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Bernadette Cassel
October 17, 2016 1:38 PM
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Seth et Sarah Bordenstein, tous deux biologistes à l’Université de Vanderbilt dans le Tennessee, ont découvert que le virus WO était un petit voleur. Ce bactériophage qui infecte les Wolbachia, des bactéries présentes chez les insectes ou les crustacés, a “emprunté” une partie de l’ADN de la veuve noire. Plus précisément les gènes codant l’alpha-latrotoxine, le venin de l’araignée. Par M. Excuisite. Journal du Geek, 17.10.2016 [Image] Virus carrying DNA of black widow spider toxin discovered | Research News Vanderbilt University https://news.vanderbilt.edu/2016/10/11/virus-carrying-dna-of-black-widow-spider-toxin-discovered/ [L'étude] Eukaryotic association module in phage WO genomes from Wolbachia : Nature Communications, 11.10.2016 http://www.nature.com/articles/ncomms13155
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Bernadette Cassel
June 10, 2016 5:01 AM
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Depuis quelques années, une expérience est menée en Australie dans le Queensland pour agir directement sur le moustique responsable de la dengue. Et ça semble très bien marcher. Par Caroline Lafargue/ABC Radio Australia avec CM, 10.06.2016 "L’Australie est le premier pays au monde à avoir produit et lâché dans la nature des moustiques immunisés contre la dengue, dès 2010-2011. Les scientifiques ont inoculé la Wolbachia à ces moustiques. Cette bactérie bloque le développement de la dengue et du zika chez les insectes piqueurs et donc aussi chez les humains. Les bons moustiques se reproduisent avec les moustiques sauvages et le virus n’est pas transmis à la génération suivante." → School of Science - Monash University Malaysia http://www.sci.monash.edu.my/research/seminar/2015/using-wolbachia-infections-to-control-dengue-transmission [Image] Dr Peter Ryan, Program Manager of Eliminate Dengue Program, School of Biological Sciences, Monash University Australia
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Bernadette Cassel
May 4, 2016 5:32 PM
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Bernadette Cassel
February 18, 2016 5:17 AM
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L’OMS a lancé un Cadre stratégique de riposte mondial et un Plan conjoint d’opérations pour orienter la riposte internationale face à la propagation de l’infection à virus Zika, ainsi que les malformations néonatales et les affections neurologiques qui s’y associent.
→ Téléchargez le texte intégral du Cadre stratégique de riposte - en anglaispdf, 1.45Mb http://www.who.int/entity/emergencies/zika-virus/strategic-response-framework.pdf
"There are a range of vector control measures for the mosquitoes known to spread the Zika virus. Recent developments, such as progress in mosquitoes modified to carry Release of Insects with Dominant Lethality (RIDL) traits or the use of gene drives, offers opportunities for novel approaches. A landscape analysis of research work on vector control mechanisms has been undertaken and work will be initiated to advance new or improved control mechanisms. Tools or methods that require further study under strictly controlled conditions include the introduction of Wolbachia bacteria into Aedes aegypti mosquito populations, transgenic mosquitoes, Sterile Insect Technique (SIT), and slow release formulations of insecticides and insect growth regulators." (extrait, p 25)
[Image] L'OMS envisage les moustiques OGM pour lutter contre le virus Zika - Actualité Houssenia Writing, 18.02.2016 https://actualite.housseniawriting.com/sante-actualite/2016/02/18/loms-envisage-les-moustiques-ogm-pour-lutter-contre-le-virus-zika/13665/
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Bernadette Cassel
November 10, 2014 1:30 PM
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PAEA, le 9 novembre 2014. Le laboratoire d'entomologie médicale de l'Institut Louis Malardé mène, depuis deux ans, un travail de recherche pour mieux contrôler la nuisance des moustiques Aedes notamment l’Aedes polynesiensis. Après une étude de faisabilité il y a deux ans, à Tetiaroa, nouveaux lâchers de mâles stériles auront lieu dans quelques mois sur l'atoll. L'objectif : éliminer la nuisance.
[Image] "Ces mâles Wolbachia, élevés en laboratoire, ont très bien résisté au transport et aux conditions rencontrées sur le terrain. Leur action a eu un réel impact sur la fertilité des femelles sauvages", explique Hervé Bossin, entomologiste médical à l'Institut Louis Malardé (ILM) »
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Recensement de moustiques en cours
Pour savoir comment combattre efficacement un ennemi, le mieux est de bien connaître les forces dont il dispose ! C'est dans ce sens que l'Institut Louis Malardé, en partenariat avec le Centre d'hygiène et de salubrité publique a lancé depuis le début de l’année, à Tahiti, un recensement des moustiques. Le but est de cartographier la répartition des deux espèces, Aedes aegypti et Aedes polynesiensis, responsables de la transmission des maladies comme la dengue et le chikungunya et de mesurer précisément le nombre de moustiques auquel nous sommes exposés – en saison sèche, et en saison humide. Ces actions de surveillance entomologique devraient être renforcées l’an prochain et le réseau étendu à d’autres îles.
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Bernadette Cassel
April 24, 2014 2:36 PM
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Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture. FAO - Nouvelle. « [...] Le génome de la mouche tsé-tsé a été séquencé et annoté durant une collaboration internationale qui a duré 10 ans, faisant intervenir le Laboratoire de lutte contre les insectes ravageurs, géré conjointement par la FAO et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à Vienne. [...] »
[Image] « La piqûre d'une mouche tsé-tsé peut provoquer la trypanosomiase chez les animaux et la maladie du sommeil chez l'homme »
« Aucun vaccin n'existe pour le bétail ni pour l'homme car le parasite est capable de déjouer le système immunitaire des mammifères. Dès lors, les méthodes de lutte sont principalement des pièges à tsé-tsé, des traitements pesticides et des stratégies d'introduction de mâles stériles.»
[...]
« Dans leur contribution au décodage du génome, les scientifiques du Laboratoire FAO/AIEA de lutte contre les insectes ravageurs se sont concentrés sur le lien de la mouche avec une bactérie symbiotique, Wolbachia, qui, chez de nombreuses espèces d'insectes, affecte la biologie et la physiologie de son hôte, y compris sa reproduction, son comportement d'accouplement et sa capacité en tant que vecteur. »
« "Notre groupe a participé à la découverte du transfert horizontal de grands segments de séquence génomique de la bactérie Wolbachia dans le génome tsé-tsé", a expliqué M. Bourtzis. "Nous étudions actuellement comment ces insertions de gènes affectent la biologie de la mouche tsé-tsé". »
« Le lien complexe de la mouche tsé-tsé avec Wolbachia et deux autres bactéries symbiotiques fait partie de sa biologie unique qui a comme autres caractéristiques qu'elle se nourrit exclusivement du sang de vertébrés et nourrit ses larves par sa glande lactifère. Une première série de conclusions sur le génome de la mouche sera publiée dans la revue Science vendredi dans un article intitulé ‘Génome Sequence of the tsetse Fly (Glossina morsitans): Vector of African Trypanosomiasis'. »
[...]
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Bernadette Cassel
November 7, 2013 12:47 PM
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Pour lutter contre la dengue, les chercheurs ne manquent pas d’imagination. En implantant une bactérie pathogène dans les moustiques, ils ont pu bloquer le développement du virus.
[...]
Wolbachia, une bactérie qui empêche la dengue de s’implanter
La solution pour bloquer la multiplication du virus de la dengue chez les moustiques est arrivée par hasard. Des chercheurs de l’université Monash en Australie s’intéressaient à une bactérie pathogène d’insecte appelée Wolbachia. Ils voulaient implanter ce germe dans les moustiques afin de diminuer leur durée de vie. En 2008, après de multiples tentatives, leurs efforts ont enfin porté leurs fruits et ils ont réussi à introduire la bactérie de façon stable dans la flore bactérienne du moustique, de sorte qu’elle soit transmise aux générations futures de l’insecte. Comme ils s’y attendaient, le moustique modifié avait une durée de vie plus courte que ses congénères.
Mais les chercheurs n’étaient pas au bout de leurs surprises. En plus de vivre moins longtemps, le moustique était devenu résistant au virus de la dengue. En d’autres termes, il n’était plus capable d’accueillir et de permettre à l’agent infectieux de se développer. « Le virus de la dengue ne peut pas se multiplier dans le moustique si Wolbachia est déjà présente, la maladie ne peut donc plus être transmise à l’Homme à partir de ces insectes », s’enthousiasme Scott O'Neill, le directeur de l’équipe.
(Image : Wolbachia)
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Bernadette Cassel
September 9, 2012 5:16 PM
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Si vous ne connaissez pas les Wolbachia, vous ratez une petite merveille de la Nature. Enfin... une merveille assez nocive puisque ces bactéries, dont les diverses souches infectent bon nombre d'arthropodes – des insectes aux crustacés en passant par les araignées –, sont des parasites et de grandes manipulatrices. Les scientifiques disent que leur mode de transmission est vertical, c'est-à-dire qu'elles passent d'une génération d'hôtes à la suivante, de la mère à sa descendance, ces bactéries ayant la bonne idée de s'installer pour une bonne partie à l'intérieur des cellules de l'appareil reproducteur. Et tous les coups sont permis afin d'optimiser cette transmission verticale. Exemple parmi plusieurs : comme seuls les arthropodes femelles passent le parasite à leur progéniture via leurs ovocytes contaminés, chez le cloporte commun, en photo ci-dessus, Wolbachia est capable de... métamorphoser les mâles en femelles. [...] [Armadillidium vulgare]
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Bernadette Cassel
August 31, 2016 12:54 PM
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Deux nouveaux outils pour supprimer les populations de moustiques Aedes aegypti ont été recommandés en vue d’études pilotes. Des essais soigneusement conçus seront nécessaires pour voir s’ils réduisent également la morbidité. Andréia Azevedo Soares fait le point.
Bulletin de l'Organisation mondiale de la Santé 2016;94:562-563. doi: http://dx.doi.org/10.2471/BLT.16.020816 [Image] Luciano Moreira (à gauche) et Scott O’Neill dans le laboratoire de Fiocruz. Cette cage est utilisée pour la reproduction des moustiques infectés par Wolbachia. (Eliminate Dengue Brazil)
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Bernadette Cassel
May 8, 2016 4:48 AM
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le gouvernement de la Polynésie française a récemment accordé son soutien pour la réalisation du projet d’infrastructure InnovEntomo. Ce projet prévoit notamment la construction d’un module expérimental de production de moustiques mâles stériles d’une capacité d’environ 1 million de mâles par semaine permettant de s’engager dans des opérations d’envergure en ciblant en priorité les îles fortement peuplées et/ou très touristiques (principalement Tahiti, Moorea, Bora Bora, Raiatea, etc), autant de sites souvent précurseurs des épidémies de maladies vectorielles. Rédaction web avec communiqué de la Présidence. Tahiti Nui Télévision TNTV, 07.05.2016 [Aedes polynesiensis / Wolbachia]
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Bernadette Cassel
April 3, 2016 2:06 PM
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"Après plusieurs tests à petite échelle réalisés en 2010 puis en 2012, le laboratoire d'entomologie médicale de l'Institut Louis Malardé a lancé depuis septembre 2015 une vaste expérience de lâcher de moustiques rendus incompatibles à la reproduction sur l'un des motu de Tetiaroa. Sept mois plus tard, les résultats sont probants : sur place 95% de la population des moustiques est anéantie." Par Mireille Loubet. Tahiti Infos, 24 mars 2016. [Image] Au laboratoire d'entomologie médicale de l'ILM à Paea, Hervé Bossin (à droite) et Jérôme Marie (à gauche) avec une des cages où sont enfermés des moustiques biologiquement modifiés. C'est à partir de la colonie de ces moustiques modifiés par une bactérie naturelle que le laboratoire de Paea peut produire chaque semaine environ 45 000 moustiques mâles qui sont relâchés à Tetiaroa. Ces moustiques modifiés s'accouplent avec les femelles sauvages de l'atoll mais en raison de leur incompatibilité ne peuvent assurer de descendance. En quelques mois, la population des moustiques à Tetiaroa s'est effondrée. [Aedes polynesiensis / Wolbachia]
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Bernadette Cassel
February 15, 2016 5:52 PM
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Par Alain Fraval. OPIE-Insectes. Les Épingles entomologiques - En épingle en 2016 : Février "La Stégomyie Aedes aegypti (Dip. Culicidé) infectée par la bactérie Wolbachia pipientis, parasite intracellulaire obligatoire, transmet moins le virus de la dengue aux humains. Elle transmet par contre très bien son parasite à sa descendance.
À partir de ces résultats de laboratoire (surtout) et de terrain, une expérience de lutte participative est lancée à Townsville, au Queensland (Australie tropicale). Chaque participant – un citoyen quelconque et volontaire – reçoit de quoi faire chez lui l’élevage de la Stégomyie soit, dans une cage ad hoc, un lot d’une centaine d’œufs du moustique infectés par Wolbachia et de la nourriture pour les futurs imagos. Au bout de 12 semaines, il lâchera ceux-ci autour de chez lui, qui répandront la bactérie dans la population naturelle de Stégomyie.
On attend 3 000 participants et espère la disparition locale de la dengue – ainsi qu’une protection contre le zika. La méthode, qui pallie les difficultés d’épandage des moustiques manipulés, est proposée aux pays d’Amérique latine aux prises avec le zika."
D’après, entre autres, « Queensland residents breed their own mosquitoes to combat Zika virus », par Jonathan Pearlman. Lu le 8 février 2016 à www.telegraph.co.uk/
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Bernadette Cassel
June 12, 2014 11:32 AM
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Le Quotidien du Médecin. « Pour la première fois, des chercheurs viennent d’obtenir des preuves expérimentales d’une infection naturelle par des bactéries du genre wolbachia de spécimens sauvages d’Anopheles gambiae, un des principaux vecteurs du paludisme. Les Wolbachia font donc figure de moyen potentiel pour agir sur les populations d’anophèles, et ainsi réduire le risque de transmission du paludisme. Ces travaux, parus dans Nature Communications, sont le fruit d’une collaboration entre plusieurs équipes de l’université de Harvard, de l’Institut de biologie moléculaire et cellulaire (CNRS) et de l’université de Pérouse. Des études précédentes, réalisées en laboratoire, avaient montré qu’une infection par ce type de bactérie réduisait les capacités de reproduction et l’immunité des anophèles. En revanche, on ne savait pas si une infection bactérienne pouvait survenir dans le milieu sauvage. »
[L'étude] Evidence of natural Wolbachia infections in field populations of Anopheles gambiae : Nature Communications
[Image : Mosquito collection sites and distribution of Wolbachia-infected individuals. « The maps describe the three villages (Soumousso, VK5 and VK7) where An. gambiae couples from different mating swarms (indicated by circles) and larvae from different breeding sites (indicated by squares) were collected. Swarm sites and larval breeding grounds are identified by numbers and letters, respectively (see Supplementary Table 1 and 2). Sites where Wolbachia-positive mosquitoes were found are highlighted in red. Maps were adapted with permission from originals courtesy of A. A. Millogo, IRSS/Centre Muraz, Bobo-Dioulasso, Burkina Faso. »
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Bernadette Cassel
April 18, 2014 11:35 AM
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Par Audrey Garric. Le Monde. « Le moustique sera-t-il le premier animal – ou plutôt insecte – génétiquement modifié que l'on va rencontrer dans la nature ? La question est posée alors que le Brésil est en train d’autoriser la dissémination d’un moustique transgénique stérile afin de lutter contre la dengue. Une nouvelle qui, au-delà de susciter des espoirs de parvenir à lutter contre cette grave épidémie, a provoqué la controverse et l'opposition de nombreuses ONG. »
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« C’est dans ce contexte que l'entreprise britannique Oxitec, étroitement liée au géant agrochimique Syngenta, a mis au point une lignée de moustiques Aedes aegypti mâles, rendus stériles par transgénèse, qui permettraient de contrôler la population des moustiques vecteurs. Elle a déposé une demande de commercialisation au Brésil en juillet 2013. »
« Le 10 avril, la Commission technique nationale de biosécurité (CTNBio) – l'équivalent du Haut conseil sur les biotechnologies en France – a autorisé, par seize voix contre une, la dissémination dans l'environnement de ces moustiques de nom de code OX513A. Pour être effective, cette autorisation doit néanmoins encore être validée par l’Agence nationale de surveillance sanitaire (Anvisa). OX513A deviendrait alors le premier "animal" génétiquement modifié – avant le saumon transgénique américain surnommé "Frankenfish". »
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« [...] l’extinction de l'espèce Aedes aegypti pourrait favoriser un moustique concurrent, le moustique-tigre (Aedes Albopictus), lui aussi vecteur des virus de la dengue et du chikungunya. "En détruisant une espèce, on libère une niche écologique pour une autre. Mais ce serait le cas avec toute autre méthode de lutte contre le moustique Aedes aegypti, par exemple à l'aide d'insecticides", remarque l'expert. »
« Sur l'île de La Réunion, l'IRD pilote un projet de recherche, qui consiste à stériliser des moustiques mâles par irradiation, comme cela a été fait avec succès contre la lucilie bouchère, une mouche prédatrice des animaux et des hommes au Mexique dans les années 2000. Une autre méthode consiste à introduire une bactérie (Wolbachia) dans des souches de moustiques, qui lors de l’accouplement avec les femelles sauvages vont également introduire une stérilité. »
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Bernadette Cassel
May 9, 2013 7:57 PM
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Des chercheurs sont parvenus à immuniser de façon héréditaire des moustiques anophèles contre le parasite responsable du paludisme que les femelles de ces insectes transmettent à l'homme... [...] Pour immuniser ces moustiques, ces scientifiques de l'Institut américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) les ont infectés avec une bactérie, appelée Wolbachia, fréquente chez les insectes et qui a déjà montré sa capacité à empêcher le développement du parasite du paludisme chez les moustiques anophèles. Mais jusqu'alors les chercheurs n'étaient pas parvenus à immuniser ces moustiques de façon durable, avec la transmission de cette immunité par les femelles à leurs progénitures de génération en génération. Désormais, ils ont réussi à établir une infection héréditaire avec cette bactérie chez ces moustiques mâles comme femelles, expliquent-ils dans leur étude publiée dans la revue américaine Science datée du 9 mai. La bactérie Wolbachia empêche le développement du parasite Plasmodium, responsable du paludisme, dans l'intestin du moustique et le détruit dans ses glandes salivaires à partir desquelles il est transmis à l'homme via la piqûre de l'insecte. [...]
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