratiser son usage dans la Ville rose.

Bientôt, on pourra régler ses achats en bitcoins chez Monoprix ou sur le site Expedia.fr. Face à ce succès croissant de la monnaie virtuelle, ou crypto-monnaie, deux jeunes Toulousains ont décidé de créer une boutique permettant de créditer son compte en bitcoins et d’acheter le matériel nécessaire pour les miner. Toulouse sera ainsi la deuxième ville française à compter un lieu de ce type.

« Le Bitcoin, c’est une unité de compte qui est décentralisée de tous les réseaux bancaires et qui s’échange dans le monde entier », précisent Christopher Villegas et Mathieu Billaud, les deux créateurs de MineOnCloud. La valeur du bitcoin est aujourd’hui estimée à 450 euros pour une unité, mais elle fluctue en permanence. Pour obtenir des bitcoins, il suffit de les échanger contre de l’argent sur des places d’échanges dédiées ou de les miner. Les utilisateurs du réseau, les mineurs, mettent ainsi leurs ordinateurs au service de bitcoin pour contrôler et valider les transactions, et reçoivent en récompense des bitcoins.

Un distributeur automatique de bitcoins

Christopher Villegas et Mathieu Billaud sont des défenseurs passionnés du bitcoin. « Comme il n’y a pas de centralité, les transactions sont extrêmement rapides même à l’international. Les frais bancaires sont faibles voire négligeables. Le paiement est garanti sans piratage, contrairement à la carte bleue, ce qui représente énormément d’avantages pour les e-commerçants. Et enfin, les bitcoins sont infalsifiables. » MineOnCloud aura vocation à réaliser de l’évangélisation auprès des commerçants toulousains sur le bitcoin pour tenter de démocratiser son usage. « Un dentiste accepte déjà les paiements par ce biais, et une pizzeria aussi », ajoutent les deux dirigeants.

MineOnCloud va également se doter d’un distributeur de bitcoins, proposant ainsi aux personnes d’échanger simplement leur argent, à partir de 5 euros, contre la monnaie virtuelle. Elle se rétribuera au passage en prenant une commission sur les transactions.
Agnès Frémiot

Jacques Le Bris's insight:
La Banque de France vigilente

La Banque de France a émis, en décembre, une mise en garde contre le bitcoin rappelant qu’il s’agit « d’une monnaie virtuelle non régulée présentée par ses concepteurs comme une alternative à la monnaie légale mais qui n’offre aucune garantie de remboursement », et soulignant son caractère « hautement spéculatif ».

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January 14, 2016 2:46 AM
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Paiement alternatif : le Toulousain Lyra Network intègre les Bitcoins

Paiement alternatif : le Toulousain Lyra Network intègre les Bitcoins | Toulouse networks | Scoop.it

Alain Lacour, Président de Lyra Network

 

L'opérateur de paiement Lyra Network basé à Toulouse intègre les Bitcoins dans l'offre de sa plateforme de paiement en ligne PayZen.   


Près de 15 millions de Bitcoins seraient actuellement en circulation dans le monde. Aussi, après des cartes de paiement internationales, du prélèvement en ligne (SDD), des wallets, et des e-chèques vacances, Lyra Network vient d’ajouter cette monnaie virtuelle aux moyens de paiement disponibles sur sa plateforme PayZen. « En proposant les Bitcoins, nous démontrons notre capacité à intégrer des moyens de paiement innovants rapidement et indépendamment des technologies sur lesquelles ils sont basés, explique dans un communiqué Emmanuelle Ghara, Directrice du Développement de Lyra Network. Cela nous permettra dans le futur de pouvoir intégrer toute autre crypto-monnaie sans délais ».

Pour proposer cette offre, l’opérateur a travaillé en partenariat avec la startup française Paymium, à l’origine de la première plateforme d’échange bitcoin/euro en conformité avec la réglementation européenne sur les services de paiement.

Fondée en 2001 à Toulouse, où restent basés la R&D et le support technique, Lyra Network (150 collaborateurs) est aujourd’hui implanté en Europe (Allemagne et Espagne), en Algérie, en Amérique du Sud (Brésil et Chili) et en Inde. L’opérateur a réalisé un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros en 2014 et revendique pour la même année plus de 5,5 milliards de paiement sécurisés et transmis. Il a remporté en juin 2015 le prix Croissance, Rayonnement et Potentiel International à l’occasion de la 13e édition des Trophées de l’Economie Numérique à Toulouse (voir l’article de MID e-news).
Chantal Delsouc, MID e-news

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September 13, 2014 1:00 PM
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Bientôt un Bitcoin à Toulouse ? Le Sud-ouest lance sa monnaie 100% numérique

Bientôt un Bitcoin à Toulouse ? Le Sud-ouest lance sa monnaie 100% numérique | Toulouse networks | Scoop.it

Après le "wir" en Suisse et le "res" en Belgique, le "mipys", une monnaie complémentaire 100% numérique et à parité avec l’euro sera mise en circulation le 1er octobre en Midi-Pyrénées pour soutenir l'activité et l'emploi dans la région.


Ce nouveau mode d’échange devrait aussi servir à financer la rénovation énergétique par le biais de prêts à taux zéro.

Porté par le conseiller régional (PS) Pierre Poujade, président de l’Agence régionale du développement durable (Arpe Midi-Pyrénées), ce projet se veut "une première en France" par sa dimension 100% numérique et sa vocation d’intérêt collectif.

Son périmètre s’étendra dans un premier temps au territoire de Midi-Pyrénées mais, compte tenu de la fusion programmée de la région avec le Languedoc-Roussillon dans le cadre de la réforme territoriale, il pourrait être amené à évoluer.

Le lancement du mipys, dont le nom changera avec la réforme, démarrera le 1er octobre par une phase d’expérimentation à Séquestre (Tarn), dont Pierre Poujade est le maire.

Une dizaine d’acteurs de cette commune de 1.600 habitants, dont la mairie, la crèche, des artisans et des commerçants testeront durant trois mois cette monnaie à petite échelle.

Au 1er janvier 2015, l’expérimentation devrait être élargie à une quinzaine de villes de Midi-Pyrénées avant une extension à l’ensemble du territoire régional dès le 1er avril 2015 avec au moins 1.000 commerces et professionnels engagés dans le projet.

NOUVEAUX MARCHÉS

Seuls les habitants, les associations ou les entreprises ayant un siège social dans la région et ayant souscrit à un compte en mipys auront accès à cette monnaie complémentaire.

Les achats et paiements ne se feront que sur supports numériques, par carte bancaire, internet et smartphone.

Destinée à favoriser l’activité locale, cette monnaie de consommation vertueuse ne génèrera pas d’intérêts afin de décourager la thésaurisation et aura vocation à servir de carte de fidélité chez les commerçants où elle sera utilisée.

Les frais de gestion des comptes bancaires en mipys seront proportionnels à la somme qui y sera laissée pour inciter les usagers à utiliser la monnaie rapidement.

"L’intérêt pour les particuliers est un gain en pouvoir d’achat. A chaque fois qu’un particulier voudra créditer son compte en mipys, il obtiendra 110 mipys pour 100 euros versés, soit un bonus de 10%", explique Pierre Poujade. "Pour les professionnels, cette monnaie devrait leur permettre de capter de nouveaux marchés comme en Belgique, où le chiffre d’affaires supplémentaire généré par le res est de 5 à 10%."

Pour l’élu régional, le but "n’est pas de lancer une monnaie alternative à l’euro mais une monnaie complémentaire qui remette l’humain au centre d’un projet économique de proximité et qui remplisse des fonctions que ne remplissent pas les monnaies officielles, comme de générer de l’emploi local".

"Comme le res belge, la monnaie mipys est entièrement numérique, comme le wir elle aura une vocation bancaire en accordant des prêts à taux zéro, comme les miles des compagnies aériennes, elle aura une fonction de carte de fidélité", précise Pierre Poujade, qui estime à 20.000 le nombre d’usagers nécessaires pour "faire tourner cette monnaie".

PROFUSION DE MONNAIES RÉGIONALES

D’autres monnaies locales citoyennes à parité avec l’euro ont déjà fait leur apparition et s’échangent sous forme de coupons-billets comme la touselle en Haute-Garonne, le sol-olympe à Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, le céou à Gourdon, dans le Lot ou le pyrène en Ariège, lancé en juillet dernier.

A Toulouse, le sol-violette, mis en circulation en mai 2011 avec le soutien de la municipalité, remporte un vif succès.

Cette monnaie compte aujourd’hui 1.800 utilisateurs qui peuvent consommer auprès de 153 magasins ou associations de l’économie sociale et solidaire. Quelque 60.000 sols sont aujourd’hui en circulation et ont généré un chiffre d’affaires de 360.000 sols-violette dans le réseau utilisateur.

"Toutes ces initiatives montrent la vitalité et le besoin des citoyens de s’approprier la question monétaire pour remettre la finance au service de l’économie réelle et restreindre les capacités à spéculer des marchés financiers", estime Andrea Caro, cofondatrice et coordinatrice du projet sol-violette.

"Mais la question de la coexistence de ces monnaies locales va très vite se poser. Il va falloir réfléchir à leur convergence pour un passage à plus grande échelle, sans qu’elles y perdent leur âme", ajoute-t-elle.

(Edité par Yves Clarisse)

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July 7, 2014 9:06 AM
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La gendarmerie démantèle une plateforme illégale d'échange de bitcoins

La gendarmerie démantèle une plateforme illégale d'échange de bitcoins | Toulouse networks | Scoop.it

Les gendarmes de la section de recherches de la région Midi-Pyrénées sont à l'origine d'une saisie plutôt étonnante. En effet, dans le cadre d'une affaire concernant entre autres des questions d'exercice illégal d'opérations de banque, les autorités ont démantelé une plateforme d'échange de bitcoins opérant dans le sud de la France.


Une plateforme démantelée, 388 bitcoins saisis

C'est une première en Europe, les gendarmes français de la section de recherches de la région Midi-Pyrénées ont démantelé une plateforme d'échange de bitcoins, considéré comme « illégale ». Une opération qui a conduit à l'interpellation de trois personnes à Cannes, Nice et Toulouse selon nos confrères du Point.

 

Si la plateforme concernée n'est pas citée, les autorités ont néanmoins livré quelques chiffres à son sujet. 388 bitcoins, soit un peu moins de 180 000 euros au cours actuel ont été saisis, ainsi que 9 000 € en liquide. Le site a officié entre novembre 2013 et juillet 2014, et aurait traité plus de 2750 transactions pour un total de 2 500 bitcoins.

 

Les charges retenues contre les opérateurs du site sont multiples. Il est ainsi question d'exercice illégal d'opérations de banque, offre de paris ou jeux d'argent et de hasard en ligne et travail dissimulé. Mais surtout expliquent les gendarmes, « Le site utilisé pour les échanges ne bénéficiait d'aucun agrément de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), organe de supervision français de la banque et de l'assurance », et c'est ce qui a signé sa perte. En effet, dans l'absolu rien n'interdit à une plateforme d'échange ou de paiement en bitcoin d'exister en France. Il existe d'ailleurs dans le pays quelques acteurs évoluant en toute légalité dans ces domaines comme Paymium, pour ne citer que lui. 

Une saisie permise par la transparence du réseau

Si la gendarmerie précise au sujet du bitcoin que « comme toutes les monnaies virtuelles, elle présente un risque élevé de dérives criminelles compte tenu, d'une part, de l'opacité qui entoure leur existence et leur fonctionnement », elle oublie de préciser que le Bitcoin est d'une certaine manière plutôt transparent. C'est d'ailleurs très certainement grâce à la transparence des échanges qui ont lieu sur le réseau que les coupables ont pu être retrouvés et que les sommes engagées ont pu être évaluées.

 

En effet, il est possible à tout un chacun de connaitre en temps réel les transactions effectuées depuis ou vers une adresse donnée. Il suffit ensuite de faire le lien entre l'adresse et son propriétaire, ce qui dans le cas d'une plateforme centralisée d'échange est chose plutôt simple, tout passant par une ou plusieurs adresses de dépôt.

Faut-il en déduire que l'utilisation de Bitcoin est illegale ?

Si l'AFP parle d'un « trafic de monnaie virtuelle bitcoin », sous-entendant que l'utilisation de bitcoins est un délit, le plaçant au même niveau que d'autres « trafics » (animaux, armes, organes, stupéfiants...) en pratique ce n'est pas le cas. Si cette plateforme disposait d'un agrément valable de l'ACPR, nous n'en aurions probablement jamais entendu parler. 

 

En effet, il est permis d'exercer une activité consistant a effectuer le change entre monnaie virtuelle et monnaie fiduciaire, et l'ACPR précise que « Dans le cadre d’une opération d’achat/vente de Bitcoins contre une monnaie ayant cours légal, l'activité d’intermédiation consistant à recevoir des fonds de l'acheteur de Bitcoins pour les transférer au vendeur de Bitcoins relève de la fourniture de services de paiement. Exercer cette activité à titre habituel en France implique de disposer d'un agrément de prestataire de services de paiement (établissement de crédit, établissement de monnaie électronique ou établissement de paiement) délivré par l’ACPR. ».

 

En somme, il n'est donc pas formellement interdit de faire usage du bitcoin ou de toute autre crypto-monnaie dans la vie quotidienne, il faut simplement s'assurer d'effectuer les échanges entre monnaie virtuelle et monnaie fiduciaire en passant par un intermédiaire agrée afin d'éviter tout problème. Par ailleurs, Pierre Moscovici affirmait en mars dernier qu'il se disait favorable à un certain encadrement de l'utilisation de crypto-monnaies« Il ne s'agit pas de bannir ces monnaies mais il faut en assurer un encadrement précautionneux », déclarait-il. Pour l'heure, le gouvernement n'a pas encore tranché sur la question, mais cette affaire pourrait bien accélérer un peu les choses.

Kevin Hottot,  Publiée le 07/07/2014 à 15:40
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