Les collectivités ne peuvent pas venir aider directement une entreprise en difficulté, le droit européen l'interdit, au nom de la libre concurrence. Alors, comment soutenir Tilly-Sabco, l'abattoir du Finistère, et ses 340 salariés ?
Ce vendredi, au terme de dix-huit mois de procédure judiciaire, le tribunal de commerce de Quimper a finalement validé le plan de continuation du volailler breton Doux. Un sésame pour un nouveau départ. Doux est-il enfin sauvé?
Le plan de continuation du groupe finistérien, en redressement judiciaire depuis juin 2012, a été validé ce vendredi par le tribunal de commerce de Quimper. Les défis à relever pour le volailler sont multiples.
Doux est sauvé, « mais à quel prix », relèvent les syndicats. A 16h30 ce vendredi après-midi, le tribunal de commerce de Quimper a rendu son délibéré et s'est prononcé en faveur du plan de continuation du volailler pour lequel le procureur de la République a déjà donné son feu vert. Dix-huit mois de procédure judiciaire et plus de 1.000 licenciements auront été nécessaires pour arracher l’entreprise finistérienne à ses difficultés.
Attendue pour ce mardi, le tribunal de commerce de Quimper rendra finalement sa décision concernant l'avenir du volailler Doux vendredi prochain. L'entreprise a présenté lundi un plan de continuation de l'activité.
Le tribunal de commerce de Quimper se prononce aujourd'hui sur la fin du redressement judiciaire. Demain, le volailler devra continuer à avancer malgré la crise de la filière. Sans restitutions.
Le volailler vient d'annoncer, ce lundi 25 novembre, qu'il avait conclu un accord avec Almunajem et Calmels D&P. Le tribunal de commerce de Quimper doit rendre demain, mardi 26 novembre, sa décision sur le plan de continuation.
La validation par le tribunal de commerce de Rennes du plan de continuation des Abattoirs Gad SAS entraîne par conséquent la suppression de 889 emplois.
Des CRS ont dégagé de force la sortie de l'abattoir de Josselin, bloqué depuis 24 heures par des salariés d'un autre abattoir du groupe voué à la fermeture.
Le préfet du Finistère se fait médiateur pour que retombe la tension entre les salariés des abattoirs de Gad et sa direction. La tension est toujours palpable aux portes de l'entreprise d'abattage Gad. Une cinquantaine des salariés particulièrement remontés et venus du site de Lampaul-Guimiliau,
Les 55 employés (53 CDI et 2 CDD) de l'abattoir de volailles de Penalan, à Maël-Carhaix, placé en liquidation judiciaire mercredi dernier, ont reçu leur
Le nouveau président du directoire de Doux a devant lui un très lourd challenge. Si les ventes de ses produits élaborés Père Dodu se portent très bien, les activités du groupe au Moyen Orient restent fragiles et soumises aux aléas de la parité euro-dollar. Il doit aussi assumer pleinement le remboursement de ses 80 millions d’euros de dettes.
Comment se porte le groupe Doux à l’issue de sa période de redressement judiciaire?
RENNES (Reuters) - Le tribunal de commerce de Quimper (Finistère) se prononcera vendredi après-midi sur la validité du plan de continuation présenté par le volailler Doux, a-t-on appris mardi de source syndicale.
Selon les syndicats, le tribunal de commerce devrait vraisemblablement valider ce plan et mettre fin à la période de redressement judiciaire, compte tenu notamment de l'accord conclu lundi entre la holding de la famille Calmels (D&P), le saoudien Al-Munajem et la famille Doux.
Le volailler breton, qui plaide mardi devant le Tribunal de commerce de Quimper sa sortie du redressement judiciaire, vient de signer un nouveau pacte d'actionnaires.
Le groupe Doux devrait sortir cette semaine du redressement judiciaire à la faveur d'une décision, attendue vendredi, en ce sens du Tribunal de commerce de Quimper. Le volailler présentera demain son plan de continuation. Celui implique notamment une recomposition du capital avec l'arrivée de la holding de l'homme d'affaires Didier Calmels (D&P), qui prendra le contrôle, et du Saoudien Almunajem, premier client de Doux.
« Jamais, jamais, je n’aurais imaginé mon abattoir mettre la clé sous la porte. Soixante ans d’histoire qui s’achèvent. » Âgé de 91 ans, Louis Gad, le fondateur de l’abattoir de porcs de Lampaul-Guimiliau (Finistère), en 1956, est abasourdi. Il n’a reçu aucun journaliste depuis l’annonce par le tribunal de commerce de Rennes, le 11 octobre, de la fermeture de l’entreprise et la mise au chômage forcé de 889 salariés. Il accepte d’ouvrir sa porte à Valeurs ac tuelles.
Le groupe saoudien Almunajem, l'un des premiers clients de Doux, serait prêt à s'associer avec l'homme d'affaires français Didier Calmels pour reprendre l'activité du volailler en situtation de redressement judiciaire.
LAMPAUL-GUIMILIAU (France), 25 oct 2013 (AFP) - La ministre de la Fonction publique Marylise Lebranchu a assuré vendredi que l'objectif du gouvernement était la « réindustrialisation » du site de Lampaul-Guimiliau (Finistère) lors d'une rencontre...
Les salariés voués au licenciement de l'abattoir Gad de Lampaul-Guimiliau (Finistère), qui manifestaient depuis mardi leur colère dans une autre... (VIDEOS.
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