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Les besoins en logement en France, très importants dans certaines zones géographiques attractives, conjugués à la loi ZAN qui prévoit un objectif « zéro artificialisation nette » des espaces naturels, agricoles et forestiers à l’horizon de 2050, amènent les villes à se densifier

Autrefois considérées comme un moteur pour la croissance économique, les zones pavillonnaires incarnaient le rêve pour les classes moyennes des années 60 alors en pleine expansion. Ce modèle devait apporter une solution aux problèmes des grands ensembles, à l'engorgement des villes et à la désertification des campagnes. Mais le passage de la crise en a fait un véritable cauchemar pour ceux qui y habitent. Les coûts individuels et collectifs de ces zones périurbaines sont devenus exorbitants et leur impact sur l'environnement est désastreux. Leurs résidents vivent aujourd'hui sur le fil entre résignation et révolte.

Deux enquêtes démographiques viennent de paraître sur le phénomène d’exode urbain. Elles démontent les mythes sur le désamour des métropoles après la pandémie et laissent entrevoir les tendances pour les années à venir. Et on dirait bien que le périurbain est plébiscité…

Ils ont arpenté les rues du centre d’Epinal et découvert la place du village d’Ubexy, deux retours d’expériences notamment sur des programmes d’amélioration de l’habitat utiles pour les responsables de l’Agence nationale de la cohésion des territoires qui chapeaute les dispositifs d’Etat ''Coeur de ville" et "Petites villes de demain. Leur tour de France faisait étape mercredi dans les Vosges

A l’heure des objectifs de sobriété foncière et de préservation des sols naturels, quels avenirs ont les maisons individuelles ? Entre la taille des jardins, l'habitat participatif, la densification douce...il y a des pistes à encourager selon l'étude de la Fabrique de la Cité

Le modèle d'attractivité résidentielle qui a longtemps prévalu atteint aujourd'hui ses limites face aux multiples transitions en cours (écologiques, énergétiques, tourisme durable, coopération interterritoriale). C'est l'un des constats des écoutes territoriales 2023 organisées par l'Unadel et dont la synthèse a été présentée le 10 novembre lors de la Journée des territoires.

Les aspirations à vivre en maison ne semblent pas faiblir, alors même que les exigences du Zéro atificialisation nette freinent la production de logements individuels. Comment résoudre l’équation et concilier la dimension sociale avec les impératifs environnementaux ?

La Semaine du paysage 2023 approche à grands pas ! Cette année, elle se déroulera du 27 mai au 4 juin 2023 autour du thème : « Paysages d’énergies ».

"Bien vieillir chez soi" : c’est le thème de l’étude menée par l’ANIL, l’agence nationale d’information sur le logement. Quel est le constat des politiques publiques de l'habitat et quelles sont les pistes pour anticiper, aider, accompagner ?

Ce n’est plus à prouver, une bonne qualité de l’air intérieur dans un bâtiment est absolument indispensable, autant pour la santé de ses habitants que pour assurer confort et économies. C’est notamment pour cela que des organismes tels que le Cerema œuvrent sur le terrain pour défendre l’importance de la ventilation et de l’aération dans le tertiaire comme dans les maisons individuelles.