Un nouveau rapport co-publié par le Cirad, le Bureau d’analyses macroéconomiques de l’Institut sénégalais de recherches agricoles, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), en collaboration avec le gouvernement du Sénégal* et la DyTAES** présente des visions contrastées du devenir de l’agriculture sénégalaise à l’horizon 2050. Après avoir revisité les tendances passées à long terme, trois scénarios ont été construits : un scénario Agroécologique (AE), un scénario Agro-industriel (AI) et un scénario intermédiaire de Coexistence verte.
En Afrique subsaharienne, l’utilisation accrue des engrais apparaît depuis quelques années comme une nécessité pour améliorer la productivité agricole dans la région. Alors que la majorité des pays ne produisent pas d’engrais primaires, ils doivent recourir aux importations.
L'accord UE-Mercosur est dangereux. L’utilisation d’antibiotiques dans les élevages bovins sud-américains entraîne de grands risques sanitaires tant au Nord qu’au Sud.
En combinant statistiques officielles et données sur le commerce non enregistré de plus de 130 produits, le rapport estime qu’environ 10 milliards USD de denrées sont échangés chaque année, soit six fois plus que les chiffres officiels. Ces données contestent l’idée selon laquelle le commerce alimentaire régional serait marginal ou uniquement informel.
En Afrique, le riz est la 3ème céréale consommée après le maïs et le blé. Alors que la production locale peine à satisfaire la demande croissante, le recours aux importations se renforce, offrant des opportunités à saisir pour les fournisseurs mondiaux.
Au Burkina Faso, comme dans de nombreux pays africains, l’agriculture urbaine joue un rôle central dans l’alimentation des citadins. Par ailleurs, elle assure les fonctions sociales, économiques, environnementales et participe au maintien d’espaces de verdure.
Moissonneuses aux allures de tanks, élevages de 4 millions de volailles... Muni d’un deltaplane et d’un drone, George Steinmetz a photographié les mégafermes de l'agro-industrie brésilienne. Celles que l'accord Mercosur va booster.
Cet article a pour objectif d’évaluer les effets du changement climatique sur la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne (ASS), et en son sein les zones d’intégration économique.
Résultats : Les résultats montrent que la température et les précipitations ont respectivement des effets négatifs et positifs significatif sur la disponibilité et l’accessibilité des denrées alimentaires, mais non sur l’utilisation alimentaire en ASS à long terme.
Voici une note politique qui vient en complément du rapport inventaire. Un document qui retrace les projets et programmes sur les systèmes alimentaires au Sénégal. Elle a pour objectif de faire le point sur les pistes d’action et les engagements de l’Etat du Sénégal pour la transformation des systèmes alimentaires et les dispositifs mis en œuvre pour les atteindre.
Depuis 2023, la Corée du Sud a initié un programme baptisé K-Rice Belt en coopération avec des pays d’Afrique subsaharienne pour améliorer la production de semences de riz dans la région. En 2025, l’Ouganda a rejoint le programme.
Planète Mongabay est le podcast environnemental de la rédaction de Mongabay Afrique. Nous donnons la parole aux acteurs-clés de l’environnement sur le continent africain : politiciens, ONG, société civile, entrepreneurs, communautés. Notre émission invite celles et ceux qui décident, agissent, entreprennent et se battent pour l’écologie.
Retour en images sur la 1ère édition du Forum international des jeunes sur la souveraineté alimentaire (FIJ-SA) tenue du 06 au 10 août à Lomé, une initiative de l’Organisation pour l’alimentation et le développement local (OADEL).
Un rendez-vous qui a tenu toutes ses promesses avec la présence de jeunes participants venus de 4 pays de l’Afrique de l’ouest. Ils ont réaffirmé leur engagement à œuvrer à la transformation des systèmes alimentaires et influer sur les politiques.
“The Forum stands as a global platform of resistance and solidarity, grounded in the principles of food sovereignty, grassroots feminism, agroecology, social, gender and climate justice, peoples’ and energy sovereignty, and economic democracy,”
En Afrique de l’Ouest, les femmes sont des actrices centrales de l’économie. Elles proposent des solutions concrètes. Mais leur potentiel reste entravé par des barrières structurelles.
Au Nigeria, le secteur agricole contribue à hauteur de 20 % au PIB et emploie environ 34 % de la population active. Comme dans la majorité des pays d’Afrique subsaharienne, l’accès des agriculteurs au financement agricole est encore insuffisant pour soutenir la croissance du secteur.
In this deeply illuminating episode of Battle for African Agriculture, Dr. Million Belay speaks with Mamadou Goita—renowned economist and activist from Mali—about the enduring colonial roots of Africa’s food and farming crises. Together, they explore how colonial policies violently displaced communities from fertile lands, dismantled indigenous farming systems, and entrenched monoculture cash crops for export, laying the foundation for today’s food insecurity.
C’est un rapport qui est passé quasiment inaperçu alors que c’est peut-être le début d’une véritable révolution. En juin dernier, le président des éleveurs bovins bulgares a rendu un rapport au nom du comité économique et social européen dans lequel il préconise de créer de nouveaux indicateurs clés qui conditionneraient les aides européennes aux agriculteurs.
Il est démontré que l’autonomisation des femmes dans l’agriculture influence leur capacité d’adaptation aux effets du changement climatique. Plus les femmes sont autonomes, plus leur capacité d’adaptation est grande (PNUD, 2016). En effet, les femmes autonomes sont plus progressistes dans leurs croyances et plus ouvertes aux innovations technologiques. L’autonomisation se réfère à l’expansion de la capacité à faire des choix stratégiques et significatifs par ceux qui ont été auparavant privés de cette capacité.
« Nos échanges agricoles et alimentaires avec les pays du Sud révèlent des déséquilibres profonds, et des dépendances qui compromettent leur souveraineté alimentaire autant que la nôtre. Cette course au podium mondial se fait au prix des droits humains, de l'environnement, et au profit d'une minorité d'entreprises agroalimentaires »
Malgré leur forte dépendance à l’eau, les industriels de l’agroalimentaire intègrent encore trop peu ce risque dans leur stratégie. Selon la coalition Fairr, près des deux tiers des grandes entreprises du secteur sont exposés à un risque élevé lié à l’eau.
Au Nigeria, comme dans de nombreux pays en Afrique, les pertes post-récolte constituent un frein majeur aux ambitions de sécurité et de souveraineté alimentaire. Face à cette situation, le gouvernement a élaboré une nouvelle stratégie qu’il compte déployer avec l’appui du secteur privé.
L’Égypte est le principal importateur de produits alimentaires en Afrique. Face à cette situation, le gouvernement mise sur l’appui du secteur privé pour accélérer l’expansion des surfaces de culture et accroître le niveau de la production locale.
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