Le problème commence en fait dans nos assiettes. En Europe, nous mangeons de moins en moins de viande de veau : les taux de production ont donc été revus à la baisse. Devenues plus rares, les peaux brutes sont vendues plus cher aux tanneurs, qui répercutent ce surcoût sur le prix du cuir. Au bout de la chaîne, la maroquinerie, qui est le nerf de la guerre dans le luxe – selon une étude de l’Institut français de la mode pour la Fédération de la couture et du prêt-à-porter, elle assure près des deux tiers du chiffre d’affaires des marques de luxe –, a quant à elle besoin de plus en plus de peaux
Vivement un cuir eco-techno-bio et non polluant!