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Jacques Le Bris
May 24, 2016 6:46 AM
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Le chef Fabrice Di Rienzo a reçu le Prix Lucien Vanel, dans la catégorie « Lauréat ». Neuf gastronomes de la région toulousaine ont été récompensés par le prix Lucien Vanel, lors de la remise des prix, lundi 23 mai 2016, à Toulouse. Détails. On connait désormais les noms des gagnants du prix Lucien Vanel, qui met à l’honneur les chefs toulousains et de la région, chaque année. Pour cette huitième édition, parrainée par le chef doublement étoilé Bernard Bach et par la vigneronne Anne Marie Selle, le prix Lucien Vanel a récompensé neuf gastronomes de la région. À la suite des votes du public et des académiciens Vanel, neuf prix ont été décernés, lundi 23 mai 2016, lors de la soirée organisée aux espaces Vanel de l’Arche Marengo. Le prix « Lauréat » revient au chef du restaurant La Table d’Auzeville, à Auzeville-Tolosane, Fabrice Di Rienzo. Le chef des P’tits Fayots sacré « Meilleur Espoir » Le prix « Meilleur Espoir » a, quant à lui, été attribué au chef Aziz Mohktari, qui officie dans les cuisines du restaurant Les P’tits Fayots, rue de l’Esquille à Toulouse. Le public a également participé à l’élection des lauréats des prix « Accueil » et « Maître-Restaurateur », respectivement décernés à Nicolas Thomas (La Promenade) et à Émilie Noblet-Zevaco (L’Instant T). Les prix « Valorisation des vins du Sud-Ouest » et Matins Gourmands » – créé cette année et mettant à l’honneur les établissements hôteliers servant les meilleurs petits-déjeuners – ont quant à eux été désignés par le jury des académiciens. Voici la liste des gagnants du prix Lucien Vanel en 2016 : - Prix « Lauréat » : Fabrice Di Rienzo – La Table d’Auzeville
- Prix « Meilleur Espoir » : Aziz Mokhtari – Les P’tits Fayots
- Prix « Accueil » : Nicolas Thomas – La Promenade
- Prix « Maître-Restaurateur » : Emilie Noblet-Zevaco – L’Instant T
- Prix « Matins Gourmands » : Didier Vincent – Hôtel Crowne Plaza
- Prix « Valorisation des vins du Sud-Ouest » : Philippe Puel – Le Cantou
- Prix « Féminin de l’Interprofession des Vins du Sud-Ouest » : Virginie Mehats – Le Virgil
À noter que deux prix spéciaux « Hors Catégorie » ont été attribués à Thierry et Claudie Merville (La Table de Merville), ainsi qu’à Pierre Lambinon, chef du restaurant Le Py’R,récemment étoilé au Guide Michelin.
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Jacques Le Bris
October 20, 2014 4:52 AM
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«J'aime TSE»... La photo prise après l'annonce du Nobel a fait le tour du monde. Jean Tirole est entouré de ses étudiants, souvent étrangers, qui l'ont ovationné./ Lundi dernier, Jean Tirole s'est vu décerner le «prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel.» Une distinction qui lui confère une autorité morale incontestable. Retour sur la semaine la plus trépidante dans la vie du fondateur de la Toulouse School of Economics. Depuis lundi, Jean Tirole multiplie les interviews dans les journaux, sur les chaînes françaises et étrangères, répétant inlassablement les conditions dans lesquelles il a appris la nouvelle de sa «nobélisation». Lundi 13 octobre, 12 h 15. Dans son bureau de la Toulouse School of Economics, allée de Brienne, Jean Tirole étudie une demande de bourse avec un de ses profs lorsque son téléphone vibre : «J'ai mis du temps à réaliser qu'on essayait de m'appeler. En regardant de plus près, je me suis rendu compte que le numéro qui s'affichait commençait par le 46, l'indicatif pour la Suède ; j'ai commencé à m'étonner un petit peu…» En fait, c'était l'Académie royale des sciences de Suède qui cherchait à le joindre. Alors, tout a basculé subitement : «J'étais tellement étonné que je n'ai pas crié de joie. J'ai fini par comprendre que ce n'était pas un gag. On a l'air bête dans ces moments…» Lui qui fuyait la presse se retrouve dans un «tourbillon médiatique». Jean Tirole appelle son épouse Nathalie, annonce la nouvelle à sa mère de 90 ans, et se laisse avaler par les micros et caméras. Jean Tirole sait alors qu'il doit se préparer à un marathon. Après la médaille Fields (l'équivalent du Nobel pour les mathématiques) attribuée en août au Franco-Brésilien Artur Avila, après le Nobel de littérature décerné à Patrick Modiano, Jean Tirole est, à 61 ans, le porte-voix d'une France économiquement malade, mais que la désespérance ne doit pas atteindre. Le jury suédois porte un coup fatal au French bashing et semble s'en amuser. Ce lundi, les journalistes prévenus fondent comme un essaim sur l'ancienne manufacture des Tabacs, entre canal de Brienne et Garonne, siège de l'école de Toulouse, où s'improvise une conférence de presse. Jean Tirole, remis de ses émotions, réalise qu'il va devoir prendre sur lui, braver sa timidité, mais aussi se justifier face à une doxa qui ne voit en lui qu'un chantre du libéralisme. A l'image des grands groupes industriels qui participent au financement de sa fondation Jean-Jacques Laffont. Puis, Tirole enfile un T-shirt aux couleurs de la «TSE» et rejoint ses étudiants enthousiastes. La journée du 14 octobre démarre tôt. Jean-Pierre Elkabbach est à Toulouse pour Europe 1. Dans la foulée, Tirole enchaîne les interviews. «ça téléphonait de tous les coins du monde», rappelle Jenny Stephenson qui gère sa communication. Mais le Nobélisé veut rester maître de son emploi du temps. Dans l'après-midi, il dispense son cours à ses doctorants et étudiants de licence, avant d'être le héros attendu d'une petite réception avec le préfet et les représentants de l'université. Jean Tirole est à Paris pour honorer des rendez-vous pris depuis longtemps sur des programmes de recherche. Et toujours des plateaux télé et des micros qui se tendent. La longue journée s'achève sur l'émission «C à vous» de France5. Jean Tirole est plus détendu. Il arrive sur le plateau d'Anne-Sophie Lapix avec un petit sac qui contient un sweat et un T-shirt imprimé du grand cœur rouge comme une déclaration d'amour à la Toulouse School of Economics. Virole se prête au jeu et répond à ses détracteurs qui ne voient en lui qu'un représentant, un de plus, de cette école de Chicago trop libérale et trop souvent récompensée par le Nobel. «Non, je suis un antilibéral partisan d'une économie de marché bien régulée… La preuve, j'ai accueilli pendant une semaine à Toulouse, mon ami Joseph Stiglitz , prix Nobel d'économie en 2001», prend soin de préciser l'invité. Comme lui, Tirole s'est intéressé aux conséquences des inégalités, à la persistance du chômage et à la fréquence des crises financières. La semaine s'achève au même rythme, mais avec une présence plus assidue à TSE, avant un week-end de repos et la promesse de retrouver un bonheur paisible en famille avec Nathalie. Mais le chercheur prépare déjà une succession de voyages aux États-Unis. Des séjours qui précéderont les cérémonies du Nobel à Stockholm. Ce sera le 10 décembre. La route du prix Nobel est encore loin d'être achevée. Il recevra son prix le 10 décembre Jean Tirole entamera début décembre un autre marathon : conférences de presse à Stockolm, allocution lors d'une grande conférence publique qui suivra la remise officielle du prix prévue le 10 décembre. Ce sera aussi l'heure de recevoir la récompense de 8 millions de couronnes suédoises (environ 878 000 €).
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Jacques Le Bris
December 19, 2011 7:16 AM
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Le 15 décembre, le Conseil national du bruit, organisme consultatif placé auprès de la Ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, a remis à la Ville de Toulouse le Décibel d’Or 2011. Cette distinction vient récompenser l’Office de la Tranquillité de Toulouse dont le travail contribue « de façon exemplaire à l'amélioration de notre environnement sonore ». Un prix remis à l’Hotel de Lassay à Paris par la ministre de l'Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Nathalie Kosciusko-Morizet. Cette distinction est la septième en 2011 en matière d’innovation pour la métropole toulousaine : - Palmarès national Ecoquartier ; - Pass d'Or au 20ème Palmarès des Mobilités de Ville Rail & Transports ; - Territoria d'Or 2011 pour ses idées innovantes en matière d'aménagement des espaces publics ; - Prix de la Capitale française de la biodiversité ; - Mention spéciale du jury du Festival Fimbacte dans la catégorie Innovation ; - Victoires des acteurs publics 2011… - Et Toulouse a été élue une fois de plus 1ère ville où il fait bon étudier par le magazine l'Étudiant en septembre dernier. « Je me félicite de ce nouveau prix qui vient récompenser encore une fois l’innovation au sens large, a commenté Pierre Cohen. Ces distinctions constituent une preuve supplémentaire du réveil de Toulouse ! Elles montrent que nous pouvons être innovants dans des domaines aussi variés que l’écologie, la biodiversité, les transports, la lutte contre les nuisances sonores, la propreté, l’éclairage public ou la culture. L’innovation est et restera au cœur de notre projet pour Toulouse et sa métropole.»
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Jacques Le Bris
November 16, 2011 3:56 AM
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- La Dépêche : Soixante-quatre membres d'un jury indépendant ont élu les meilleurs restaurateurs parmi 135 installés dans l'agglomération toulousaine. Hier soir, les lauréats de trois catégories distinctes ont été récompensés par le prix Lucien-Vanel. Où manger des tapas à Toulouse ? Où faire, à coup sûr, un bon repas ? Et quelles sont les institutions d'où vous ne sortirez jamais déçus ? Hier soir, dans les salons de l'arche Marengo, à Toulouse, dans une ambiance de fête, le prix Lucien-Vanel a été décerné, dans trois catégories, aux meilleurs restaurateurs toulousains : Remi Regaud (Le Chat passe) ; Pierre-Jean Ferrier (Le Renfort du palais) et Pierre Lambinon (Le Py'R). Depuis 2008, ce prix, qui porte le nom du célèbre restaurateur toulousain décédé en 2010, est certes organisé par la profession et l'office du tourisme. Mais c'est un jury indépendant de 64 socioprofessionnels (chefs d'entreprise, professionnels du tourisme…) qui fréquentent assidûment les restaurants de l'agglomération qui a voté. D'où un palmarès représentatif, et qui satisfait Guy Pressenda, le président général de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie de la Haute-Garonne, car il promeut de solides tables mais qui ne sont pas forcément celles dont on parle le plus. Le public, qui vote habituellement grâce à des urnes disposées chez les restaurateurs, n'a pas été sollicité cette année pour des raisons logistiques. « Mais il le sera à nouveau l'an prochain », indique Guy Pressenda. De même que les catégories devraient à nouveau changer « puis être pérennisées », poursuit le représentant des hôteliers et restaurateurs. « Toulouse a une particularité : la restauration d'affaires. Quand les affaires toussent, la restauration s'enrhume… Les gens fréquentent toujours autant les restaurants mais le ticket moyen a baissé », analyse Guy Pressenda qui aimerait bien « de nouvelles locomotives », c'est-à-dire des étoilés. « Une nouvelle génération arrive », observe-t-il. À commencer par le jeune chef du Py'R. Les chefs récompensés par catégorie Bars à vins, bars à tapas - Premier prix : le Chat passe (13, rue des Couteliers, Toulouse). Un an d'existence et déjà une reconnaissance pour ce café tenu par un personnage des fêtes toulousaines, membre de l'association des cafés culture Bar-Bars, Rémi Regaud. - Deuxième prix : Côté vin (37, rue Boulbonne, Toulouse). Dans un décor sobre et design, Côté vin, ouvert depuis peu par Christophe Llido, est déjà un succès. - Troisième prix : Los Piquillos (90, route de Blagnac, Toulouse). Un classique des tapas, de la cuisine basque et du Sud-Ouest tenu par l'ancien seconde ligne du Stade Toulousain, Jean-Marie Cadieu. Brasseries, bistrots, "ma cantine coup de cœur" - Premier prix : Le Renfort du palais (15, rue des Renforts, Toulouse). Créative, soignée… cette belle table toulousaine est tenue par un ancien étoilé Michelin, Pierre-Jean Ferrier. - Deuxième prix : Le Chai Saint-Sauveur (30, rue Bernard-Mulé, Toulouse). La spécialité de Jean-Christophe Lassale : les produits frais dont les poissons grâce à un arrivage hebdomadaire depuis Saint-Jean-de-Luz. - Troisième prix : La Cantine du quartier (43, rue du Languedoc, Toulouse). Rendez-vous du quartier des Carmes, cette cantine est tenue par d'anciens fromagers affineurs, M. et Mme Simorre. Repas gastronomique des français, Unesco - Premier prix : Le Py'R (19, rue des Paradoux, Toulouse). Après un BTS au lycée hôtelier de Toulouse, Pierre Lambinon file chez Alain Ducasse. De retour à Toulouse, le jeune homme fait beaucoup parler de lui… http://www.toulouscope.fr/restaurant/gastronomique/py-r.html - Deuxième prix : Le Cantou (98, rue de Velasquez, Saint-Martin-du-Touch, Toulouse). Une institution tenue par Philippe Puel, chef de cuisine, également propriétaire de la Bonne auberge, à L'Union, et du Karo, au marché gare. http://www.toulouscope.fr/restaurant/gastronomique/le-cantou.html - Troisième prix : Le Pois gourmand (3, rue Emile-Heybrard, Toulouse). Dans une magnifique toulousaine en bord de Garonne, Hugo Plazotta maintient une solide tradition. http://www.toulouscope.fr/restaurant/gastronomique/au-pois-gourmand.html Vanel, le parrain Lorsqu'ils ont eu l'idée de ce prix gastronomique en 2007, Guy Pressenda (Union des métiers et des industries de l'hôtellerie) et Philippe Verger, le directeur de l'office du tourisme de Toulouse, ont pensé à Lucien Vanel. À la retraite, le célèbre chef (son restaurant Chez Vanel, rue Fontvieille, à Toulouse, a porté haut ses deux étoiles Michelin) avait aussitôt accepté que ce prix porte son nom. Ce prix, expliquait-il en 2009 dans une interview à « La Dépêche », ne peut que « fédérer les cuisiniers toulousains ». Lucien Vanel est décédé en juin 2010 à l'âge de 81 ans. Vin : les femmes à l'honneur Nouveauté cette année : un prix a été attribué par la Confédération de l'interprofession des vins du Sud-Ouest et remis hier soir par son président, Michel Defrancès. Son objectif : valoriser les femmes qui travaillent dans le vin et mettent en avant les vins du Sud-ouest 1. Une jeune sommelière : Gaëlle Ferrieres, restaurant « La Table d'Auzeville » qui vient d'être repris par un jeune couple. 2. Une restauratrice : Sandrine Muguet, restaurant « Le Club », à Garidech. 3. Une caviste : Christine Longueville. Ancienne formatrice au CFA de Blagnac, elle tient le magasin cave à vins, Le Div-Vin, à Grenade. Le chiffre : 135 restaurateurs > Une bonne participation. Pas moins de 135 restaurateurs de l'agglomération toulousaine ont participé au prix Lucien-Vanel cette année. Ils sont ainsi entre 100 et 130 chaque année depuis le premier prix décerné en 2008. « Les Toulousains et les touristes peuvent facilement trouver leur bonheur. Mais on aimerait plus de chefs étoilés. Nous avons besoin de locomotives. »
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Jacques Le Bris
March 15, 2016 4:10 AM
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Depuis trois ans, l’Observatoire local des loyers de l’agglomération toulousaine a pour mission de collecter et diffuser les montants des loyers du parc locatif privé, qui représente 150.000 logements Un portail internet, mis en service par l’Agence d’urbanisme et d’aménagement de Toulouse Métropole, permet de consulter les prix des loyers du parc locatif privé à Toulouse et dans l’agglomération. 610 euros : c’est le loyer moyen constaté dans l’agglomération toulousaine en 2015. Voila ce que révèle l’Observatoire local des loyers de l’Agence d’urbanisme et d’aménagement de Toulouse Métropole (Auat). Autre constat : plus le logement est petit, plus il est cher. Pour un appartement d’une pièce, le loyer est de 405 euros ; pour une maison de 92 m² il est de 834 euros. De plus, observe l’Auat, plus on s’éloigne de Toulouse, moins le loyer est élevé.. Rien de surprenant toutefois car la tendance suit celle des ventes de bien anciens. Précisément, le prix moyen d’un logement de 53 m² dans les quartiers Capitole et Saint-Etienne est de 614 euros, de 572 euros aux Carmes et à Rangueil. Ceux pour un logement de moins de 70 m² situés à Tournefeuille, Colomiers, Ramonville sont à 660 euros. A Plaisance, Seysses ou encore Castelginest, un 75 m² se loue à 700 euros. 20.000 références en ligne « Toulouse reste une ville attractive au niveau des prix qui se stabilisent », précise Franck Biasotto, président de la commission habitat à Toulouse Métropole. « Ils restent raisonnables, même s’ils sont un peu chers ». A l’image de Nantes par exemple. Justement, pour comparer les prix pratiqués d’une ville à une autre, en France, mais aussi dans une centaine de communes de l’agglomération toulousaine, y compris le Muretain, l’agence a collecté et analysé les données transmises par soixante-dix professionnels. Ainsi, pas moins de 20.000 références de loyers sont diffusées et consultables en ligne. Ce site internet, mis en service au début de l’année, s’adresse aux investisseurs, bailleurs ou futurs locataires qui souhaitent effectuer des recherches selon la ville, le quartier, le nombre de pièces et le type de logement – maison ou appartement-, le neuf et l’ancien. Audrey Sommazi
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Jacques Le Bris
October 13, 2014 7:11 AM
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Sandrine Mathon
December 2, 2011 5:35 AM
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| InnovCity | Planete DDurable A Paris, la publication « Ville, Rail & Transports » a remis ses « Palmarès de la mobilité ». Pour la 20e édition, c’est Toulouse qui a décroché le Pass d’Or, suivi par Lyon puis Strasbourg.
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