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Créé à l'initiative du Conseil départemental de la Somme, ce site est dédié à la filière des éco-activités. A travers ce portail, vous pourrez : -identifier les acteurs clés et les outils correspondant à votre projet (accompagnement à la création, au développement, à l’implantation, à la diversification), -améliorer votre connaissance du secteur des éco-activités dans le département de la Somme, -renforcer votre visibilité sur les marchés grâce à l’annuaire des professionnels investis dans cette filière dans le département, accéder à l’actualité des nombreux acteurs qui interviennent dans les éco-activités ( manifestations, appels à projets…), -échanger vos expériences et renforcer vos réseaux en construction durable ( éco-construction, performance énergétique, éco-matériaux…) ou en énergies renouvelables ( éolien, géothermie, solaire, biomasse…) -identifier les prestataires pour réaliser votre projet, à travers les annuaires des éco-entreprises de la construction durable, des énergies renouvelables et des autres éco-activités. -vous former sur les nouvelles technologies liées aux éco-activité grâce à l'annuaire des formations dédiées...
Pour stimuler l’Open Innovation* et bénéficier en amont de technologies novatrices qui rendront le réseau de transport d’électricité toujours plus performant et intelligent, RTE déploie trois initiatives en direction des start-up pour concrétiser cette stratégie. RTE crée un fonds d’investissement avec Truffle Capital, lance un concours permettant aux start-up lauréates de tester leur solution sur le réseau de transport d’électricité, et développe un partenariat avec la start-up The CoSMo Company pour industrialiser une application. Avec ces trois initiatives RTE répond aux trois besoins essentiels à la réussite des jeunes entreprises innovantes : le financement, l’accompagnement, et l’aide à l’industrialisation.
Schneider Electric a présenté le 4 décembre à Paris Ecoblade, son nouveau système de stockage de l’électricité. Modulable, ce produit pourra s’intégrer dans tous les environnements, depuis la maison individuelle jusqu’au quartier à énergie positive.
Du sodium à la place du lithium dans les batteries, et c’est une nouvelle filière de stockage de l’énergie qui s’ouvre, avec un matériau mille fois plus abondant. Des chercheurs du CNRS et du CEA en ont réalisé un prototype au format industriel standard.
Le contexte mondial place actuellement la France face à de grands défis : comment réduire les émissions polluantes et de gaz à effet de serre, dans la mobilité et la production énergétique ? comment réduire la dépendance aux énergies fossiles ? comment stocker l’énergie pour faciliter le déploiement des énergies de source renouvelable (EnR) et leur intégration dans le système énergétique ? comment améliorer la santé et le bien-être des citoyens affectés par les pollutions diverses ? comment contribuer à maintenir une France compétitive et innovante dans les grandes évolutions industrielles touchant à l’énergie et aux transports ? L’hydrogène, vecteur énergétique polyvalent et flexible, apporte des solutions efficaces et décisives pour répondre à ces grands défis liés à la transition énergétique et à la croissance de demain.
ERDF va commencer le déploiement du compteur intelligent Linky à partir du 1er décembre 2015. Un démarrage sans précipitation, avec 20.000 compteurs posés dans le mois. L'objectif est d'avoir changé 35 millions de ces machines d'ici à la fin de 2021… L'installation des compteurs Linky va débuter au début du mois de décembre, mais à un rythme de sénateur. S'il est prévu que 35 millions de compteurs électriques soient remplacés dans les six années qui viennent, seules 20.000 machines communicantes seront posées par ERDF le premier mois. Le gestionnaire du réseau prévoit ensuite d'augmenter la cadence pour monter à 300.000 compteurs installés par mois, en rythme de croisière, croit savoir le quotidien économique Les Echos. Problème : pour changer l'ensemble du parc souhaité en 71 mois, ce serait 430.000 compteurs qu'il faudrait poser mensuellement. Un 2e appel d'offres pour produire plus de 13 millions de compteurs
stocForsee Power a inauguré le 5 novembre à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne) son nouveau de site de production de systèmes de batteries dont il prévoit déjà de doubler la capacité dans les mois à venir. Forsee Power, concepteur, intégrateur et fabricant de systèmes de batteries a inauguré, jeudi 5 novembre, son nouveau site de production implanté à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne). L’entreprise, née de la fusion de quatre sociétés dont Uniross Industrie et Dow Kokam, a investi 1 million d’euros pour équiper un bâtiment de 3 000 mètres carrés lui permettant de rassembler ses services administratifs et ses outils de fabrication de systèmes de batteries pour le transport et le stockage stationnaire dispersés auparavant sur deux établissements à Lognes (Seine-et-Marne) et Vert-le-Petit (Essonne). Cette réalisation complète les moyens de production dont dispose, par ailleurs, l’entreprise à Maison-Rouge-en-Brie (Seine-et-Marne), en Pologne et en Chine.
#Les mini-Step* urbaines de l’entrepreneur à succès Denis Payre sont loin d’être… enterrées. Un démonstrateur d’environ 300 kW est à l’étude « dans une ville française dotée d’un relief approprié et une lettre d’intention a été émise par un développeur de projets », selon le dirigeant. Des brevets ont été obtenus en France et aux Etats-Unis, d’autres sont en cours dans une soixantaine de pays. Un premier projet pourrait être annoncé lors de la Cop21.
Les projets pour utiliser les voitures électriques comme soutien au réseau foisonnent. Et si une solution pour amortir de coût des batteries des voitures électriques était aussi de les utiliser comme stockage d’énergie lorsqu’elles arrivent en fin de vie ? Toyota, Nissan, BMW ou encore General Motors lancent les premiers pilotes cette année.
MAIS CELA DEMANDE BEAUCOUP PLUS DE STOCKAGE QU’UN MIX À 80% Le stockage de l’électricité verte est, avec le pilotage de la demande, un outil de flexibilité essentiel pour accommoder la variabilité des productions éolienne et solaire. Il s’agit de stocker-déstocker au cours de la journée ou de la semaine avec des batteries ou des stations de turbinage-pompage (Step, hydrauliques). Mais aussi de stocker l’été pour l’hiver. Pour ce stockage intersaisonnier, l’Ademe mise sur le "power to gas" ou le stockage de l’électricité verte en surplus sous forme de méthane. Comme l’illustre le graphe ci-contre, tous ces besoins de stockage grimpent à grande vitesse au-dessus de 80% de renouvelables. 80%, un bon compromis ? Cela laisserait en tout cas quelques gigawatts au nucléaire.
Ségolène Royal a approuvé les objectifs de développement des effacements de la consommation d'électricité pour l'appel d'offres qui sera lancé à la fin de 2015. Ces objectifs sont en forte augmentation par rapport aux volumes de cette année.
Suite à la délibération du jury le Dr. Gregory Wildgoose a été nommé lauréat de la première édition du YESS award lors du congrès Batteries 2015 à Nice. Le jury a été unanime sur les qualités innovantes de son projet qui propose d'utiliser les "frustrated Lewis pairs" dans un nouveau concept de batterie. Dr. Wildgoose est actuellement à l'Université d'East Anglia. Il a été promu Professeur en août dernier. Vous pouvez trouver des détails supplémentaires sur ses recherches à http://www.wildgooseresearch.com/ Le jury souhaite souligner la qualité de TOUS les projets soumis qui les ont surpris de manière très positive. Il voudrait tout particulièrement féliciter quatre jeunes chercheurs qui ont fait parti du carré final:
Après deux ans de développement, Pragma industries a mis au point, dans son usine de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), Alpha, un vélo électrique alimenté par des piles à hydrogène avec un objectif de mise sur le marché à la mi-2016. « Après la vente par Bic de son activité de cartouches d'hydrogène au britannique Intelligent Energy, nous avons changé de technologie choisissant le stockage de l'hydrogène sous pression. Le vélo est ainsi équipé d'un réservoir offrant 500 Wh d'énergie et d'une batterie-tampon de 150 Wh », explique Pierre Forté, président de prgama industries. L'ensemble lui donne une autonomie sur environ 100 km. Fabriqué en aluminium, le réservoir est léger, soit un poids de 2 kg, se charge en 30 secondes, a une durée de vie de dix ans minimum, tout en étant recyclable.
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Le stockage d’énergie suscite le plus grand intérêt chez le géant allemand de l’électricité E.ON. Après avoir investi 5 millions de dollars (4,5 M€) la semaine dernière dans la start-up américaine Greensmith, il signe un accord de coopération avec Samsung. L’énergéticien et la firme électronique sud-coréennne visent deux
Le recyclage des batteries Lithium-Ion vient de passer un nouveau cap avec l’accord passé entre la SNAM et le groupe PSA Peugeot Citroën. Le recycleur des batteries usagées sera en charge de la collecte en Europe et du recyclage des batteries des véhicules hybrides et électrique du constructeur automobile.
Questions à Daniel Grimbert, directeur régional.
Quelle est la mission d’ERDF en Picardie ?
Transition énergétique, développement des énergies renouvelables (EnR), essor du véhicule électrique, évolution des territoires, nouvelles technologies, Linky... le monde évolue et avec lui les nouveaux défis qu’ERDF doit relever. Notre mission de service public est d’acheminer l’électricité auprès des clients particuliers, entreprises, et collectivités locales, quel que soit leur fournisseur d’électricité. Nous sommes le concessionnaire en charge de la gestion du réseau public de distribution d’électricité sur 76% du territoire picard. ERDF exploite, entretient et développe les 28 000 km de réseau d’électricité, et garantit l’accès au réseau et l’égalité de traitement des clients. En Picardie, ce sont 846 agents qui, en plus de leurs missions liées à la distribution (entretien, dépannage, raccordement…) contribuent à porter les valeurs d’ERDF et son engagement en faveur de la transition énergétique et de la révolution numérique. Acteur majeur et contributeur de l’économie en Picardie, ERDF s’attache à entretenir des relations étroites avec le tissu économique local, que ce soient les grandes entreprises de la région (partenariats, cluster de l’énergie…), mais également des start-up avec lesquelles ERDF travaille étroitement dans le cadre de l’open innovation.
Linky : un projet industriel, innovant et créateur d’emplois.
Après deux ans de recherche, une équipe française, impliquant principalement des chercheurs du CNRS et du CEA, au sein du réseau RS2E (Réseau sur le stockage électrochimique de l'énergie1) vient de mettre au point une technologie offrant une alternative aux batteries lithium-ion dans certains secteurs. Ces chercheurs ont développé la première batterie utilisant des ions sodium au format « 18650 », un format industriel standard. Son principal avantage est d'utiliser un élément beaucoup plus abondant et moins coûteux que le lithium. Dotée de performances comparables aux batteries lithium-ion, cette nouvelle technologie intéresse déjà les industriels. Elle pourrait à l'avenir permettre le stockage d'énergies renouvelables.
Le 30 avril 2015, Elon Musk, le fondateur et charismatique PDG du constructeur de véhicules électriques Tesla, annonçait la commercialisation de ses batteries dites domestiques. Ce nouveau produit à usage résidentiel et commercial lancé avec l'ambition d'accélérer la transition vers les énergies renouvelables apparaît déjà comme un nouveau « game changer » et de nombreux acteurs se positionnent désormais sur le marché.
A la veille de la COP 21, ALCIMED, société de conseil en innovation et développement de nouveaux marchés, revient sur cette tendance qui pourrait révolutionner le monde du stockage de l'énergie ainsi que celui du véhicule électrique.
Via Internat Energy Solutions (IES)
En parallèle du développement de son réseau de chaleur de 23 à 43 km, Brest Métropole lancera en décembre la construction d’un énorme silo d’eau chaude, sur le campus de l’université. Ce stockage valorisera la chaleur de l’usine d’incinération d’ordures ménagères produite le week-end. De 20 mètres de haut et de 9 mètres de diamètre, le cylindre permettra ainsi de lisser les appels de puissance de la chaufferie d’appoint qui fonctionne au gaz, entre le week-end, où les amphis sont vides et le lundi matin, où les salles doivent être chauffées à 19 °C. 2 500 MWh/an devraient ainsi être récupérés, l’équivalent 400 logements. Grâce aux économies d’énergie réalisées pour l’université, le temps de retour de cet investissement de 1,5 million d’euros est prévu entre 7 et 8 ans. Le stockage permettra également de réduire de 12 700 tonnes de CO2 sur 20 ans les émissions de la métropole.
stoThierry Legrand, spécialiste des smart grids, vante l'intérêt de la conversion des ENR en gaz, dit Power to Gas. Il compare notamment les avantages/inconvénients de l'hydrogène et du méthane. Il propose des pistes pour réduire les coûts de production de la filière. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. C'est notamment vrai dans le secteur de l'énergie, où faute de pouvoir stocker l'électricité en quantité, il faut bien souvent la convertir en d'autres formes d'énergies pour la rendre stockable. Un défi incontournable alors que l'électricité d'origine renouvelable, souvent intermittente, prend de plus en plus de place dans le mix énergétique. Sur toutes les lèvres, la solution du Power to Gas, après s'être longtemps cherchée un modèle économique, commence à prendre forme. L'urgence du stockage des EnR (...)
La flexibilité de la demande : une réponse à la variabilité des EnR et à l’augmentation des pics de consommation Les objectifs de la transition énergétique (développement des énergies renouvelables, maîtrise de la consommation) impliquent un changement de paradigme dans l’exploitation du système électrique et des réseaux publics d’électricité. Côté offre, le système électrique doit intégrer une production accrue provenant de sources renouvelables. Certaines sont centralisées comme dans les grandes fermes éoliennes. D’autres sont décentralisées comme les panneaux photovoltaïques installés sur les toits des habitations. Le nombre de ces installations raccordées aux réseaux de distribution a augmenté de façon exponentielle depuis 2008. Ces sources de production sont difficilement prévisibles, fortement variables et non pilotables. De plus, les consommateurs ne soutirent plus uniquement de l’électricité, mais ils en injectent également, ce qui nécessite d’avoir des flux bidirectionnels sur des réseaux de distribution conçus, à l’origine, pour n’acheminer l’électricité que dans un seul sens. L’essor des énergies renouvelables introduit davantage de variabilité dans l’offre.
Une puce intelligente capable de diagnostiquer l’état de sécurité de la batterie, et d’interagir en conséquence avec le chargeur, a été mise au point par le professeur Rachid Yazami, directeur de recherche au CNRS, et à l’origine de l’anode en graphite utilisée dans la majorité des batteries au lithium. La technologie de batterie lithium-ion souffre encore de problèmes de sécurité liés au fait qu’elle peut s’enflammer facilement. D’où le besoin de surveiller l’état de santé de la batterie.
Le Medde indique travailler sur de nouveaux textes relatifs aux stations-service et aux flottes de véhicules fonctionnant à l'hydrogène. Bien que le décollage reste timide, les pouvoirs publics souhaitent encadrer les risques qui y sont liés.
Le ministère de l'Ecologie a publié le 15 octobre le rapport sur la prévention des risques majeurs pour les années 2013-2014, réalisé sous la direction de Patricia Blanc, directrice générale de la prévention des risques (DGPR). Parmi les différents risques étudiés figurent ceux liés au développement des énergies nouvelles (EnR), et en particulier l'hydrogène. "L'Etat suit (…) de près les différents projets dans ces domaines et a pour objectif de les accompagner en élaborant avec leurs...
On devrait connaître, avant la fin de l’année, les territoires qui accueilleront un futur campus dédié aux réseaux électriques intelligents, les smart grids. Les candidatures, proposées dans le cadre de l’Appel à manifestation d’intérêt (AMI) Campus “Réseaux électriques intelligents” sont actuellement passées à la loupe par l’équipe du plan de la Nouvelle France Industrielle. L’idée est de construire une plate-forme nationale, d’envergure mondiale, dédiée à la recherche et à l’innovation dans le domaine des smart grids. La forme de campus universitaire permettra d’ouvrir un champ d’expérimentation plus large, plus dynamique et plus pérenne que les nombreux démonstrateurs déjà en place.
es filières de promotion de l'hydrogène des différents Etats membres de l'Europe lancent un projet commun pour soutenir ce carburant. Baptisé Hydrogen Mobility Europe (H2ME), ce projet prévoit, d'ici 2019, le déploiement de 200 véhicules électriques à hydrogène (de Daimler et Hyundai), 125 véhicules utilitaires (Symbio Fcell en collaboration avec Renault) et la création de 29 nouvelles stations de recharge d'hydrogène dans 10 pays (Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, France, Islande, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède).
La Commission Européenne a dévoilé le 16 septembre 2015 les résultats de l’appel « Smart Cities and Communities » (Villes intelligentes et communautés) dans le cadre de Horizon 2020, programme européen de financement de la recherche et de l’innovation sur la période 2014-2020. Le consortium constitué par Lyon, Munich et Vienne est lauréat parmi les 4 consortiums européens retenus sur 42 consortiums candidats pour déployer à large échelle des solutions qui intègrent l’énergie, les transports et les technologies à travers des projets phares pour des villes et des communautés intelligentes.
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