Revue de presse théâtre
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LE SEUL BLOG THÉÂTRAL DANS LEQUEL L'AUTEUR N'A PAS ÉCRIT UNE SEULE LIGNE  :   L'actualité théâtrale, une sélection de critiques et d'articles parus dans la presse et les blogs. Théâtre, danse, cirque et rue aussi, politique culturelle, les nouvelles : décès, nominations, grèves et mouvements sociaux, polémiques, chantiers, ouvertures, créations et portraits d'artistes. Mis à jour quotidiennement.
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Scooped by Le spectateur de Belleville
July 20, 2014 1:47 PM
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"Henri VI" de Shakespeare en Avignon

"Henri VI" de Shakespeare en Avignon | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Mise en scène par Thomas Jolly, la pièce de William Shakespeare est un marathon de 18 heures de théâtre qui se transforme en fête. Un travail magnifique.

 

Retenez donc ce nom de Thomas Jolly. A 32 ans, il a toutes les qualités d’un homme de théâtre, soucieux de son public, comme de ses acteurs, avec une énergie à toute épreuve et une humilité qui en serait presque désarmante. "J’ai commencé à faire mon métier sous Sarkozy, je n’ai pas goûté à cet avant qui était plus facile. Donc, je suis une machine de guerre. Je n’ai pas de temps, pas d’argent, je me débrouille."    Alors, il s’est donc débrouillé du "Henry VI" de William  Shakespeare.  Cela fait 10 ans qu’il y pense, et 4 ans qu’il s’est attelé à ce projet de monter ce texte dit "inmontable" à cause de sa longueur.

 

Paru sur le site d'arte.tv

 

 

Lisez l'article complet dans son site d'origine :  http://info.arte.tv/fr/henri-vi-de-shakespeare-en-avignon#sthash.G4ekCOZZ.dpuf

 

En savoir plus: -L'intégrale ne sera donnée que 3 fois cette année en Avignon, à partir du 21 Juillet, et jusqu’au 25, une fois à Rouen, le 20 juin 2015. -Dans le cadre de Mettre scène, le TNB de Rennes accueillera la pièce en Novembre. Une tournée de deux ans est déjà prévue, avec des représentations étalées sur deux journées. -Plus d’informations sur le site web du groupe de théâtre. http://www.lapiccolafamilia.fr/

 

 

 

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July 6, 2014 10:35 AM
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Shakespeare en « 24 heures chrono »

Shakespeare en « 24 heures chrono » | Revue de presse théâtre | Scoop.it
Au Festival d'Avignon, Thomas Jolly présente une adaptation d'« Henry VI » en plusieurs épisodes, à la manières des séries télé. Un modèle qui fait des émules au théâtre.

 

Shakespeare, c’est… « Dallas » ! Si les séries télévisées font désormais référence dans la culture populaire, si elles attirent dans leur giron des cinéastes renommés, elles font aussi, peu à peu, leur entrée sur les scènes de théâtre. Un à un, les dramaturges sautent le pas. Dans le récentTartuffe mis en scène par Luc Bondy, il n’a pas échappé à l’observateur averti que la coiffure d’Elmire était digne de la stratège Robin Wright dans la série « House of Cards ». Mais les échanges ne se réduisent pas à ces clins d’œil : au fil des ans, le modèle télévisé fait des petits sous forme de séries théâtrales, découpées en épisodes joués consécutivement ou en intégrale.

 

Dans l’inépuisable manne du répertoire classique, les grandes sagas historiques de Shakespeare semblent particulièrement se prêter à ce découpage télévisuel. Avignon devrait ainsi accueillir cet été à La FabricA une adaptation du cycle Henry VI en plusieurs épisodes. Dans cette tétralogie créée en 1592, les clans rivaux des Lancastre et des York s’affrontent pour le trône d’Angleterre. Pas besoin d’être spécialiste pour y discerner matière à un trépidant soap opera. « Game of Thrones », la série d’heroic fantasy diffusée sur la chaîne américaine HBO, qui met en scène la lutte des Lannister et des Stark, s’inspire d’ailleurs du destin d’Henry VI.

Le Henri VI d’Avignon a été mis en scène par un jeune Rouennais de 32 ans, Thomas Jolly. « Grâce à la diversité des registres du théâtre élisabéthain, Shakespeare est le grand-père de l’entertainment tel qu’on le connaît aujourd’hui », explique cet ancien élève de Stanislas Nordey au Théâtre national de Bretagne. Henri VI est un drame historique survolté et spectaculaire, tout en chansons et morceaux de bravoure, qui évoque la fin de la guerre de Cent Ans et la guerre des Deux-Roses. « C’est le délitement, la dégénérescence d’un pays entier qui sont en jeu. Le chaos s’immisce sur cinquante années », analyse Thomas Jolly. Il porte ce projet mastodonte depuis cinq ans : avec sa compagnie, la Piccola Familia, un« laboratoire permanent » fondé avec six comédiens, il a conçu la première partie du spectacle sans savoir si une suite verrait le jour.

L’OCCASION D’UN MARATHON

Enfant comme il le dit lui-même, de la « génération séries », Thomas Jolly a été abreuvé par les schémas télévisés depuis toujours. Il a conçu sonHenri VI comme une série : la pièce a été découpée en épisodes qui seront joués séparément. Elle s’y prêtait : parce qu’il s’agit d’une œuvre fleuve qui représente dix-huit heures de spectacle, le cycle Henri VI n’avait encore jamais été joué en intégralité en France. Avec ces représentations, Avignon devrait donc être l’occasion d’un marathon qui ressemble à un binge watching – en trois représentations, les spectateurs pourront assister à la totalité du cycle, un peu comme s’ils regardaient la saison d’une série télévisée d’une traite. « Ce sera festif, prédit-il. On se demande tous si l’on va pouvoir aller jusqu’au bout et dépasser nos limites physiques. » 

Ce format « ne correspond en rien à ce que la politique culturelle a érigé en modèle », note Thomas Jolly. Pourtant, les affinités entre scène et petit écran abondent. Le répertoire théâtral a longtemps constitué le fonds de commerce des adaptations, d’abord sous forme de feuilletons radiophoniques, puis télévisés. Avant d’être un carton à la télé américaine, « Angels in America », avec Al Pacino, a ainsi été une pièce de Tony Kushner sur l’épidémie du sida , dans les années 1990. Et le Britannique Sam Mendes va réaliser une mini-série de quatre épisodes sur la BBC (« The Hollow Crown ») qui est une relecture des pièces historiques de Shakespeare, avant de s’attaquer, justement, à Henry VI. En France, l’auteur et directeur du Théâtre du Rond-Point, Jean-Michel Ribes, a fait l’expérience, à la fin des années 1980, de ces échanges entre le théâtre et le petit écran en créant l’émission débridée « Palace ». « C’était la démonstration qu’une série peut être cousine du théâtre », dit-il.

Si les épopées théâtrales, comme celle de Philippe Caubère ou le cycle épique d’Olivier Py (La Servante), ne sont plus une exception sur les scènes françaises, le jeune directeur de la Manufacture des Abbesses, Yann Reuzeau, dit avoir été l’un des pionniers de ce mouvement, en 2012. « Je n’avais jamais vu ça nulle part », affirme t-il. Chute d’une nation, une pièce en quatre épisodes consacrée à l’histoire d’un député et de son équipe, s’inspirait d’« A la maison blanche » et de « 24 heures chrono ». Yann Reuzeau voulait « défricher » en mélangeant culture théâtrale et culture des séries. « Travailler ce rythme pose de nouvelles problématiques. Il fallait inventer quelque chose de nouveau », glisse-t-il. Il s’y est attelé seul, créant la pièce au fur et à mesure, sur une période de six mois. « Je n’avais aucune référence sur laquelle m’appuyer. Beaucoup de gens doutaient de la viabilité du projet », se souvient-il. Un joli succès, fort de 250 représentations, même si l’on reste loin des audiences de prime time à la télévision.

 

Depuis, l’idée a fait son chemin. Mathieu Bauer, directeur du Nouveau Théâtre de Montreuil (Seine-Saint-Denis) depuis 2011, est aussi « sériephile ». Sensible à la virtuosité d’« A la maison blanche » et de « True Detective », il a conçu, sur le modèle de « Sur écoute », la série policière de David Simon à Baltimore, une version scénique dans les murs de son théâtre. « L’écriture s’est déplacée du cinéma, qui s’appauvrit, vers les séries », justifie le metteur en scène, attaché à une programmation pluridisciplinaire. « Une faille »  suit cinq Montreuillois coincés sous les décombres d’un immeuble qui vient de s’effondrer. Cette série locale, avec son chœur citoyen, a été confiée à différents metteurs en scène, comme Bruno Geslin et Pauline Bureau.

 « Le phénomène de sérialité se répand, y compris au cinéma, constate Mélanie Bourdaa, chercheure spécialiste des nouvelles pratiques télévisuelles à l’université de Bordeaux. Cette démarche s’inscrit dans la plus pure tradition de la littérature du XIXe siècle, où les feuilletons littéraires de Dickens et Dumas avaient déjà conquis les fans. » Le séquençage d’une pièce sur plusieurs semaines ou plusieurs mois introduit surtout un nouveau rapport à la durée. Et constitue, pour Thomas Jolly, la seule manière de présenter des œuvres qui, sinon, prendraient la poussière sur les étagères.

 

 

 « DES SITCOMS, ON EST PASSÉ AU LONG FORMAT »

Ce storytelling emprunté aux séries permet aussi de décloisonner et de renouveler les écritures théâtrales. « Les séries influencent la manière dont je réfléchis sur les histoires et la narration », estime Alexandre Singh. Ce plasticien franco-britannique qui présentera à Avignon sa première pièce, The Humans, tente d’incorporer les codes des séries dans ses œuvres. « Depuis dix ans, poursuit-il, on observe un changement dans la forme du récit : des sitcoms, on est passé au long format. » La longueur permet, selon lui, de multiplier les « arcs narratifs ». « Il faut travailler la récurrence des personnages, ajoute Yann Reuzeau, aux Abbesses, à Paris.A la différence de la télé, il faut, dans la série théâtrale, que chaque épisode soit une histoire à part entière. Si un spectateur voit le deuxième épisode sans avoir vu le premier, il ne doit pas être frustré. »

L’utilisation du cliffhanger, « une stratégie narrative de mise en suspense » très présente dans les séries, se généralise dans le théâtre, note Mélanie Bourdaa. Disciple attentif de « 24 heures chrono », de « Prison Break » et de « Breaking Bad », Thomas Jolly sait qu’il ne faut pas perdre son public en route. « Je coupe à un moment où l’on veut savoir la suite, ça fait rire les gens », s’amuse t-il. Yann Reuzeau est d’accord : « Il faut convaincre le public de revenir et de payer sa place. » Une recette qui semble fonctionner : « Les gens qui pensaient s’éclipser à l’entracte finissent par rester », se félicite, ravi, Thomas Jolly. S’inspirant des fameux « recaps » et autres effets d’annonces auxquels les séries ont habitué le téléspectateur, il a mis au point, pour appâter le chaland, une bande-annonce sous forme de petit spectacle itinérant qui présente la pièce dans chaque ville, en tournée.

Le spectacle vivant n’hésite d’ailleurs pas à débaucher des renforts du côté des chaînes de télévision. Les deux personnes qui ont été chargées de « traduire » « Une faille » pour le plateau théâtral, Hugo Benamozig et Victor Rodenbach, 28 et 30 ans, sont ainsi des scénaristes fraîchement diplômés de la Femis qui ont collaboré à la série « Platane », d’Eric Judor (Canal+). « Nous avons œuvré à assurer la cohérence dramaturgique. Nous avons essayé de faire vivre la ville à travers ses personnages, comme dans “Sur écoute” », précisent-ils. Biberonnés aux networks anglo-saxons, tous deux sont des novices de la scène théâtrale. « On ne vient pas du tout de ce monde-là », résume Hugo Benamozig. 

ZÈLE POPULISTE, EFFET DE MODE OU INJONCTION À REMPLIR LES SALLES ?

La sérialisation des pièces est aussi une main tendue à un public, souvent jeune. Pour Thomas Jolly, il s’agit de « désamorcer l’angoisse d’entrer dans un théâtre ». « Shakespeare, ce n’est pas compliqué, estime-t-il. Il écrivait d’ailleurs pour le peuple, qui était debout, à ciel ouvert. » Les critiques, pourtant se multiplient : certains voient dans ce mouvement un zèle populiste, d’autres un effet de mode ou le résultat d’une injonction à remplir les salles. Ces réserves font sourire Jean-Michel Ribes. « Le théâtre est l’un des rares endroits où toutes les formes sont possibles, estime le directeur du théâtre du Rond-Point. Je suis ouvert à toute proposition, du moment qu’elle renouvelle l’écriture. »

Ces nouvelles formes séduisent d’ailleurs le public. « L’expérience d’“Une faille” a mobilisé les Montreuillois, s’enthousiasme Mathieu Bauer. Les gens se sont emparés de cette série qui leur parlait d’eux, elle a donné lieu à des débats, notamment sur la place du politique. » « Cet ovni culturel est souhaité par le public, renchérit Thomas Jolly. Les spectateurs sont curieux de cette expérience de vie et de théâtre partagés. » Il est sûr que certains spectateurs, intrigués par les premiers épisodes d’Henry VI,viendront en Avignon pour découvrir la suite. Les places se sont d’ailleurs arrachées en vingt minutes. L’explication est simple, affirment les metteurs en scène : si les spectateurs quittent les canapés douillets où ils regardent leur téléviseur ou leur ordinateur, c’est pour trouver une convivialité propre au théâtre. 

Pourtant, exporter le modèle des séries sur un plateau est une gageure. Les représentations en intégrale constituent un défi technique, les épisodes consécutifs un casse-tête logistique. « Trop compliqué, trop lourd », s’est vu rétorquer Thomas Jolly. « Cela pose des problèmes à tout le monde à cause des roulements d’équipes mais aussi des problèmes de billetterie et d’accueil du public », soupire-t-il. « Cela demande du temps de création et de jeu, c’est le plus difficile à obtenir », renchérit Mathieu Bauer. « Le théâtre est très cher et rapporte peu, rappelle Alexandre Singh, c’est un équilibre fragile. »

 

Malgré ces difficultés, le Théâtre Ouvert, dans le 18e arrondissement de Paris, devrait accueillir à la rentrée un Faust en série théâtrale de cinq épisodes, avec l’effervescent Nicolas Maury en médecin-kinésithérapeute.« Les grands mythes contemporains sont aujourd’hui pris en charge par les séries. L’équivalent actuel du pacte faustien est le capitalisme qui a remplacé la figure du mal », explique la directrice du théâtre, Caroline Marcilhac. Pendant six semaines, le metteur en scène Robert Cantarella sera à la tête d’un groupe de travail qui devrait cultiver une écriture collective, comme dans la writers' room d’une série. Une manière pour le Théâtre Ouvert, Centre national des dramaturgies contemporaines, de rendre compte de l’actualité et de s’ouvrir à l’écho du monde. « Les séries parlent au présent du monde contemporain. Avant, les gens avaient rendez-vous avec “Urgences” chaque semaine. Maintenant, c’est avec nous. »


A voir« Henri IV », cycle de trois pièces de Shakespeare. Mise en scène Thomas Jolly. La FabricA, Avignon. Les 21, 24 et 26 juillet à 10 heures. Durée 18 heures.

 

 

 

Clémentine Gallot 
Journaliste au Monde Paru le 6 juillet 

 

 

 

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January 12, 2014 12:49 PM
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Henri Vl

Henri Vl | Revue de presse théâtre | Scoop.it
 Henri Vl de William Shakespeare, traduction de Line Cottegnies, mise en scène Thomas Jolly.

 

Quinze actes, douze mille vers, cent cinquante personnages pour ces trois pièces de la geste fleuve du long règne mouvementé d’Henri Vl, (de 1422 à 1461, puis de 1470 à 1471). Le Théâtre de Sceaux accueille deux des trois épisodes de cette épopée créée au Théâtre national de Bretagne. Les treize heures, avec entractes, présentées par la Piccola Familia au festival Mettre en scène en novembre dernier,  sont  ici limitées à deux soirées de  quatre heures (l’intégralité de la première pièce et la moitié de la seconde) !
La jeune compagnie, fondée par Thomas Jolly et ses camarades au sortir de l’École nationale supérieure du TNB en 2006, en vue d’affirmer « un théâtre intelligent, populaire et festif »  a voulu s’emparer de l’extraordinaire machinerie théâtrale de Shakespeare comme « terrain de jeu »pour une aventure au long court qui se conclura par une feuilleton de seize heures au prochain festival d’Avignon.
« Que se tendent les cieux de noirs, qu’à la nuit, le jour cède » : la trilogie de Shakespeare débute sur de bien sombres auspices, à la mort d’Henri V. La musique d’orgue au début, les coups de lumières violentes dramatisent l’ambiance,  quand les protagonistes apparaissent en clair obscur avec des costumes et dégaines disparates, hiératiques ou grotesques. A la Cour, le chagrin simulé fait bientôt place aux querelles. Entre Anglais et Français, les hostilités font rage. Nous sommes en pleine guerre de Cent ans devenue sous la plume de Shakespeare une farce sinistre, et  le conflit des deux Roses promet son lot de sang versé. La pièce se déroule sur les deux fronts, passant allègrement d’Angleterre en France. Et, comme dans toutes les pièces historiques de l’auteur, du tragique au comique, voire au salace.



Mireille Davidovici pour Théâre du blog


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Théâtre Les Gémeaux 49 avenue Georges Clémenceau, Sceaux, jusqu’au 22 janvier. Intégrale dimanche 12 et 19 janvier. T : 01 46 61 36 67 ; www.legemaux.com et 1er Février Théâtre de Cornouailles, Quimper et le 8 février au Nouveau Théâtre d’Angers.

 Le texte est publié dans la collection La Pléiade, Gallimard 2008




I Love Cinema's curator insight, January 13, 2014 6:56 AM

A compléter par RICHARD III au Théâtre du Nord-Ouest, Paris 9e dont les dates de prolongations sont: 24/01/14 20h45
25/01/14 14h15
26/01/14 14h15
31/01/14 20h45
01/02/14 14h15
02/02/14 14h15
07/02/14 20h45
08/02/14 14h15
09/02/14 14h15
28/02/14 20h45
01/03/14 14h15
02/03/14 14h15

Renseignement et réservation au théâtre
Tel: 01 47 70 32 75

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November 12, 2013 11:00 AM
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13 heures dans les bras de Shakespeare : quelle orgie de théâtre ! - Rue89

13 heures dans les bras de Shakespeare : quelle orgie de théâtre ! - Rue89 | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Quelle traversée ! Quelle orgie de théâtre ! Quelle audace et quelle générosité ! Le samedi 9 novembre 2013 restera une date dans l’histoire du TNB (théâtre national de Bretagne), dans celle de son festival « Mettre en scène », et dans la vie des spectateurs. Présents depuis le matin dans la grande salle du TNB, ils en sont sortis éblouis, passé minuit, au terme de cet « Henry VI », trois pièces en une de Shakespeare jouées par la compagnie La Piccola Familia dans la mise en scène de son jeune (né en 1982) et très talentueux animateur,Thomas Jolly.

 

Jean-Pierre Thibaudat pour son blog "Théâtre et Balagan" sur Rue89

 

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"Henry VI" de William Shakespeare Mis en scène et scénographie Thomas Jolly, un spectacle de la compagnie La Piccola Familia Comédie de Béthune, « Henry VI » cycle2 (état actuel) les 5 et 6 déc Théâtre de la Croix rousse, Lyon, « Henry VI » cycle 1 les 14 et 15 déc

Les Gémeaux, Sceaux, « Henry VI » cycle 1 du 10 au 22 janvier Théâtre de Cornouailles, Quimper, « Henry VI » cycle 1 le Ier fév 2014 Nouveau théâtre d 'Angers, « Henry VI » cycle 1 le 8 fév

Festival d'Avignon 2014, « Henry VI », intégralité avec l 'achèvement des cycles

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February 13, 2012 10:13 AM
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Thomas Jolly, metteur en scène de "Henry VI"

Thomas Jolly, metteur en scène de "Henry VI" | Revue de presse théâtre | Scoop.it

"Pour le moment, la troupe joue la première pièce et la moitié de la deuxième. Il y a plein de défauts, mais le théâtre envahit le plateau et nous emmène dans une saga qui contient en germe les grandes oeuvres de Shakespeare. "Quand j'ai décidé de la monter, explique Thomas Jolly, on m'a dit : "Tu vas te tirer une balle dans le pied. Prends une pièce plus simple, un petit Musset, ça marchera mieux et tu pourras faire une grosse tournée." Mais moi je voulais une pièce qui remette tout en question et soit comme un grand voyage initiatique." C'en est un, et Thomas Jolly peut dire maintenant qu'il n'est plus seulement "un acteur qui dirige d'autres acteurs", mais un metteur en scène."

 

Brigitte Salino, Le Monde du 14/02/12

 

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July 7, 2014 4:28 PM
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Henri VI, une pièce de 18 heures

Henri VI, une pièce de 18 heures | Revue de presse théâtre | Scoop.it
La durée d'Henri VI d'après Shakespeare et mis en scène par le Rennais Thomas Jolly sera présentée au festival d'Avignon. Sa durée ? 18 heures.
reportage de :
R. Bendayan, S. Lenauld et C. Deunf

 

CLIQUER SUR L'IMAGE POUR VOIR LE REPORTAGE DE FRANCE 3 (VIDÉO DE 2'10")

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January 13, 2014 2:10 PM
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Le Henry VI de Shakespeare met le feu au théâtre de Sceaux

Le Henry VI de Shakespeare met le feu au théâtre de Sceaux | Revue de presse théâtre | Scoop.it

Lors de la première intégrale de la pièce fleuve de Shakespeare mise en scène par Thomas Jolly au Théâtre des Gémeaux de Sceaux, dimanche 12 janvier, les sirènes d'incendie se sont déclenchées vingt minutes avant la fin du spectacle… Fausse alerte, la scène flambait pourtant!

Mettre le feu! La troupe de la Piccola Familia de Thomas Jolly se serait bien passée des sirènes et de la voix atone avertissant froidement:«Merci d'évacuer la salle par la sortie la plus proche». Il était 22h45. Il restait vingt minutes de spectacle. Le duc Humphrey de Gloucester venait de mourir. Près de huit heures s'étaient écoulées depuis le début de la représentation de Henry VI de Shakespearepar la troupe de Thomas Jolly, la Piccola Familia. Aucun des 500 spectateurs de la grande salle des Gémeaux, à Sceaux, n'avait quitté la représentation.

 

Armelle Héliot pour Lefigaro.fr

 

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Théâtre des Gémeaux de Sceaux, jusqu'au mercredi 22 janvier. Première partie: 3h30 avec entracte, deuxième partie: 3h avec entracte. Lors de l'intégrale de dimanche, compter une heure de plus pour le dîner. Soit de 15h à 23h. (01 46 61 36 67).

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December 15, 2013 6:19 PM
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Entretien avec Thomas Jolly sur "Henry VI" de Shakespeare

Entretien avec Thomas Jolly sur "Henry VI" de Shakespeare | Revue de presse théâtre | Scoop.it

C’est une aventure au long cours comme on les affectionne au Festival d’Avignon. Un projet un peu fou : monter dans son intégralité l’une des œuvres-fleuve de Shakespeare : Henry VI. Pas moins de trois pièces, quinze actes, cent cinquante personnages et dix mille vers pour retracer les cinquante années de règne de celui qui fut proclamé roi d’Angleterre à l’âge de neuf mois et finit assassiné de sang froid par le futur Richard III.


Entretien vidéo, 15mn par le Festival d'Avignon avec theatre-contemporain.net

klodacos's comment, December 16, 2013 5:32 AM
Durée : 8h30 avec 3 entractes
klodacos's comment, December 16, 2013 5:33 AM
Henry VI regroupe 3 pièces de Shakespeare, 15 actes, 150 personnages. Près de 10 000 vers retracent le récit stupéfiant des cinquante années de celui qui fut proclamé roi à l’âge de neuf mois, à la mort de son père Henry V et mourut assassiné par le futur Richard III en 1471.
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September 29, 2012 8:00 AM
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Henry VI, intégrale au Festival "Mettre en scène" Rennes

Henry VI, intégrale au Festival "Mettre en scène" Rennes | Revue de presse théâtre | Scoop.it
Thomas Jolly avec cinq autres acteurs, dont deux issus de sa promotion de l’École de Rennes, ont fondé la Piccola Familia. Trois créations remarquées ont vu le jour avec la même équipe d’acteurs – dont, récemment, une jubilatoire Piscine pas d’eau présentée à Mettre en scène 2011 – trois langues singulières qui affinent un vocabulaire de plateau.

 

La Piccola Familia a engagé un nouveau cycle autour d’Henry VI de William Shakespeare. Cette oeuvre monumentale retrace les cinquante années de règne de cet enfant proclamé roi d’Angleterre à l’âge de 9 mois, emporté dans les intestines luttes de la guerre civile dite des “2 roses”, jusqu’à son assassinat en 1471 par le futur Richard III . Stupéfiante course d’un homme confronté à la brutalité des moeurs de son temps, d’un règne débuté dans le chaos, exercé sur fond de guerres et d’effervescence politique.

 

 

du jeudi 8 au samedi 10 novembre au Triangle :
jeudi 8 : 1ère partie, durée 4h avec entracte
vendredi 9 : 2e partie, durée 3h30 avec entracte
samedi 10 : intégrale, durée 8h30 avec entractes : possibilité de réserver et régler votre repas dès l’achat de votre billet au TNB (repas à 11 euros, entrée/plat/dessert + ½ bouteille d’eau)

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