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Bernadette Cassel
July 24, 2024 1:26 PM
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"Les scientifiques de l’université chinoise de Beihang à Pékin se sont inspirés des cafards pour développer un micro-robot capable de se déplacer à haute vitesse. « Le cafard est un insecte présentant d’excellentes performances, nous en avons tiré beaucoup de mécanismes bioniques », explique le doctorant Zhan Wencheng, qui a participé aux recherches. La machine mesure deux centimètres de long et ne pèse que 200 microgrammes, soit l’équivalent d’une quarantaine de cheveux selon les scientifiques." Georges Simmonds pour RT Flash, 17.07.20241
"Doté de deux longues pattes à l’avant et deux plus petites à l’arrière, le robot contrôlé à distance peut se déplacer en ligne droite et effectuer de rapides rotations. Il avance par micro bonds, grâce aux vibrations à haute fréquence d’un système aimanté dont il est équipé. De quoi filer à une vitesse de 37 centimètres par seconde lorsqu’il est équipé d’une batterie. « Sans batterie, sa vitesse la plus rapide peut atteindre 45 centimètres par seconde [soit 1,6 km/h], ce qui équivaut à la vitesse d’un cafard », estime le chercheur. Sa vitesse et surtout, sa capacité à se déplacer dans de multiples directions devraient permettre au robot de trouver des usages dans l’inspection d’infrastructures ou de systèmes industriels – comme les moteurs d’avions – mais aussi de participer à des recherches après une catastrophe naturelle."
Image : Structural design and moving mechanism of the BHMbot : Optical photo of an untethered BHMbot integrated with a lithium battery and an onboard power and control circuit (a ruler is used to show the scale).
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Bernadette Cassel
December 27, 2022 12:22 PM
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The physical intelligence of ant and robot collectives How ants and robots pull-off a prison escape without a plan or a planner By Leah Burrows | Press contact December 19, 2022 Harvard School of Engineering and Applied Sciences (SEAS) [Image] Mahadevan and his team studied real ants and developed parameters and a model to understand the excavation task of the ants. Driven by this understanding and building upon the models, the researchers built robotic ants, nicknamed RAnts. (Credit: Mahadevan Lab/Harvard SEAS) ------- NDÉ L'étude Un article en français → Des robots inspirés des fourmis unissent leurs forces pour s'échapper de leur prison, 27.12.2022 https://dailygeekshow.com/robot-fourmi-prison/
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Bernadette Cassel
May 12, 2019 5:03 AM
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Si le GPS est actuellement le système de localisation le plus utilisé, la nature, comme souvent, fait mieux que l’humain. Découvrez Antbot, le robot qui se localise comme une fourmi. Par Julien Dupeyroux, 08.05.2019 "La navigation est aujourd’hui un enjeu majeur dans le développement de véhicules et de robots autonomes. En 2018, on compte en moyenne 5 000 porte-conteneurs en service, plus d’un milliard de voitures en circulation sur les routes, et on estime que près de 5000 avions sont dans les airs à chaque instant. Afin d’assurer la fiabilité de ces moyens de transport, il apparaît urgent de travailler à l’élaboration de nouveaux systèmes de navigation robustes. Outre le véhicule autonome de demain, les applications de ces systèmes de navigation sont nombreuses : l’exploration d’environnements ayant subi des dégâts considérables (comme après un tremblement de terre), d’infrastructures urbaines, mais aussi à l’occasion d’exploration extra-terrestre, dont on peut citer les rovers Curiosity (NASA) et Exo-Mars (ESA) ; le transport de biens et de personnes sur de longues distances (livraison par des drones ou des robots terrestres mobiles) ; l’inspection et le ramassage automatiques des récoltes dans les champs ; la navigation maritime ; et enfin les applications militaires comme les missions de reconnaissance. En nous inspirant des fourmis du désert, nous avons développé AntBot, un petit robot à six pattes capable de se déplacer et surtout de se guider sans GPS." (...)
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Bernadette Cassel
January 25, 2019 12:41 PM
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Par Alain Fraval. OPIE-Insectes. Les Épingles entomologiques - En épingle en 2019 : Janvier "Un énième outil de désinsectisation des denrées est en train de naître sur une paillasse du laboratoire de Cornel Adler à l’institut Julius-Kühn (Quedlinburg, Allemagne). Les charançons et autres pyrales sont souvent détectés trop tard et il ne reste plus que le traitement au phosphure d’hydrogène, un fumigant très dangereux et vis-à-vis duquel beaucoup d’insectes ont développé une résistance. D’où le besoin d’un moyen de lutte non chimique. L’arme en cours de mise au point combine la reconnaissance automatique de forme -via une caméra à haute fréquence et un logiciel ad hoc – et le percement d’un trou dans le tégument du déprédateur cible identifié par un tir de laser. C’est le Charançon du blé Sitophilus granarius (Col. Curculionidé) qui a l’honneur d’étrenner le dispositif. L’insecte est noir, les interstices entre les grains sont noirs. Mais il n’échappe pas à l’identification, qui s’appuie sur une base d’images de contours d’insectes. L’orientation du tir du laser ne pose pas de problème ; il faudra toutefois doser finement sa puissance pour ne pas griller les grains alentour ni provoquer une explosion de poussière. Un prototype fonctionnel est annoncé en 2020." D’après « Lasertechnik gegen Kornkäfer », par Maren Schibilsky. Lu le 24 janvier 2019 à www.deutschlandfunk.de/ Photo : Charançon du blé adulte. Cliché DF NDLR : un projet analogue antérieur : « Guerre des étoiles », Épingle de 2009.
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Bernadette Cassel
February 6, 2013 11:52 AM
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Des chercheurs de l'Université de Tokyo ont cherché à étudier le comportement d'un insecte auquel on laisse les commandes d'un robot assez basique. Les résultats sont surprenants. Le bombyx du mûrier est plus connu pour sa chenille, le ver à soie, que pour ses facultés à piloter un engin robotisé. Et pourtant, le mâle étudié est parvenu à contrôler un robot afin de se diriger vers un espace chargé en phéromones d'une femelle de son espèce. ...
→ Scientists let a moth drive a robot, study its tracking behavior http://www.engadget.com/2013/02/06/moth-drives-robot/
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Bernadette Cassel
January 21, 2023 12:36 PM
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Des chercheurs ont conçu un robot doté d'un sens de l'odorat grâce à des antennes de criquet et à l'intelligence artificielle. Sciences > Innovation Par Morgan Fromentin, publié le 21 janvier 2023 "Dans une étude publiée récemment dans le journal Biosensor and Bioelectronics, un groupe de chercheurs de l’Université de Tel Aviv explique avoir mis au point un robot capable d’identifier de nombreuses odeurs avec une précision 10 000 fois supérieure à certains appareils spécialisés. Les scientifiques décrivent leur robot comme une plateforme bio-hybride (un cyborg donc). Celui-ci a plusieurs antennes prélevées sur un criquet pèlerin et connectées à un système électronique pour mesure la quantité de signaux électriques produits par les antennes lorsqu’elles détectent une odeur. Elles sont appairées au robot via un algorithme qui a appris à distinguer les odeurs par leur signal de sortie." (...) ------- NDÉ L'étude Vidéo → A scientific first: A robot able to “smell” using a biological sensor - YouTube, 19.01.2023 https://www.youtube.com/watch?v=YuB6akSlVE4 [Image] tirée de l'étude
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Bernadette Cassel
June 11, 2020 1:08 PM
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Les insectes volants ont développé des stratégies efficaces pour naviguer dans les environnements naturels. Mais l’étude expérimentale de ces stratégies est encore difficile en raison de la petite taille et de la grande vitesse de déplacement des insectes : seules sont possibles aujourd’hui les études d’insectes « attachés » ou en vol stationnaire. CNRS, 10.06.2020 "Des scientifiques du CNRS, de l’Université de Lorraine et d’Inrae ont développé le premier robot guidé par des câbles, capable de suivre et d’interagir avec un insecte en vol totalement libre. A l’aide de ce « laboratoire-sur-câbles », muni de caméras et d’un contrôleur qui minimise l'erreur de suivi entre la position de l'insecte et celle du robot, ils ont pu étudier le vol libre de papillons de nuit (Agrotis ipsilon, environ 2 cm de long) jusqu'à 3 mètres/seconde. Ces travaux ouvrent la possibilité de suivre d’autres insectes comme les drosophiles ou les moustiques et permettront de mieux comprendre les stratégies d’orientation de ces insectes, en réponse à des stimulations olfactives ou visuelles par exemple. Les résultats sont publiés le 10 juin et font la couverture de Science Robotics." - Automatic tracking of free-flying insects using a cable-driven robot. Rémi Pannequin, Mélanie Jouaiti, Mohamed Boutayeb, Philippe Lucas et Dominique Martinez. Science Robotics, le 10 juin 2020. DOI : 10.1126/scirobotics.abb2890
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Bernadette Cassel
February 20, 2019 7:13 AM
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Inspirée de la fourmi du désert, AntBot peut se promener et rentrer seul à la maison automatiquement, sans GPS, ni cartographie. Pour les chercheurs du CNRS, sa « boussole céleste » pourrait équiper à l'avenir des véhicules autonomes, des drones et d'autres robots explorateurs. Par Fabrice Auclert, 16.02.2019 "Dans un article publié dans la revue Science Robotics, des chercheurs du CNRS et d'Aix-Marseille Université ont présenté un robot d'un nouveau genre. Baptisé AntBot, il ressemble à une araignée à six pattes mais il est inspiré de la fourmi du désert, Cataglyphis, et utilise la lumière plutôt qu'une puce GPS pour naviguer et se déplacer. Contrairement à ses cousines qui habitent dans des climats plus cléments, la fourmi du désert ne peut pas utiliser de phéromones comme aide à la navigation à cause de la chaleur. Elle dépend donc entièrement de ses autres sens pour pouvoir retrouver son nid après avoir parcouru plusieurs centaines de mètres. Les fourmis sont capables de voir la lumière polarisée et les rayons ultraviolets, invisibles à l'œil humain. Grâce à la lumière polarisée du ciel, elle est capable de mesurer précisément son cap pour savoir à tout moment dans quelle direction se trouve le nid. Elle mesure la distance en comptant ses pas, et sait exactement où elle se trouve par rapport à son point de départ. D'autres insectes utilisent également ce système, comme les drosophiles qui sont ainsi capables de voler en ligne droite." (...)
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Bernadette Cassel
August 31, 2015 3:11 PM
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Depuis le début du 20ème siècle, la recherche génétique a réalisé des progrès immenses grâce à un insecte minuscule : la drosophile. Cette mouche a la particularité d’avoir des cellules et des organes qui réagissent comme ceux des humains et c’est grâce à elles qu’on a découvert que les radiations causent des mutations génétiques, de même que les molécules qui régissent les communications entre les cellules. Afin d’optimiser la recherche utilisant ces insectes, des chercheurs de l’université de Stanford ont conçu un robot miniature pour les observer.
[Vidéo] Robot handling live fruit flies used in science experiments - YouTube, Stanford, 28.05.2015 https://www.youtube.com/watch?v=mUWVWFqI1iE
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