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Bernadette Cassel
May 28, 2024 10:38 AM
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Alors que l’examen du projet de loi agricole, qui s’est achevé samedi 25 mai après sept jours de débats à l’Assemblée nationale, touchait à sa fin, un nouvel article a animé l’Hémicycle, vendredi. A une courte majorité de 39 voix contre 35, les députés ont adopté un amendement réécrivant l’article 13, qui modifie les sanctions en cas d’atteinte aux espèces protégées et aux habitats naturels. Une réécriture dénoncée par les groupes d’opposition de gauche comme une régression environnementale « brutale ». Par Mathilde Gérard Publié le 24 mai 2024 à 20h33, modifié le 25 mai 2024 à 08h38 "Dans son intention d’origine, cet article visait à adapter le régime de sanctions pour reconnaître la « bonne foi » des agriculteurs lors de certaines atteintes qu’ils pourraient être amenés à commettre. Un exemple avancé par le gouvernement est celui de personnes qui abattraient des arbres touchés par des scolytes, en application des règles sanitaires, mais qui abriteraient aussi des nids d’espèces protégées et risquent aujourd’hui de se voir poursuivies pour cela – même si les poursuites de ce type sont rares, et les sanctions, encore plus." (...)
------ NDÉ [Image] Des arbres abritant une espèce protégée abattus à Vitré, l’Office français de la biodiversité saisi https://www.ouest-france.fr/bretagne/vitre-35500/des-arbres-abritant-une-espece-protegee-abattus-a-vitre-loffice-francais-de-la-biodiversite-saisi-144a3e7e-701b-11ee-a00f-d55111ba52f2 "À Vitré (Ille-et-Vilaine), trois vieux chênes qui abritaient des grands capricornes ont été abattus. L’espèce est pourtant protégée au niveau national et aussi au niveau européen. L’Office français de la biodiversité a été saisi." Ouest-France Marie SASIN. Publié le 22/10/2023 à 15h34
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Bernadette Cassel
October 26, 2023 11:19 AM
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« Double peine » pour les forêts de Gironde incendiées en 2022: insectes ravageurs du bois, les scolytes ont proliféré cette année dans les pins affaiblis de La Teste-de-Buch, contraignant les forestiers à trancher dans le vif face à cette « bombe à retardement ». Par AFP Publié: 26 Octobre 2023 à 10h16 "Là où jadis s’élevaient des pins maritimes vieux de 250 ans, les machines vrombissent pour abattre, élaguer, tronçonner, stocker et évacuer les nombreux troncs infestés de parasites. Le scolyte sténographe Le long de la piste 214, qui traverse la forêt de La Teste, des milliers de rondins s’amoncellent, symboles d’une nouvelle urgence environnementale dans un département déjà ébranlé par les incendies monstres de l’été 2022, dans lesquels 30 000 hectares de forêt avaient brûlé. C’est que le scolyte sténographe, petit insecte volant mesurant un demi-centimètre, s’attaque en priorité aux pins malmenés par un incendie ou une tempête. À l’accouplement, ce coléoptère marron s’infiltre entre l’écorce et le bois, pondant 30 à 50 larves qui vont creuser des galeries et détruire les canaux de sève, jusqu’à la mort de l’arbre. « L’année 2023 est aussi cruelle et dramatique que l’incendie », regrette Matthieu Cabaussel, l’un des syndics généraux gérant l’ancestrale forêt usagère (privée) de La Teste-de-Buch. « C’est la double peine. » Campagne d’abattage Face aux scolytes, qui s’attaquent aussi aux épicéas dans l’est de la France et plus largement dans les forêts d’Europe de l’est, un choix s’impose: la coupe. « Exploiter les bois attaqués, c’est le seul outil de lutte », explique Francis Maugard, responsable risques naturels pour l’Office national des forêts (ONF), en relevant un piège à phéromones utilisé pour mesurer la pullulation du coléoptère. Tout près de la célèbre dune du Pilat, dans ce secteur littoral très fréquenté l’été, l’ONF a immédiatement lancé une campagne d’abattage dans la forêt domaniale (publique) de La Teste, dont la moitié des 2 030 hectares a brûlé. Quelque 80 000 m3 de bois ont été retirés, l’équivalent de vingt années de récolte. Mais côté forêt usagère (FU), où la quasi-totalité des 3 800 hectares a été frappée par l’incendie, la réaction a tardé. Ses gestionnaires n’ont pu débuter les coupes qu’en janvier, après quelques tergiversations. Une « gestion calamiteuse » Une « gestion calamiteuse » pour Hervé Jactel, directeur de recherche du laboratoire BioGeCo (Biodiversité Gènes et Communautés) de l’Inrae qui critique aussi le stockage, à même la forêt, de piles de bois infestées. « Ça a été le milieu de reproduction idéal », pointe-t-il, décrivant l’enchaînement de plusieurs générations de scolytes en 2023 sur fond de chaleur persistante. « Une vraie bombe à retardement: si l’on ne fait rien, le printemps 2024 va être plusieurs milliers de fois plus dangereux. » Pour Matthieu Cabaussel, la malchance s’en est mêlée avec une météo chaude, ainsi qu’un marché « peu porteur » qui « freine la sortie du bois ». « Pas en situation épidémique » Le scolyte a déjà fait irruption dans les zones urbanisées de La Teste, contraignant des particuliers à abattre des pins dans leur jardin. « Il y a un risque d’explosion des populations », confirme François Hervieu, de la Direction régionale de l’alimentation, l’agriculture et la forêt (DRAAF), tout en nuançant la menace : « On n’est pas en situation épidémique: on est dans une situation qui nécessite la plus grande vigilance pour évacuer les arbres en temps voulu. » La nature, elle, reprend déjà ses droits: dans les sous-bois décimés, de jeunes pins en repousse pointent leurs épines parmi les souches calcinées et les fougères." [Image] Le long de la piste 214, qui traverse la forêt de La Teste, des milliers de rondins s’amoncellent, symboles d’une nouvelle urgence environnementale. Photo PHILIPPE LOPEZ / AFP - AFP
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Bernadette Cassel
April 5, 2023 11:14 AM
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The number of insects has been declining for years. This has already been well documented for agricultural areas. Now, a research team led by the Technical University Darmstadt have studied the trends of very many insect species in German forests. The results showed: The majority of the studied species are declining. Insect decline also occurs in forests Study of TU Darmstadt shows dramatic species decline 2023/04/04 Picture: Christoph von Beeren The green stink bug (Palomena prasina) is a common species that can be found on wooded areas in addition to forests. The animals are herbivores. ------- NDÉ Traduction Le nombre d'insectes diminue depuis des années. Ce phénomène a déjà été bien documenté dans les zones agricoles. Dans les forêts, cependant, les tendances temporelles sont surtout étudiées pour les espèces d'insectes considérées comme nuisibles. Une équipe de chercheurs dirigée par l'université technique de Darmstadt a étudié l'évolution de très nombreuses espèces d'insectes dans les forêts allemandes. Contrairement à ce que les chercheurs soupçonnaient, les résultats ont montré que la majorité des espèces étudiées sont en déclin. Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique "Communications Biology". Les forêts d'Europe centrale ont récemment attiré l'attention du public en raison de leur importance pour l'atténuation du changement climatique et des dégâts généralisés causés par les étés chauds et secs. Outre les êtres humains, de nombreuses espèces animales dépendent des écosystèmes forestiers, dont la plupart sont des insectes. Les insectes sont souvent considérés uniquement comme des nuisibles dans les forêts, comme le montrent, par exemple, les rapports sur les scolytes ou les hannetons. Si l'évolution au cours du temps des populations d'insectes nuisibles potentiels est bien étudiée, on sait peu de choses sur l'état et l'évolution des nombreuses autres espèces d'insectes remarquables dans les forêts. Une nouvelle étude menée par des chercheurs des universités techniques de Darmstadt et de Munich, en collaboration avec d'autres chercheurs, montre ici comment les populations de 1 805 espèces d'insectes ont évolué dans les forêts allemandes entre 2008 et 2017. À la surprise des chercheurs, le nombre d'individus a diminué au fil du temps pour la majorité des espèces évaluées. Cette évolution est particulièrement surprenante si on la compare aux terres agricoles, où le type d'utilisation des terres a changé au fil du temps et s'est intensifié, par exemple en raison de l'utilisation de pesticides plus efficaces, de l'élimination des structures de bordure ou de l'augmentation de la culture du maïs. Les perturbations de ce type ne jouent pas de rôle dans les forêts. Néanmoins, on a constaté un net déclin des espèces forestières, en particulier des espèces plus grandes et plus abondantes. Alors que le nombre d'espèces a augmenté légèrement plus que diminué chez les insectes herbivores, le nombre d'espèces a diminué de manière significative dans tous les autres types d'alimentation, tels que les prédateurs ou les décomposeurs de bois mort. La nouvelle étude a été menée dans le cadre des "Exploratoires de la biodiversité", un programme prioritaire d'infrastructure interdisciplinaire financé par la Fondation allemande pour la recherche (DFG) depuis 2006, dans trois régions : le parc national de Hainich, la réserve de biosphère de l'UNESCO de Schorfheide-Chorin et la réserve de biosphère de l'UNESCO de Swabian Alb. Le déclin était plus important dans les forêts à forte proportion de conifères, comme l'épicéa et le pin, qui sont naturellement rares dans les zones étudiées, mais qui ont été plantés dans le passé. En revanche, les pertes d'insectes étaient plus faibles dans les forêts de hêtres indigènes. En outre, dans les forêts protégées non gérées, le déclin était moins important que dans les forêts gérées de manière intensive. Avec cette étude, la plus complète à ce jour, sur le déclin des insectes dans les forêts d'Europe centrale, les auteurs montrent que les insectes ne sont pas seulement en déclin dans les paysages agricoles - comme cela avait été démontré précédemment - mais aussi dans les forêts, qui couvrent près d'un tiers de la superficie de l'Allemagne.
"Plus de 60 % des espèces d'insectes étudiées sont en déclin", explique l'auteur principal de l'étude, le Dr Michael Staab, du groupe des réseaux écologiques du département de biologie de l'université technique de Darmstadt. "Cela aura très probablement un impact sur tous les organismes de nos forêts, car les réseaux alimentaires risquent d'être modifiés". À la lumière du changement climatique, des recherches futures sont nécessaires pour comprendre comment l'augmentation de la sécheresse et les changements qui en résultent dans les forêts indigènes affecteront les tendances des populations d'insectes. L'étude
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Bernadette Cassel
July 19, 2022 3:52 AM
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La piste criminelle est privilégiée concernant l'incendie qui s'est déclaré dans le secteur de Landiras (Gironde). Sur le terrain, la police technique et scientifique enquête. Incendies en Gironde. A Landiras, la police technique et scientifique enquête sur l'origine du feu Le Républicain Sud-Gironde Publié le 18 Juil 22 ---------- NDÉ Lire aussi : À (re)lire : → Impact écologique des feux : et les insectes ? - De theconversation.com - 19 janvier 2020, 18:25 Les insectes influent-il sur les incendies ? C’est une question curieuse au premier abord, mais tout à fait sérieuse pour certaines régions, notamment tempérées, comme dans les forets boréales (Europe et Amérique du Nord). Que ce soit des défoliateurs (qui s’attaquent aux feuilles et bourgeons), comme le bombyx disparate, des insectes des écorces, comme les terribles scolytes (qui provoquent des réductions de matière inflammable par la chute de feuilles et d’aiguilles pour les conifères), ou qui augmentent la quantité de matière morte (bois des arbres morts), les insectes pourraient avoir un impact sur le régime de feux en diminuant la sévérité des incendies puisqu’il y moins de « carburants » à brûler ; alors que l’on pourrait croire que l’augmentation du bois mort augmente plutôt cette sévérité. Et les feux peuvent augmenter l’action de certains insectes xylophages (tous ceux qui se nourrissent de bois). Il y a probablement une relation complexe entre changement climatique, impact des insectes forestiers xylophages et sévérité des incendies qui nécessitent des observations plus poussées.
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Bernadette Cassel
March 8, 2022 1:18 PM
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Des bourgeons éclosent trop tôt, des oiseaux sont balayés par des cyclones, des insectes se reproduisent à gogo... Les hivers sont plus chauds et plus courts, et cela bouleverse les écosystèmes. Hortense Chauvin (Reporterre) 8 mars 2022
"En ce début mars, un petit air de printemps flotte au-dessus des jardins parisiens. Les bourgeons de magnolia gonflent doucement au pied des immeubles. Entre les troncs encore décharnés des platanes, les fleurs roses et blanches des prunus se mettent à poindre. Une envie d’ôter sa veste et de languir au soleil semble gagner les promeneurs. Un peu trop tôt pour la saison ? À cause du réchauffement climatique, les hivers sont de plus en plus doux et de plus en plus courts, rappellent les météorologues. Celui qui s’achève a été marqué par plusieurs records de chaleur, avec des températures allant à 21 °C à Marseille en décembre et à 23,2 °C à Toulon en février. En Europe, l’hiver a été 0,6 °C plus chaud que la moyenne enregistrée entre 1991 et 2020, selon le programme Copernicus. Cela a des conséquences désastreuses pour la biodiversité." (...) Au lieu d’hiberner, certaines espèces restent actives toute l’année Les insectes sont, dans leur grande majorité, des animaux ectothermes. Même si toutes les espèces répondent de manière spécifique au réchauffement de l’hiver, le chercheur Kévin Tougeron observe qu’un grand nombre d’entre eux ont tendance à ne plus entrer en diapause, qui correspond, « pour faire simple, à leur hibernation ». Au lieu d’interrompre leur développement pendant les mois les plus frais, certaines espèces restent désormais actives toute l’année. D’autres cessent leurs activités en décembre plutôt qu’en octobre, et la reprennent au mois de février plutôt qu’en mars. « Cela leur permet de continuer à exploiter leur environnement, de faire davantage de générations. » Si les insectes ont de quoi se réjouir, ce n’est pas nécessairement le cas des espèces dont ils se nourrissent. On peut évoquer l’exemple bien connu des scolytes, des petits coléoptères qui dévorent les forêts d’épicéas du Grand Est. « Lorsque les hivers sont plus doux et les périodes de végétation plus allongées, certaines espèces végétales peuvent s’affaiblir (surtout en cas de sécheresse) et devenir plus vulnérables aux ravageurs. Dans les forêts en monoculture, tous les arbres sont touchés en même temps. Cela peut aller très vite », explique Jonathan Lenoir. « Certaines espèces végétales peuvent devenir plus vulnérables aux ravageurs » Tous les insectes ne sortent cependant pas gagnants de l’adoucissement des conditions hivernales. « Certains, comme les carabes (de la famille des scarabées) ont besoin de froid, voire de gel pour terminer leur cycle de développement et atteindre la maturation de leurs organes sexuels, note Kévin Tougeron. On peut imaginer que si les hivers se réchauffent trop, cela pourrait leur poser problème. » (...) The global average temperature for February 2022 was about 0.2ºC higher than the 1991-2020 average for February; February daily sea ice extent around Antarctica reached its lowest value on record. [Image] Dessin : Marianne Tricot pour Reporterre
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Bernadette Cassel
May 12, 2021 11:42 AM
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Initialement déclenchée en région Grand Est, l'épidémie de scolytes s'étend désormais sur la quasi-totalité des forêts d'épicéas, de la moitié nord de la France (Bourgogne-Franche-Comté, Hauts-de-France, Normandie) à l’Auvergne Rhône-Alpes. Ces insectes, dont la taille varie entre deux et sept millimètres, sont naturellement présents dans notre écosystème. Le typographe est le scolyte commettant les plus gros dégâts dans les forêts d’épicéas, notamment dans le Grand-Est. En creusant des galeries dans le cambium (une fine couche sous l’écorce) pour y déposer leurs œufs, les femelles condamnent des arbres par milliers. En forêt, la crise des scolytes s’accélère partout en France ONF, 12.01.2021 [Image] Galeries creusées par les femelles pour pondre leur œufs. Crédit : Manon Genin / ONF __________________________________ Sur le même sujet : → Allier : il faut sauver la forêt des Colettes, victime d'un parasite, 12.05.2021 https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/allier/allier-il-faut-sauver-la-foret-des-colettes-victime-d-un-parasite-2087788.html La forêt des Colettes, dans l’Allier, subit depuis un an une attaque d'insectes qui fait dépérir ses épicéas. Pour éviter que les parasites ne se répandent, l'ONF (Office national des forêts) élimine les arbres malades. Il s'apprête à en faire tomber une centaine à Echassières. → PHOTOS/VIDEOS. Le paysage ardennais bouleversé par le scolyte, la biodiversité en danger, 11.05.2021 https://abonne.lardennais.fr/id256322/article/2021-05-11/photosvideos-ardennes-paysage-bouleverse-par-les-scolytes-biodiversite-en-danger → Pourquoi il faut construire avec de l'épicéa scolyté - Batirama.com, 03/09/2019 https://www.batirama.com/article/26996-pourquoi-il-faut-construire-avec-de-l-epicea-scolyte.html Comme ailleurs en Europe, l’épicéa est la vache à lait de la construction bois. Depuis la dernière guerre, on l’a planté massivement en monoculture et comme il s’agit de cultures rentables, on n’a pas hésité à étendre ces plantations à des zones où l’épicéa n’est pas vraiment à l’aise, comme les plaines. L'épicéa, une victime des tempêtes, des sécheresses… et des scolytes ! Ses racines peu profondes en font une victime désignée des tempêtes, mais aussi des sécheresses. L’une et l’autre calamité entraînent souvent une prolifération de scolytes, qui affectent aussi d’autres essences résineuses comme le pin maritime après la tempête de 2009. Depuis 2018, suite à une série de tempêtes qui ont dévasté l’Europe Centrale, le scolyte sévit un peu partout et également dans l’Est de la France, en région Grand Est, en Bourgogne Franche-Comté et désormais également en AURA. La dernière grande épidémie française a suivi la grande canicule de 2003. La première année, le bois attaqué était évalué à 1 millions de m3, la seconde année à 2, la troisième à 3. Puis le scolyte décline lentement dans la mesure où sa prolifération suscite le développement proportionnel de prédateurs.
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Bernadette Cassel
June 30, 2019 5:23 PM
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Par Alain Fraval. OPIE-Insectes. Les Épingles entomologiques - En épingle en 2019 : Juin "De temps à autre, un insecte inconnu des entomologistes, venu de nulle part, se fait connaître (et détester) comme ravageur important. C’est le cas de notre Mineuse du marronnier Cameraria ohridella (Lép. Gracillariidé). Saluons (si l’on peut dire) l’apparition du Scolyte du bibacier Cryphalus eriobotryae (Col. Curculionidé), espèce nouvelle pour la science et l’arboriculture. L’insecte a été observé pour la première fois en avril 2018 sur des sujets morts (qu’il avait tués) d’une pépinière près de Suzhou (Jiangsu, Chine). Il a été reconnu comme nouveau et décrit par Andrew Johnson, au labo d’entomologie de l’université de Floride (États-Unis) qui entretient une collection de scolytes et autres foreurs sous-corticoles congelés. Il en existe plusieurs milliers d’espèces, la plupart ravageurs secondaires (s’attaquant aux arbres affaiblis), certains primaires comme notre petit nouveau. On suppose qu’il a été introduit à Suzhou peu avant 2017, d’on ne sait où. Son génome a été séquencé mais on n’a encore aucune indication sur sa capacité à devenir invasif ni sur son impact économique potentiel. Les vergers de bibacier – alias néfliers du Japon – sont une spéculation très importante localement ; ces arbres fruitiers et ornementaux sont plantés partout sur le Globe." Article source (gratuit, en anglais) Photos : Cryphalus eriobotryae : femelle (à gauche) et mâle (à droite). De l’article À (re)lire : La Mineuse du marronnier, par Sylvie Augustin. Insectes n° 137 (2005-2).
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Bernadette Cassel
May 15, 2014 7:28 AM
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Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt. « En 2014, le Département de la santé des forêts fête ses 25 années de surveillance sanitaire des forêts. »
« Dans les années 80, le paysage sanitaire forestier était marqué par des évènements spectaculaires et de grande ampleur comme la graphiose de l’orme, la disparition des pins maritime dans le Var, la brunissure des peupliers…et surtout le débat très médiatisé sur les "pluies acides" et la menace qu’elles faisaient peser sur les forêts. C’est dans ce contexte que le DSF voit le jour ! En 1989, il prend en charge le suivi des forêts et assure depuis des missions de surveillance, de diagnostics et de conseils. »
« Au cours de ces 25 ans, le DSF a dû faire face à de nombreuses crises sanitaires : les crises climatiques d’abord comme les tempêtes de 1999, 2009 ou la canicule 2003 ; biotiques comme les rouilles du peuplier, l’arrivée de Chalara fraxinea sur frêne en 2007, les ravages des scolytes après la sécheresse de 2003 ou la tempête Klaus de 2009..., mais également des phénomènes plus complexes et multifactoriels comme les grands dépérissements de chênes en forêts de Vierzon ou des chênaies de Lorraine. »
« Appuyé sur un réseau de plus de 200 forestiers de terrain, les correspondants-observateurs, le DSF réalise une veille quotidienne des problèmes sanitaires en forêts. Il met en place des prospections dirigées pour détecter les organismes nuisibles et envahissants susceptibles de se répandre dans les forêts françaises et développe des suivis spécifiques en lien avec la recherche pour mieux comprendre les problématiques de santé des forêts. »
[...]
[Image] « Lophyre roux. (L.M.Nageleisen) »
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Bernadette Cassel
June 5, 2013 5:17 PM
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« 107 ans pour pousser, 20 minutes pour être abattus. Les deux plus grands arbres de France, 60 m, troisièmes en Europe, ont été planté côte à côte en 1906 à l'Arboretum de la Foux dans le massif de l'Aigoual. Un petit insecte, le scolyte, les a tués.»
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Bernadette Cassel
April 14, 2013 5:21 PM
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Les invasions biologiques sont aujourd’hui considérées comme la deuxième cause d'extinction d'espèces et d'appauvrissement de la diversité biologique après la destruction des habitats naturels. Parmi les organismes envahissants, les arthropodes ravageurs occasionnent d’énormes pertes financières et menacent la santé des forêts, l’agriculture et la santé animale ou humaine.
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Bernadette Cassel
March 14, 2013 6:10 PM
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Le réchauffement climatique favorise la diffusion du scolyte du fruit du caféier, un insecte qui fore les tiges des caféiers en Ouganda, et se diffuse à d’autres espèces d’arbres, d’après les chercheurs de l’Institut ougandais de recherche sur le café. Ce parasite (Hypothenemus hampei) a été identifié depuis 70 ans dans les plantations de thé au Sri Lanka, ainsi que dans les caféières à Hawaï et au Brésil, avec une préférence pour le robusta. [...]
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Bernadette Cassel
November 26, 2012 2:39 AM
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Il était une fois le dendroctone du pin ponderosa, un coléoptère brunâtre pas plus gros qu’un grain de riz qui ravageait les forêts de l’ouest canadien. Tant et si bien qu’il finit par y augmenter la température d’un degré tout l’été.
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Bernadette Cassel
April 16, 2024 12:00 PM
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Le gouvernement a annoncé ce lundi 15 avril un plan national de lutte contre le coléoptère qui dévore l’écorce des arbres. En raison du réchauffement climatique, sa prolifération s’accélère et plonge la filière bois dans une véritable crise. par Coppélia Piccolo publié le 15 avril 2024 à 17h42 Le scolyte est un insecte ravageur profitant du changement climatique pour proliférer. (Claire Jachymiak/Hans Lucas.Libération)
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Bernadette Cassel
April 17, 2023 12:56 PM
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"C’est la catastrophe que redoutent la plupart des acteurs de la forêt de La Teste-de-Buch : une prolifération au printemps des scolytes, notamment le "typographe" [sic], s’attaquant aux arbres fragilisés par l’incendie de juillet 2022 avant de coloniser les arbres sains." Parasites dans la forêt de La Teste-de-Buch, en Gironde : « Les premières attaques sont observées » Par David Patsouris, 17.04.2023 ------- NDÉ Bulletins de suivi de l'insecte Depuis le 20 mars, les relevés hebdomadaires des pièges montrent un démarrage des envols du scolyte sténographe du pin, excepté pour les secteurs de Saumos (33) et La Jemaye (24) qui n’enregistrent pas encore de captures significatives. D’autres espèces de scolytes sont également piégées en moindre proportion comme Orthotomicus erosus (érodé). Surveillance sanitaire des peuplements incendiés : détection des 1ères attaques Les premières attaques de sténographe sont observées depuis la fin de la semaine dernière sur piles de bois mais également sur arbres incendiés encore sur pied dans le secteur de La Teste-de-Buch. Des attaques du scolyte Orthotomicus erosus (érodé) sont aussi repérées sur arbres. Avec l’arrivée des beaux jours, l’envol des scolytes va s’intensifier et par conséquent les attaques. Dès lors qu’un arbre ou une pile de bois est attaqué(e), l’évacuation hors forêt de ceux-ci doit se faire dans un délai maximum de 6 semaines afin d’éviter un essaimage massif et un accroissement des populations de scolytes pouvant être préjudiciable aux peuplements de pins sains situés en périphérie des zones incendiés. Dans ce contexte, le stockage des piles de bois à proximité immédiate de pins verts est à proscrire. Rappel : Vous pouvez contribuer à la surveillance en signalant vos observations auprès du correspondant observateur du DSF de votre secteur ou en utilisant l’outil MOBIGIP. https://draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/carte_et_coordonnees_2023_des_correspondants_observateurs_de_la_nouvelle-aquitaine.pdf Service régional de l’alimentation Bordeaux, Pôle Santé des Forêts
[Image] Ce graphique montre l’augmentation des piégeages de scolytes, et donc la hausse de la prolifération dans les forêts girondines. Source Direction régionale de l’alimentation de l’agriculture et de la forêt NB : Quelques prédateurs sont observés, principalement le clairon des fourmis mais aussi des staphylins et Rhizofagus Pour en savoir plus → Ips sexdentatus (Curculionidae Scolytinae) — Wikipédia Ips sexdentatus, communément appelé le Sténographe, est une espèce d'insectes ravageurs de l'ordre des coléoptères, et de la sous-famille des Scolytinae. Il s'attaque tout particulièrement aux pins sylvestres, pins maritimes et pins noirs.
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Bernadette Cassel
February 22, 2023 10:10 AM
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Trees with fungal infections produce odours that attract bark beetles, which burrow into the bark and can devastate entire forests Bark beetles use the smell of fungus to pick the best trees to infest ------- NDÉ Traduction Les arbres atteints d'infections fongiques dégagent des odeurs qui attirent les scolytes, qui s'enfoncent dans l'écorce et peuvent dévaster des forêts entières. L'étude [Image] Ips typographus uses volatile cues from spruce bark inoculated with G. penicillata (Gp) to detect this symbiotic fungus. (A) Arena used for trap bioassays to study the behavior of I. typographus to volatiles emitted by a symbiotic fungus. Cups containing agar (with and without fungus) were offered to beetles as odor samples. Holes on each side of the cup allowed the beetles to smell but not touch the agar until they entered the cup and then could no longer escape. (B, C) Adult beetles chose Gp-colonized agar medium over fungus-free medium (n = 25, with two beetles per replicate). (D) Adult beetles chose Gp-inoculated spruce bark agar over Gp-inoculated agar without spruce bark (n = 25). (B–D) Deviation of response indices against zero was tested using Wilcoxon’s test. The data underlying this Figure can be found at https://doi.org/10.6084/m9.figshare.21692156.v1.
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Bernadette Cassel
March 17, 2022 11:56 AM
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Les Assises de la forêt et du bois ont fait émerger près de 300 propositions, notamment pour accompagner le changement climatique. Si plusieurs évolutions sont saluées par les parties prenantes, certains points seront remis sur le tapis. via établissement d'un lien préformaté [39281] / utilisation du flux d'actualité. [→ il est fait mention de scolytes dans l'article] [Image] Scoop.it Spécial Forêt : thème transversal au 10 mars 2022 _____________________________ Sur le même sujet : Canopée publie le bilan caché du plan de relance en forêt - Bruno Doucet, 16.03.2022 https://www.canopee-asso.org/canopee-publie-le-bilan-cache-du-plan-de-relance-en-foret/# Dans le cadre du plan « France Relance », le gouvernement a fléché 200 millions d’Euros vers la filière forêt-bois. L’objectif affiché : aider les forêts à s’adapter au changement climatique. Nous révélons dans notre enquête que cet argent public a en vérité principalement financé des coupes rases et la plantation de douglas. Le plan de relance a donc surtout permis de subventionner l’industrialisation de la gestion forestière. → Lire le rapport Les points clé du rapport - 87% des projets financés par le plan de relance en forêt privée sont des coupes rases.
- Dans 83% des cas, le plan de relance permet des plantations en monoculture. Dans les 17% restants (lorsqu’une parcelle fait plus de 10 hectares), il n’exige qu’une très faible diversification.
- Le douglas est l’arbre le plus planté grâce au plan de relance. Cet arbre n’est pas particulièrement bien adapté au changement climatique : c’est surtout l’arbre parfait pour industrialiser davantage la gestion forestière.
_____________________________ Sur le même thème : La politique forestière du gouvernement : « On va détruire des forêts pour planter des arbres ! » - Entretien avec Sylvain Angerand, 19 décembre 2020 - Mis à jour le 22 janvier 2021 https://reporterre.net/La-politique-forestiere-du-gouvernement-On-va-detruire-des-forets-pour-planter-des-arbres
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Bernadette Cassel
February 18, 2022 10:19 AM
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Comme chaque année, la Gazette et le Club Finances vous propose un décryptage de la loi de finances par Christian Escallier, directeur général du cabinet Michel Klopfer, et Céline Bachara DÉCRYPTAGE DE LA LOI DE FINANCES POUR 2022 Loi de finances 2022 : les concours de l’État (2/4) Publié le 09/02/2022 Élargissement de la dotation « biodiversité » (art. 193) La dotation « biodiversité » a pour objet de soutenir financièrement, sous condition de potentiel fiscal, les communes de moins de 10000 habitants dont tout ou partie du territoire est couvert par un parc naturel protégé. Elle totalisait 10 millions d’euros en 2021, répartis en trois fractions: Natura 2000 (5,5 millions d’euros), parcs nationaux (4 millions d’euros) et parcs naturels marins (0,5 million d’euros). Outre quelques aménagements des modalités de répartition (remplacement du critère potentiel fiscal par potentiel financier), la LFI élargit le périmètre de la dotation à la valorisation des aménités rurales, en créant une quatrième part dotée de 5 millions d’euros destinée, toujours sous conditions (faible densité, moins de 10000 habitants et potentiel financier inférieur à la moyenne de la strate), à des communes dont le territoire est classé en tout ou partie en parc naturel régional. De son côté, la fraction Natura 2000 est revalorisée de 5,5 millions d’euros à 14,8 millions, permettant d’élargir le champ des bénéficiaires par l’abaissement à 50 % de l’exigence de couverture du territoire communal par la zone protégée (au lieu de 75 % jusqu’à présent). Le texte fixe également un plancher d’attribution de 1 000 euros pour chacune des fractions et de 3000 euros pour la part « parc national ». Les communes nouvellement éligibles aux fractions 2 « parcs nationaux » ou 4 « parcs régionaux », à la suite d’une adhésion à la charte du parc national ou régional, reçoivent une attribution réduite des deux tiers en première année et d’un tiers en deuxième année. Le PLF prévoyait initialement un doublement de la dotation pour financer cet élargissement (de 10 millions à 20 millions d’euros). Toutefois, un complément de 4,3 millions d’euros s’est avéré nécessaire pour financer les mesures ajoutées en cours de discussion parlementaire ; il sera ponctionné sur la DGF du bloc communal. Extension du champ des subventions exceptionnelles aux communes forestières affectées par le scolyte (art. 194) L’article L.2335-2 du CGCT autorise l’attribution, par arrêté ministériel, de subventions de fonctionnement exceptionnelles aux communes subissant des difficultés financières du fait de circonstances anormales. La LFI prévoit que les préfets puissent attribuer, dans ce cadre, des subventions aux communes subissant une perte de recettes forestières (2 450 communes en perçoivent chaque année) du fait de situations anormales dans les conditions de gestion des forêts. L’exposé des motifs de l’amendement gouvernemental précise qu’il s’agit, ici, de venir en aide aux communes frappées par l’invasion du scolyte, un insecte ravageant les forêts de sapins et d’épicéas.
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Bernadette Cassel
January 18, 2020 12:33 PM
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Par Alain Fraval. OPIE-Insectes. Les Épingles entomologiques - En épingle en 2020 : Janvier "C’est en tous cas l’espoir des forestiers de l’Ohio (États-Unis) aux prises avec les destructions d’arbres de nombreuses essences par des scolytes (Col. Curculionidés) exotiques, du type ambrosien (rien à voir avec saint Ambroise). Ces xylébores, du genre Xylosandrus, forent des galeries dans le xylème où ils cultivent un champignon Ambrosia, introduit par la femelle, qui digère le bois pour leur compte. Ce sont des ravageurs secondaires : ils sont attirés par les arbres en souffrance, qui émettent de l’éthanol. Les arbres colonisés, qui ne révèlent que très discrètement leur état à l’examen de l’écorce, sont perdus. La lutte (chimique), visant les émergences au printemps, implique une surveillance, faite par piégeage. Classiquement, on dispose des bouteilles d’eau en plastique ouvertes d’un grand trou sur le côté, appâtées avec 2 pouces de gel hydro-alcoolique. Le dispositif est peu sélectif, il retient de nombreux insectes autres. D’où l’essai de 2 types de rondins-pièges (de faible diamètre) imbibés d’alcool éthylique. Le rondin est soit trempé dans l’alcool durant 24 h, soit percé d’un trou axial rempli d’alcool puis bouché. Une fois exposé, il est disséqué. Plusieurs essences peuvent être employées, l’érable rouge est la meilleure. Ces pièges sont attractifs pour X. germanus (espèce d’Extrême Orient, arrivée à New York en 1932, détectée en France en 1992) pendant une semaine et nettement plus sélectifs que les bouteilles, qui durent plus longtemps. Ils attirent aussi Anisandrus maiche, espèce invasive venue de Chine (et présente en Europe de l’Est). L’usage des rondins creux devrait faciliter le suivi des populations et la maîtrise de ces ravageurs très dommageables." Article source (gratuit, en anglais) Photos : bouteille-piège et rondin-piège. Clichés Walter Reeves.
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Bernadette Cassel
August 5, 2015 4:34 AM
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Bernadette Cassel
November 7, 2013 4:55 AM
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La Saskatchewan injecte 1,1 million de dollars pour combattre le dendroctone du pin en Alberta.
[Dendroctonus ponderosae, Coleoptera, Curculionidae]
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Bernadette Cassel
April 29, 2013 5:42 PM
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[...] Elles recevront 5 000 $ chacune pour soutenir leurs travaux de recherche en lutte biologique contre les ravageurs forestiers. Madame Srei est étudiante au doctorat et est dirigée par le Dr Claude Guertin de l'INRS-IAF et codirigée par le Dr Robert Lavallée du SCF. Son projet de recherche porte sur l'autocontamination et l'autodissémination des champignons entomopathogènes chez les populations de dendroctones. Madame Durand est étudiante au doctorat et est dirigée par le Dr Claude Guertin et codirigée par le Dr Éric Déziel, tous deux de l'INRS-IAF. Son projet de recherche porte sur la caractérisation et sur la biodiversité des bactéries et des champignons du microbiote chez le dendroctone du mélèze et son impact sur la lutte biologique.
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Bernadette Cassel
March 28, 2013 3:16 PM
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Bernadette Cassel
from Mes passions natures
February 20, 2013 1:38 PM
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Les épicéas de Sitka représentent une surface de 18.000 ha en Bretagne. Depuis le début des années 2000, ces arbres font l'objet d'une sévère attaque par un coléoptère qui se nourrit des tissus végétaux sous l'écorce, le Dendroctonus micans. [...] afin de limiter la progression des dendroctones, un autre coléoptère, prédateur exclusif du premier, nommé Rhizophagus grandis, a été lâché en grande quantité dans de très nombreuses forêts, de l'Ille-et-Vilaine jusqu'en Finistère, épargnant ainsi de nombreux arbres. Cette technique, appelée lutte biologique, évite l'emploi de produits chimiques tels que les insecticides. [...] Les premiers résultats sont déjà tangibles et l'épidémie sera totalement endiguée d'ici quelques années, ce qui est peu à l'échelle de la vie d'un peuplement forestier !
Via Bourdoncle
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Bernadette Cassel
November 24, 2012 9:46 AM
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« Cette essence de résineux couvre 20 000 ha de la forêt bretonne. Un insecte, le dendroctone, y fait des ravages. Plusieurs peuplements sont touchés et doivent être abattus...» → Le Dendroctone de l’épicéa http://www.crpf-lr.com/telechargement/DSF/dendroctone.pdf [Dendroctonus micans (Kug.) (Coléoptère, Scolytidae)]
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https://www.scoop.it/topic/entomonews?q=scolytes