Dans cette perspective, la question de la création future d'un abattoir «multi-espèces pour les filières de proximité, la valorisation des circuits courts et les productions à valeur ajoutée» a été posée, notamment dans le cas où celui de Tarbes deviendrait, selon le propre mot de Jean-Louis Cazaubon, «mono-espèce», c'est-à-dire produisant uniquement du porc. «Il nous en faudra peut-être un pour traiter 6 à 7.000 tonnes de viande», prévoit le président de la chambre d'agriculture. Sur ce dossier, «le conseil général sera un partenaire à part entière», assure Michel Pélieu.