“Redonner du sens à sa vie”, tel est le mot d’ordre pour la génération Y. L’engagement et la volonté de changer le monde ont le vent en poupe. Mais le petit monde de l’innovation sociale est encore et toujours un milieu où règne l’entre-soi. Cela fait dix ans que je m’investis comme bénévole auprès de divers mouvements, et je connais trop bien leurs côtés sombres.
Alors que certains patinent sur l'avenir de la France, d'autres croient encore en sa capacité d'agir. C'est le cas des jeunes qui ont embarqué mardi 26 août dans l'expédition Ticket for change. Découverte d'une aventure entrepreneuriale inspirante.
Les deux étudiants Matthieu Dardaillon et Jonas Guyot reviennent d'un tour du monde de l'entrepreneuriat social. L'Atelier les a reçus.
L'Atelier et la maison d'édition Rue de l'échiquier ont organisé une rencontre le 8 juillet dernier avec Matthieu Dardaillon et Jonas Guyot, étudiants en école de management (ESCP Europe). Tous deux sont partis à travers le monde pour rencontrer des entrepreneurs qui changent la donne. A leur retour, ils ont publié un ouvrage intitulé A la rencontre des entrepreneurs qui changent le monde. Retour d'expérience.
Sur son blog, Stéphane Vincent, directeur de la 27e Région, ce laboratoire d’innovation publique, s’interroge sur la mode des laboratoires d’innovation sociale (1ère partie, 2nde partie). Le laboratoire est un moyen pour innover au sein de structures traditionnelles, estiment leurs promoteurs, un moyen pour créer un environnement alternatif, un cadre de confiance et de coopération pour réinterroger la façon de traiter des enjeux d’intérêt général directement avec les utilisateurs.
Accepter et reconnaître la fragilité, ce n’est pas vouloir maintenir les personnes dans la dépendance et la passivité, c’est, au contraire, faire que chacun puisse se construire, (re)trouver de l’estime de soi. La démocratie vivante c’est aussi ce processus d’accompagnement. Que vaut une démocratie où une partie importante de la population est trop fragilisée pour pouvoir peser sur sa vie, pour pouvoir se construire un projet ?
Révolution, évolution, métamorphose, ces mots sont diversement utilisés pour décrire le renouvellement des organisations. On dirait presque un processus biologique de transformation, émanant des mécanismes intimes de l’organisme social, sans que personne ne le conduise. La forme « partagée » du leadership en serait donc une conséquence et l’un des aspects, plutôt qu’un facteur de transformation.
Confronté à une évolution de la société ou un progrès technologique qui la met en péril, une industrie doit faire le deuil de son business model. Le deuil est une étape nécessaire avant de pouvoir construire un nouveau modèle, de s’adapter.
Nous avons le plaisir de recevoir Bruno Jarrosson, coauteur de l’ouvrage « Chic, on change ! » paru aux Éditions Dunod.
Il aborde aujourd’hui la conduite du changement et nous propose 3 manières d’échouer lamentablement dans cette entreprise.
« Mieux vaut prendre un tournant qu’un mur ! », c’est le sous-titre de l’ouvrage de Bruno Jarrosson et c’est tout l’objet de cette nouvelle chronique des auteurs des Éditions Dunod.
Yannick Le Guern reçoit Christine Marsan, pour une émission tournée vers la coopération et l’évolution, dans l’émission « L’art de changer le monde et de bâtir une humanité meilleure » sur Widoobiz.
Christine Marsan dans son livre : « Entrer dans un monde de coopération », nous plonge dans les mutations de l’Homme, de la société, de l’évolution des valeurs mondiales, de la néo-renaissance, de la conscience humaine pour en finir avec les valeurs guerrières et entrer dans un nouveau monde d’humanité.
Nous voyons à quelles types de mutations nous faisons face, à quels nouveaux rapports peuvent s’instaurer pour construire un véritable projet global sous-tendu par les valeurs humanistes.
Attention cette émission revivifie l’imaginaire et ré-enchante le monde. Nous abordons une lecture systémique de la complexité du monde pour balayer les peurs et fait naitre les aspirations et les espoirs.
Aujourd'hui, de plus en plus d’hommes et de femmes aspirent à un monde plus humain, plus écologique, plus responsable. Certains d’entre eux, inventent des produits et des services qui améliorent la vie de leurs semblables. On les appelle des pionniers. 1000 Pionniers
La prise en compte de paramètres RSE dans les RH est un nouveau moteur pour l'adaptation des entreprises à la croissance durable. A condition de maîtriser son organisation managériale.
As a young person who felt strongly about environmental justice, I (Geraldine) planned to become a captain on a Greenpeace sailing ship, and save the whales and the world. I remember the stubborn anger I felt when my godmother sat me down and said, “Unless you know how to change yourself, you can’t change the world.” Wait … what? It seemed selfish to focus on myself when there were burning issues at hand.
Meanwhile, while running a global program to help social entrepreneurs figure out their scaling strategies, I (Roshan) was struck by the burnout so many well-known entrepreneurs experienced. Rather than discussing their global expansion plans, the question at the top of their minds was, “How much longer can I take this?”
Lancé par le GROUPE SOS, UP Campus est le nouveau réseau social qui facilite les connexions entre des personnes de tous horizons.
VENDREDI 05 SEPTEMBRE 2014 (De 8h30 à 10h) - CAFé MONDE ET MéDIAS
Les aspirations, de plus en plus prégnantes, pour concilier vie professionnelle et engagement personnel, se conjuguent à l’attrait qu’exercent les entreprises sociales auprès des jeunes diplômés. Pourtant, les passerelles entre les secteurs privés lucratifs et non lucratifs sont trop souvent méconnues, et le passage réussi d’un secteur à l’autre se doit d’être anticipé. Comment rendre visible les offres d’emploi au sein de l’entrepreneuriat social ? Quelles compétences spécifiques à ce secteur doivent intégrer les futurs managers ? En somme, comment préparer sa transition vers une carrière porteuse de sens ?
Un automate pour déchets électroniques, une douche économe en eau et en énergie... Le think tank danois Sustainia a sélectionné 100 innovations pour un avenir durable.
Voilà un recueil qui pourrait bien inspirer le ministre des Affaires étrangères français, Laurent Fabius. Il ne lui sera d’aucune utilité pour résoudre la crise ukrainienne ou trouver une issue à la guerre en Syrie. Mais pour celui qui souhaite faire de la Conférence sur le climat en 2015, COP 21, "une conférence des solutions", la dernière édition du Sustainia 100 foisonne d’idées utiles.
Mark Johnson believes that only offenders can stop reoffending. Offenders are the key to their own rehabilitation, and the key to improving the system that is supposed to perform that function. Through his organisation User Voice, Mark is challenging the system’s assumption that ‘punishment should mean silence’ by giving offenders a voice in designing the system, and having their voices heard at policy level.
Accepter et reconnaître la fragilité, ce n’est pas vouloir maintenir les personnes dans la dépendance et la passivité, c’est, au contraire, faire que chacun puisse se construire, (re)trouver de l’estime de soi. La démocratie vivante c’est aussi ce processus d’accompagnement. Que vaut une démocratie où une partie importante de la population est trop fragilisée pour pouvoir peser sur sa vie, pour pouvoir se construire un projet ?
Après avoir travaillé quinze ans dans la presse pour BFM radio et Le Figaro, Yannick Roudaut a ensuite fondé plusieurs entreprises dont le cabinet de conseil en stratégie Alternité. Expert APM et Germe, il est l’auteur de « La Nouvelle Controverse, pour sortir de l’impasse » aux éditions la Mer Salée (www.lamersalee.com). Intervenant en écoles de management et à l’Université de Nantes, Yannick Roudaut évoquera « la 3ème révolution industrielle », lors de l’Université des entrepreneurs vendéens (les 6 et 7 février prochains). Rencontre.
Three abilities every foundation needs to achieve long-term impact.
I spend a lot of time thinking about and working on ways to make our foundation and the field of philanthropy a place for “changemakers,” not just grantmakers. Our staff here at Gordon and Betty Moore—and I’d guess almost everyone working in the field of philanthropy—shares a deep commitment to honoring our founders’ values, and we feel a profound obligation to realize their vision and achieve results in the most effective ways we can.
In the recent Stanford Social Innovation Review article “When Good Is Not Good Enough,” leaders of two successful organizations made a case for the nonprofit sector to focus on tackling the roots of social problems, rather than addressing their symptoms. The leaders of Share our Strength and KaBOOM! outlined practical steps they’re taking to not just alleviate problems like hunger and childhood obesity, but to eliminate them.
The authors said the first and most important step toward achieving transformational change is to set an ambitious but achievable goal. To go big, you have to think big. The bigness of the idea gives it motivating power. Few people are inspired to give their precious time, energy, and resources to maintain the status quo.
As Bill Shore, Darell Hammond, and Amy Celep wrote, setting a bold goal “provides the inspiration that generates motivation, resources, and a new sense of what is possible.”
Pour sa 7ème édition, le Forum Mondial de l’Economie Responsable a choisit de mettre la conduite du changement au coeur des débats avec le slogan "YES WE CHANGE : ENTREPRENDRE ET CONSOMMER AUTREMENT". Quels sont les modes de vie soutenables, et comment faire pour y arriver ? La question n’est pas nouvelle, mais au fil des ans, l‘urgence se fait plus criante.
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