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Le nombre d’étudiants en mobilité diplômante dans le monde est passé de 600 000 en 1975 à 3,5 millions en 2005 et à 6,4 millions en 2021, après l’arrêt notable de l’année 2020-2021 marquée par la crise sanitaire. Les étudiants en déplacement international représentent aujourd’hui 2,7 % des 256 millions estimés dans le monde, contre 2 % seulement en 2008.
Changement climatique, révolution numérique, importance grandissante des compétences psychosociales dans le milieu professionnel… Ces mutations sociétales majeures représentent des défis pour l’école. Dans un monde en évolution permanente, l’acquisition de savoirs et de compétences par les jeunes pour une meilleure insertion sociale et professionnelle, mais aussi pour la construction d’une société équitable et innovatrice est fondamentale. La façon dont l’école appréhende ces enjeux l’est donc tout autant.
Parmi les jeunes sortis du système éducatif en 2017, près de la moitié ne vivaient plus chez leurs parents lors de leur dernière année de formation. Si la décohabitation intervient davantage lors des études supérieures, elle peut s’avérer plus précoce pour les jeunes inscrits en filières professionnelles, en particulier pour ceux qui choisissent l’alternance. S’appuyant sur l’enquête Génération 2017, ce Céreq Bref s’intéresse à l’influence de l’alternance sur l’autonomie résidentielle des jeunes, et met en lumière sa capacité à constituer un levier d’émancipation en début de vie active.
7e rapport du Comité éthique et scientifique Parcoursup et Mon Master - PDF | 10.92 Mo Conformément à la loi du 8 mars 2018 relative à l’orientation et à la réussite des étudiants (ORE) et à l’arrêté publié au Journal officiel de la République le 9 juin 2024, le Comité éthique et scientifique de...
Qui entre dans la fonction publique ? Qui y accède à un emploi de cadre ? Pour les personnes commençant leur parcours à un poste d’employé, dans quelle mesure est-il possible d’y gravir les échelons ?
Note d'Information n° 25-05 février 2025 Avec 753 100 candidats, la session 2024 du baccalauréat compte 9 300 candidats de plus que la précédente. Cette hausse est portée presque exclusivement par les voies technologique et professionnelle.
Céreq Bref, n° 466, Février 2025
Pratiquées depuis longtemps dans plusieurs pays européens, les suspensions temporaires d'études restaient peu présentes dans les cursus des jeunes en France. Les derniers travaux du Céreq témoignent de l’amorce d’un changement en la matière, avec notamment l'existence du dispositif de césure depuis 2015. Si les données sur ces pratiques sont encore rares, l’enquête Génération en offre un aperçu pour l’ensemble des jeunes sortant de l'enseignement supérieur en 2017. Elle permet aussi d’en mesurer les effets sur l’insertion professionnelle, qui restent pour le moment relativement contrastés.
Apec, Collection « Trajectoires », février 2025. Cette étude présente 6 parcours de jeunes diplômés de moins de 30 ans, en poste sur des métiers cadres à impact positif sur l’environnement.
Le processus de démocratisation de l’enseignement supérieur semble en panne si l’on en croit la composition sociale de ses différentes filières. La part des étudiants d’origine populaire stagne depuis quinze ans alors que celle des enfants de cadres continue à augmenter. Une analyse de Jérémie Martin-Kleinbauer et Louis Maurin de l'Observatoire des inégalités.
N° 2025-03 | Février 2025
Les classes préparatoires aux grandes écoles accueillent 86 900 étudiants à la rentrée 2024, soit un effectif en forte hausse de 5,5 % cette année, après 5 années de baisses successives suivies d’une stabilisation à la rentrée 2023.
Note flash du SIES N° 2025-03 | Janvier 2025
Trois quarts des plus de 500 000 néo-bacheliers inscrits en 2019 dans une formation de l’enseignement supérieur sont diplômés ou encore en études trois ans plus tard.
Céreq Bref, n° 465 Entre la baisse régulière du décrochage scolaire et la place toujours plus grande du diplôme dans l'insertion professionnelle, les jeunes non diplômés font face à une situation de plus en plus difficile sur le marché du travail. Cela est particulièrement vrai en milieu rural, où ces jeunes se voient enfermés dans une instabilité structurelle, paradoxalement entretenue par leur attachement viscéral au travail. Ce Céreq Bref explore les dynamiques complexes de leur insertion, entre aspirations à l'autonomie, rejet de la stigmatisation associée aux aides sociales, et exploitation de leur disponibilité sur le marché du travail.
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Le rapport public annuel 2025 sur les politiques publiques en faveur des jeunes vise à dresser un état des lieux des dispositifs mis en place par les pouvoirs publics pour accompagner la jeunesse dans ses parcours éducatifs, professionnels et citoyens. Cette analyse approfondie, réalisée par la Cour des comptes, examine les politiques publiques sous différents angles afin d’identifier les réussites, les limites et les perspectives d’amélioration. En particulier, sont examinés :
En raison de plusieurs spécificités, la France comptait 2,0 nouveaux inscrits en doctorat en 2021 pour 100 entrants en études supérieures en 2016 (3,7 et 2,8 pour l’UE et l’OCDE), mais la formation doctorale française fait partie des diplômes les plus attractifs à l’international, avec 38 % de doctorants étrangers mobiles, contre 25 % pour l’ensemble de l’UE.
Les réorientations en début de carrière sont loin d’être anecdotiques, comme le montre le suivi des six premières années de vie active des jeunes. Ainsi, selon l’enquête Génération du Céreq, un quart des sortant·es de formation initiale en 2017 a envisagé de changer de voie et engagé des démarches en ce sens entre 2020 et 2023. Ce phénomène touche particulièrement les jeunes en difficulté d’insertion, mais concerne des profils variés. Motivées par la quête de sens, de meilleures conditions de travail ou l’attrait pour un nouveau domaine, ces réorientations précoces s’avèrent positives lorsqu’elles ont pu être menées à terme.
Ce mardi 18 mars, l’Observatoire National des Discriminations et de l’Égalité dans le Supérieur (ONDES) présentait les résultats du 4ème et dernier volet de son étude nationale MASTER (« Mesurer l’Accès au Supérieur par un Testing sur Echantillon Représentatif »), qui vise à mesurer les discriminations dans l’accès aux formations de niveau master. Cette année, elle explore la hiérarchie des pénalités subies selon l’origine ethnique (réelle ou supposée) des étudiant·es dans leur accès à un master.
Des Jeunes de plus en plus diplômés, mais des difficultés d'insertion qui subsistent pour les moins élevés L'Insee présente avec Formations et emploi les principales analyses sur les sortants du système éducatif, leur insertion professionnelle et la formation tout au long de la vie. --- SOMMAIRE ---
Vue d’ensemble - Des jeunes de plus en plus diplômés, mais des difficultés d’insertion qui subsistent pour les moins
Dossiers - 8 % des personnes n’ont suivi aucune formation à but professionnel dans l’année alors qu’elles l’auraient souhaité
- La plupart des métiers en tension attirent les jeunes mais certains peinent à les fidéliser
- Des parcours d’entrée dans la vie adulte diversifiés et marqués par l’influence familiale
- Depuis 2018, l’apprentissage s’ouvre massivement aux formations du supérieur et des services
Éclairages - Formation continue : des dispositifs et un financement transformés par la réforme de 2018
- Plan d’investissement dans les compétences : un programme d’ampleur évalué par un dispositif inédit
- Mesurer précisément l’insertion des sortants de formation initiale : les dispositifs InserJeunes et InserSup
Fiches - l’école et les sortants
- l’insertion des jeunes
- la formation tout au long de la vie
Céreq, Working paper, n° 32, Février 2025, 38p. À partir des données APOGEE, des données SISE nationales et d’une enquête par questionnaire ad hoc ce Working Paper analyse les trajectoires des étudiant·es inscit·es en licences 1 et 2 à l’Université Toulouse 2 – Jean Jaurès (UT2J) au cours de l’année universitaire 2016-2017, décrivant les profils, l’expérience et les motivations des étudiant·es qui poursuivent leur cursus, se réorientent ou quittent les formations du supérieur.
En se basant sur les offres publiées en 2024, l'Apec identifie près de 30 métiers porteurs : les "Poids lourds" comptant plus de 4500 offres (développeur, comptable, ingénieur R&D...) et les "Formule 1" (+500 offres/+2% de croissance) : data scientist, chargé de relation client, cadre de santé, psychologue...
Apec, Collection Trajectoires, Focus documentaire, février 2025. Ce focus montre la persistance d'inégalités aux multiples origines. Le secteur du numérique constitue un véritable moteur de l’emploi cadre. Or, en France, à peine un quart (24 %) des emplois dans les professions du numérique est occupé par des femmes. Les freins à l’accès des femmes à ces métiers sont multiples et se combinent, tout au long de leur parcours, comme autant de facteurs venant alimenter voire aggraver leur sous-représentation. Les entreprises du numérique ont conscience de cet enjeu et développent des initiatives pour améliorer l’inclusion et la carrière des femmes dans le numérique.
Note flash du SIES N° 2025-04 | Février 2025
Les sections de technicien supérieur accueillent 217 700 étudiants sous statut scolaire à la rentrée 2024, un effectif en baisse de 0,8 % par rapport à la rentrée précédente.
N° 2025-02 | Février 2025 À la rentrée 2023, 108 100 étudiants extracommunautaires sont dans le périmètre d’application des droits majorés d’inscription universitaire.
Cet état des lieux de la gouvernance et du déploiement des systèmes d’information de gestion au sein des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) aborde la question de la mutualisation de leur développement et de leur mise en œuvre.
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