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Bernadette Cassel
October 12, 2015 1:05 PM
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"L'Observatoire National Termite (sa cartographie est basée sur les déclarations de chantiers effectuées par les entreprises certifiées CTB A+, réparties sur l´ensemble du territoire) recense actuellement 54 départements infestés en métropole."
Languedoc-Roussillon : les termites sont bien installées dans la région - Midi Libre, 12.10.2014
→ Carte départementale des infestations | Observatoire National Termite http://termite.com.fr/rechercher/carte-departementale-des-infestations/
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Bernadette Cassel
August 10, 2015 2:13 PM
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Le spécimen identifié, qui fait l’objet d’une description détaillée dans la revue PLOS ONE, est un scorpion mâle du genre Tityus, dont les représentants sont trouvés, aujourd’hui en Amérique et aux Antilles. Il a été baptisé Tityus apozonalli. Le gisement du Mexique avait révélé, il y a quelques années, la plus ancienne trace d’interaction entre des insectes sociaux (des termites et des fourmis). La scène remontant au Miocène, il a environ 15 millions d’années. Le scorpion mis au jour est lui aussi un témoin de cette époque.
Par Joël Ignasse, Sciences et Avenir, 09.08.2015
[L'étude] New Fossil Scorpion from the Chiapas Amber Lagerstätte - Plos One, 05.08.2015 http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0133396
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Bernadette Cassel
March 30, 2015 12:45 PM
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Par Rachel Mulot. Sciences et Avenir, 30.03.2015 "2 termites destructeurs forment des super essaims"
« Les deux espèces de termites les plus dévastatrices au monde se sont hybridées, formant des super essaims qui se reproduisent deux fois plus vite que leurs parents. La Floride est la première menacée. »
[...]
« Une fois par an, lors de l’essaimage, les termites produisent des milliers d’individus ailés qui se déplacent par nuées pour trouver des partenaires. En Floride, où les deux espèces sont invasives, les chercheurs pensaient que les "poux de bois" avaient des périodes d’essaimage distinctes, la termite asiatique connaissant son pic en mars et celle de Formose prenant surtout son envolée en mai. Malheureusement, l’équipe d’entomologistes de l’université de Floride a pu montrer qu’en 2013 et en 2014, les deux espèces avaient produits des individus ailés simultanément, au mois d’avril (voir vidéo ci dessous). Et ce, à la faveur d’un hiver particulièrement clément, semble t-il. "Avec le chevauchement de distribution et de saison d’accouplement, les deux termites les plus destructrices au monde ont maintenant l’opportunité de se féconder", résume Thomas Chouvenc. »
[L'étude] Hybridization of Two Major Termite Invaders as a Consequence of Human Activity - PLOS ONE, 25.03.2015 http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0120745
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Bernadette Cassel
December 8, 2014 3:58 AM
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Bernadette Cassel
July 1, 2014 10:21 AM
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Par AFP. Libé.ma. « Des pesticides parmi les plus utilisés dans le monde ont des effets néfastes sur la biodiversité qui ne se limitent pas aux abeilles mais nuisent aussi aux papillons, vers de terre, oiseaux et poissons, selon une évaluation scientifique internationale présentée dernièrement. » « Après avoir examiné les conclusions de quelque 800 études parues depuis une vingtaine d'années, les auteurs de cette évaluation plaident pour "durcir encore la réglementation sur les néonicotinoïdes et le Fipronil", les deux types de substances chimiques étudiées, et de "commencer à planifier leur suppression progressive à l'échelle mondiale ou, du moins, à formuler des plans visant à réduire fortement leur utilisation dans le monde". »
« "Les preuves sont très claires. Nous sommes face à une menace qui pèse sur la productivité de notre milieu naturel et agricole", indique dans un communiqué le Dr Jean-Marc Bonmatin (CNRS), l'un des principaux auteurs de cette analyse menée sur les quatre dernières années. L'évaluation a été conduite par un panel de 29 chercheurs internationaux dans le cadre d'un groupe de travail spécialisé sur les pesticides systémiques (conçus pour être absorbés par les plantes). Ce groupe conseille notamment l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), l'organisme qui rend compte de l'état de santé de la biodiversité mondiale à travers sa "Liste rouge" des espèces menacées. Les conclusions doivent être publiées en huit articles pendant l'été dans la revue Environmental Science ans Pollution Research, précise ce groupe de travail. »
« Les pesticides étudiés sont "aujourd'hui les plus utilisés dans le monde, avec une part de marché estimée à quelque 40%" et sont aussi "communément utilisés dans les traitements domestiques pour la prévention des puces chez les chats et chiens et la lutte contre les termites dans les structures en bois". Les effets liés à l'exposition à ces pesticides "peuvent être immédiats et fatals mais également chroniques", soulignent les chercheurs, avec des effets comme la perte d'odorat ou de mémoire, une perte de fécondité, une diminution de l'apport alimentaire, comme un butinage amoindri chez les abeilles, ou encore une capacité altérée du ver de terre à creuser des tunnels. »
« Ces pesticides sont notamment pointés du doigt depuis quelques années comme l'une des causes expliquant le déclin des populations d'abeilles. L'Union européenne a par exemple déjà suspendu en 2013 l'usage du Fipronil et de trois néonicotinoïdes en raison de leurs effets sur les pollinisateurs. »
« Mais cette interdiction est partielle et ne porte que sur certains usages des pesticides incriminés, "qui restent largement utilisés, par exemple pour la culture du blé, provoquant les mêmes inquiétudes pour l'environnement", a souligné l'un des chercheurs, le Britannique Dave Goulson, lors d'une conférence de presse à Bruxelles. »
« "C'est à leur usage préventif généralisé qu'il faut mettre fin, ils ne devraient être qu'un dernier recours, actuellement, on les utilise comme si l'on prenait des antibiotiques sans être malades", a-t-il ajouté. La nouvelle analyse montre que bien d'autres espèces que les abeilles sont également touchées, au premier rang desquelles les invertébrés terrestres, comme les vers de terre, indispensables maillons de la vie des sous-sols. »
« Suivent les pollinisateurs --abeilles et papillons-- puis les invertébrés aquatiques, comme les gastéropodes d'eau douce et les puces d'eau, les oiseaux, les poissons et les amphibiens. »
« Les chercheurs précisent ne pas avoir de données suffisantes pour déterminer leur impact sur les mammifères et les reptiles, même si un "impact est probable" sur ces derniers. »
[Lien] The Task Force on Systemic Pesticides http://www.tfsp.info/
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Bernadette Cassel
May 21, 2014 11:06 AM
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Ces sociétés d'insecte comprennent un petit groupe d'individus reproducteurs et une grande majorité de membres stériles qui sont chargés de la recherche de nourriture, de la défense de la termitière et des soins au couvain. Par Joël Ignasse. Sciences et Avenir. "... Pour comprendre la base génétique de l'eusocialité, les chercheurs ont séquencé le génome [du, NDÉ] termite, Zootermopsis nevadensis, et comparé leurs données avec des études antérieures portant sur les hyménoptères." (...) ---------- NDÉ L'étude : - Molecular traces of alternative social organization in a termite genome - Nicolas Terrapon, ..., Judith Korb, Guojie Zhang & Jürgen Liebig | Nature Communications, 20.05.2014 https://www.nature.com/articles/ncomms4636
[Image] Simplified developmental pathway of Z. nevadensis with sequenced castes and life stages.
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February 14, 2014 11:28 AM
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Jean-Louis Santini. Canoë. « Des scientifiques se sont inspirés des termites pour concevoir et fabriquer des robots bâtisseurs capables de fonctionner de façon autonome et de réaliser des constructions complexes. »
« Comme les insectes, ces robots peuvent transporter des briques, construire des escaliers avant de les gravir pour ajouter des éléments de construction à une structure. »
« Ils obéissent à des instructions de base simples pour exécuter un projet de construction de façon indépendante, exactement comme les termites, expliquent les auteurs de ce projet à l'École d'Ingéniérie de l'Université de Harvard (Massachusetts, nord-est) objet d'une présentation jeudi à la presse en marge de la conférence annuelle de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS) réunie à Chicago du 13 au 17 février.»
[...]
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via EurekAlert! "Des robots inspirés des termites se passent de modèle avec des informations locales"
Une vidéo via 20 Minutes "Des robots bâtisseurs basés sur des termites"
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Bernadette Cassel
October 15, 2013 2:21 PM
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Ces bois qui font trembler les termites : Les termites (insectes xylophages) ont trouvé leurs pires ennemis : le bois de rose et le bois de grignon.
[Reticulitermes santonensis & Heterotermes indicola, Isoptera, Rhinotermitidae]
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Bernadette Cassel
September 22, 2013 4:34 PM
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Contrairement au département voisin des Deux-Sèvres, la Vienne ne comptabilise pas de nouvelles communes, outre les 108, infestées par les termites.
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Bernadette Cassel
July 2, 2013 12:13 PM
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Installé au cœur du parc Grandmont, à Tours, l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (Irbi) élève et surtout étudie une dizaine d'espèces. Les termites, chenilles, fourmis et autres guêpes sont logés dans des locaux trois étoiles, avec régulation de la température, du taux d'humidité, de la lumière, etc. Les près de 800 m2 de laboratoires situés au sous-sol des locaux ont été entièrement rénovés. [...]
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Bernadette Cassel
April 2, 2013 9:45 AM
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[...] La compréhension de ces mécanismes de dégradation permettrait d'optimiser la production des biocarburants, et par ailleurs d'apporter une solution dans le contrôle de l'action négative des termites au niveau des matériaux boisés des habitations. Selon le Département américain de l'Agriculture (USDA), les termites représentent un coût annuel de gestion et de réparation des dommages de près de 2 milliards de dollars. La majorité des études déjà réalisées sur le mécanisme de dégradation du bois par les termites, et plus particulièrement, la relation entre l'insecte et les micro-organismes présents dans son intestin, ont montré que ces micro-organismes n'avaient apparemment que peu ou pas d'influence sur la digestion des composés du bois. Cette dégradation serait due uniquement à l'hôte, c'est-à-dire les termites, et à ses propres enzymes. L'objectif de l'équipe de Michael Scharf était donc d'étudier l'influence du régime alimentaire des termites de l'espèce Reticulitermes flavipes sur les micro-organismes. [...] [L'étude] The Hindgut Lumen Prokaryotic Microbiota of the Termite Reticulitermes Flavipes and its Responses to Dietary Lignocellulose Composition http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23379767 (Photo bobgaia - www.galerie-insecte.org)
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Bernadette Cassel
January 3, 2013 11:59 AM
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Bernadette Cassel
December 14, 2012 5:34 AM
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Termite rime bien souvent avec parasite. Le nom de cet insecte grand amateur de bois est en effet volontiers accolé aux dommages qu'il inflige aux charpentes et parquets, au point que, dans certains départements, sa recherche fait désormais partie des diagnostics obligatoires au moment de la vente d'un bien immobilier. Mais le termite peut aussi avoir de bons côtés, comme vient de le révéler une étude australienne publiée dans le dernier numéro de la revue Geochemistry : Exploration, Environment, Analysis.
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Bernadette Cassel
September 30, 2015 1:15 PM
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Par ses fables, Jean de La Fontaine avait pour ambition de se servir "d'animaux pour instruire les hommes". La fable qui ouvre son premier recueil est la célébrissime historiette de La cigale et la fourmi, inspirée d'Esope. Si l'écrivain grec montre, dans son texte, les fourmis en train de s'activer – elles font sécher du grain –, son lointain successeur français ne se donne même pas cette peine et tient pour acquise, tout en la renforçant, l'image de la fourmi travailleuse. Cette image a pris une telle force que, dans les définitions du dictionnaire une fourmi peut désigner une personne laborieuse et une fourmilière un lieu où s'affairent un grand nombre d'humains. On a d'ailleurs attribué le succès écologique des insectes sociaux (abeilles, fourmis, termites...) à la division du travail et à la spécialisation des individus qu'ils mettent en place, un mode d'organisation dont Homo sapiens s'est inspiré dans bien des domaines, que ce soit l'industrie, l'informatique, la robotique ou la logistique. Pourtant, tout cela pourrait bien être bâti sur un mythe car fourmis et travail ne seraient pas si synonymes que cela, si l'on en croit plusieurs études dont la dernière en date vient de paraître dans le numéro de septembre de la revue Behavioral Ecology and Sociobiology.
Par Pierre Barthélémy, Passeur de sciences, Blog Le Monde, 30.09.2015
[Études]
→ Workers ‘specialized’ on inactivity: Behavioral consistency of inactive workers and their role in task allocation - Behavioral Ecology and Sociobiology, 21.06.2015 http://link.springer.com/article/10.1007/s00265-015-1958-1
→ When doing nothing is something. How task allocation strategies compromise between flexibility, efficiency, and inactive agents - Journal of Bioeconomics, 13.08.2015 http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10818-015-9205-4
[Temnothorax rugatulus]
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Bernadette Cassel
July 24, 2015 12:47 PM
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"L'origine des différents groupes de Dictyoptères (blattes, mantes, termites) est très controversée. Afin de vérifier les datations communément admises, une équipe principalement constituée de chercheurs de l'Institut de systématique, évolution, biodiversité (Muséum national d'Histoire naturelle/CNRS/UPMC/EPHE) a utilisé une approche associant phylogénie1 moléculaire et paléontologie. Les scientifiques ont pu définir que l'origine des Dictyoptères était beaucoup plus récente que ne le laissaient supposer certains fossiles ou de précédentes estimations ; ces résultats sont publiés dans la revue PLOS ONE."
CNRS, 22.07.2015
[L'étude] PLOS ONE: Phylogeny of Dictyoptera: Dating the Origin of Cockroaches, Praying Mantises and Termites with Molecular Data and Controlled Fossil Evidence http://www.plosone.org/article/Related/info:doi/10.1371/journal.pone.0130127
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February 23, 2015 5:25 AM
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Par Alain Fraval. OPIE-Insectes. « les Épingles entomologiques - En épingle en 2015 : Février » « Où déféquer en société ? Pour les abeilles, même les plus jeunes, c’est au fond du jardin, par vol spécial. Chez les fourmis, on a des dépotoirs à l’extérieur du nid ou dans des chambres spéciales, où l’on va déposer déchets divers et cadavres – et parfois des ouvrières spécialisées s’en occupent. Dans certains cas, les fèces peuvent être utiles et on ne les gaspille pas : les fourmis coupeuses de feuilles en engraissent leurs cultures de champignons, des termites les utilisent comme matériau de construction. En général, cette matière est réputée dangereuse, source potentielle d’infection. »
« La Fourmi noire des jardins Lasius niger (Hym. Formicidé) va, elle, au (petit) coin. À preuve un dispositif expérimental construit et observé par Tomer Czaczkes et ses collègues de l’université de Ratisbonne (Allemagne) constitué de 21 nids en plâtre formés de 4 chambres carrées autour de l’orifice d’accès depuis l’aire d’affouragement. Dans chacun, 150 à 300 individus nourris d’une solution sucrée colorée en bleu ou en rouge. »
« Au bout de 2 mois, on distingue des taches colorées (en bleu ou rouge) bien individualisées, la plupart dans les coins. Aucun débris, aucun cadavre sur ces lieux : ce sont les « toilets » des ouvrières. »
« D’où toute une série de questions à creuser : pourquoi ne pas aller dehors (c’est dangereux, c’est fatiguant) ? ; pourquoi conserver ces fèces (source de sel, de micro-nutriments ou de champignons consommés au fur et à mesure) ? ; pourquoi aller au coin (par stygmergie, on s’y sent bien serrées avec ses congénères) ? »
Article source (gratuit, en anglais)
[Image] Ant toilets
PLOS ONE: Nest Etiquette—Where Ants Go When Nature Calls http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0118376
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August 30, 2014 11:58 AM
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Communiqués et dossiers de presse - CNRS. « Une équipe de chercheurs dirigée par André Nel (Muséum national d'Histoire naturelle/CNRS/UPMC/EPHE), vient de publier dans PLOS ONE l'étude d'un morceau d'ambre exceptionnel du Mexique. En effet, celui-ci révèle pour la première fois, par une approche innovante permise par la tomographie X, des interactions entre insectes eusociaux datant de plus de 15 millions d'années. »
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May 26, 2014 11:18 AM
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En Namibie, à la frontière entre la prairie et le désert, un étrange phénomène a intrigué les humains pendant des siècles : de mystérieux cercles de terre aride au milieu de riches et épaisses herbes. Surnommés “cercles de fées”, leur formation fut attribuée à tout un tas de processus, des termites, au gaz empoisonné. Maintenant, …
L’étude publiée dans la revue Ecogeography : Adopting a spatially explicit perspective to study the mysterious fairy circles of Namibia.
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Bernadette Cassel
March 28, 2014 3:54 PM
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PU website. « Palacký University Biologists Again Discoverers on Borneo »
Unknown phasmid, mycetophylid, earwigs, and spiders
« The Olomouc and Ostrava researchers have begun describing the new species of Phasmatodea, brought from the Ulu Temburong National Park. Whereas the currently described species live upon the green leaves on which they also feed, the newly found specimens inhabited fallen leaf mould. The expedition participants documented an exceptional variety of species in the national park. Several yet unknown species were found, including one earwig which dwells together with termites in their nests. “Such cohabitation is unusual in the earwigs,” said Petr Kočárek, a zoologist from the University of Ostrava »
« Another very important achievement has been the discovery of the largest known species of Mycetophylidae. These small flies, similar to mosquitoes, feed on fungi as larvae; they are common all over the world. The mycetophylid found on Borneo is unique in its size as well as in its distinct yellow and black colouring. Among the thousands of specimens collected by the researchers, there may be new species of spiders and moths too. »
[...]
[Image] A new species of Phasmatodea
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[Actualité repérée via 2014/03/27 > BE République Tchèque 37 > Nouvelle espèce d'invertébré découverte à Bornéo http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75533.htm « Au cours d'une expédition pédagogique avec des étudiants de l'Université Palacky d'Olomouc, les chercheurs ont par hasard découvert une nouvelle espèce de Zoraptera, un invertébré similaire aux termites. Jusqu'à présent, seulement 39 espèces de cet insecte ont été recensées dans le monde, et c'est la première fois qu'on en découvre un membre à Bornéo. Selon Tomas Kuras, Maître de Conférences au Département d'Ecologie, Faculté des Sciences de l'Université Palacky d'Olomouc, cela correspond, pour un entomologiste, à la découverte d'une nouvelle espèce de primate ou de félin. [...] »
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October 20, 2013 11:50 AM
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Utiliser du bois contre les carias ? C'est ce que suggère une étude menée par le Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), basée sur l'exploitation de bois endémiques de Guyane ayant des effets insecticides, antiappétants et répulsifs. De quoi lutter efficacement contre ces termites pourtant habituellement si friandes des poutres et autres meubles en bois.
[Reticulitermes santonensis & Heterotermes indicola, Isoptera, Rhinotermitidae]
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September 28, 2013 8:42 AM
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Une ex-agricultrice dit avoir trouvé la solution pour sauver les arbres. Le ministère est saisi mais l’abattage continue. Elle s’appelle Rachel Gimenez. Vit à Port-Leucate (Aude). Et affirme du haut de ses 59 ans, dont 32 ans comme chef d’exploitation à Salses-le-Château (P-O), "qu’arracher et brûler les platanes malades du canal du Midi, ce n’est pas la solution. On peut les soigner". Avec son associé, Guy Tourad, Rachel Gimenez a poussé les portes de VNF, Voies navigables de France, qui gère les 240 km de cet ouvrage classé à l’Unesco. Son idée, Rachel Gimenez, qui se définit comme une "autodidacte", l’a mise au jour en "observant et en traitant les arbres fruitiers" de son exploitation qu’elle a vendue. D’abord, elle affirme à contre-courant de toute la communauté scientifique que les 42 000 platanes condamnés (15 000 doivent être arrachés) de Sète à Toulouse ne le seraient pas à cause du chancre coloré ! "Le mal à éradiquer, ce sont les termites. Le chancre s’établit sur l’arbre quand le spécimen est mort. [...]" [...]
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September 20, 2013 5:31 PM
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Termite poop apparently carries natural antibiotics and may help explain why human attempts to kill them using biological warfare have failed over the past 50 years, scientists say. [Coptotermes formosanus, Isoptera, Rhinotermitidae]
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April 20, 2013 6:22 AM
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VIDEO - Des scientifiques canadiens ont découvert l'existence de deux micro-organismes vivant dans l'estomac des termites, dont l'apparence et le mode de déplacement seraient proches de ceux... des pieuvres. [...] Cthulhu macrofasciculumque et Cthylla microfasciculumque vivent en symbiose avec le métabolisme des termites, en aidant ces dernières à digérer le bois qu'elles ingèrent. D'autres micro-organismes de ce type avaient déjà été détectés dans le système digestif des termites, mais ils étaient plus gros (50 à 150 microns) que Cthulhu macrofasciculumque et Cthylla microfasciculumque, alors que ces derniers ne dépassent pas les 20 microns. [L'étude] Cthulhu Macrofasciculumque n. g., n. sp. and Cthylla Microfasciculumque n. g., n. sp., a Newly Identified Lineage of Parabasalian Termite Symbionts - PLoS_ONE, 18.03.2013 http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0058509
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SUR LE MÊME SUJET (repéré le 18/08/2015) :
→ Acetogenesis from H2 plus CO2 and nitrogen fixation by an endosymbiotic spirochete of a termite-gut cellulolytic protist - PNAS, 16.04.2015 http://www.pnas.org/content/early/2015/05/14/1423979112.abstract
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March 29, 2013 3:57 PM
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December 25, 2012 2:00 PM
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Des scientifiques de l'Université Western ont découvert que les termites dans le sud de l'Ontario formaient des colonies «spectaculairement énormes», car elles possèdent toutes le même patrimoine génétique. Cela permet aux insectes de former une famille géante dévoreuse d'édifices qui peut se propager dans des pâtés de maisons entiers.
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