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Le spectateur de Belleville
September 20, 2013 7:15 PM
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L'Anniversaire d'Harold Pinter, traduction d'Eric Kahane, mise en scène de Claude Mouriéras. "- Séduit par l’énigme de l’Anniversaire, le cinéaste qu’est Claude Mouriéras* a tout de suite pensé à Hitchcock, au point de situer ce huis-clos dans un duplex new-yorkais des années 80, avec cuisine américaine clean et chambres à hauteur des cintres (la part cachée des choses) Dans un décor sobre , la pièce se déroule comme dans un long plan séquence, avec des actions parfois simultanées. Pas de fioritures de mise en scène ni de pédagogie : les comédiens adoptent un jeu dépouillé, comme au cinéma. Nicolas Lormeau campe un mari indifférent qui ne veut surtout rien savoir. Un Monsieur tout le monde aveugle aux horreurs qui se déroulent à son nez et à sa barbe, de même que son épouse, Céline Brune en femme au foyer vieillissante. » Vieux crouton racorni », « Vieux sac à linge succulent » , lui lance à l’occasion Jérémy Lopez en Stanley dépressif et traîne-savate. Nazim Boudjenah et Eric Génovèse interprètent un duo de « tontons flingueurs », cyniques et goguenards. Mireille Davidovici pour Théâtre du blog CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L"ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Et aussi : critique de Danielle Dumas pour son blog : http://ddumasenmargedutheatre.blogspirit.com/archive/2013/09/21/drole-d-anniversaire-2978698.html Théâtre du Vieux-Colombier jusqu’au 24 octobre.
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Le spectateur de Belleville
September 20, 2013 5:11 PM
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C'est une pointure, un grand du théâtre qui rejoint le Français. Didier Sandre sera engagé le 1er novembre 2013 en tant que pensionnaire de la Comédie-Française. Paru dans Culturebox. CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
May 3, 2013 4:23 PM
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Lové au creux des rêves que lui susurre son tendre divan, Oblomov s’enfonce chaque jour un peu plus dans le moelleux de la paresse, hanté par la nostalgie d’une enfance insouciante. Métaphore de l’apathie russe pour les uns, figure d’une nouvelle sagesse pour les autres, le héros du roman de Gontcharov fascine toujours. Comédien et metteur en scène, Volodia Serre fréquente depuis longtemps les auteurs russes et explore les facettes du personnage avec la troupe du Français. Avec Guillaume Gallienne dans le rôle d'Oblomov Entretien réalisé par Gwénola David pour La Terrasse CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Critique de Joshka Shidlow pour son blog "Allegro Théâtre" : http://allegrotheatre.blogspot.fr/2013/05/oblomov-de-ivan-alexandrovitch.html OBLOMOV du 7 mai 2013 au 9 juin 2013 Comedie française-Théâtre du Vieux-Colombier 21 rue du Vieux-Colombier, 75006 Paris Du 7 mai au 9 juin 2013, à 20h, sauf mardi à 19h, dimanche à 16h, relâche lundi (horaire exceptionnel le samedi 8 juin à 16h). Tél : 0825 10 1680 (0,15€)
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Le spectateur de Belleville
April 27, 2013 3:24 AM
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La phrase commence sans majuscule par la conjonction « et », comme si elle avait démarré avant, ailleurs – « et ce que le procureur a dit, c’est qu’un homme ne doit pas mourir pour si peu » – et se poursuit au long de soixante pages, racontant, non ce n’est pas le mot approprié, détaillant et revivant un fait divers aussi violent que banal, un homme dans un supermarché meurt sous les coups de vigiles à cause d’une canette de bière volée... Source : Sceneweb CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Du 8 au 19 mai 2013 Au Studio-Théâtre de la Comédie-Française
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Le spectateur de Belleville
April 1, 2013 7:10 PM
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Théâtre . Reprise à Paris de «la Tête des autres», de Marcel Aymé, réquisitoire contre les erreurs judiciaires et les magistrats corrompus au temps de la peine capitale. Il a fallu du temps et l’abolition de la peine de mort pour que la pièce d’Aymé soit en partie démodée. Ce phénomène, s’il déçoit le spectateur, réjouit le citoyen. Pour se rendre compte du temps qui passe, il suffit d’aller voir sur le site de l’INA une représentation de 1973, filmée pourAu théâtre ce soir. La réjouissance obscène de la famille Maillard, qui aujourd’hui amuse comme une bonne farce, ne faisait rire presque personne à l’époque. C’est que les bourgeois du parterre, alors, aimaient les juges et la peine de mort. Cependant, sur un autre plan, celui de la soumission ambitieuse au pouvoir politique, des personnages de procureurs comme Laurent Davenas ou Philippe Courroye rappellent que ce n’est pas la pièce qui est une caricature, mais la société qui continue de l’inspirer.
Philippe Lançon pour Libération
La Tête des autres de Marcel Aymé ms Lilo Baur. Théâtre du Vieux-Colombier, 21, rue du Vieux-Colombier, 75006. Jusqu’au 17 avril. Rens. : www.comedie-francaise.fr
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Le spectateur de Belleville
January 29, 2013 6:15 PM
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A 26 ans, l'un des jeunes talents de la Comédie-Française incarne Cressida, dans "Troïlus et Cressida", de Shakespeare, qui fait l'ouverture de la Salle Richelieu tout juste rénovée. En deux spectacles – Les Trois Sœurs, de Tchekhov, et La Trilogie de la villégiature, de Goldoni, tous deux montés par Alain Françon –, Georgia Scalliet, 26 ans, est devenue la jeune actrice dont on parle à la Comédie-Française. Elle est, jusqu'en mai, Cressida dans Troïlus et Cressida, de Shakespeare, mis en scène par Jean-Yves Ruf, qui fait l'ouverture de la Salle Richelieu tout juste rénovée. Et elle n'en revient toujours pas d'être là, dans la troupe de la maison de Molière. Dans sa famille, le théâtre "était à la fois là et pas là. On n'y allait pas, mais mes parents étaient de grands fans de Philippe Caubère : ils avaient vu La Danse du diable sept fois, et nous passaient la cassette du spectacle lors de tous les longs trajets en voiture. Je l'ai toujours, cette cassette, d'ailleurs...". Georgia Scalliet ne sait toujours pas pourquoi elle s'est inscrite au cours de théâtre, mais, comme beaucoup de grands acteurs, elle a commencé très jeune, à 8 ans. Dans son adolescence bourguignonne "assez dure, assez triste", c'était "comme cultiver un endroit à moi, dans lequel je pouvais m'exprimer". A 15 ans a lieu la révélation définitive, lors d'un stage à la Maison Jacques-Copeau, à Pernand-Vergelesses, en Côte-d'Or. "J'ai dit à ma mère : "Ma vie commence"."Quelques années plus tard, elle entre à l'Ecole nationale des arts et techniques du théâtre (Ensatt), à Lyon, une des écoles les plus prestigieuses de France. Elle a pour professeurs Bernard Sobel, Christian Schiaretti et Alain Françon, qui lui offrent d'emblée de grands rôles, dans Cymbeline, de Shakespeare, ou Les Ennemis, de Gorki. Alain Françon, pour qui elle confie avoir eu "un coup de foudre humain et artistique", se souvient d'elle, à l'école, comme étant déjà "très surprenante, très rare. Elle avait d'emblée un jeu inventif, imaginatif. Un jeu d'une grande légèreté, aussi : elle est toujours dans le sens, mais sans jamais appuyer". TROP MODESTE Lorsque, adolescente, Georgia Scalliet décide de devenir comédienne, elle confie à sa mère: "Ma vie commence." Peu d'actrices ont, à ce point, cette capacité à passer en un clin d'œil d'une émotion à l'autre. Engagée à la Comédie-Française en 2009, elle a fait merveille chez Tchekhov, dans ces Trois Sœurs qui lui ont valu le Molière du jeune talent en 2011 pour son interprétation d'Irina. Georgia Scalliet aime les clowns, qui la font pleurer. Elle les a, de toute évidence, beaucoup regardés, elle qui, à chaque seconde, semble faire cohabiter rire et larmes de manière insaisissable et volatile. "La sensibilité, voire la sensiblerie, c'est ma force et mon écueil. J'ai besoin d'être cadrée par les metteurs en scène." On la soupçonne d'être un peu trop modeste. Elle évoque les grandes actrices bergmaniennes : rien d'étonnant à ce qu'elle se mette dans leurs pas en travaillant, avec le collectif belge tg STAN, sur un texte du réalisateur suédois, Après la répétition. En attendant, elle sera Cressida, "une femme dans une meute d'hommes", dans ce monde shakespearien où "on n'a pas le temps de dire ouf ! qu'on est déjà mort". A la fin de l'entretien, on lui demande si finalement elle sait pourquoi elle fait ce drôle de métier. Georgia Scalliet remet son chapeau de feutre brun. "Je ne sais pas... Pour ne pas mourir." Bien malin qui pourrait dire si elle rit ou si elle pleure. Les deux, probablement. C'est une drôle d'alchimie, une actrice. Fabienne Darge Réagissez ou consultez l’ensemble des commentaires Fabienne Darge pour "M, le magazine du Monde" Légende photo : Entrée à la Comédie-Française en 2009, Georgia Scalliet a triomphé dans "Les Trois Sœurs", d'Anton Tchekhov, mis en scène par Alain Françon, l'un de ses anciens professeurs. AGATHE POUPENEY/FEDEPHOTO
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Le spectateur de Belleville
November 12, 2012 4:51 AM
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Artiste associé du CDN-théâtre de l’Union et du théâtre des 13 Arches à Brive (*), le jeune metteur en scène Thomas Quillardet crée “Les Trois Petits Cochons” au Studio-théâtre de la Comédie Française, le 15 novembre.
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Le spectateur de Belleville
May 16, 2012 7:03 AM
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Le spectateur de Belleville
April 18, 2012 5:57 AM
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Denis Podalydès est un homme de théâtre admiratif de la voix humaine. Il a amplement conté cette passion dans son livre-disque “Voix off”, publié en 2008 et il établit presque exclusivement l’interprétation de cette pièce sur sa connaissance approfondie de l’expression vocale. Par la diversité et la précision de ses intonations, de ses phrasés, de ses respirations et de toutes les voix en présence, auteur, personnages, lecteur, il parvient à imiter vocalement, non pas les accents des personnalités, mais la sonorité des idées, la tessiture des réflexions, l’inflexion des prises de conscience… Une performance vocale abstraite et sensible qui captive dès la première seconde un public qui se retrouve à la fois auditoire ravi, l’ouïe baignée dans une histoire poignante et édifiante, et spectateur fasciné, l’œil rivé sur le spectacle du travail de création à vue qui se déroule devant lui. Au final, l’estocade est au rendez-vous, magnifiée par Stéphanie Daniel, qui met en lumière subtilement l’ensemble du spectacle et accompagne par un effet magistral la conclusion de ce moment de vérité, libérant le spectateur ébahi dans un état de félicité consciente. Critique de Jean-Christophe Carius pour le blog "Un fauteuil pour l'Orchestre" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Autre critique parue dans le blog "Chroniques du RER B" : http://m.safe.mn/59eD ; Jusqu'au 22 avril au Studio Théâtre de la Comédie française
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Le spectateur de Belleville
September 20, 2013 6:59 PM
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Laure Adler reçoit Denis Podalydès, acteur, metteur en scène, écrivain et sociétaire de la Comédie Française. Emission de France Culture. Lien audio : 44 minutes. CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR OUVRIR LE LIEN AUDIO (BOUTON ROUGE A CLIQUER)
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Le spectateur de Belleville
May 4, 2013 1:14 PM
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Dans "Rituel pour une métamorphose", le Syrien Saadallah Wannous peint les jougs de la tradition et du pouvoir. Brigitte Salino pour Le Monde CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Rituel pour une métamorphose, de Saadallah Wannous. Mise en scène et version scénique : Sulayman Al-Bassam. Avec la troupe de la Comédie-Française. Théâtre du Gymnase, 4, rue du Théâtre-Français, Marseille. Tél. : 08-2013-2013. De 8 euros à 34 euros. A 20 h 30, jusqu'au mardi 7 mai (dernière). Durée : 2 h 15. Reprise à la Comédie-Française, à Paris, du 18 mai au 11 juillet. Tél. : 0825-10-16-80. De 5 euros à 39 euros.
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Le spectateur de Belleville
May 3, 2013 3:47 PM
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Sulayman Al-Bassam : Saadallah Wannous est une personnalité de référence pour le théâtre de langue arabe du XXème siècle, et spécialement pour le théâtre engagé. Il a écrit, pendant une quarantaine d’années, un corpus important à travers lequel il n’a cessé d’interroger les formes dramaturgiques. Il a développé un langage théâtral à la fois réaliste et poétique. C’est à la fin de sa vie, après une longue période de silence, qu’il a écrit Rituel pour une métamorphose, pièce qui est considérée comme un chef-d’œuvre dans le monde arabe. Je crois que c’est vraiment un auteur qui mérite d’être questionné par d’autres langues, d’autres regards, d’autres cultures. Entretien par Manuel Piolat-Soleymat pour La Terrasse
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Le spectateur de Belleville
April 11, 2013 6:22 PM
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Un monologue travaillé dans le refus du spectacle s’impose par une langue qui manie la poésie et le politique, atteignant une densité portée haut par la comédienne e choix du metteur en scène est on ne peut plus à l’économie, centrant toute son intention dans la direction de l’actrice placée devant la scène, disposant d’un petit magnétophone et d’une paire de lunettes, rien de plus. Christian Benedetti, dans cette optique d’austérité de moyens, rehausse la force des mots et du jeu. La comédienne devient ainsi un point aveuglant qu’on ne lâche pas une seconde, tant l’intensité de son expression et la tenue verbale sont taillées à la pointe de l’émotion, tendues, nues, extrêmes et puissantes. Le soir de la première, c’est Céline Samie qui a incarné la jeune femme, le rôle étant interprété en alternance avec Jennifer Decker. Ni l’une ni l’autre ne sont africaines et cette option était souhaitée par l’auteur, établissant un décalage plus propice à saisir le développement d’une pensée, en évitant de tomber dans une expression doloriste trop envahissante. Les mouvements sont rares, mais le phrasé, la voix et les regards soumettent le spectateur à une rare tension. Toute l’horreur humaine et politique se profile par la suggestion de cette dernière confidence avant la mort, et les adresses à des puissants de ce monde tel le Président Italien se mêlent à l’intime du récit. Nouant sans lourdeur l’aspect le plus profondément humain à celui des responsabilités collectives, l’auteur, Lina Prosa, parvient à faire fléchir immanquablement quiconque, en-dehors des partis-pris sur la question. Isabelle Bournat pour artistikrezo CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Lampedusa Beach
De Lina Prosa
Mise en scène et scénographie de Christian Benedetti
Avec Céline Samie et Jennifer Decker (en alternance)
Jusqu'au 28 avril 2013 Du mercredi au dimanche à 18h30 ou 20h30
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Le spectateur de Belleville
February 2, 2013 3:59 AM
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Dans le cadre de son travail sur le Siècle d’or, (Don Quichotte d’après Cervantés, La Céléstine de Rojas, Don Juan de Tirso de Molina), Christian Schiaretti a mis en scène Calderón pour la première fois en 1994 avec Le Grand Théâtre du monde, à la Comédie de Reims et en 2004 : Le Grand Théâtre du monde suivi de Procès en séparation de l’Âme et du Corps entrent au répertoire de la Comédie-Française, salle Richelieu. En 2013, il présente une nouvelle création des deux actes sacramentels, avec les comédiens de la troupe du TNP. Voici un théâtre injustement ignoré, d’une richesse inexplorée, et d’une influence primordiale sur toute l’histoire de la dramaturgie européenne (il y avait quarante théâtres à Madrid quand Paris n’en avait que deux). Le voir ainsi remis à sa place première et choisir pour cela le genre le plus étrange et le plus rare d’une production dramatique si variée procédait d’un courage que j’étais heureux d’accompagner. L’acte sacramentel est une merveille, au sens propre. La dimension de l’œuvre (un seul acte), l’obligation de son sujet (la célébration de l’Eucharistie), son champ d’expression (le recours systématique à l’allégorie), les subtilités infinies du genre se définissent dans un cadre toujours égal dans lequel s’enchasse l’art de l’auteur. Extrait du dossier de presse, repris par le magazine sceneweb CLIQUER SUR LE TITRE POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Au TNP Villeurbanne du 5 au 16 février
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Le spectateur de Belleville
December 4, 2012 9:18 AM
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De tous les écrivains classiques, Corneille est sans doute celui qui se prête le mieux aux transpositions. Il y a dans ses comédies, et en particulier dans ses premières pièces, une alacrité, une ferveur sentimentale, des élans héroïques qui disent à merveille les tourments déchirants de la jeunesse. On ne s'étonne donc pas, au Vieux-Colombier, de voir que l'action de La Place Royale, pièce de 1634, très légèrement retouchée près de cinquante ans plus tard par l'auteur de L'Illusion comique , est située dans une sorte de dancing aux murs jaunes, avec des portes, des fenêtres étroites en verre coloré. On pourrait imaginer la mer au-delà… Cela ressemble à Ostende. Un tableau d'Ensor. Armelle Héliot pour Le Figaro CLIQUER POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
November 9, 2012 7:29 PM
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Deux versions d'"Un chapeau de paille d'Italie" sont à l'affiche, l'une délirante, l'autre plus véridique, toutes deux remarquables. Gilles Costaz pour Le point CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE A propos de la mise en scène de G. B. Corsetti à la Comédie-Française, critique de Jean-Pierre Han, pour son blog de Frictions http://revue-frictions.net/enligne/index.php?post/2012/11/22/Une-repr%C3%A9sentation-paradoxale Un chapeau de paille d'Italie, mise en scène de Giorgio Barberio Corsetti. Comédie-Française, Théâtre éphémère, jardin du Palais-Royal, tél. : 08 25 10 16 80, en alternance, jusqu'au 7 janvier. Un chapeau de paille d'Italie, mise en scène de Gilles Bouillon. Théâtre de La Tempête, Cartoucherie de Vincennes, tél. : 01 43 28 36 36, du 14 novembre au 16 décembre.
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Le spectateur de Belleville
May 8, 2012 6:49 PM
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Amphitryon est la pièce de Molière la plus shakespearienne. Voltaire disait d’elle qu’elle offrait « de quoi plaire aux plus simples et aux plus grossiers comme aux plus délicats. » Elle déploie effectivement un large spectre dramatique, de la tragédie au vaudeville, et propose des entrées multiples : féériques, philosophiques, sociologiques, psychanalytiques… En inscrivant sa comédie dans l’antiquité grecque et en se réappropriant, après Plaute et Rotrou, l’histoire des amours de Jupiter avec la mortelle Alcmène, Molière contourne la censure que subit encore son Tartuffe pour mieux pointer l’arbitraire du pouvoir et l’imposture de ces dieux qui se font passer pour des hommes afin de donner libre cours à leur bon plaisir. Le détour par la mythologie lui permet également de questionner l’ambivalence du rapport entre foi et raison, mensonge et vérité : à quoi veut-on/peut-on/doit-on croire ? Le théâtre est, bien sûr, au cœur de cette interrogation. Par la Comédie-Française Cliquer sur le titre ou la photo pour lire l'article entier dans son site d'origine et aussi : critique de Jean-Pierre Han pour la revue frictions : http://revue-frictions.net/enligne/index.php?post/2012/05/29/Humains%2C-trop-humains Du 9 mai au 24 juin au Théâtre du Vieux-Colombier
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Le spectateur de Belleville
March 23, 2012 7:38 PM
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"Solitude, amour, famille, deuil (réel ou psychologique), mais aussi confrontation des cultures, traite des noirs, esclavage, et vaudou sont quelques uns des thèmes explorés par l'auteur et ses personnages en quête d'identité, en pleins parcours initiatiques. L'écriture est vive, tour à tour drôle, destabilisante, grinçante, poétique, onirique et, sous une apparente légèreté, toujours profonde." Critique de Thomas Baudeau le blog Fousdetheatre.com: http://www.fousdetheatre.com/archive/2012/03/20/la-comedie-francaise-excelle-aussi-dans-la-creation-contempo.html Stéphane Capron sur sceneweb.com : http://www.sceneweb.fr/2012/03/erzuli-dahomey-le-conte-vaudou-de-jean-rene-lemoine/ Critique de Joshka Shidlow dans son blog "Allegro Theatre" : http://allegrotheatre.blogspot.fr/2012/03/erzuli-dahomey-deesse-de-lamour-de-jean.html Au Théâtre du Vieux Colombier jusqu'au 15 avril
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