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Le site VizAgreste, développé par le Ministère de l’Agriculture français, est une plateforme interactive permettant l’accès à des données statistiques agricoles actualisées. Cet outil innovant offre aux utilisateurs, qu’ils soient chercheurs, agriculteurs ou simples citoyens, un moyen simple de visualiser des données agricoles clés par région, type de production, ou encore pratiques environnementales.
L’objectif du séminaire sera de faire un état des lieux des différentes sources de données aujourd’hui facilement accessibles pour décrire et caractériser au mieux les territoires ruraux. Il s’agira aussi d’en illustrer l’intérêt à travers différents cas d’usages.
Le projet AgriDataSpace, lancé sous le mandat de la Commission Européenne, est coordonné par Agdatahub. Il vise à ouvrir la voie à un espace européen de données pour l’agriculture qui facilite le partage, le traitement et l'analyse des données de manière sécurisée, fiable, transparente et responsable.
Les ministres de l’UE et le Parlement européen sont parvenus à un accord sur un réseau d’information sur la durabilité des exploitations agricoles (RIDEA), destiné à renforcer la durabilité de l’agriculture en collectant et en partageant des données sur les exploitations.
Le manuel présente une multitude de données détaillées qui illustrent les tendances statistiques des différents marchés et catégories de produits des fruits et légumes frais en Europe.
La plateforme AgDataHub centralise les données produites sur l'exploitation, les consentements d'échanges et pilote leurs échanges de manière sécurisée. L'objectif est de faciliter leur circulation et ainsi de favoriser l'innovation dans la filière agricole, jusque dans l'assiette des consommateurs via la traçabilité ainsi améliorée.
Ce projet de science participative au niveau européen implique un réseau de classes et de scientifiques dans l’étude de la résistance des arbres aux attaques d’insectes herbivores en lien avec le climat et les changements globaux.
Le projet EURAKNOS vise à renforcer la base de connaissances agricoles de l'UE en créant un ticesystème de données permettant aux agriculteurs d'accéder plus facilement à l'information.
Ce carrefour de l’innovation agronomique, 100 % en ligne, est organisé en parteneriat avec le CNES, sur l’apport des données spatiales dans la transition agroécologique.
Les données d’observation saisies depuis l’orbite dans toutes les longueurs d’ondes, permettent le suivi en temps réel et partout dans le monde, de l’état du parcellaire agricole, des pâturages, des ressources hydriques et permettent l’estimation des récoltes et des rendements. L’outil spatial facilite également la maîtrise de l’impact de l’agriculture sur l’environnement, en accompagnant une gestion raisonnée des intrants, engrais, produits phytosanitaires, eau, tout en minimisant l’énergie utilisée.
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Le monde agricole a de plus en plus recours à l'intelligence artificielle. À Biarritz, depuis 2021, l'entreprise Hyperplan développe un logiciel de données sur les plantations végétales pour donner accès à la "vérité du terrain" en temps réel à ses clients. Elle se développe déjà à l'international.
La deeptech Weenat, leader français du suivi de la teneur en eau des sols agricoles, est lauréate de la 10ème édition du concours d’innovation i-Nov, organisé par Bpifrance et l’Ademe, grâce à « Meteoria », un projet technologique et scientifique de grande ampleur. En s’appuyant sur le plus grand réseau de capteurs sol d’Europe, sur l’imagerie satellite et l’intelligence artificielle, Weenat sera en mesure de fournir, d’ici fin 2024, la donnée clé pour anticiper les dérèglements climatiques et optimiser la gestion de l’eau, à l’ensemble des acteurs du monde agricole.
Afin de faciliter l’interopérabilité entre les différents outils numériques en agriculture, AFNOR initie un chantier pour définir de nouvelles normes pour faciliter les échanges de données et booster l’activité des entreprises du secteur.
Lors du salon de l’agriculture, plusieurs startups françaises ont montré leur plateforme analytique adressée à la filière agricole. Elles exploitent les données géospatiales et les images satellites en provenance du programme Copernicus.
La réunion des partenaires du groupe de travail « Traçabilité et big data » dans le cadre de la Plateforme S3 « Agrifood » s'est tenue à Malaga le 28 novembre.
Envilys et Kermap ont annoncé fin 2021 la création de plusieurs services visant à exploiter les données satellites libres pour améliorer l’efficacité des plans d’actions territoriaux. L’objectif est de valoriser les images satellites pour le suivi des territoires et notamment des usages agricoles avec par exemple des cartographies de qualité de couverture du sol en début d’hiver ou une cartographie des cultures de l’année passée (publiée bien avant le Registre Parcellaire Graphique).
Ce travail se focalise sur les échanges au niveau des équipements mobiles (tracteur/outil) et des logiciels (gestion technique parcellaire, compatibilité…) et des plateforme cloud. L’article permet de comprendre les différentes initiatives et les dynamiques associées. Une ressource intéressante pour celui ou celle qui souhaite s’y retrouver dans cet écosystème évolutif.
L'événement est passé relativement inaperçu mi-octobre quand une filiale d’Alphabet (maison mère de Google) a dévoilé son projet Mineral, un robot d’analyse aux champs pour maximiser la productivité et préconiser des traitements ciblés. Une nouvelle manière pour la firme d’appliquer sa stratégie d’exploitation des données ou une contribution à une production plus durable ?
Cette étude a montré qu'il est possible d'estimer le rendement des grandes cultures à l'échelle de la parcelle à partir de séries d'images satellite optiques de type Sentinel-2.
Un autre avantage de cette agriculture numérique commence à émerger : en produisant en grande quantité des données de qualité proche des standards de la recherche, elle contribue à rapprocher la recherche agronomique et zootechnique des besoins des agriculteurs, et pourrait mieux éclairer les politiques publiques agricoles.
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