L’Europe se réchauffe deux fois plus vite que le reste de la planète. L’impact futur des phénomènes météorologiques extrêmes dépend de la capacité naturelle des paysages européens à retenir puis à libérer progressivement l’eau, comme une « éponge ». C’est cette hypothèse de travail qui a abouti au lancement récent du projet européen SpongeWorks, coordonné par l’université de Leibniz (Hanovre, Allemagne) et dont le CNRS est partenaire avec 27 autres partenaires européens, dont six pays (Allemagne, Pays-Bas, France, Grèce, Autriche, Royaume Uni).
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Le CNRS Occitanie Ouest
onto Les laboratoires du CNRS Occitanie Ouest dans la presse October 13, 8:07 AM
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