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Bernadette Cassel
November 1, 2023 1:58 PM
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Il n’y a pas d’impasse climatique. Mais l’idée qu’elle existerait produit des effets qui empêchent toute politique décisive en faveur de la transition. Pour Pierre Charbonnier, il faut comprendre comment naviguer dans le triangle politique de l’anthropocène, si l'on entend mobiliser largement pour sortir de l'aporie actuelle. Pierre Charbonnier 31 octobre 2023 Image : Konstantin Yuon, New Planet, 1921 ------- NDÉ Résumé "Ce texte mérite d'être lu et partagé à toute la sphère écolo. Vu qu'il est assez long, j'en ai fait un #thread pour le rendre plus accessible
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Bernadette Cassel
February 7, 2014 6:55 PM
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BE Etats-Unis. Les Bulletins Electroniques des Ambassades de France. « Que vaut une forêt tropicale ? Combien rapporte une abeille sauvage ? Si ces questions paraissent d'abord naïves, elles occupent actuellement l'esprit d'un certain nombre de scientifiques et décideurs. Sacrilège, s'écrient certains, que de vouloir mettre un prix sur la Nature ! Il suffit de faire l'expérience d'une randonnée en forêt, d'un coucher de soleil sur l'océan, ou d'une dégustation de châtaignes ramassées dans un bois voisin pour comprendre que la Nature ne saurait être réduite à des chiffres sur un tableur Excel. Naïveté, répondent d'autres, de ne pas voir que les pressions actuelles dégradent rapidement les écosystèmes naturels, trop rapidement sans doute pour que les générations futures puissent en profiter. »
« Si le débat sur les services écologiques (ou écosystémiques) n'est pas simple, il parait intéressant de décrypter les positions des scientifiques et décideurs sur le sujet. »
[...]
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Bernadette Cassel
December 12, 2013 1:44 PM
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Les Bulletins Electroniques des Ambassades de France. BE Allemagne. « Avec plus de 30 millions d'espèces connues, les insectes représentent un véritable "trésor pharmaceutique" dont il reste encore beaucoup à découvrir. Le développement de nouveaux produits basés sur les propriétés des insectes (biotechnologie "jaune") est récent, mais il est déjà internationalement reconnu comme un domaine innovant avec des perspectives de croissance considérables. En effet, la capacité des insectes à coloniser l'ensemble de la biosphère est le résultat d'une adaptabilité évolutive exceptionnelle. De nombreuses espèces d'insectes peuvent survivre dans des environnements extrêmes, et sont capables de métaboliser des substances à forte toxicité. La compréhension de leurs outils de synthèse moléculaire ouvre de nouvelles perspectives dans les domaines de la médecine (biotechnologie "rouge"), de la lutte antiparasitaire (biotechnologie "verte") et de la production industrielle (biotechnologie "blanche"). La recherche sur ces espèces doit également permettre le développement de modèles pour l'évaluation des risques éco-toxicologiques ou encore faciliter la production de nouveaux biocapteurs. »
[...]
Source : LOEWE-Zentrum „Insektenbiotechnologie“ am Standort Gießen
Pour en savoir plus : Site internet allemand dédié à la recherche en biotechnologie utilisant les insectes (en anglais): http://www.insekten-biotechnologie.de/en/start.html
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Bernadette Cassel
October 24, 2013 1:31 PM
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Current Biology - Evolution of Camouflage Drives Rapid Ecological Change in an Insect Community
Highlights - Local maladaptation reduces population size in nature by attracting bird predators
- Maladaptation increases the spatial scale of adaptation
- Maladaptation reduces density and diversity of arthropods, and decreases herbivory
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Bernadette Cassel
July 15, 2013 5:00 AM
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Entre 150 000 à 180 000 abeilles, soit trois colonies de 50 000 à 60 000 insectes, il n’en faut pas moins pour surveiller la qualité de l’air, de l’eau et des sols. Trois ruches, fournies par un apiculteur de Saujon, M. Duret, ont pris place dans la future zone d’activités du Gua, à proximité de celle du Fief des Justices, dans ce but. C’est la première fois qu’un tel dispositif voit le jour en Poitou-Charentes.
Emily Martin, doctorante à l'Université de Bayreuth (Bavière), au sein de l'organisme TERRECO [1], mène actuellement une étude afin de mettre en évidence les liens existants entre : la structure des paysages, les habitats naturels, la biodiversité et l'écologie des ravageurs, et ce, dans le but d'identifier de nouveaux moyens de lutte anti-parasitaire. Les premiers résultats de cette étude ont été publiés dans la revue scientifique PNAS [2]. Les travaux ont été menés en collaboration avec le professeur Ingolf Steffan-Dewenter de l'Université de Wurtzbourg (Bavière), et les professeurs Björn Reineking et Bumsuk Seo, tous deux de l'Université de Bayreuth (Bavière). Source : bulletins-electroniques.com
Via agrodoc_ouest
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Bernadette Cassel
March 25, 2013 12:04 PM
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« D’après le Genoscope, qui a lancé un programme de séquençage sur plusieurs modèles d’étude de cette famille d’insecte, les noctuelles (papillons nocturnes phytophages) représentent à elles seules quotidiennement un-sixième des pertes agricoles mondiales ! [...] Alors que chez les noctuelles, le stade responsable des dégâts dans la culture est le stade larvaire dit « ravageur », la majorité des travaux scientifiques étudient les noctuelles adultes. De même, alors que les données moléculaires sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus poussées, les données de terrains sont, elles, de plus en plus délaissées. Il devient compliqué de trouver des études écologiques récentes réintégrant ces ravageurs dans leur environnement et certaines questions sur l’écologie de ces insectes demeurent sans réponse. Se reproduisent-ils à proximité de leurs plantes hôtes ? Trouve-t-on les larves et les adultes au même endroit et au même moment ? Ce manque de données essentielles est un frein certain à la compréhension des relations entre génétique et écologie. Comment sans elles, associer un, ou des gènes, à un comportement précis de l’insecte qui pose problème, comme par exemple la recherche de nourriture et sa modulation par la prise alimentaire ou le cycle circadien ? A vue de nez, il est donc fort probable que l’étude de l’olfaction sur modèle insecte ait encore de belles années de polémiques et de découvertes devant elle…»
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Bernadette Cassel
May 23, 2012 6:24 PM
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« [...] Cinq types d'invertébrés étaient beaucoup plus nombreux dans les zones éclairées par les réverbères : les faucheux (Opiliones, arachnides cousins des araignées), les fourmis, les carabes, les cloportes et les amphipodes. Et cette sur-représentation était notable de jour comme de nuit pour trois d'entre eux (faucheux, fourmis et carabes). Plus généralement, par comparaison aux zones situées à l'écart de l'éclairage public, celles situées sous les lampadaires contenaient bien plus d'individus appartenant à deux groupes de carnivores : les prédateurs et les charognards. Ce déséquilibre au sein des espèces d'invertébrés pourrait faire boule de neige et, par le biais de la chaîne alimentaire par exemple, risquerait d'altérer l'ensemble d'un écosystème, s'inquiètent les auteurs, qui appellent à faire d'autres recherches sur la question. » via @physorg_biology Light pollution transforming insect communities http://phys.org/news/2012-05-pollution-insect.html Article source : http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/05/15/rsbl.2012.0216.abstract Falmouth. Photo by Kevin Murphy.
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Bernadette Cassel
March 30, 2021 11:15 AM
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Une enquête très intéressante de l'Université de New York, à laquelle 738 économistes ont répondu, vient éclairer d’un jour très intéressant les débats sur la loi Climat et Résilience qui ont commencé à l’Assemblée. La Banque de France se dote d'un Centre sur le réchauffement climatique. Histoires économiques mardi 30 mars 2021 par Sophie Fay Related Reading Media Resources / March 29, 2021 _____________________________________________________ [Image] via France Nature Environnement sur Twitter, 30.03.2021 https://twitter.com/FNEasso/status/1376813697457348609 "Non, il ne s'agit pas des réponses de militant·e·s écologistes mais de 738 économistes: 74% estiment qu'une action immédiate et drastique est requise face au changemt clim. (vert=2015; bleu=2021) #MardiConseil écoutons-les! Résumé en 2' sur @franceinter"
Humanité et Biodiversité. « L'hypothèse dite "Janzen-Connell" suggère que les espèces comme les insectes herbivores et les pathogènes fongiques maintiennent une forte diversité en élevant leur efficacité à l'encontre des espèces végétales tendant à développer leurs populations. En gros, plus une plante tend à devenir commune, plus elle est attaquée. »
[...]
« L'étude fournit un test global de l'hypothèse Janzen-Connell et démontre le rôle crucial que les insectes et les agents pathogènes du sol ont à la fois dans la structuration des communautés de plantes tropicales et dans le maintien de leur diversité. »
[L'étude] Pathogens and insect herbivores drive rainforest plant diversity and composition [Article dans Nature] Plant killers protect rainforest diversity
Via algrappe
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Bernadette Cassel
November 30, 2013 12:42 PM
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Bernadette Cassel
October 22, 2013 5:52 PM
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Le nombre d’espèces envahissantes – plantes, insectes et autres animaux – augmente en Europe de manière exponentielle avec l’accroissement des échanges.
Il a suffi d’une seule reine, sans doute importée de Chine en 2004 dans un pot de plante, pour que le frelon asiatique s’implante dans l’Hexagone. «Son front de colonisation est particulièrement rapide», note l’écologue Franck Courchamp (CNRS). En quelques années, l’insecte parti du sud-ouest de la France s’est déjà établi dans une vingtaine de départements et provoque de lourds dégâts sur les abeilles domestiques. Venue tout droit des États-Unis, la punaise américaine, ou Leptoglossus, s’en prend quant à elle aux conifères.
[...]
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Bernadette Cassel
June 22, 2013 2:05 PM
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Les espèces voisines consomment moins souvent les mêmes ressources que les espèces plus distantes. En effet, c'est la compétition pour les ressources, et non leur apparentement qui détermine les sources de nourriture des espèces d'une communauté. Sous l'effet de cette compétition, les espèces proches se sont spécialisées sur des ressources alimentaires différentes. Telle est la conclusion d'une étude menée par des chercheurs du CNRS, du Muséum national d'Histoire naturelle (1) et de l'Université d'Exeter (Royaume-Uni). Ces travaux ont été obtenus en étudiant avec un niveau de détail hors du commun les interactions trophiques entre espèces au sein d'une prairie anglaise. Publiés le 20 juin 2013 dans la revue Current Biology, ils permettent de mieux appréhender l'évolution des communautés écologiques à l'heure où certaines sont bousculées par le changement climatique et l'arrivée d'espèces invasives. [...] Notes : (1) Les chercheurs français travaillent au Laboratoire « Origine, structure et évolution de la biodiversité » (CNRS / MNHN) et au Laboratoire « Conservation des espèces, suivi et restauration des populations » (CNRS / MNHN). Références : Evolutionary history and ecological processes shape a local multilevel antagonistic network, Marianne Elias, Colin Fontaine, F. J. Frank van Veen, Current Biology, 20 juin 2013
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Bernadette Cassel
April 17, 2013 5:53 PM
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I am pleased to bring you the third edition of Expiscor – a weekly digest of discoveries and curiosities, from Arachnids, to natural history and beyond. You can view previous postings here and here. • I’ve been editing work from two of my Master’s students who will soon be graduating – both on Arctic spiders – here are a couple of great quotes from their work, about spiders: “There are a recognized 43,244 species and sub-species of spider worldwide, 46% of which are described based on only one sex” and “18% of total linyphiid species in the world found north of 60°” WOW – clearly much work is needed in Arachnology, and we ought to work in the North for some families. • More on spiders: [...]
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Bernadette Cassel
March 24, 2013 10:28 AM
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Les vainqueurs du concours de photographies organisé par la revue BMC Ecology viennent d’être annoncés. [...] Les clichés en question ont été sélectionnés dans le cadre du concours organisé par la revue BMC Ecology. La compétition est ouverte exclusivement aux personnes affiliées à un institut de recherche et a été mise en place pour valoriser des images relatant des interactions écologiques, prises dans le cadre de travaux de recherche.
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"... l’émancipation à l’égard des modes de production et de consommation les plus néfastes au climat et à la biodiversité a des co-bénéfices importants, notamment en termes de santé."
Pierre Charbonnier
Extrait du texte original
"Il n’y a pas d’impasse climatique.
Il y a une incapacité à se projeter dans l’avenir.
Je propose de nous appuyer sur les pivots géopolitiques, sociaux et culturels qui permettent d’alimenter un imaginaire politique écologique.
À lire @Grand_Continent"
Pierre Charbonnier 🏗🌍🌹 sur X, 31.10.2023
https://twitter.com/picharbonnier/status/1719259081372754386
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