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Localtis : Depuis 2021, l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) développe son programme Territoires d’engagement, à travers des accompagnements dans la durée, mais également des sessions de conseil à distance et des ateliers interactifs de soutien entre pairs. L’objectif : permettre à des agents et des élus d’accéder à une ingénierie sur la participation citoyenne et la coopération avec les habitants, de monter en compétence et d’avancer dans leurs projets. 182 territoires ont d’ores et déjà bénéficié de cette offre de services.     

Le béguinage est un modèle de communauté autonome uniquement composé de femmes, inspiré du Moyen-Âge. Mixte ou non, religieuse ou non, la formule semble intéresser de plus en plus de personnes âgées

Aujourd’hui dans notre département la quantité d’électricité produite proprement représente entre un quart et un cinquième de l’électricité consommée. Il y a donc encore de quoi faire, des projets portés par des collectivités et de plus en plus par des citoyens rassemblés en association ou en société coopérative.

Largement démocratisé pour les projets entrepreneuriaux et associatifs, le financement participatif séduit de plus en plus de collectivités locales et d’habitants qui y voient une alternative de placement séduisante et rémunératrice. Tours de table à Glanges (Haute-Vienne – 513 habitants), Marsanne (Drôme – 1.300 habitants) et Brest (Finistère – 140.000 habitants), trois communes où les habitants contribuent au financement de projets d’infrastructures

En dehors des aires de jeux, les enfants investissent peu la ville. Madeleine Masse, architecte et urbaniste, Présidente fondatrice d’atelier SOIL, défend le concept de ville pour les enfants, un modèle plus inclusif, plus écologique, pas trop coûteux pour les villes

Comment concevoir un espace public où l’on se sent bien et se côtoie entre générations ? Interview croisée avec l’anthropologue Sonia Lavadinho qui a inventé le concept de « ville relationnelle » et Patrick Bernard, fondateur du collectif La république des hyper voisins qui tente de mettre en pratique cette idée dans le 14ème arrondissement de Paris.

Les aspirations à vivre en maison ne semblent pas faiblir, alors même que les exigences du Zéro atificialisation nette freinent la production de logements individuels. Comment résoudre l’équation et concilier la dimension sociale avec les impératifs environnementaux ?

Une expérience de chercheurs australiens prouve qu’on peut efficacement atténuer les effets néfastes de l’urbanisation.

Après plusieurs années de recul, l’attractivité résidentielle du Grand Est s’est redressée entre 2019 et 2020, bien que le solde migratoire reste négatif. Elle progresse fortement dans les espaces les plus ruraux de la région. Le profil de leurs nouveaux habitants n’a pas changé depuis la crise sanitaire. Ils sont à la fois plus jeunes, plus modestes financièrement et vivent plus souvent seuls que les habitants déjà présents. Ils font de plus en plus le choix de s’installer dans une maison dès leur arrivée

Une "mise au vert timide" : dans une étude publiée le 21 juin, France Stratégie, en partenariat avec la région Nouvelle-Aquitaine, analyse à son tour le phénomène d'"exode urbain" dont il a beaucoup été question depuis la crise Covid. A l'instar d'études précédentes, les auteurs concluent que l'expression est très exagérée mais qu'il y a bien des mouvements "significatifs" de départs de certains pôles de métropoles à destination de villes proches ou plus lointaines. Basée sur les inscriptions scolaires et le taux de croissance des prix de l'immobilier, ils font part d'une accentuation de processus plus anciens de desserrement métropolitain d'une part et de renouveau rural d'autre part.

Peu de personnes viennent s'installer dans le Grand Est. C'est la conclusion d'une étude de l'Insee publiée ce mardi. L'institut pointe du doigt un déficit de migrations résidentielles, avec plus de départs que d'arrivées dans la région, excepté dans l'Aube et le Bas-Rhin

Une large majorité des Français adhèrent à la lutte contre l'artificialisation mais si l'idée de densification urbaine leur semble bonne, ils préfèreraient qu'elle se concrétise ailleurs que chez eux, selon les résultats d'une enquête OpinionWay pour l'Ordre des géomètres-experts dévoilés ce 26 juin. Pour près de 70% des personnes interrogées, la maison individuelle en milieu rural ou périurbain reste le cadre de vie préféré.

L'équipe d'architectes-médiatrices Heruditatem construit actuellement son programme de 6 semaines de présence en vallée de la Fave (de La Grande-Fosse à Ban-de-Laveline en passant par Provenchères-et-Colroy (15 communes impliquées) afin de proposer des actions pédagogiques aux habitants, et notamment aux jeunes à partir de 6 ans, sur la thématique "L'architecture par le prisme du paysage".

Face à la crise locative que vivent les étudiants, des alternatives se font jour : louer pour un prix modique une chambre en maison de retraite, en échange de quelques heures passées auprès des résidentes ; vivre à la ferme chez des agriculteurs qui perçoivent en retour une aide financière pour rénover les bâtiments

La proximité avec la nature est un facteur bénéfique pour la santé mentale et physique des seniors. C’est ce que confirme une nouvelle étude américaine

Adaptation des logements, maintien à domicile, logements intergénérationnels, colocations seniors, de nombreux projets se développent en France et dans les Vosges. Zoom sur les solutions pour bien loger nos aînés

Pour la troisième rencontre régionale "Femmes en milieu rural : quelle place dans l'espace public ?"
Cette rencontre abordera les questions de la place des femmes dans les processus de décisions locaux, savoir quels sont leurs usages de l’espace public et comment faciliter un véritable usage mixte de cette espace public.

Constituée d’espaces résidentiels et productifs, d’espaces publics et privés qui en font toute sa complexité, la ville cristallise aujourd’hui la question de la place de la femme dans l’espace public.

Acheter une voiture électrique ou investir dans la rénovation thermique de son logement a un coût qui reste dissuasif pour une majorité de Français malgré l'augmentation "significative" des aides, selon l'Institut de l'économie pour le climat I4CE, un think thank français

Au terme d'années d'errance pour les uns, de vies en marge pour d'autres, ou de parcours de vie aty-piques, une bande de trentenaires a trouvé refuge dans le village de Rochesson, au cœur des Hautes Vosges.

La guerre des territoires… Entre les tenants de la ruralité et ceux des métropoles, c’est un affrontement politique qui se dessine assez éloigné des réalités de terrain.