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Expertise en vue de la fixation de valeurs limites d’exposition à des agents chimiques en milieu professionnel – Évaluation l’évaluation des méthodes de mesure du dioxyde de titane sous forme nanométrique (TiO2 NP, P25) (CAS n° 13463-67-7).
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L’INRS actualise les informations sur les formes micro et nanométriques du TiO2 et sur sa toxicité, ainsi que sur les recommandations de prévention.
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Très utilisées dans l'agro-alimentaire, les cosmétiques ou les matériaux de construction, les nanoparticules de dioxyde de titane sont des éléments ultrafins qui peuvent contaminer l'atmosphère. Le Haut conseil de la santé publique (HCSP) préconise donc de protéger les personnels des entreprises qui les fabriquent ou les manipulent et le voisinage des sites concernés.
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Pour combiner les performances optoélectroniques déjà prometteuses du dioxyde de titane, utilisé notamment pour les cellules solaires, et celles des solides nanoporeux, des chercheurs de l’Institut des matériaux poreux de Paris (CNRS / ENS Paris / ESPCI / PSL Université), de l’Institut de chimie moléculaire et des matériaux – Institut Charles Gerhardt Montpellier (CNRS / ENSCM/Université de Montpellier) et de l’Institut de recherche de chimie Paris (CNRS / Chimie ParisTech / Ministère de la Culture / PSL Université) ont créé un matériau hybride nanoporeux stable et plus « vert ».
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Le dioxyde de titane (TiO2), qui existe sous forme micrométrique et nanométrique, entre dans la composition d’une grande variété de produits tels que des peintures, des cosmétiques, des crèmes solaires mais aussi des médicaments, dentifrices, confiseries et plus généralement comme colorant alimentaire.
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Le gouvernement a saisi l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) pour finaliser à court terme les travaux entamés sur le dioxyde de titane (E171) sous forme nanoparticulaire dans les aliments. Face aux incertitudes sur l’impact de cette substance à l’échelle granulométrique, la France voudrait être en mesure de porter au niveau européen un dossier permettant d’alimenter par des données détaillées la réévaluation de la substance par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) et par l’Agence européenne des produits chimiques (Echa).
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Le Gouvernement a saisi l’ANSES sur les effets des nanoparticules de dyoxide de titane dans l’alimentation et diligente les services de la DGCCRF pour effectuer des contrôles.
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Chemical found in everything from paint to toothpaste added to list of suspected carcinogens over inhalation risk at high concentrations.
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The titanium dioxide (TiO2) referred as E171 is a commonly used food additive. Approximately 1/3 of E171 particles are of nanometric size. Toxalim (Research Centre in Food Toxicology), Université de Toulouse, INRA, ENVT, INP-Purpan, UPS, Toulouse, France conducted in vivo studies in rats, to evaluate gastrointestinal absorption and impact of E171 food grade titanium dioxide compared to TiO2 nanoparticles [1].
Used at a relevant dose with regard to the estimated human dietary exposure to E171 (10 mg/kg/day) the researchers carried out two sets of experiment, after 7 days of intra gastric delivery or after 100 days of chronic exposure through drinking water.
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Une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) menée sur des animaux et publiée aujourd’hui montre que l’exposition orale au dioxyde de titane (E 171), additif utilisé notamment dans l’industrie agroalimentaire, est susceptible d’entraîner des effets sur la santé. À ce stade, les résultats de l’étude ne permettent toutefois pas d’extrapoler ces conclusions à l’homme. Au regard des conclusions de cette étude, les ministères chargés de l’économie, de la santé et de l’agriculture ont décidé de saisir conjointement l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) afin de déterminer si l’additif alimentaire E171 présente un éventuel danger pour les consommateurs. Cette saisine dont les résultats seront connus fin mars s’inscrit dans le cadre des travaux de l’agence déjà engagés à la demande du gouvernement le 17 octobre 2016 sur l’impact potentiel sur la santé des nanomatériaux présents dans l’alimentation de manière plus générale.
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L’Anses a soumis à l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) une proposition de classification du dioxyde de titane en tant que substance cancérogène par inhalation de catégorie 1B.
Depuis le 31 mai 2016, cette proposition fait l’objet d’une consultation publique sur le site Internet de l’ECHA, afin de permettre aux parties prenantes intéressées de présenter leur point de vue et les arguments scientifiques ou informations complémentaires dont elles disposent.
À la suite de cette consultation publique, ouverte pour 45 jours, le processus d’instruction de la proposition de classification suivra les étapes prévues par le règlement (CE) n° 1272/2008 relatif à la classification, à l'étiquetage et à l'emballage des substances et des mélanges, dit règlement CLP, jusqu’à l’adoption d’un avis final par le Comité d’évaluation des risques de l’ECHA. Sur la base de cet avis, la Commission européenne décidera de l’inclusion de la classification proposée par l’Anses dans le règlement CLP.
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L’Agence européenne des produits chimiques avait classifié le dioxyde de titane comme substance cancérogène en 2017. Une décision contestée par bon nombre d'industriels qui viennent d'obtenir gain de cause devant la justice européenne. C'est "très regrettable", déplore l'association Avicenn.
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Le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire est utilisé dans de nombreuses applications industrielles et commerciales. Dans le cadre de sa mission nationale d’élaboration de valeurs sanitaires de référence, l’Anses a été chargée de définir une Valeur Toxicologique de Référence (VTR) pour le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire (TiO2 -NP). Suite à une analyse approfondie de l’ensemble des données de toxicité disponibles, l’Agence recommande une VTR chronique par inhalation pour la forme P25 du TiO2-NP de 0,12 µg.m-3.
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Les nanoparticules de dioxyde de titane (NPs de TiO2) sont largement utilisées dans l’agro-alimentaire, les cosmétiques, les matériaux de construction. Elles sont fabriquées ou manipulées en France dans de nombreux sites, ce qui pose la question de l’exposition des travailleurs et des riverains. Les poudres ultrafines de NPs de TiO2 peuvent contaminer l’atmosphère ce qui nécessite des mesures de protection spécifiques, d’autant plus que des études récentes ont montré que ces nanoparticules, inhalées ou absorbées, franchissent les barrières biologiques et s’accumulent dans certains organes.
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Confiseries, gâteaux, chocolat… Le gouvernement veut suspendre « d'ici la fin de l'année » l'utilisation dans tous les produits alimentaires du dioxyde de titane sous forme de nanoparticules, substance principalement esthétique dont les effets sur la santé sont méconnus.
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Des analyse par rayons X de peaux tatouées ont révélé que les éléments de l’encre des tatouages se déplacent du tatouage jusqu’à nos ganglions lymphatiques sous forme de nanoparticules.
En France, 14 % de la population est tatouée, selon un sondage Ifop datant de fin 2016 commandé par le syndicat national des artistes tatoueurs (SNAL). Chaque tatouage est une trace que la personne gardera à vie ou, du moins, pendant de très longues années. L’encre utilisée reste donc très longtemps dans l’organisme après son injection dans l’épiderme et le derme. Problème : on sait peu de choses sur la composition des différents pigments utilisés et sur leurs effets.
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Une étude scientifique a révélé ce mardi la présence de dioxyde de titane, sous forme de nanoparticules, dans les ganglions lymphatiques de certaines personnes tatouées. Les professionnels de santé, qui ne mesurent pas encore l'étendue exacte des dégâts, recommandent de bien se renseigner sur la composition chimique des produits utilisés.
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Des bonbons et gâteaux qui contiennent systématiquement du dioxyde de titane (TiO2) sous forme nanoparticulaire (via le colorant E171), et ce sans que le consommateur en soit informé : tel est le constat que dresse « 60 Millions de consommateurs » dans son édition de septembre. La publication reproche aux industriels, dont la moitié lui a répondu ne pas utiliser de nanomatériaux, de manquer de rigueur ou de vigilance, en dépit d'un règlement européen (INCO) qui les contraint de signaler la mention « nano ».
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À la suite d'une étude de l’INRA (Institut national de la recherche agronomique), l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) rend son avis sur la nécessité de conduire des études chez l’humain pour identifier les effets sanitaires potentiels liés à l’ingestion d’E171, un additif alimentaire constitué de particules de dioxyde de titane.
Le dioxyde de titane (TiO2) est utilisé dans de nombreuses applications (additif alimentaire, cosmétiques, pigments), notamment pour ses propriétés d’absorption des rayons ultraviolets, et se présente, au moins partiellement, sous forme de poudre nanométrique. Dans son avis du 15 avril 2014 relatif à l’évaluation des risques liés aux nanomatériaux, l’Anses a estimé suffisantes les données scientifiques pour proposer le classement de cette substance en tant que cancérogène par inhalation de catégorie 1B. Point sur les différents travaux menés par l’Agence sur le TiO2.
Via AgroParisTech DOC IST
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Des chercheurs de l’Inra et leurs partenaires ont étudié les effets d’une exposition orale au dioxyde de titane, un additif alimentaire (E171) utilisé de façon courante, en confiserie notamment.
Ils montrent pour la première fois chez l’animal que le E171 pénètre la paroi de l’intestin et se retrouve dans l’organisme. Des troubles du système immunitaire liés à l’absorption de la fraction nanoparticulaire de l’additif ont été observés. Par ailleurs, les chercheurs montrent qu’une exposition orale chronique au E171 induit de façon spontanée des lésions prénéoplasiques dans le côlon, un stade non malin de la cancérogenèse, chez 40 % des animaux exposés. De plus, le E171 accélère le développement de lésions induites expérimentalement avant exposition.
Ces résultats témoignent d’un effet initiateur et promoteur des stades précoces de la cancérogenèse colorectale, sans toutefois permettre d’extrapoler ces conclusions à l’Homme et pour des stades plus avancés de la pathologie. Ces résultats sont publiés dans Scientific Reports le 20 janvier 2017.
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