 Your new post is loading...
 Your new post is loading...
|
Scooped by
Romain
Today, 1:43 PM
|
The United States military has moved a step closer to fielding a new short-range counter-drone capability, conducting evaluations of Anduril Industries’ Anvil interceptor and its integrated Launch Box during a recent exercise at Minot Air Force Base. Officials and company
|
Scooped by
Romain
November 7, 12:43 AM
|
An American defense-technology firm says it has secured new international customers for its autonomous counter-drone weapon system, as militaries around the world race to respond to the rapid spread of small, inexpensive unmanned aircraft on the battlefield. According to Axios,
|
Scooped by
Romain
November 7, 12:31 AM
|
Des mini-drones ont survolé des aéroports et bases militaires belges, en ce compris la très stratégique base aérienne de Kleine-Brogel, pouvant stocker des bombes nucléaires B61. Aujourd’hui, le brouillage n’est plus la solution pour neutraliser un drone. Il faut pouvoir le détecter mais aussi être capable de le détruire : mitrailleuses, canons antiaériens fixes ou mobiles, roquettes et éventuellement armes à énergie dirigée… sans compter les radars, nécessaires pour guider les différents effecteurs. Or, ces moyens manquent cruellement aux Forces armées belges.
|
Scooped by
Romain
November 5, 12:38 AM
|
Katwijk-based aerospace company Destinus has announced the successful field test of its Hornet Counter-Drone System during the TEC2 Exercises in Viator, Almería, organized by the Spanish Army under its 2025 Tactical Experimentation Campaign. According to the company, the Hornet successfully
|
Scooped by
Romain
November 2, 1:24 PM
|
U.S. Army soldiers from Alpha Company, 2nd Battalion, 3rd Infantry Regiment, 1st Stryker Brigade Combat Team, 7th Infantry Division, demonstrated counter-drone tactics for Japan Ground Self-Defense Force soldiers from the 22nd Rapid Deployment Regiment at Yakima Training Center, Washington, on
|
Scooped by
Romain
October 31, 4:32 AM
|
Devant les députés, la semaine passée, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger, a admis que la protection des bases aériennes contre une attaque saturante de drones aériens était « perfectible ». La solution développée par la jeune entreprise française Alta Ares va-t-elle contribuer à l’améliorer ? En effet, créée en janvier 2024 et ayant récemment finalisé une levée de fonds de 2 millions d’euros auprès, notamment, d’Expansion & Starburst, de Kima Ventures et de Durandal, Alta Ares a mis au point un « dôme tactique de protection » contre les drones, lequel vient d’être validé par l’Otan à l’issue d’une campagne de tests menée sur le site de DGA Essais de missiles [DGA EM] de Biscarrosse. « Fruit d’une expérience concrète sur le terrain en Ukraine, ce système de défense multicouche, basé sur l’IA, a été développé en France et en Europe. Il répond à l’un des défis sécuritaires les plus urgents : la protection de notre espace aérien contre les incursions non autorisées » de drones, explique Alta Ares. « Le Dôme tactique de protection est la consécration de la collaboration entre plusieurs acteurs français, ukrainiens, américains et allemands de la défense. Cette réussite illustre notre capacité à concevoir des solutions agiles, interopérables et éprouvées sur le terrain, au service de la sécurité de nos alliés », a fait valoir Hadrien Canter, PDG et cofondateur de cette entreprise spécialiste de l’intelligence artificielle [IA] militaire. Dans le détail, ayant une portée opérationnelle pouvant aller jusqu’à 30 km, un dôme tactique de protection permet d’assurer une défense multicouche contre les drones, grâce à une combinaison de radars tactiques, fournis par Thales et l’américain Echodyne, d’un logiciel de fusion de données développé par le californien Picogrid et de drones intercepteurs « Bagnet » [багет], fournis par l’ukrainien Tenebris. « Chaque couche d’intercepteur dispose de son rayon d’action de courte, moyenne et longue portée et intègre la solution Pixel Lock », explique Alta Ares. Il s’agit d’un algorithme d’intelligence artificielle embarqué permettant d’identifier, de suivre et de neutraliser une menace « sans intervention humaine directe », poursuit l’entreprise, pour qui cela apporte un « véritable soutien aux forces armées dans la difficulté que représente l’interception de drones dans des conditions exigeantes ». Dans cette solution, le drone intercepteur « Bagnet » tient une place essentielle. Comme l’a expliqué Kyrylo Androussiak, le copropriétaire de Tenebris, à Ukrinform, en août dernier, cet appareil a été spécialement conçu pour contrer les drones Shahed/Geran et Gerber utilisés à grande échelle par les forces russes. Il « peut fonctionner avec un guidage automatique et manuel », a-t-il précisé. Le Baget était jusqu’à présent produit par cinq entreprises ukrainiennes. Elles viennent d’être rejointes par Alta Ares, qui, ce 30 octobre, a annoncé l’inauguration d’une ligne de production en France. « Pour garantir souveraineté et réactivité européennes, Alta Ares a […] ouvert une ligne de production de drones intercepteurs ukrainiens dans l’Ouest de la France. Associée à un droniste ukrainien, Alta Ares entend internaliser en France l’ensemble de la chaîne fonctionnelle sur la base de retours d’expérience provenant d’Ukraine, assurant ainsi robustesse et adaptation rapide aux besoins opérationnels », a en effet indiqué l’entreprise, via un communiqué. Quoi qu’il en soit, on peut imaginer de déployer plusieurs dômes tactiques de protection le long d’une frontière ou pour assurer une couverture défensive mobile pour protéger des sites sensibles et/ou des infrastructures critiques.
|
Scooped by
Romain
October 31, 4:11 AM
|
Australian defense company Electro Optic Systems (EOS) has unveiled a new high-energy laser weapon known as Apollo, capable of shooting down drones using a focused beam of light. The system was featured this week on Network Ten’s Ten News Plus,
|
Scooped by
Romain
October 31, 3:57 AM
|
Alta Ares débute la production, sur le sol français, de drones intercepteurs de drones dopés à l’intelligence artificielle, en tandem...-Aéro - Spatial
|
Scooped by
Romain
October 31, 3:50 AM
|
|
Scooped by
Romain
October 28, 2:53 AM
|
Dedrone is expanding its core counter-unmanned aircraft system (C-UAS) technologies beyond smaller Group 1 and Group 2 UAS, working with German firm Tyta
|
Scooped by
Romain
October 28, 2:37 AM
|
|
Scooped by
Romain
October 27, 2:08 AM
|
EOS Defense Systems USA is developing enhanced capabilities for its Slinger remote weapon system to address the counter-UAS mission.
|
Scooped by
Romain
October 24, 12:17 AM
|
Kongsberg is working with the US Army to integrate a C-UAS capability into the thousands of RWSs it has supplied under the CROWS programme.
|
|
Scooped by
Romain
November 7, 12:52 AM
|
The new laser systems are expected to take out intelligence and surveillance drones, as well as those that can carry high-grade explosives.
|
Scooped by
Romain
November 7, 12:42 AM
|
A German defense technology company has announced the completion of the final design review for the sensor module of its ARGOS APS drone defense system, presenting the platform as a compact, mobile counter-UAV solution designed for battlefield environments where concealment
|
Scooped by
Romain
November 6, 12:18 AM
|
The German Bundestag’s budget committee has approved roughly €490 million ($563 million) to develop and procure a new short-range missile intended to defeat small unmanned aircraft, paving the way for a contract between the Bundeswehr and MBDA Deutschland. The allocation,
|
Scooped by
Romain
November 2, 1:26 PM
|
The U.S. military has begun integrating a lightweight, autonomous weapon system designed to counter drone threats on armored vehicles, including the Abrams tank and Bradley Infantry Fighting Vehicle. According to Allen Control Systems, the effort involves mounting mock-up units of
|
Scooped by
Romain
November 2, 1:24 PM
|
During NATO counter-drone trials in France, an interceptor built on Ukrainian technology became the only system to successfully neutralize a target drone amid storm conditions, Militarnyi reported. The testing took place at the Biscarrosse range operated by the French defense
|
Scooped by
Romain
October 31, 4:28 AM
|
Premier round remporté pour un amendement au projet de loi de finances pour 2026 visant à renforcer le bouclier anti-drones des armées françaises par le développement et le déploiement de nouveaux capteurs acoustiques. Adopté hier soir en Commission défense de l’Assemblée nationale, cet amendement déposé par le député LFI Aurélien Saintoul propose de transférer 20 M€ en autorisations d’engagement et autant en crédits de paiement du programme de système de combat aérien du futur (SCAF) vers une nouvelle opération baptisée « Radars acoustiques – Lutte contre les drones ». De quoi, selon le groupe parlementaire LFI, entrevoir le développement et le déploiement d’un système dont les armées françaises ne sont aujourd’hui pas équipées. « Si nos forces disposent aujourd’hui de moyens de détection et de brouillage efficaces contre les drones dits « classiques », l’évolution du conflit en Ukraine met en lumière de nouvelles technologies face auxquelles nous ne disposons pas encore de capacités de réponse suffisantes », estiment les députés LFI. De fait, l’effort de rattrapage consenti côté français se concentre sur des moyens de détection focalisés sur les signaux électromagnétique, donc limités face aux drones opérés à partir de fibre optique ou rendus autonomes par l’ajout d’une couche d’intelligence artificielle. Qu’importe le système, aucun n’est dépourvu de signature sonore. L’Ukraine l’a bien compris en déployant un maillage de capteurs acoustiques sur pour muscler sa capacité d’alerte précoce et guider au mieux les effecteurs anti-drones. Quelque 10 000 « oreilles » sont ainsi réparties un peu partout sur le territoire ukrainien grâce au seul programme Sky Fortress. S’il n’est en rien une solution miracle, il participe cependant à épaissir le réseau de capteurs à coûts visiblement (très) maîtrisés. La proposition intervient dans un contexte favorable, les trous persistants dans le bouclier face à une épée toujours plus évolutive ne faisant que contribuer à la poursuite, voir à l’accélération des investissements en matière de LAD. Deux initiatives ont été lancées dans ce sens en début d’année par l’OTAN. Pour l’instant au stade de la lettre d’intention, ces efforts auxquels la France participe visent, d’une part, à développer de nouvelles solutions pour lutter contre les menaces volant à moins de 150 m d’altitude et, d’autre part, à muscler conjointement les capacités de détection passive. Dont celles relevant de la détection acoustique, relevait alors l’OTAN. La dynamique se poursuit également à l’échelon national. Plus de 350 M€ sont ainsi fléchés vers le programme LAD en 2026, années durant laquelle les armées devraient en théorie recevoir les neuf systèmes PARADE commandés en 2025. Reste néanmoins plusieurs étapes à franchir pour que cet amendement soit définitivement acté, le PLF 2026 devant encore être débattu et adopté en séance publique tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat.
|
Scooped by
Romain
October 31, 4:08 AM
|
Russian defense firm Gumich RTK has introduced its new robotic air defense system, the Impulse-PVO, at the Interpolitex 2025 international exhibition in Moscow. The system, designed to engage low-flying reconnaissance drones using kinetic interceptors, is presented as a mobile, unmanned
|
Scooped by
Romain
October 31, 3:55 AM
|
|
Scooped by
Romain
October 30, 2:38 AM
|
Le 1er juin dernier, le service de renseignement ukrainien [SBU] a mené une opération audacieuse en lançant des drones drones dits FPV [First Person View, pilotage immersif] contre cinq bases aériennes russes abritant des bombardiers stratégiques. Quatre des objectifs visés furent effectivement atteints, l’attaque planifiée contre celui d’Oukraïnka [Extrême-Orient russe] ayant échoué. Au total, cette opération, appelée « Toile d’araignée », s’est soldée par la destruction d’un douzaine de bombardiers Tu-22M3/Tu-95 et celle d’un avion de transport An-22. En outre, une vingtaine d’appareils auraient été endommagés. Mais au-delà de ce bilan, c’est surtout la capacité du SBU à utiliser des drones FPV pour viser des cibles stratégiques qui aura été le fait saillant de cet épisode de la guerre russo-ukrainienne. Aussi, d’autres pourraient être tentés de reproduire un tel mode opératoire. D’où la nécessité pour l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] de s’y préparer. « Les menaces sur nos espaces aériens sont multiples et se situent dans toutes les couches de l’atmosphère : des plus basses avec les mini-drones jusqu’aux objets en très haute altitude. Celles-ci sont de nature variée entre menaces militaires, menaces civiles, menaces terroristes », a récemment relevé le général Olivier Poncet, chef d’état-major du Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes [CDAOA], lors d’un point presse du ministère des Armées. S’agissant de la menace des mini et micro drones, la « protection des sites sensibles relève en premier lieu de chaque ministère de tutelle », a-t-il ensuite rappelé. Et d’ajouter : « Ces sites sont de nature très diverse : aéroports civils, prisons, centrales de production d’énergie, sites industriels stratégiques ou encore zones urbaines. Dans ces cas, l’armée de l’air & de l’Espace n’assure pas la primo-intervention, qui incombe aux autorités compétentes. En revanche, elle reste au cœur du dispositif : informée immédiatement de tout incident, elle peut intervenir en relais et prendre la main si la situation l’exige, afin de protéger et de mettre fin à la menace ». Quoi qu’il en soit, pour déployer des dispositifs particuliers de sûreté aérienne [DPSA] et assurer la protection de ses bases aériennes, l’armée de l’Air & de l’Espace dispose des systèmes MILAD [Moyens mobiles de Lutte Anti-Drones], BASSALT et PARADE [Programme de protection déployAble modulaiRe Anti-DronEs], lesquels permettent de détecter et de suivre des drones, ainsi que des moyens de brouillage, mis en œuvre par ses hélicoptères Fennec. En outre, les données collectées tous les capteurs dédiés à la lutte antidrone alimentent un logiciel qui, appelé SAP [pour Situation aérienne partagée], est « essentiel pour le commandement et la conduite des opérations complexes [déconfliction des pistes, aide à la prise de décision en temps réel, etc.] », selon le ministère des Armées. D’autres moyens sont en cours de développement, comme les armes à énergie dirigée [laser et micro-ondes] ou encore comme le système Épervier, lequel vient récemment de faire l’objet d’un appel à projets, émis par l’Agence de l’innovation de défense [AID]. Pour autant, selon le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger, il « reste encore beaucoup à faire en matière de lutte antidrone ». Certes, a-t-il dit, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, la semaine dernière, « l’effort est en cours mais nous devons clairement accélérer sur tout le spectre » c’est-à-dire « sur la détection, l’identification et la neutralisation, aussi bien cinétique qu’électromagnétique ». « Nous allons donc passer à l’échelle sur les systèmes de surveillance aérienne partagée, les fusils brouilleurs et les canons antiaériens pour atteindre une cible de sept systèmes en 2035 », a détaillé le CEMAAE. A-t-il fait un lapsus ? Toujours est-il qu’attendre dix ans pour déployer de telles capacités semble très long. Trop long même car il y a urgence. « De notre côté, on a stressé le système, il y a un mois [lors de Volfa 25 ?], avec un scénario d’attaque saturante contre l’une de nos bases aériennes. J’ai envie de vous dire que le résultat est… perfectible », a confié le général Bellanger aux députés de la commission de la Défense. Par ailleurs, s’agissant de la lutte antidrone « depuis les airs », le CEMAAE a fait valoir qu’il n’était « pas soutenable de traiter au missile [air-air] MICA », qui coûte plusieurs centaines de milliers d’euros, « des drones qui en valent quelques milliers ». Aussi, a-t-il estimé, « nous devons donc impérativement développer des armements à bas coût ou, tout simplement, adapter nos conduites de tir canon pour traiter de telles cibles ». D’après ce que le général Bellanger a expliqué dans le 500e numéro d’Air Fan, le Mirage 2000D pourrait donc ainsi se voir confier la tâche d’abattre des drones. Photo : Julie Khlifi-Sebileau – armée de l’Air & de l’Espace
|
Scooped by
Romain
October 28, 2:47 AM
|
TAC Armored Vehicles LLC, a defense manufacturer based in the United Arab Emirates, has introduced a modular anti-drone protection kit for its Jedi armored personnel carrier, drawing directly from battlefield lessons emerging from the war in Ukraine. In a statement, the company said its new “Active Anti-Drone Net” is designed to counter explosive drone attacks
|
Scooped by
Romain
October 28, 2:32 AM
|
Comme de nombreux pays le Brésil voit aussi certains de ses sites les plus sensibles régulièrement survolés par des drones plus ou moins faciles à identifier et à mettre hors d’état de nuire. Aussi à force de rechercher des solutions deux parlementaires ont récemment proposé que la Força Aérea Brasileira adapte une partie de ses avions d’attaque légère Embraer A-29B Super Tucano aux représailles contre ces engins. Un tel recours serait forcément moins onéreux que celui aux Northrop F-5EM/FM Tiger II et Saab F-39E/F Jaguar. Et aux vues du succès international de l’avion cela pourrait donner des idées à d’autres utilisateurs. Future patrouille anti-drones ? Comme l’ont très bien expliqué les deux parlementaires en question il faut savoir différencier les drones entre eux. Il est évident qu’on engage pas un A-29B Super Tucano sur un drone grand public type DJI Phantom ou Parrot AR comme on le ferait face à une munition rodeuse ou encore à un drone de surveillance tel un RQ-11 Raven ou un Orlan 10. Et c’est évidemment encore une autre question si on doit intercepter et éventuellement descendre un drone MALE à l’image des General Atomics RQ-1 Predator et I.A.I. Heron. Le monde des drones est tellement vaste qu’il faut savoir faire preuve d’adaptabilité. Alors pourquoi l’A-29B Super Tucano plutôt par exemple que l’A-1AM AMX ? D’abord parce que ce second avion est un jet donc sensiblement trop rapide pour n’importe quel drone, y compris les plus onéreux. Et ensuite parce qu’il est en voie de disparition au sein des forces brésiliennes alors même que l’A-29B Super Tucano est lui toujours dans sa phase d’essor. En fait l’A-29B Super Tucano a tout de l’avion idéal pour les militaires brésiliens dans l’optique d’une destruction en vol de drone. Ses deux mitrailleuses d’ailes de calibre 12.7 millimètres peuvent venir à bout de n’importe quel drone léger en une ou deux rafales courtes bien placées. Face à des engins plus lourds et/ou plus rapides et capables de prendre la fuite la capacité d’emport et de tir de roquettes en paniers voire de missiles air-air MAA-1 Piranha peut faire la différence. À quelle menace de drones le Brésil fait-il face ? Les tentatives de déstabilisations estampillées Kremlin comme en Europe ne sont pas connues là-bas. Par contre les autorités brésiliennes doivent faire face à la montée en puissance de groupes mafieux proches des cartels de la drogue qui n’hésitent pas à employer de tels engins volants afin de survoler des sites sensibles et d’y recueillir du renseignement à même ensuite de leur servir dans leur entreprise de nuisance. Par ailleurs la livraison de drogues par drones semble être devenu très lucratif au Brésil, on parle de «cargaisons» pouvant parfois dépasser les deux ou trois kilos de cocaïnes placés sous des drones grands publics bidouillés pour l’occasion. La mitrailleuse de voilure de calibre 12.7mm de l’A-29B Super Tucano. Actuellement la Força Aérea Brasileira aligne une soixantaine d’A-29B Super Tucano. De tels avions n’auraient en fait pas vraiment besoin d’amélioration. Le tout serait plutôt d’habituer leurs pilotes à cette nouvelle mission. Et pour cela rien ne vaut l’expérience. Ça tombe bien qu’il existe un type de drones qu’on appelle les cibles volantes. La boucle est donc bouclée, non ?
|
Scooped by
Romain
October 24, 12:21 AM
|
Indra showcased its advanced counter-UAS system capabilities during the Spanish Army’s ATLAS25 military exercises, held in Huelva from 20 to 24 October.
|