A revoir : " #France, #terrorisme et #diplomatie en carton" interview 2016 de #PierreConesa, ancien haut fonctionnaire du Ministère de la Défense, par #Thinkerview
Interview de Pierre Conesa, ancien haut fonctionnaire du Ministère de la Défense. Vidéo enregistrée le 7 octobre 2016. SUJETS : Arabie Saoudite, Qatar, Quai d'Orsay, Diplomatie, Droit de l'homme, Salafisme, Terrorisme, Attentats, Schizophrénie diplomatique, OTAN, Irak, Yémen, flux de migrants, Syrie, Alep, Russie, Djihad, Afghanistan, Iran, UK, USA, Etat d'urgence, renseignement de terrain.
#Documentaire #Histoire #France - Quand la gauche collaborait (avec les Nazis) , 1939-1945
l aura fallu du temps, beaucoup de temps, et le travail acharné des chercheurs pour déconstruire la vision caricaturale d’une des périodes les plus troubles et les plus ambiguës de notre histoire. Celle d’une France, sous Vichy, coupée idéologiquement en deux, entre une gauche résistante et une extrême droite collaborationniste. Une vision sans nuance qui perdura pendant des décennies dans la mémoire collective. « Les sociétés préfèrent percevoir leur passé en termes stables. La notion de mutation est inacceptable », explique l’historien Simon Epstein, auteur d’Un paradoxe français et des Dreyfusards sous l’Occupation (Albin Michel), que l’on retrouve, sans surprise, auprès de Pascal Ory et d’Olivier Wieviorka dans le second volet du documentaire de Florent Leone et Christophe Weber consacré, après l’extrême droite entrée en résistance, aux hommes de gauche (socialistes, radicaux, communistes, syndicalistes) qui versèrent dans la collaboration.
« #Congo: la guerre des #minerais» #Rwanda, l'envahisseur #documentaire (coproduit par #RobinWright ) #mining
Dans le cadre d’une campagne lancée il y a un an par Robin Wright (#StandWithCongo), cette star de la célèbre série américaine House of Cards a coproduit le documentaire Congo : la guerre des minerais.
À 21h50, découvrez un film poignant, inédit en France, qui révèle au grand jour ce que les multinationales ont toujours caché jusqu’à aujourd’hui : l’histoire de leur complicité sur le marché frauduleux des minéraux lors des conflits congolais.
La République démocratique du Congo détient les mines les plus riches au monde, de cuivre, de coltan et d’autres minéraux très recherchés par les fabricants mondiaux de matériel électronique, tels les smartphones ou les ordinateurs. Depuis 1996, en Afrique subsaharienne, des milliards de dollars s’échappent vers les paradis fiscaux ou profitent aux milices locales, alimentant ainsi une guerre qui a déjà coûté 5 millions de vies. Une guerre incessante, qui finira un jour par être la pire atrocité de notre monde moderne. Est-ce que tout cela pourra s’arrêter un jour ?…
Congo : la guerre des minerais Un film deMike Ramsdell Production Mike Ramsdell, Kim Carter, JD Stier Productionexécutive Robin Wright, David Gordon Green, Lisa Muskat
#MÉLENCHON : Conférence de presse du 06.03.2017 sur l' #Europe - #JLMEurope - 41 mn #VraiePolitique
Le lundi 6 mars à 18h30, Jean-Luc Mélenchon a tenu une conférence de presse sur l'Europe au moment où François Hollande s'apprête à rencontrer à Versailles les dirigeants de l'Italie, de l'Allemagne et de l'Espagne. Cette conférence fut l'occasion de rappeler notre position pour l'indépendance de la France, contre l'Europe de la guerre et pour la sortie des traités européens. (Désolés pour la saturation du son au début de la vidéo, ça s'améliore au bout de 6min)
#Afghanistan Un #drone #US tue 15 civils selon l' #Onu - #DroitALaViolence #Sanctions ?
Au moins 15 civils ont été tués et 13 autres blessés par une frappe de drone américain dans l'est de l'Afghanistan, a déclaré jeudi soir la Mission d'assistance
Interview de Paul Moreira, journaliste "d'investigation", reporter de guerre. Enregistrée le 22 juin 2016.
SUJETS : Cash investigation, IRAK, IRAN, Guerre, Elise Lucet, Terrorisme, Daesh, Al Quaida, Forces Américaines, Armes de destructions massives, PNAC, Réalités de terrain, journalistes d'investigations, Attentats de Paris, 200 terroristes sur le territoire ?, Etat d'urgence, Fiche S, Ecoute téléphonique, Services secrets, Ben Laden, Ukraine, Massacre d'Odessa, Russie, Est de l'Ukraine, Néoconservateur, pensée de groupe , conseils pour les jeunes générations
15 ans de la guerre en #Irak : « jamais les #USA ne se sont excusés » débat #RadioSputnik avec #PierreConesa et #AliDolamari - #GéoPolitique #CrimesDeGuerre #WarCrimes
Ajoutée le 26 mars 2018
Le 20 mars dernier, c’était le 15e anniversaire du lancement de l’invasion américaine de l’Irak. Retour sur cette opération dont les conséquences géopolitiques se ressentent toujours actuellement, avec Pierre Conesa, spécialiste des questions stratégiques, et Ali Dolamari, représentant à Paris du gouvernement régional du Kurdistan irakien. Retrouvez le compte-rendu du débat sur le site de Sputnik https://fr.sputniknews.com/radio_desordre_mondial/201803261035663060-irak-guerre-usa/
La #France a-t-elle une responsabilité dans la guerre au #Yémen ? - Mediapart - vidéo 43 mn #StopGuerre (et donc .. #StopHumanitaire ) #ArabieSaoudite #Alliances #CrimesDeGuerre #Humanitaire #Hypocrisie #UE #USA #VenteDArmes
Ajoutée le 7 déc. 2017
Alors que l'ancien président Saleh a été assassiné, le Yémen continue de s'enfoncer dans la guerre. Le principal responsable du conflit aujourd'hui est identifié : l’Arabie Saoudite. Mais le Royaume est appuyé, au moins indirectement, par les pays occidentaux, dont la France.
#Choléra au #Yémen :+de 300.000 cas suspects,1600 morts #santé #GuerreScélérateSponsoriséeParOccident #Arabie
Sans une guerre scélérate, sponsorisée par les pays "civilisés" occidentaux et sous-médiatisée (comme par hasard..) de l' #ArabieSaoudite contre le #Yemen depuis plus de 2 ans, cette épidémie n'aurait pas lieu
"L'épidémie de choléra, qui sévit au Yémen depuis fin avril, touche désormais plus de 300.000 personnes, et plus de 1.600 en sont décédées, a annoncé lundi le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
"L'épidémie de choléra au Yémen continue de progresser de façon incontrôlée", a ajouté le CICR dans le même tweet.
"Aujourd'hui, plus de 300.000 personnes sont suspectées d'être malades. Plus de 1.600 sont mortes", écrit l'organisation internationale basée à Genève.
Dans son dernier bilan, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) avait fait état, entre le 27 avril et le 2 juillet, de 262.649 cas suspects et de 1.587 décès dans 21 provinces.
L'effondrement des infrastructures médicales et sanitaires au Yémen, ravagé par plus de deux ans de guerre entre les forces progouvernementales soutenues par une coalition arabe conduite par l'Arabie saoudite, et les rebelles chiites Houthis soutenus par l'Iran, a favorisé fin avril l'apparition du choléra dans le pays pour la deuxième fois en moins d'un an.
L'épidémie fait environ 7.000 nouveaux cas chaque jour, a précisé dans un tweet le directeur régional du CICR pour le Proche et Moyen-Orient, Robert Mardini. Sanaa, Hodeida, Hajjah et Amran sont les zones les plus touchées, souligne-t-il.
Les Yéménites font face en outre à un risque de famine avec 17 millions de personnes, soit les deux tiers de la population, souffrant de malnutrition.
#MarcFromager sur les #Chrétiens en #Syrie et en #Irak - #ChrétiensDOrient - 26:40
Ajoutée le 16 févr. 2017
Marc Fromager, directeur de l'Aide à l'Eglise en Détresse, est venu nous présenter son dernier livre "Guerre, Pétrole et radicalisme. Les Chrétiens d'Orient pris en étau". L'écrivain revient sur la situation dramatique des Chrétiens d'Orient présents en Syrie et en Irak. Il nous explique comment les chrétiens réussissent à résister à l'emprise de l'Etat Islamique, le rôle qu'ils jouent pour entretenir une entente entre les chiites et les sunnites sans oublier leur façon de pratiquer la religion chrétienne. Enfin, selon Marc Fromager, la situation des chrétiens d'orient n'est pas désespérée et l'espoir de paix est toujours permis.
Le risque de guerre nucléaire n’a jamais été plus grand, et c’est partiellement parce que l’OTAN a réarmé les pays qui entourent la Russie. Pourtant, ces pays sont sûrs d’être eux aussi des cibles, si Poutine décide de riposter. Voilà ce qu’écrivent trois médecins suédois, dans un article qui a paru sur Göteborgsposten, le vendredi 12 août.
Pendant la crise des missiles cubains, le président Kennedy avait discuté avec ses conseillers les différentes options qui s’offraient à lui. L’une était de lancer une attaque limitée sur des bases anti-missiles soviétiques. On escomptait que Moscou accepterait cette réaction, au lieu de riposter d’une façon dont le résultat serait la dévastation aussi bien des États-Unis que de l’Union Soviétique.
De 1950 aux années 1980, il y a eu une doctrine de stratégie militaire appelée MAD (Destruction Mutuellement Assurée). MAD signifiait que si une grande puissance attaquait l’autre en premier, il serait toujours possible que la nation attaquée rendît les coups. Cette possibilité de frappe en retour a longtemps servi de dissuasion suffisante.
La sécurité relative qu’offrait la doctrine MAD n’existe plus. Les États-Unis et la Russie s’accusent aujourd’hui mutuellement et ouvertement de constituer une « menace existentielle ». L’équilibre, dans la stratégie militaire, devient de plus en plus inégal.
Le réarmement nucléaire des États-Unis et l’encerclement de la Russie par l’OTAN ont créé une situation hautement précaire et dangereuse. Il devient de plus en plus difficile de résister aux avantages d’une « première frappe ». Avec le soutien de l’OTAN, la Roumanie et la Pologne sont en train d’installer un nouveau système robotique de défense appelé « Aegis ashore ». Le président Poutine a averti les deux pays qu’en cas de conflit ils seraient ses premières cibles. Les inquiétudes de la Russie quant à une première attaque destinée à la désarmer semblent réelles. Si ces inquiétudes sont fondées, nous ne pouvons pas le savoir. Mais les arrière-pensées et les intentions de chaque superpuissance sont absolument cruciales pour notre sécurité.
Les risques n’ont jamais été plus grands.
L’ex-secrétaire à la Défense US William Perry a mis le monde en garde : les risques d’une guerre nucléaire sont aujourd’hui plus grands que jamais. Et le sont pour les raisons suivantes :
– La rupture de l’engagement pris lors de la dissolution de l’URSS (en 1990) de ne jamais étendre l’OTAN.
– Le nombre de pays membres de l’OTAN est passé, depuis, de 13 à 28.
– L’intervention illégale de l’OTAN en Yougoslavie (1999) et la création non moins illégale d’un Kosovo indépendant.
– La dénonciation unilatérale du TNP (Traité de non-prolifération des armes nucléaires) en 2001 par les États-Unis.
– L’installation de bases « anti-missiles » en Roumanie et en Pologne (voi ci-dessus), qui sont très facilement reprogrammables en bases d’attaque robotisées.
– La modernisation du système d’armement nucléaire US qui a coûté un trillion (douze zéros) de dollars.
– Le coup d’État illégal fomenté et soutenu par les USA (2014) en Ukraine.
– La supériorité militaire stratégique de l’OTAN en termes de possibilités de recourir à une « première frappe ».
– La démonisation de Vladimir Poutine, par comparaison systématique avec Hitler (Un « Hitler » n’est pas quelqu’un avec qui on puisse négocier, mais quelqu’un qui doit être éliminé.)
Les analystes américains indépendants en matière de sécurité tels que VIPS (Anciens Agents de Renseignement Professionnels pour la Santé Mentale) considèrent les jeux de guerre de l’OTAN dans le voisinage immédiat de la Russie comme extrêmement provocateurs et dangereux. De plus en plus d’hommes politiques européens prennent publiquement leurs distances avec la politique agressive de l’OTAN. Par exemple le Premier ministre grec Tsipras, le ministre des Affaires étrangères allemand Frank-Walter Steinmeier et le président français François Hollande. [?? NdT]
Effets opposés
L’OTAN est globalement fort. L’OTAN dépense, en armes, dix fois plus d’argent que la Russie. Beaucoup de pays s’imaginent que devenir membre de l’OTAN est un gage de sécurité. Mais quand un équilibre militaire est asymétrique, les conséquences logiques sont inversées. Si les USA et l’OTAN décident de frapper « préventivement » la Russie à partir des bases encerclant la Russie, les chefs de l’armée russe n’auront pas le temps de réagir.
La Russie a fait savoir clairement qu’une telle situation ne serait pas tolérée. Par conséquent, la Russie applique présentement une doctrine qui prévoit une frappe nucléaire avec des restrictions (« Concept de Désescalade »). L’avantage supposé de cette doctrine est qu’une première attaque limitée rendra une guerre tous azimuts moins probable. En ne répondant pas [à une frappe qui serait limitée à des pays d’Europe, NdT ] les États-Unis éviteront le risque d’une extension du conflit à leur propre territoire. Franchement, est-ce qu’un président des États-Unis voudra risquer de voir dévaster son propre territoire sous prétexte de punir les Russes d’une première frappe sur des bases européennes ?
La situation militaire stratégique est donc extrêmement instable. Des pays voisins de la Russie ont permis l’installation de bases de l’OTAN sur leur sol, au risque de plus en plus grand de devenir eux-mêmes les objectifs d’une première frappe. Le résultat de l’élection présidentielle US, quelle qu’en soit l’issue, ne peut être d’aucun secours.
Des causes et des effets
Si les politiciens occidentaux sont incapables de faire la différence entre des causes et des effets, entre une provocation et une réaction, les conséquences peuvent être dévastatrices. La Russie se trouve face à trois solutions possibles, en termes de rapports avec l’OTAN :
1) Céder, se laisser faire, et accepter de devenir vassale des USA
2) Attendre qu’une première frappe de l’OTAN la neutralise.
3) Frapper la première, avec des armes nucléaires tactiques, certaines bases « anti-missiles » européennes constituant pour elle une menace directe, en escomptant que les USA ne répliqueront pas pour ne pas risquer une contre-attaque sur leur territoire. (Donald Trump a déjà fait comprendre que les USA ne s’engageront pas militairement de façon inconditionnelle pour protéger leurs alliés de l’OTAN.)
Le président Poutine a fait savoir que c’est le troisième scénario que la Russie envisage aujourd’hui. L’unique détail qui ne soit pas sûr est « quand ». Le seul perdant assuré, dans tous les cas de figure, sera l’Europe.
Le rapprochement entre la Suède et l’Otan a augmenté le risque, pour notre pays, d’être entraîné dans une guerre. Pour cette raison, il est particulièrement important – pour la Suède et pour les autres pays d’Europe – de soutenir toutes les initiatives allant dans le sens d’une détente et d’un désarmement, et d’ainsi créer une opinion publique qui exige que nous prenions nos distances d’avec l’OTAN.
Leif Elinder, Anders Romelsjö et Martin Gelin – I.C.H. – 20 août 2016
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