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Débat scientifique sur le déclin des insectes : que reste-t-il à prouver ?

Débat scientifique sur le déclin des insectes : que reste-t-il à prouver ? | EntomoNews | Scoop.it
Pour la première fois, l’Académie des sciences vient d’émettre un avis très clair sur le déclin des insectes et l’urgence d’agir.
Bernadette Cassel's insight:

Partagé aussi sur EntomoScience - 29 janvier, 18:57

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Le déclin des Insectes : il est urgent d’agir

Le déclin des Insectes  : il est urgent d’agir | EntomoNews | Scoop.it

Lien vers l'article :

 

 

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"Apparus il y a plus de 400 millions d’années, les Insectes représentent le groupe taxonomique le plus riche et diversifié, avec plusieurs millions d’espèces. Sous l’effet de la disparition des habitats, de l’intensification de l’agriculture avec l’usage massif des pesticides, du réchauffement climatique et des invasions biologiques, les Insectes montrent des signes alarmants de déclin. Bien que difficiles à quantifier, la disparition des espèces et la réduction de leurs populations sont avérées et communes à de nombreux écosystèmes. Elles se traduisent par une perte des services rendus, comme la pollinisation des plantes vivrières, le recyclage de la matière organique, la fourniture de biens comme le miel, et l’équilibre des réseaux trophiques. Il est donc urgent de freiner le déclin des Insectes. Pour cela, il faut mettre en œuvre des suivis à long terme des populations, réduire l’usage des insecticides de synthèse, préserver les habitats naturels, et réinventer la relation de l’Homme à l’Insecte en revalorisant son image et ses usages."

 

Hervé Jactel ; Jean-Luc Imler ; Louis Lambrechts ; Anna-Bella Failloux ; Jean Dominique Lebreton ; Yvon Le Maho ; Jean-Claude Duplessy ; Pascale Cossart ; Philippe Grandcolas

 
  • Insect decline: immediate action is needed
    [Le déclin des Insectes  : il est urgent d’agir] 

Académie des sciences - Comptes Rendus. Biologies, 27 p., Tome 343 (2020) no. 3, pp. 267-293. Première publication : 2021-01-25

DOI : https://doi.org/10.5802/crbiol.37

  

[Image] Principales causes, processus et mécanismes de mortalité des Insectes.

Bernadette Cassel's insight:

 

"Vient de paraître ! Le déclin des #insectes : il est urgent d'agir Dans un avis qu’elle publie ce jour, l’Académie des sciences s’inquiète de l’érosion de la #biodiversité des Insectes et de ses possibles conséquences #écologiques et #économiques"

 

Académie des sciences sur Twitter, 26.01.2021

https://twitter.com/AcadSciences/status/1353983019070218244

 

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Étonnant : ces araignées sauteuses "allaitent" comme les mammifères

Étonnant : ces araignées sauteuses "allaitent" comme les mammifères | EntomoNews | Scoop.it
Les bébés de Toxeus magnus sont alimentés par leur mère jusqu’à l’âge adulte par un liquide nutritif fabriqué par la mère. Un comportement jusqu’ici uniquement observé chez des mammifères évolués.

 

Par Céline Deluzarche, 03.12.2018

 

Du lait ou… des œufs brouillés ?

Mais s’agit-il vraiment de lait, comme celui des humains, des vaches et autres mammifères ? Au sens strict du terme, le lait se définit comme « un liquide nutritif délivré par les glandes mammaires chez les mammifères ». Ce qui exclut donc, a priori, l’araignée sauteuse. Plutôt que de lait, il faudrait plutôt parler… d’œufs brouillés, selon Zhanqi Chen : le liquide en question pourrait être constitué d’œufs liquéfiés excrétés prématurément. Un phénomène déjà observé chez certains amphibiens, qui pondent des « œufs trophiques » pour nourrir leurs petits. Le cafard du Pacifique (Diploptera punctata), un des rares insectes vivipares, alimente lui aussi sa progéniture avec de minuscules cristaux de protéines fabriqués dans son abdomen.

 

Un "allaitement" qui perdure chez les adultes

Mais ce nourrissage ne dure que très peu de temps, alors que les mères araignées sauteuses, elles, continuent d’alimenter leur progéniture très longtemps, même au-delà de l’âge adulte. Mais seulement les femelles, remarquent les chercheurs. Les jeunes mâles, eux, sont systématiquement attaqués lorsqu’ils tentent de revenir au bercail. Un comportement destiné à favoriser la survie de l’espèce : « plus de femelles signifie plus de chances de procréer », explique Zhanqi Chen, de l’Académie des sciences chinoises."

(...)

 

 

[Image] Bébés araignées qui tètent une mère. (Rui Chang Quan)

Bernadette Cassel's insight:
 
Cette araignée sauteuse "allaite" ses petits | EntomoNews | Scoop.it - From www.gurumed.org - December 1, 5:52 PM
 
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Au Cameroun, des scientifiques tchèques étudient l’impact des changements climatiques sur la pollinisation

Au Cameroun, des scientifiques tchèques étudient l’impact des changements climatiques sur la pollinisation | EntomoNews | Scoop.it
Une équipe scientifique tchèque composée de chercheurs de l’Université Charles et de l’Académie des Sciences étudie depuis fin janvier les insectes pollinisateurs et la flore locale sur le point culminant de l’Afrique de l’Ouest, le Mont Cameroun. Uniques en leur genre, la faune et la flore de ce site volcanique font partie des plus riches au monde. Un journaliste de la station de radio tchèque Radio Plus s’est rendu sur place pour un reportage dans la forêt vierge.

 

Par Anna Kubišta, Ondřej Novák - Radio Prague, 27.02.2018

 

"Début février, Ondřej Novák, notre confrère de la station Radio Plus, a passé deux semaines au Cameroun en compagnie de toute l’équipe de scientifiques tchèques pour lesquels il ne s’agit pas du premier séjour en Afrique. Ce nouveau voyage de recherches doit permettre de mieux comprendre les interactions entre les insectes pollinisateurs et les fleurs, ainsi que leur évolution à l’échelle globale.

 

Le parc national du Mont Cameroun est un des endroits les plus pluvieux de la planète. Même pendant la saison sèche, il y fait particulièrement humide. Robert Tropek est entomologiste, il est aussi le responsable de l’expédition scientifique :

 

« Le Mont Cameroun est unique parce qu’il concentre différents types de forêts ainsi qu’un grand nombre de milieux différents sur un territoire relativement restreint. Le résultat, c’est que même pour une région tropicale, on y trouve une quantité inouïe d’espèces. »"

(...)

 

Photo Věda on Air

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Douces tueuses

Douces tueuses | EntomoNews | Scoop.it

Par Alain Fraval. OPIE-Insectes. Les Épingles entomologiques - Les Épingles du n° 187 d'Insectes (4e tr. 2017)


"Échappées d’un élevage expérimental au Brésil en 1957, les abeilles métisses « africanisées », dites « abeilles tueuses » (Apis mellifera x A. m. ligustica x A. m. iberensis), se sont répandues jusqu’aux États-Unis, par leur propres moyens ou transportées involontairement par bateau. Elles sont le fruit du croisement d’abeilles européennes (douces mais fragiles) avec l’abeille sud-africaine. Cette dernière se défend vigoureusement contre ses prédateurs ancestraux (indicateur, ratel), va chercher plus activement sa provende et résiste au climat aride. Partout, elle supplante l’abeille européenne ; les reines préfèrent son sperme. Elle est un danger pour le public mais sa robustesse et sa production sont appréciées. Elle résiste notamment au Varroa, acarien parasite destructeur.


À Porto Rico (Grandes Antilles), où elle s’est installée il y a une trentaine d’années, elle est devenue très supportable, beaucoup moins agressive que ses congénères continentales.


Son génome, exploré par une équipe de l’université de l’Illinois (États-Unis) et de l’académie des Sciences chinoise, est quasi identique à celui des abeilles africanisées mexicaines. Il en diffère par un petit nombre de gènes « européens » qui lui confèrent sa douceur.


Ce caractère est promu par une sélection positive, à partir d’une diversité génétique supérieure à celle de l’abeille européenne. Les chercheurs avancent une hypothèse : sur une île petite, dont elles ne peuvent s’échapper, seules les abeilles aimables ont été conservées ; les habitants ont éliminé les « normales ».
Cette abeille portoricaine résistante et productive pourrait servir à renouveler les cheptels des apiculteurs américains, très diminués par le syndrome de l’effondrement des colonies."


D’après, entre autres, « Genomic study explores evolution of gentle 'killer bees' in Puerto Rico », lu le 16 novembre 2017 à //phys.org/news/

 

 

[Image] Study reveals that Africanized bees in Puerto Rico have evolved into a gentler insect. (Photo by Jeffrey W. Lotz, Florida Department of Agriculture and Consumer Services.)

 

[via] News « News « College of LAS « Illinois
http://www.las.illinois.edu/news/article/?id=24048&key=/news/2017/killerbees17/

 

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Extinction des espèces : la Suisse n’est pas épargnée

Extinction des espèces : la Suisse n’est pas épargnée | EntomoNews | Scoop.it
Plantes, animaux et champignons ne disparaissent pas seulement dans la forêt tropicale, mais aussi chez nous. Dans le dernier numéro du magazine HOTSPOT « Le point sur l’extinction des espèces », le Forum Biodiversité Suisse de l’Académie des sciences naturelles met en évidence l’ampleur et les mécanismes de ce phénomène en Suisse.

 

25.10.2017 | Annonce | Sciences naturelles Suisse

 

[Image] Espèces éteintes en Suisse : Gomphe à pinces (Onychogomphus uncatus). (Image: Hansruedi Wildermuth)

 

 

 

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Néonicotinoïdes. Les abeilles solitaires nées à proximité des champs traités ne reviennent jamais y nicher

Néonicotinoïdes. Les abeilles solitaires nées à proximité des champs traités ne reviennent jamais y nicher | EntomoNews | Scoop.it
Deux nouvelles études confirment la nocivité des néonicotinoïdes, famille de pesticides introduits sur le marché au milieu des années 1990.


Abeilles et bourdons sont irrésistiblement attirés par les pesticides qui les tuent. Par Stéphane Foucart, 23.04.2015


[Extraits de l'article ajoutés ci-après le 12.10.2015]


« Plus une semaine ne passe sans que de nouvelles pierres soient déposées dans le jardin des néonicotinoïdes, ces insecticides suspectés d’être un élément déterminant dans le déclin récent des abeilles domestiques, des insectes pollinisateurs et des oiseaux. Après la publication, début avril, d’un rapport des académies des sciences européennes critiquant sévèrement les « impacts négatifs sévères » de ces molécules sur l’environnement, la revue Nature publie, jeudi 23 avril, deux nouvelles études qui assombrissent encore le bilan de ces pesticides introduits sur le marché au milieu des années 1990. »


« La première, conduite par Geraldine Wright et Sébastien Kessler (université de Newcastle, Royaume-Uni) a consisté à tester la capacité des abeilles domestiques (Apis mellifera) et des bourdons (Bombus terrestris) à éviter spontanément les plantes traitées aux néonicotinoïdes. Le résultat est stupéfiant : non seulement ces insectes ne sont pas repoussés par ces substances insecticides, mais ils sont attirés par elles. »


[...]


« Avec quelles conséquences ? C’est l’objet de la seconde étude publiée par Nature, menée par des chercheurs suédois conduits par Maj Rundölf (université de Lund, Suède). Les auteurs ont inclus 16 champs de colza dans leur expérience, tous étant situés dans le sud de la Suède et tous faisant partie intégrante de paysages semblables. La moitié des champs analysés étaient traités avec un néonicotinoïde courant (la clothianidine) couplé à de la cyfluthrine (un insecticide de la famille des pyréthroïdes) ; l’autre moitié n’avait reçu que la cyfluthrine pour traitement insecticide. Maj Rundölf et ses collègues ont ensuite suivi l’état des colonies de bourdons et d’abeilles domestiques dans ces champs, ainsi que celui d’une abeille solitaire (Osmia bicornis). »


« Les auteurs observent d’abord que l’abondance de bourdons et d’abeilles solitaires est réduite de moitié dans les champs ayant reçu un traitement systémique à base de clothianidine (ou les semences ont été enrobées du principe actif) par rapport aux champs témoins, exempts du néonicotinoïde. Les colonies de bourdons montrent en outre un succès reproductif très inférieur dans les champs traités. Et les abeilles solitaires nées à proximité de ces derniers ne reviennent jamais y nicher, contrairement à celles originaires des champs témoins. »


[...] 

                          

Bernadette Cassel's insight:


SUR ENTOMONEWS


Les preuves s'accumulent : Deux nouvelles études confirment l'impact des néonicotinoïdes sur les abeilles et les bourdons

                                      

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L’ambre birman apporte un éclairage nouveau sur l’histoire évolutive et la diversité fossile des guêpes

L’ambre birman apporte un éclairage nouveau sur l’histoire évolutive et la diversité fossile des guêpes | EntomoNews | Scoop.it
L’étude de l’histoire évolutive des insectes est depuis longtemps liée à celle du registre fossile et aux informations qu’il fournit. Dans deux articles parus respectivement dans Zoological of the Linnean Society en juillet 2020, et dans Cretaceous Research en septembre 2020, Corentin Jouault (étudiant en Master PPP de l'université de Rennes 1) et des chercheurs de Géosciences Rennes, du Muséum National d’Histoire Naturelle, et de l’Académie des Sciences de Moscou, clarifient l’histoire évolutive des guêpes Bethylidae et décrivent une nouvelle famille de guêpes fossiles.

 

Par AHLeGall, 12.01.2021

 

"L’ambre du Crétacé moyen du Myanmar est actuellement le plus étudié au monde. Depuis deux décennies, l'exploitation des très riches gisements de la vallée du Hukawng a fourni une quantité pléthorique d’inclusions fossiles d’insectes, de plantes, et plus rarement de petits vertébrés, tous piégés dans des coulées de résine de conifères il y a environ 98 millions d’années. Ces fossiles livrent des informations cruciales pour comprendre l’histoire évolutive des lignées d’insectes. L’une des particularités de l’ambre est de conserver l'organisme piégé en 3D, parfois même ses structures internes, et ainsi de restituer de manière exceptionnelle tous les détails morphologiques préservés depuis des millions d'années. Dans le cas des guêpes étudiées (Figs. 1-2), il est alors possible de les comparer avec leurs plus proches représentants actuels, puis d’établir les relations de parenté entre les espèces actuelles et fossiles en se basant sur leurs ressemblances et sur les caractères qu’elles partagent (Fig. 1C).

 

Dans la première étude visant à clarifier les relations de parenté au sein des guêpes parasitoïdes Bethylidae, aussi appelées « guêpes plates » en raison de leur apparence aplatie, deux nouveaux genres et espèces ont été décrits: Cretapristocera longiscapa (Fig. 1A,B) et Megalopsenella pouilloni. Les nouveaux taxons ont ensuite été implémentés dans une analyse cladistique intégrant des genres actuels mais également fossiles, et représentant l’ensemble des 8 sous-familles de Bethylidae (Fig. 1C). Cette analyse a permis d’établir un « schéma d’apparition » des sous-familles et suggère que les Holopsenellinae, auxquels appartient Megalopsenella pouilloni, ont divergé en premier, c’est à dire qu’ils se sont séparés précocement de l’ancêtre commun qu’ils partagent avec le reste des Bethylidae (Fig. 1C). Ce placement est également confirmé par l’étude de la nervation alaire qui suggère une simplification (réduction du nombre de veines et de cellules) au cours de l'histoire de cette famille.

 

Dans la seconde étude, la découverte par Vincent Perrichot, dans une collection d’ambre privée allemande, d’un spécimen de guêpe présentant des caractéristiques morphologiques atypiques, a mené à la description d’une nouvelle famille : les Ohlhoffiidae (Fig. 2). Nommée en l’honneur du collectionneur Rainer Ohlhoff qui a fourni le spécimen type, cette famille représente une lignée éteinte au sein d'un groupe de guêpes parasites visiblement florissant au Crétacé, mais aujourd'hui réduit à une seule famille."

(...)

 

 

 

[Image] A-B : Cretapristocera longiscapa (holotype I GR. BU-009), habitus en vue dorsale.

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Quand Schelling explique le « syndrome de La Havane »

Quand Schelling explique le « syndrome de La Havane » | EntomoNews | Scoop.it
Étourdissements, céphalées, troubles auditifs, saignements, nausées… Depuis 2016, les diplomates américains et canadiens en poste à Cuba sont victime d’un mystérieux « syndrome de La Havane ». Neurotoxine ? Technologie inconnue ? Ou même stridulation d’une espèce locale de grillon ?

 

Octave Larmagnac-Matheron publié le 15 déc 2020

 

"De nombreuses hypothèses ont été proposées, sans qu’aucune ne convainque vraiment. Sollicitée pour expliquer le phénomène, l’Académie nationale de médecine, des sciences et de l’ingénierie américaine a rendu ses conclusions il y a quelques semaines : les diplomates nord-américains auraient été victimes d’attaques par radiofréquences pulsées. Reste à déterminer à qui appartiennent les armes à micro-ondes en cause. La Russie a rapidement été évoquée, sans que son implication ne puisse être établie. La liste réelle des États en possession d’armes à ondes, sonores ou électromagnétiques, est inconnue, mais elle est certainement plus longue que ne le disent les discours officiels. Ces « armes à énergie dirigée » sont aujourd’hui au cœur de bien des projets militaires, parce qu’elles détraquent le principe même qui assure la cohérence de tout corps : sa résonance, comme remarquait déjà le philosophe allemand Friedrich Wilhelm Joseph Schelling."

(...)

 

 

________________________________

 

SUR LE MÊME SUJET :

→ "Syndrome de La Havane" : l'hypothèse d'une attaque par micro-ondes gagne en crédibilité, 07.12.2020 https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20201207-syndrome-de-la-havane-l-hypoth%C3%A8se-d-une-attaque-par-micro-ondes-gagne-en-cr%C3%A9dibilit%C3%A9

 

Bernadette Cassel's insight:

 

À (re)lire :

 

« Stridulations morbifiques » : elles ont pourri la vie des gringos - De www7.inra.fr - 8 janvier 2019, 19:04

 

Le "champ de force" évoqué par des diplomates américains tombés malades à Cuba était... - De www.marianne.net - 8 janvier 2019, 11:12

 

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'ondes' in EntomoNews | Scoop.it
https://www.scoop.it/topic/entomonews/?&tag=ondes

 

(18 scoops)

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Les chercheurs chinois développent un pesticide pour diminuer la contamination des sols

Les chercheurs chinois développent un pesticide pour diminuer la contamination des sols | EntomoNews | Scoop.it
Les chercheurs chinois ont développé un nouveau pesticide qui utilise la nano-technologie à libération lente pour en augmenter l'efficacité et diminuer la pollution des sols.

Une équipe dirigée par Wu Zhengyan de l'Institut des sciences physiques de Hefei relevant de l'Académie des sciences de Chine (ASC), a utilisé l'amidon soluble comme modèle et une microsphère de carbonate de calcium poreux comme porteur pour fabriquer un pesticide à libération nano-contrôlée. Il peut contrôler la diffusion des molécules de pesticide dans l'environnement, réduisant les pertes mais aussi les dégâts causés à l'environnement.

Les résultats ont récemment été publiés dans un journal académique publié par l'American Chemistry Society intitulé l'ACS Sustainable Chemistry and Engineering.

(...)

 

french.xinhuanet.com, 22.02.2018

 

 

[Image] Graphical abstract

A multifunctional nanopesticide system using chitosan modified magnetic diatomite with collectability was constructed and displayed outstanding control efficacy on weed and pest.

 

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[via] Chinese scientists develop new controlled-release pesticide - Xinhua | English.news.cn, 21.05.2018

 

Actu repérée par @Sylvain Rotillon
sur Phytosanitaires et pesticides

https://www.scoop.it/t/phytosanitaires-et-pesticides/p/4097897066/2018/05/21/chinese-scientists-develop-new-controlled-release-pesticide

 

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Identification des phéromones sexuelles chez le frelon asiatique

Identification des phéromones sexuelles chez le frelon asiatique | EntomoNews | Scoop.it
Des chercheurs de l’Académie chinoise des sciences (Yunnan), l’université de l’Académie chinoise des sciences (Pékin), l’université agricole de Yunann et l’université de Californie (San Diego) se sont intéressés aux phéromones impliquées dans la reproduction du frelon asiatique, Vespa velutina. L’objectif était d’identifier les glandes sécrétantes, et d’en caractériser les composants actifs. Face à un prédateur redoutable de l’abeille domestique Apis mellifera, l’idée était de pouvoir fournir une stratégie potentielle de contrôle de cette espèce invasive

 

La Semaine Vétérinaire n° 1740 du 16/11/2017 (abonnés)

 

 

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[Image] Mâles de Vespa velutina englués dans un piège appâté à la phéromone de synthèse (déposée sur la languette de papier blanc). Cliché Ping Wen. https://3c1703fe8d.site.internapcdn.net/newman/csz/news/800/2017/1-luringhornet.jpg

 

[via] Frelon asiatique dans un piège, 20.10.2017 (en libre accès)
https://www.gdsa-06.com/dernieres-nouvelles

 

"Comment en finir avec Vespa velutina (Hym. Vespidé), un envahisseur de l’Europe occidentale et de la Corée venu de Chine ? Sans concurrent ni prédateur, il se reproduit très vite et se répand, causant des dommages à l’apiculture. L’Abeille domestique européenne n’est en effet pas en mesure de résister à ses mandibules. Tous les moyens ont été essayés et certains promus à grand bruit, des appâts alimentaires maison à la poule en passant par le drone et les plantes carnivores*.


James Nieh de l’université de Californie à San Diego (États-Unis) et ses collaborateurs de l’Académie des sciences chinoise et de l’université agronomique du Yunnan viennent de décrire la composition de la phéromone d’attraction sexuelle. La gyne (femelle) la produit par des glandes ventrales débouchant entre deux segments de son abdomen (6e membrane).


Elle est composée surtout des acides 4-oxo-octanoïque et 4-oxo-decanoïque. Obtenu par synthèse, le mélange – avec les proportions naturelles - excite fortement les récepteurs antennaires des mâles. Présenté comme appât, il se révèle fortement attractif.


Une découverte qui permettra d’améliorer la détection de la peste sur le front de l’invasion et peut-être d’en réduire les populations.

 

  • Sur ce site, de nombreux articles sur le Frelon asiatique, accessibles via l'outil de recherche (en tapant velutina).

 

→ Recherche dans les sites OPIE http://www7.inra.fr/opie-insectes/cherche.htm

Bernadette Cassel's insight:

 

À lire aussi :

 

Lutte contre le frelon asiatique | EntomoScience | Scoop.it - From passion-entomologie.fr - January 12, 2017 12:49 PM

 

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Un parasite végétal pour communiquer

Un parasite végétal pour communiquer | EntomoNews | Scoop.it
Grâce à la cuscute, une espèce de « vampire végétal », des plantes dévorées par des insectes peuvent transmettre leurs réactions de défense à leurs congénères.

L' expression « faire la plante verte » disparaîtra-t-elle un jour de la langue française ? On sait déjà que les plantes, loin d'être passives et inertes, sont capables de communiquer entre elles ou avec des champignons. Mais qu'elles le fassent par l'intermédiaire d'un parasite, voilà qui est nouveau. Le phénomène a été mis en évidence par une équipe de l'Académie chinoise des sciences, à Pékin, et de l'Institut Max-Planck d'écologie chimique, à Iéna, en Allemagne

 

Aline Gerstner, septembre 2017 (abonnés)

 

 

[Image] Insect OS amplify wounding-induced levels of TPI in Cuscuta bridge-connected systemic tobacco plants. (Left) Schematic of paired C. australis-connected tobacco plants.(...)

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SUR LE MÊME SUJET (en libre accès) :

 

→ La cuscute prévient sa plante hôte de la présence d'insectes ravageurs - Sciencesetavenir.fr. La cuscute, un parasite qui peut être utile aux plantes, 31.07.2017 https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/plantes-et-vegetaux/la-cuscute-previent-sa-plante-hote-de-la-presence-d-insectes-ravageurs_115094

 

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États-Unis : le lâcher des moustiques OGM dans la nature est prématuré, selon des scientifiques

États-Unis : le lâcher des moustiques OGM dans la nature est prématuré, selon des scientifiques | EntomoNews | Scoop.it
Lâcher des moustiques génétiquement modifiés dans la nature pour combattre la propagation du paludisme, du Zika et d'autres infections transmises par ces insectes, est prématurée, conclut un rapport des Académies américaines des sciences (NASEM) tout en jugeant cette technologie prometteuse.
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