 Your new post is loading...
 Your new post is loading...
|
Rescooped by
Yves Carmeille "Libre passeur"
from Biodiversité
September 19, 2018 2:03 PM
|
Nairobi – La dégradation des écosystèmes coûte 68 milliards USD par an à l’Afrique, associée à des pertes pouvant atteindre 6,6 millions de tonnes de récoltes potentielles de céréales, capables de répondre aux besoins calorifiques de 31 millions de personnes, souligne le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) dans un communiqué, publié en marge …
Via DocBiodiv
|
Scooped by
Yves Carmeille "Libre passeur"
March 24, 2018 7:45 AM
|
Avant l’examen du projet de loi asile et immigration, le ministre de l’Intérieur tente d’adoucir son image lors d’une tournée en Algérie et au Niger.
La directrice du Bureau Afrique de l’Organisation des Nations unies pour l’environnement, Juliette Biao Koudenoukpo, a incité mardi 6 mars les gouvernants africains à suivre le modèle du Maroc, dont les nombreux projets de production d’énergie renouvelable sont autofinancés par le pays et ses habitants.
Via Stéphane NEREAU
L’accident meurtrier survenu le 8 septembre 2016 dans une décharge de produits avariés près de Cotonou au Bénin est venu rappeler une triste réalité. Malgré quelques initiatives enregistrées ici et là, le laxisme persiste dans la gestion des déchets urbains en Afrique. Plusieurs villes croulent sous des montagnes de détritus. De nombreuses capitales sont classées parmi les plus sales du monde.
Via congruence-RSO, François GARREAU
L'Afrique dépense chaque année près de 35 milliards de dollars en importations de denrées. Un chiffre qui pourrait atteindre les 110 milliards de dollars en 2025 et l'une des priorités de la BAD, c'est le produire local. Ainsi au Burkina Faso par exemple, l’agroécologie se développe et les mentalités évoluent. Une démarche quasi-inexistante il y a encore 5 ans ou tout juste réservée à quelques exportateurs. Et pour plus : https://www.sosfaim.be/video/burkina-faso-au-vert/
Via JJ Grodent
Ils sont trois millions à souffrir de la famine causée par le manque d'eau. Or le pays ne reçoit que très peu d'aide de la communauté internationale.
L'ONU tire à nouveau la sonnette d'alarme. La sécheresse en Afrique de l'Est risque de causer un nombre massif de morts. Quelque 20 millions de personnes ont besoin d'une aide alimentaire d'urgence. La Somalie, le Soudan du Sud, le Nigéria et le Yémen sont particulièrement concernés. Mais au Kenya aussi, la situation est catastrophique.
Via congruence-RSO
L'importation des produits alimentaires ne baisse pas en Afrique, mais le potentiel de croissance de la transformation locale est déjà là. Face à ce potentiel de croissance et de demande de consommations, des multinationales (Nestlé, Danone, Unilevers, Olam, etc.) accélèrent leurs investissements en Afrique, mais des entreprises africaines d'agroalimentaires entendent être compétitives sur « leurs terrains » (Sifca, Cevital, Sodema, Four Mills, SOMDIAA), ainsi que des PME comme la Laiterie du Berger, au Sénégal, qui est un producteur de produits laitiers, 100 % lait de vache local.
Ce cas est révélateur d'une entreprise locale qui se bat à faire monter en gamme une filière nationale de lait naturelle et de qualité, alors que persiste au Sénégal comme dans beaucoup d'autres pays d'Afrique, des importations massives de poudre de lait.
Via Cedric, JJ Grodent
Près de 8 000 habitants sont privés de leur principale ressource en eau, la rivière Luilu, près de Kolwezi, dans la région minière du Lualaba, au sud de la RDC. Le 7 septembre dernier, une entreprise minière y a déversé plusieurs mètres cubes de déchets toxiques, dont du kérosène et de l’acide sulfurique. Les autorités jurent que le taux de pollution n’est pas inquiétant. Mais notre Observateur s’inquiète de phénomènes étranges sur l’eau et des symptômes qui touchent les habitants.
Via Cedre, Sylvain Rotillon, congruence-RSO
Pour beaucoup de personnes vivant dans le district de Lira, dans le nord de l’Ouganda, Perpetua Okao est une agricultrice capable de sauver des vies. La raison en est simple. Le fils de son voisin souffrait de malnutrition et était souvent malade. Mais une fois qu’elle l’a alimenté avec des patates douces à chair orange riches en vitamine A, la santé de l’enfant s’est considérablement améliorée en quelques jours. Mme Okao fait partie des quelque 126 000 agriculteurs ougandais qui cultivent la patate douce à chair orange, une nouvelle variété de patates enrichie en vitamine A grâce à la biofortification.
Via congruence-RSO
|
|
Rescooped by
Yves Carmeille "Libre passeur"
from Biodiversité
April 12, 2018 2:18 PM
|
|
Rescooped by
Yves Carmeille "Libre passeur"
from Biodiversité
March 23, 2018 5:01 PM
|
Approuvés par les représentants des 129 Etats membres de l’IPBES[i], lors de sa 6ème session plénière qui se déroule du 17 au 24 mars à Medellín (Colombie), ces quatre rapports, chacun relatif à une zone géographique (Afrique, Amériques, Asie/Pacifique, Europe/Asie centrale), dressent un tableau bien sombre de l’état de la biodiversité. Car à quelques petites exceptions, comme la hausse mondiale des surfaces protégées, tous les indicateurs sont au rouge.
Via DocBiodiv
|
Rescooped by
Yves Carmeille "Libre passeur"
from Biodiversité
November 19, 2017 6:27 AM
|
New research we conducted with our colleagues shows that some of these plant-killing microbes, known as Phytophthora, can be detected in urban areas before they get the chance to escape and spread into the natural environment. (...) Many professional staff members from botanical gardens, nature reserves and national parks have already contributed to the project’s findings in the natural areas surrounding Cape Town. Now we’re asking citizens to help look for plant destroyers in the city’s urban areas.
Via DocBiodiv
|
Scooped by
Yves Carmeille "Libre passeur"
June 4, 2017 1:23 PM
|
(Au Togo, l'agroforesterie donne des résultats remarquables - © NIC BOTHMA )
Connaissez-vous l'agroforesterie? Cette technique ancestrale pourrait bien être l'avenir de l'agriculture africaine (et du monde, pourquoi pas!). Elle consiste à planter dans les parcelles agricoles des arbres dits "fertilitaires" : ceux-ci fertilisent le sol et fonctionnent en symbiose avec les plantes cultivées. La technique répond à la fois au problème de déforestation et de fertilisation des sols, tout en permettant aux paysans de faire des économies. "C'est une technique très simple, très efficace et très bien adoptée par les agriculteurs, qui ne doivent plus acheter d'engrais chimiques et de pesticides de synthèse", explique Bruno Devresse, de l'APAF Internationale, l'Association de Promotion des Arbres Fertilitaires.
Mais si cette solution est si miraculeuse, pourquoi n'a-t-elle pas plus de visibilité et de succès?
"A cause des lobbies, évidemment", explique Bruno Devresse. "Il y a eu une vraie volonté d'éliminer l'agroforesterie après la seconde guerre mondiale et la diffusion à grande échelle des engrais chimiques. On a même forcé des paysans au Togo à abattre les arbres qu'il y avait dans leurs plantations."
Pour Mansour Ndiaye, de l'APAF Sénégal, les conséquences ont été dramatiques et sont allées bien plus loin que les dégâts environnementaux.
"Les sols sont tellement appauvris que les paysans ne peuvent même plus cultiver les céréales pour se nourrir. S'en est suivi l'exode vers les villes, puis l'émigration clandestine ou légale vers les pays européens."
Là où l'agroforesterie s'implante, ce phénomène d'exode tend heureusement à s'inverser.
"On a vu des jeunes emprunter le circuit inverse, mais aussi des femmes, des personnes âgées. Cette technique améliore rapidement les conditions de vie : la productivité agricole augmente et se diversifie. Les parcelles aménagées permettent de développer plusieurs activités en parallèle et de gagner sa vie douze mois sur l'année au lieu de trois!"
On se dit que des institutions comme les Nations Unies, qui insistent tant sur les menaces de famine dans le monde, devraient soutenir ce type d'initiative. Et pourtant...
"Il y a des organismes qui conseillent par exemple la FAO, la banque mondiale, mais comme ce qu'ils proposent, c'est toujours "engrais chimiques/pesticides de synthèses/OGM", c'est difficile de se faire une place dans ce système. On se rend compte que ces grandes organisations sont elles aussi sous l'influence des lobbies."
Pour réécouter l'intégralité de l'entretien d'Eddy Caekelberghs avec Bruno Devresse et Mansour Ndiaye, >>
via https://www.facebook.com/benoit.lecomte1962/posts/10211667820523922
Les Gouvernements africains doivent accorder la priorité à l’agriculture pour impulser la croissance économique et le développement inclusif
Via Jerome LOUAGE, Dieynaba BA
"Diesel sale". C’est le nom de l’enquête publiée la semaine dernière par Public Eye (ex Déclaration de Berne). Ce travail minutieux, long de 3 ans, a permis de mettre en lumière la nature toxique de l’essence et du gazole vendus dans 8 pays d’Afrique (Zambie, Sénégal, Mali, Côte d’Ivoire, Ghana, Congo-Brazzaville, Bénin et Angola) et distribués par 4 marques : Lynx Energy, Trafigura, Vitol et Oryx. Des carburants qui n’auraient jamais pu être vendus en Europe, tant leur teneur en soufre, en benzène et autres produits toxiques est nocive. Public Eye met en cause la responsabilité de négociants de matières premières européens. Entretien avec Marc Guéniat, responsable enquête chez Public Eye et co-auteur du rapport.
Via congruence-RSO
Les voitures électriques, des voitures dites propres, c'est la grande tendance de la saison au Salon de l‘Automobile de Paris. Enfin, propres, peut-être pas tant que ça: elles présentent un coup humain caché.
Via congruence-RSO
|
Scooped by
Yves Carmeille "Libre passeur"
September 2, 2016 12:32 PM
|
Selon un célèbre proverbe africain, « Quand la musique change, il en va de même de la danse. » Cet adage illustre bien la situation actuelle du continent face aux opportunités qui se présentent à lui et aux défis qu’il doit affronter en matière de développement et de gouvernance en ce 21è siècle.
Via Stéphane NEREAU
|