Biodiversité

Le projet réunit une équipe transdisciplinaire composée de chercheurs, d’artistes et d’acteurs locaux. Il se déroulera au sein de trois milieux (forêt, prairie, zones humides). Objectifs : - Étudier et prévenir les maladies émergentes à l’interface humains–animaux–écosystèmes : Lyme, encéphalites, échinococcose, anthrax, grippes…- Construire un réseau territorial « Une seule santé », associant institutions, professionnels et habitants.- Intégrer la participation habitante dans la gouvernance territoriale de la santé. - Améliorer la surveillance des zoonoses et développer une vision systémique et territorialisée des maladies passées, présentes et futures : quelles maladies ont habité le territoire dans le passé ? Quel état des lieux actuel ? Dans le futur, avec les changements globaux, quels risques à venir ?

Dans le cadre du projet Life Marha, un protocole d’évaluation de l’état de conservation des bancs de maërl a été commandé par le Parc naturel régional d’Armorique (PNRA) à l’Institut Universitaire Européen de la Mer (IUEM) (Bizien et al., 2024). Deux méthodes ont été proposées afin d’évaluer l’état de santé de cet habitat en rade de Brest.

C'est la plus importante colonie de chauves-souris de l'Aveyron. Dans le nord du département, la commune de Saint-Geniest-d'Olt et d'Aubrac a pris un arrêté pour fermer la chapelle où elles ont élu domicile durant l'été. Une mesure de protection pour cette espèce en fort déclin depuis quelques années.

Cet événement proposé par Brigitte Baccaïni et Christine Mesurolle, co-coordonnatrices du collège Territoires, formation transversale chargée d’animer les travaux de réflexion de l’IGEDD sur les champs pluridisciplinaires impactant les territoires dans leur diversité, a réuni une diversité d’acteurs représentant tous les massifs montagneux hexagonaux.

Le contexte actuel de perte de diversité biologique et culturelle et d’altération de nos liens à la nature et entre humains invite à reconsidérer notre place dans la biosphère et nos outils de conservation de la nature, parmi lesquels les aires protégées tiennent une grande place. Le principe de solidarité écologique est apparu pour la première fois dans la loi de réforme des Parcs Nationaux français en 2006, dans une volonté d’améliorer l’ancrage de ceux-ci dans leurs territoires. Dans cette loi, la solidarité écologique désigne à la fois un état d’interdépendance de fait du cœur du Parc avec son aire optimale d’adhésion, et la base du contrat liant le cœur et les communes qui choisissent d’y adhérer. Plus largement, le principe de solidarité écologique invite à penser les socioécosystèmes au prisme des interdépendances écologiques, socioécologiques et sociopolitiques entre acteurs au sujet de la nature ; afin de construire des projets de territoire exprimant une solidarité entre humains et avec la nature.

Pour tout savoir sur les dernières actualités du Gypaète barbu dans les Grands Causses !

Depuis le début de la réintroduction en 2012, 40 poussins (18 femelles et 22 mâles) ont été placés sur les deux sites de taquet situés en Lozère et en Aveyron et 36
d’entre eux ont pris leur envol avec succès.

En France, les aires protégées couvrent actuellement 33,44 % du territoire national et des espaces maritimes, ce qui va effectivement au-delà de l’objectif de couverture de 30 % du territoire à l’horizon 2030 fixé dans le droit français. 

Toutefois, les zones de protection forte ne concernent que 4,23 % du territoire, ce qui est encore loin de l’objectif de 10 % d’ici 2030.

Pourtant, dès qu’un projet de création d’aire protégée est envisagé, des critiques émergent quasi systématiquement avec des vocables comme « mise sous cloche », « interdictions de toute activité économique », « mesures imposées sans concertation par des technocrates écolos », « politique qui ne rapporte rien » … 

Dans le parc naturel régional de la montagne de Reims, des îlots de sénescence sont mis en place pour préserver la biodiversité. Ces zones forestières laissées en libre évolution favorisent le développement des espèces, le stockage du carbone et la fertilité des sols.

Une encyclopédie riche et vivante pour tout savoir sur la France d’aujourd’hui.Cet ouvrage de 208 pages emmène les jeunes lecteurs à la découverte de la France de manière concrète, dans toute sa diversité : sa nature, ses paysages, sa faune, sa flore, son patrimoine architectural et culturel, ses traditions et arts, ou encore sa gastronomie en tout genre… L’accent est mis sur la reconnexion à la nature et l’importance de préserver la biodiversité.

S'ils contribuent à la protection de l'environnement, les réserves, les parcs naturels et les parcs nationaux ne fonctionnent pas de la même manière et n'ont pas les mêmes obligations à respecter.

Spectacle-enquête sur la salinisation et les changements en Camargue. Entre fiction et réalité, venez vivre une proposition inédite de dialogue public théâtralisé !

Habitant·es, chasseurs, pêcheurs, agriculteur·rices, éleveur·euses, scientifiques et amoureux·euses de la Camargue partageront leurs visions des difficultés et de l’avenir souhaitable d’un territoire en mutation.

La salinisation progresse, le climat se transforme, les politiques publiques et les marchés économiques évoluent, les paysages changent, les gestes s’adaptent.
Face à ces bouleversements, comment imaginer la suite ?

Montrer, de façon objective, les habitats naturels marins et les espèces présentes dans le Golfe du Morbihan. Montrer aussi la présence de l’Homme, qui a sur terre comme en mer, façonné les paysages et les milieux. Tel est l’objectif du Parc naturel régional du Golfe du Morbihan.

Pour ce faire, en 2024, le Parc a missionné l’association Les Tempestaires afin de réaliser des prises de vue sous-marines à 360°, permettant au plus grand nombre d’avoir accès aux paysages sous-marins du Golfe du Morbihan

Le Parc du Haut-Languedoc et plusieurs structures ont signé une note d’engagement, manifestant leur "intérêt pour la création d’un groupe de travail européen sur la multifonctionnalité des prairies naturelles, du pastoralisme et des élevages associés". Les prairies naturelles sont des milieux ouverts, herbacés, utilisés par le bétail dont la flore est pérenne, spontanée et diversifiée. Elles sont composées d’espèces végétales sauvages non sélectionnées.

Numéro spécial Paysages 

Focus sur la journée « Paysages vivants et nature en mouvement : mobiliser les démarches paysagères en faveur de la TVB » organisée par l'OFB le 27 mai à Paris-La Défense. Elle  explorera la manière dont les démarches paysagères peuvent aider au développement territorial de la TVB, à travers témoignages et retours d’expérience. Élus et techniciens de la biodiversité, du paysage et de l'aménagement : inscrivez-vous dès maintenant

Tous les dix ans, le réseau mondial des réserves de biosphère se réunit pour consolider les priorités, renforcer la collaboration et définir un plan d'action mondial pour l'avenir. En 2025, le Congrès mondial des réserves de biosphère se tiendra à Hangzhou, en Chine.

Programme sur l'Homme et la biosphère

PMAZH œuvre pour la préservation des prairies humides en réconciliant pratiques agricoles et protection écologique. Découvrez nos ressources et initiatives.

Tous concernés par la biodiversité puisque notre quotidien en dépend. Les abeilles pollinisent nos cultures, les forêts filtrent notre air, et les océans régulent le climat. Protéger la biodiversité, c’est agir pour notre propre survie et celle des générations futures.

Suisse, 15 octobre 2024C'est le standard mondial qui reconnaît les sites gérés efficacement et de manière équitable. Il sert également d'indicateur complémentaire à la cible 3 du Cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal. En outre, deux sites existants de la Liste verte en France et au Mexique ont vu leur statut renouvelé. Avec ces nouveaux ajouts, il y a maintenant 87 sites inscrits sur la Liste verte de l'UICN dans 18 pays.