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Romain
Today, 12:23 AM
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Depuis une décennie nous nous posons la question, et depuis une décennie nous n’avons pas de réponse. Ce jeudi 4 décembre 2025 en soirée un groupe de drones légers a survolé l’Île Longue, le repère des SNLE en rade de Brest, créant l’émoi auprès de nos concitoyens. Si ce site ultra-protégé a pu ainsi voir sa (théorique) inviolabilité ainsi dégradée qu’en est-il des autres sites sensibles de la République Française. Et nos militaires ne peuvent pas prétendre qu’ils ne savaient pas puisqu’il y a dix ans cette même base navale avait déjà été survolée de la même manière ! Ils s’appellent Le Triomphant, Le Téméraire, Le Vigilant, et le petit dernier de la fratrie Le Terrible. Avec chacun seize missiles mer-sol balistiques stratégiques M51 dotés eux même de six à dix têtes nucléaires océaniques d’une charge unitaire de 100 kilotonnes ils sont notre garantie. C’est eux qui assurent à la République Française de n’être en guerre avec personne. À ce jour un à deux d’entre eux, peut-être trois, sont en dilution. Entendez par là qu’ils se sont enfoncés dans les profondeurs océaniques et se tiennent près à l’ultime frappe. Plus objectivement et de manière moins «romantique» ils patrouillent. Nos ennemis mais aussi nos alliés ignorent tout de leur position exacte. Et quand ils rentrent au bercail ils le font en Atlantique Nord dans la bien mal nommée Île Longue de la rade de Brest. Il ne s’agit pas d’une île à proprement parler mais d’une presqu’île. Elle est reliée au continent. Sur le papier l’Île Longue est un havre de paix et de sécurité pour les SNLE, les Sous-marins Nucléaires Lanceurs d’Engins. Ces gros bâtiments de guerre sont un concentré de haute technologie. Pourtant avant-hier la sécurité et la sûreté de ceux en cale dans les hangars de l’Île Longue ont été remises en question. La faute à quatre, peut-être cinq, drones légers qui ont violé l’espace aérien bas du site militaire le plus sensible de Bretagne, l’un des deux ou trois les plus sécurisés de France. Fort heureusement la Marine Nationale protège jalousement ses joujoux les plus onéreux et les plus puissamment armés. Les fusiliers marins ont pu brouillé les drones en question. Le ministère des Armées a démenti avoir abattu ces drones, il nie le moindre tir d’arme à feu. Le brouillage est finalement plus précis moins aléatoire. Descendre un drone ce n’est pas du ball-trap ! Si l’Île Longue a pu être ainsi violée qu’en est-il des autres sites sensibles français. Dans Paris que ce soit l’Élysée et Matignon ou encore l’Assemblée Nationale et le Sénat il y a la SPAD de la Garde Républicaine que nous vous avons présentée le mois dernier. Balard, le site du ministère des Armées est protégée par l’Armée de l’Air et de l’Espace. Pourtant rien ne semble plus inviolable. Alors quid d’implantations théoriquement protégés comme la Base Aérienne 921 de Taverny en banlieue parisienne qui accueille le COFAS, le Centre d’Opérations des Forces Aériennes Stratégiques ou encore la Base Aérienne 942 du Mont-Verdun près de Lyon qui héberge rien moins que le CDAOA, le Commandement de la Défense Aérienne et des Opérations Aériennes. On pourrait citer aussi le site DGA Essais de missiles de Biscarrosse dans les Landes, la station Frenchelon de Domme en Dordogne, voire le Centre de Transmissions de la Marine nationale à Rosnay dans l’Indre. Pourquoi survoler l’Île Longue ou n’importe quel site sensible de nos Armées ? D’abord pour en faire de la cartographie voire de la modélisation 3D. C’est à dire de l’espionnage, un crime passible de très très longues années derrières les barreaux. Plus besoin aujourd’hui d’agents secrets en smoking et aux volants de voitures de sport avec des gadgets pas possibles. Des drones à quelques milliers d’euros l’unité font très bien le job. Leurs connexions WiFi voire 5G permettent une transmission des images en temps réel en haute définition et même parfois avec des imageries infrarouges. Survoler un site sensible c’est aussi une manière de voir la réactivité des forces françaises. À l’Île Longue les fusiliers marins n’ont pas démérité. Ils sont visiblement intervenus rapidement. Et puis le but ça peut aussi de vouloir semer la pagaille dans notre chaîne de défense tout en s’assurant de faire le buzz. La preuve de BFMTV à France 24 en passant par France 2, LCI, Ici, ou encore Franceinfos tous les grands médias généralistes en ont parlé. À qui profite le crime ? On serait naturellement tenté de regarder à l’est, du côté du Kremlin. Le dictateur russe Vladimir Poutine a déclaré une guerre informationnelle et hybride à la France. Il nous juge, sans doute à juste titre, comme un des alliés les plus forts de cette Ukraine qu’il a cru un temps pouvoir mettre à genoux. D’autres intérêts étrangers, ou d’ailleurs aussi intérieurs, peuvent avoir envie de savoir ce qui se passe dans nos bases les plus importantes. Récemment Laurent Nuñez, ministre de l’Intérieur, rappelait que le niveau de tension terroriste est actuellement quasiment aussi élevé qu’il y a dix ans après Charlie Hebdo et le 13 novembre. On imagine bien des kamikazes vouloir bêtement et salement se faire péter la tronche dans des marchés de Noël alors pourquoi pas dans la base des SNLE. Les djihadistes ne sont pas réputés pour être des premiers prix d’instruction, vulgairement parlant ils sont cons comme des manches ! La piste terroriste n’est donc pas à exclure et m’est d’avis que la DRSD, la puissante mais méconnue Direction du Renseignement et de la Sécurité de la Défense y pense depuis des années. Donc oui depuis dix ans maintenant des drones survolent des sites sensibles. Et depuis dix ans on se demande qui se cache derrière ces actes malveillants. Fort heureusement la France est une démocratie et une république qui sait être droite dans ses bottes et ne jamais vaciller. On le doit à nos institutions et surtout à nos militaires et nos forces de l’ordre. Une seule dernière chose à dire sur cette «crise des drones» : même pas peur ! Photo © Wikimédia Commons
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Romain
Today, 12:12 AM
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Le 3 décembre, l’industriel a signé un contrat de 200 millions de dollars pour la production de munitions XM1211 à explosif de proximité de calibre moyen. C’est une nouvelle avancée dans l’équipement des forces armées en munitions anti-drone. La production des munitions se fera dans les locaux de Northrop Grumman e Plymouth et Elk River dans le Minnesota, au laboratoire de balistique du groupe en Virginie Occidentale, ainsi qu’à l’usine de munitions de Radford. Northrop Grumman a mis en place une chaîne d’approvisionnement de sorte à pouvoir répondre au besoin urgent des armées de ce genre de munitions. Depuis le début de la guerre en Ukraine, l’usage massif des drones est devenu quotidien en zone de guerre. Il est devenu crucial de pouvoir s’en défendre à moindre coût, et sans avoir à prendre le temps de viser. Ce dernier point est proposé par la munition XM1211, conçue avec l’aide du programme conjoint du Pentagone pour les munitions et les armements. Les pays alliés seraient intéressés dans leur lutte anti-drone, avec la recrudescence des survols de zones stratégiques, comme celui de l’Ile Longue jeudi soir, où se trouvent les sous-marins nucléaires français. 693329aa158c8.webp Les munitions XM1211 © Northrop Grumman La munition XM1211, d'un calibre 30 x 113 mm, est idéale contre les petits drones. Son usage se fera avec les canons à chaîne XM914 et M230LF Bushmaster de Northrop Grumman. Ces canons sont initialement montés sur hélicoptères AH-64 Apache. Pas besoin de viser. Une fois tirée, la munition a juste besoin d’être suffisamment proche pour que son capteur de proximité donne le feu vert à son explosion. Lors de celle-ci, des shrapnels sont projetés de tous les côtés, détruisant le drone à proximité.
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December 5, 5:36 AM
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Un dispositif de lutte anti-drones et de recherches a été mis en place. Le bataillon de fusiliers marins, qui assure la protection de la base, a effectué plusieurs tirs anti-drones, selon la même source.
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December 3, 12:33 AM
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Axon Vision announced on 1 December 2025 a strategic co-operation agreement with Leonardo DRS to deliver AI-enhanced C-UAS solutions.
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December 3, 12:30 AM
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December 3, 12:29 AM
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December 2, 12:58 AM
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December 2, 12:19 AM
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Brig. Gen. (Res.) Dr. Daniel Gold announced that development of the Iron Beam laser system has been completed, with the first operational capability scheduled for delivery to the Israel Defense Forces on 30 December 2025.
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December 1, 12:33 AM
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The systems will be put together from various military off-the-shelf components, including a wheeled armor vehicle and a remote-controlled weapon station.
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December 1, 12:29 AM
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A new autonomous air-defense turret funded through a joint UNITED24 and NAFO campaign is now ready to protect Ukrainian cities from drones and missiles, according to an announcement from UNITED24. The system, known as Sky Sentinel, was financed as part
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November 28, 3:58 AM
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Terma A/S announced on November 27, 2025, that it has completed the acquisition of OSL Technology, a UK company known for counter-drone and intelligent security systems. According to the company, the move strengthens its strategy to expand market-ready Counter-Unmanned Aircraft
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November 28, 12:53 AM
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November 26, 12:50 AM
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Today, 12:15 AM
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La marine assure que les fusiliers marins les ont neutralisés, apparemment avec des fusils brouilleurs Nerod F5 de MC2 Technologies. Le procureur (représentant du ministère de la Justice), lui, assure qu'il n'y « pas d'ingérence étrangère » et que le ou les télépilotes n'ont pas été retrouvés. Une activité inhabituelle à l'Ile Longue le 4 décembre Survolée régulièrement par des drones aériens (encore mi-novembre, mais déjà dès janvier 2015!), l'Ile Longue a connu une activité inhabituelle le 4 décembre, obligeant les fusiliers marins, en charge de la protection défense -lutte antidrone comprise- à engager leurs effecteurs. Cinq drones auraient été détectés à compter de 19h30. Avec un éventail de coupables possibles, de provocateurs, altermondialistes, antinucléaires, promoteurs de solutions antidrones, proxys des russes, russes eux-mêmes. Plusieurs drones neutralisés Plusieurs drones ont ainsi été neutralisés, mais le porte-parole du commandant maritime du théâtre Atlantique (CECLANT), le capitaine de frégate Guillaume Le Rasle (également pilote de Rafale Marine) assure de son côté qu'il n'y a eu aucun dégât sur cette installation stratégique qui héberge régulièrement jusqu'à deux lots de 16 missiles M51, et trois SNLE (le quatrième étant à la mer avec le troisième lot de missiles). Le site héberge aussi une installation de MCO, des stocks d'ogives, des rechanges, des composants de missiles. Bref, c'est le cœur du cœur, sans doute un des sites les plus protégés. Donc exposés : le fait d'avoir réussi un survol n'est pas un exploit -aucune bulle n'est étanche à 100% et l'effet recherché a donc été partiellement obtenu : décrédibiliser les autorités, et notamment la marine, et la dissuasion nucléaire. Les dégâts sont en fait nuls : pas de dégâts matériels, et seuls ds compétiteurs pourront croire avoir réussi un exploit. Brouillage de liaison de données entre drone et télépilote Les fusils brouilleurs Nerod F5 qui semblent responsables de ces neutralisations brouillent la liaison de données entre le drone et le télépilote. Le drone devient ainsi stationnaire, peut poser au sol, ou encore revenir à la station de contrôle, trahissant ainsi la position du télépilote. C'est ainsi que l'armée de l'air et de l'espace avait récolté un record d'interpellations de télépilotes durant les JO2024 (interpellations réalisées par les forces de sécurité intérieure, sur renseignement air). Pourtant aucun télépilote n'a été interpellé par la marine. Peut-être le résultat d'un manque de réactivité des forces de sécurité : l'Ile Longue est grande, et le ou les télépilotes peuvent avoir agir de loin, en embarcation... Le parquet militaire de Rennes, en charge de l'instruction Le manque de destruction physique ne veut pas dire que les drones n'étaient pas porteurs de charges explosives. Le porte-parole n'a levé aucun doute dans ce domaine, renvoyant au parquet militaire de Rennes, en charge de l'instruction. Les drones sont un problème de sécurité depuis plus de 25 ans, et l'augmentation de leurs performances (emport d'armes à feu, de charges explosives, augmentation de portée et de vitesse) pose clairement problème aux autorités. Le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) planche à la fois sur les plans d'urgence et sur les moyens de contrer la menace, évolutifs comme évolutive et protéiforme est la menace. Contre les drones, la panacée n'existe pas Il a pu au moins, en une quinzaine d'années, trouver des interlocuteurs fiables (MC2 Technologies, CS, Cerbair, MBEA, etc), et des équipements en... fiabilisation croissante. Avant les JO2024, les militaires, notamment ceux de l'armée de l'air et de l'espace étaient un peu dubitatifs face à des problèmes de jeunesse du système Parade, présenté comme la panacée. On le sait, contre les drones, la panacée n'existe pas, la marine peut désormais en témoigner. Une kyrielle de moyens à l'Ile Longue A l'Ile Longue, elle déploie pourtant une kyrielle de moyens, des fusiliers marins (Nerod F5, fusils calibre 12, fusils d'assaut HK416 et 417), le Parade de CS, un système de commandement et de contrôle baptisé Sentinelle (aussi produit par CS) ainsi que des missiles Mistral de l'armée de terre. On peut rappeler que la marine devait recevoir des équipements qui n'ont finalement pas été livrés en 2025, rappelait récemment des députés de la commission de la défense. Vigilance renforcée La proximité de la base aéronavale de Landivisiau est sensée procurer une vigilance renforcée, qui risque, pour le coup, de se transformer en police du ciel, face à un risque de drones plus militarisés et plus gros. La marine a aussi des savoirs-faire pour intercepter des drones en vol, comme elle l'a montré en mer Rouge en opérations (avec un Panther de la 36F), mais aussi lors de multiples exercices Wildfire impliquant aussi bien des navires que des hélicoptères Panther et NH90, ainsi que des Rafale utilisés en air-air et air-surface. Un exercice de grande ampleur à Toulon en juin La marine ne peut pas être taxée d'avoir négligé ce sujet essentiel pour ses unités à la mer et ses bases navales -Toulon a mené un exercice de grande ampleur en juin-. Cela n'aura pas suffi, rappelant l'impératif « d'humilité » sur ces sujets. Comme le général Dominique Tardif, major-général de l'armée de l'air et de l'espace, l'indiquait aux lecteurs d'Air et Cosmos il y a deux mois.
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December 7, 1:48 PM
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Jeudi soir, vers 19h30, cinq drones ont été détectés au-dessus de la base bordant la rade de Brest et qui abrite les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins
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December 4, 12:58 AM
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Dans un contexte global de besoin en lutte anti-drone, le constructeur suédois a reçu une troisième commande de batterie antiaérienne mobile MSHORAD de la part l’Agence lituanienne du matériel de la défense, à hauteur de 130 M€. Les livraisons sont prévues entre 2026 et 2030. D’une valeur de 1.4 milliards de couronnes suédoises (128 M€), ce contrat suit une première commande de 1.3 Mds SEK (114 M€) passée en juillet 2024 et une seconde de 1.2 Mds SEK (106 M€) passée en octobre 2024. Le contrat s’inscrit dans un accord-cadre entre Saab, l’administration suédoise du matériel de défense (FMV) et le ministère de la défense lituanien. Un atout stratégique face à la nouvelle nature des menaces Le MSHORAD (Mobile Short-Range Air Defence ou Défense aérienne mobile à courte portée) est un système de défense anti-aérienne qui assure la protection d’unités en mouvement. Intégré aux véhicules de Saab, le MSHORAD peut équiper d’autres véhicules. Dans ce cas, comme pour les commandes précédentes, le système équipera des véhicules-tout-terrain JLTV 4x4 fabriqués par l’entreprise américaine Oshkosh. Le MSHORAD est constitué d’un radar Giraffe 1X et d’une unité de tir mobile RBS 70 NG, un système portatif de défense antiaérienne (MANPADS) monté sur tourelleau. Impossible à brouiller selon son constructeur, le missile est à courte portée (9 km maximum). Le MSHORAD assure la protection contre un grand nombre de menaces : avion, hélicoptère, missile, drone. Cette dernière commande de la Lituanie résonne avec le besoin des pays européens proches de la Russie en capacité anti-drone. Dernièrement, la Lituanie avait appelé l’OTAN à l’aide après le survol du ciel de la capitale Vilnius par un drone russe chargé d’explosifs début août. Collaboration entre européens L’accord-cadre entre Vilnius et Stockholm renforce cette tendance de solidarité entre états européens face à la menace russe et dans un contexte du soutien versatile outre-Atlantique. Ancien premier ministre de la Lituanie, le commissaire européen à la défense et au spatial Andrius Kubilius appelle à renforcer d’urgence la défense du pays. L’achat de MSHORAD fait partie des nombreuses acquisitions conjointes réalisées auprès de fournisseurs européens, une tendance identifiée par la note de la Fondation pour la recherche stratégique sur le réarment européen. En 2024, la Lituanie avait aussi commandé en commun avec la Pologne et deux autres pays européens des MANPADS pour fantassins. La Lituanie commande aussi des systèmes de défense anti-aérienne plus lourds auprès de l’industriel norvégien Kongsberg.
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December 3, 12:31 AM
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Face à la menace russe, l’Europe veut bâtir un mur antidrones. Mais l’interception de ces engins oblige à mettre en œuvre une palette de technologies de pointe. Un défi inédit.
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December 3, 12:29 AM
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December 2, 1:01 AM
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Echodyne, a radar technology company based in Washington state, announced today that California-based Zone 5 Technologies has selected its radar system for integration into the Paladin Low Collateral Effects Interceptor (LCEI), an autonomous counter-drone solution. The Paladin is the first
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December 2, 12:57 AM
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December 1, 12:51 AM
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La décision britannique d’ouvrir une ligne de production sous licence pour les drones‑intercepteurs Octopus marque une inflexion nette dans la défense
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December 1, 12:33 AM
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Terma A/S has acquired OSL Technology, a UK specialist in counter-drone and intelligent security systems, marking a significant step in its strategy to expand its Counter-Unmanned Aircraft Systems and critical-infrastructure protection capabilities.
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December 1, 12:20 AM
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Plusieurs pays européens se sont réunis aujourd’hui pour discuter de la création d’un « mur de drones ». La multiplication des violations de leurs espaces aériens par des drones présumés russes pose la question des capacités de défense de l’Otan face à ces engins.
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November 28, 2:59 AM
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The Dutch Ministry of Defence is purchasing 100 radars capable of providing early warning of approaching drones.
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November 26, 12:58 AM
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DroneShield has secured a 5.2 million dollar follow-on contract from an in-country European reseller required to supply its handheld counter-drone systems to a European military customer.
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