Après plus de quarante ans de fonctionnement, l’abattoir frigorifique de Ouagadougou (AFO) est à la recherche d’un nouveau souffle pour relancer ses activités. C’est le message que les responsables de cet Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), jouissant de la personnalité morale et de l’autonomie financière, sont venus lancer le 16 juillet dernier en France, lors d’une rencontre organisée à Paris dans les locaux de l’ambassade du Burkina en France.