De nouvelles références bio de Danone arrivent : Le Bio - gamme de yaourts -, une gamme bio Enfant Danonino et un lait de croissance liquide Blédina.
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Cedric's curator insight,
December 23, 2016 4:26 AM
Trois groupes industriels collectent 56% de ces volumes : Biolait, Lactalis et Agrial/Eurial. Ces trois groupes achètent 313 millions de litres de lait. Les dix principaux collecteurs concentrent environ 82 % du lait bio français (454,5 millions de litres). Outre les trois précédemment cités, les groupes qui constituent ce top 10 sont Sodiaal, Unicolait, Triballat Noyal, la Laiterie Saint-Père, Danone, le Lait Bio du Maine.
Cedric's curator insight,
November 3, 2016 5:44 AM
Avec toutes ces conversions, "cela fait un potentiel de collecte pour 2018 d'environ 800 millions de litres de lait bio. Par comparaison, en 2015, la collecte de lait bio était de 550 millions de litres", a précisé Paul Zindy. La collecte bio française a doublé en cinq ans, et cette dynamique devrait se maintenir. En 2015, la collecte a atteint 571,3 millions de litres (2,3% de la collecte nationale), auprès de 2170 exploitations laitières biologiques.
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Cedric's curator insight,
December 1, 2016 1:09 PM
En moyenne le lait bio est payé au producteur de 20 à 25 % plus cher que le lait conventionnel. Cet écart est passé à 48 % cette année ! Les prix à la consommation sont toutefois restés assez « accessibles », toujours entre 20 et 30 % au-dessus de ceux du conventionnel.
En 2015, 10 % du lait danois était bio, une proportion qui devrait atteindre 12 % cette année à 470 millions de kg de lait.
Cedric's curator insight,
September 24, 2016 5:47 AM
«Le système conventionnel de production laitière montre actuellement ses limites, explique Philippe Grégoire. Je me suis rendu compte qu'il faisait vivre beaucoup de monde autour de nous comme les marchands de matériels, ceux d'engrais, de produits phytosanitaires ou aliments pour le bétail sans oublier les conseillers techniques des chambres d'agriculture ou les coopératives… mais aussi les laiteries et les distributeurs. En fait les seuls qui n'arrivent pas à vivre dans cette filière qui génère beaucoup de chiffres, ce sont nous, les éleveurs.
En continuant sur cette pente glissante, je n'avais plus qu'à fermer mon exploitation à court terme, sans pouvoir la transmettre à mon fils.(...)" |