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"DépISTés" est une série de vidéos sur les infections sexuellement transmissibles. Chaque épisode de cette série aborde une IST et répond aux principales questions sur la transmission, la prévention, le dépistage, les traitements. Dans cette vidéo : la chlamydia. Via Roxane 
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Rendu public mercredi 19 avril à Genève, le quatrième rapport consacré aux maladies tropicales négligées (MTN) par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) constate des avancées importantes, mais rappelle aussi les défis majeurs à relever. En 2015, indique l’institution, près d’un milliard d’individus, soit 63 % des personnes à risque – un record –, ont été protégés par un traitement médicamenteux préventif pour au moins l’une des MTN, des maladies parasitaires ou bactériennes touchant principalement les populations démunies.
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Aucune nouvelle infection à VIH n'a été observée parmi les 1000 patients sous Truvada en prophylaxie pré-exposition (PrEP) au Kaiser Permanente Northern California, selon une étude récente publiée dans le Journal of Acquired Immune Deficiency Syndromes. Cependant, l'incidence de la chlamydia et de la gonorrhée est en hausse, ce qui suggère que le contrôle des infections sexuellement transmissibles devrait se faire tous les trois mois plutôt que tous les six mois.
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Ils connaissent vaguement le sida, parfois l'hépatite C, mais ne leur parlez pas du Chlamydia, de la gonorrhée ou autre syphilis : ces maladies sexuellement transmissibles (MST ou IST pour Infections), extrêmement fréquentes parmi la population, sont complètement inconnues des jeunes, alors qu'elles peuvent avoir des conséquences graves. Via karine
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L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) préconise des traitements adaptés pour trois infections sexuellement transmissibles (IST) à cause de leur résistance aux antibiotiques jugée particulièrement préoccupante : la chlamydiose, la gonorrhée et la syphillis.
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Papillomavirus, vaginose, mycose vaginale, chlamydia : que devez-vous savoir sur ces infections sexuellement transmissibles (IST) ? Comment les éviter ? Comment les reconnaître ?
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La plupart des infections sexuellement transmissibles (IST) sont en nette augmentation depuis dix ans et ne se guérissent pas toutes seules. Pour éviter de les transmettre et stopper leur évolution, il ne faut donc pas les négliger. L’association française d’urologie sonne l’alerte et sensibilise sur les signes qui doivent alerter.
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La pharyngite à Chlamydia trachomatis (CT) a été rarement décrite dans la littérature. Des études faites ces dix dernières années montrent une prévalence inférieure à 5 % et des femmes hétérosexuelles plus souvent infectées dans le pharynx que les hommes. Chez les homosexuels, une seule étude, datant de plus de cinq ans, a détecté la présence de CT dans la gorge (1 sujet parmi 13 testés).
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Les chlamydiae sont l'infection sexuellement transmissible la plus répandue chez les 18-24 ans. L'INPES lance un site d'information et propose une enquête et un test à domicile. 04/09/2012
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Entre 2013 et 2015, les infections sexuellement transmissibles (IST) ont fortement augmenté en France : le nombre de cas de gonorrhée a doublé, ceux de la syphilis ont augmenté de 60% et les cas de chlamydiose de 10%. Mais ces IST, ne sont souvent pas diagnostiquées et selon l’OMS, elles deviennent plus difficiles à traiter, en raison de résistances à certains antibiotiques.
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Prendre des antibiotiques après un rapport sexuel à risque permet de réduire le nombre de syphilis et de chlamydioses. Mais cette approche reste inefficace contre les gonorrhées. Lors de la Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI), le Pr Jean-Michel Molina, infectiologue à l’hôpital Saint-Louis (Paris), a présenté les nouveaux résultats dans ce sens de l’essai IPERGAY.
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Le nombre de cas de maladies vénériennes a atteint un niveau sans précédent aux États-Unis en 2015, selon les autorités sanitaires fédérales, qui déplorent une forte réduction des budgets de prévention et de soins. Les cas de syphilis ont enregistré la plus forte progression de 2014 à 2015 avec 19%, suivi par la gonorrhée, 12,8% et la chlamydia 5,9%, précisent les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
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La gonorrhée, la chlamydiose et la syphilis sont trois infections sexuellement transmissibles (IST) qui peuvent être traitées par des antibiotiques. Pour répondre aux cas de résistance au traitement antibiotique qui se multiplient, l'OMS publient de nouvelles recommandations thérapeutiques concernant ces trois pathologies.
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Un vaccin contre les infections sexuellement transmissibles par la bactérie Chlamydia trachomatis, administré à des souris par un spray nasal, est en cours de développement avec succès par une équipe de chercheurs canadiens. L'équipe canadienne est parvenue à stimuler la réponse immunitaire des souris de laboratoire en apprenant à leur organisme à reconnaître une protéine, BD584, qui se trouve à la surface de la plupart des bactéries Chlamydia, dont il existe de nombreuses variantes, d'où la difficulté à obtenir une réponse immunitaire efficace.
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Cette recherche canadienne, publiée dans la revue Vaccine, marque un pas important vers le développement d’un vaccin anti-chlamydia. Développé sous forme de spray nasal et testé chez la souris, le candidat vaccin montre une certaine efficacité, dont une réduction de la propagation de l’infection et du risque de transmission. Un avantage appréciable en particulier en cas de forme asymptomatique…
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Syphilis, chlamydioses, VIH : le nombre d'infections sexuellement transmissibles (IST) est en augmentation.
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Le chlamydia est une bactérie qui provoque l’infection sexuellement transmissible (IST) la plus courante chez les moins de 25 ans. Elle peut se développer en l’absence de tout symptôme, avec des conséquences graves. Se faire dépister est donc essentiel pour la déceler et la traiter. Dans ce contexte, l’Inpes et le ministère chargé de la santé lancent le 3 septembre 2012 une campagne sur ce thème à destination des jeunes. 04/09/2012
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